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Une vacancière beaucoup plus âg&eacut

Une vacancière beaucoup plus âg&eacut



Cette aventure m’est arrivée il y a de cela deux ans, dans un club de vacances. À vingt-huit ans, toujours célibataire, je m’octroyais une petite semaine de repos bien méritée après des mois de travail acharné. Je me retrouvais dans un petit bungalow au style méditerranéen. Au programme des réjouissances : plage, farniente, piscine, thalasso, mais surtout pas de tourisme car j’avais vraiment besoin de calme. Pour la même raison, j’évitais la boîte de nuit et le club de remise en forme. Tout ce que je désirais, c’était flâner et me laisser vivre.

Le matin, profitant du fait qu’il ne faisait pas trop chaud, j’allais m’étendre sur ma serviette et je rêvassais en écoutant les vagues. C’est en revenant de cette baignade matinale que je fis connaissance avec ma voisine la plus proche. Elle revenait de la plage, elle aussi. C’était une petite mamie plutôt potelée et un peu voûtée, je lui donnai à priori soixante-dix ans, mais j’appris par la suite qu’elle en avait presque dix de moins. Elle faisait vraiment plus vieille que son âge, sans doute ses cheveux gris, son visage buriné couvert de rides et ses mains toutes tachées. Elle me proposa gentiment de l’accompagner au restaurant le midi, elle était seule, ne connaissait personne et, visiblement, elle s’ennuyait un peu.

— À moins que ça ne vous dérange, ajouta-t-elle respectueusement.

Je pris Maryline à sa case vers 13 heures et nous passâmes un agréable moment à discuter tous les deux dans cette cantine bruyante qui faisait office de restaurant. J’appris qu’elle avait quatre enfants et sept petits-enfants, que son mari était décédé il y avait de ça quelques années, d’une crise cardiaque, me dit-elle et, de son côté, elle avait été longuement soignée pour un cancer.

— Un cancer du sein, ajouta-t-elle laconique. J’ai été opérée et, par moments, je ne me sens plus vraiment femme.

Plutôt gêné par cette réflexion, je décidai de changer de sujet. J’orientai la conversation sur sa famille.

— Maintenant, mes enfants ont leur propre vie et j’aimerais profiter un peu de la mienne… pendant qu’il en est encore temps.

C’était la première fois qu’elle venait en hôtel-club et elle était un peu déçue, elle s’attendait à autre chose, elle trouvait les gens très froids et peu enclins à lier contact. Je lui proposai de m’accompagner à la thalasso, elle en fut enchantée. Ce n’est qu’en voyant les tarifs à l’entrée qu’elle retrouva une moue boudeuse :

— C’est à dire qu’avec ma petite retraite…
— Si ça vous fait plaisir je vous l’offre.

Elle refusa énergiquement mais c’est avec la même énergie que je lui forçai un peu la main. C’était avec bon cœur que je le faisais. Nous passâmes tous les deux un bon après-midi, elle ressortit enchantée du hammam. C’était la première fois qu’elle s’essayait à ce genre d’expérience. Elle me dit que ça lui avait fait un bien fou.

Le soir même, nous retournâmes au restaurant ensemble. En sortant, souhaitant me remercier pour la thalasso, elle tint absolument à m’offrir un cocktail malgré les tarifs prohibitifs pratiqués par le cabaret. Dans un coin de la salle, un couple mûr fumait le narguilé, la femme avait l’air passablement défoncée et l’homme en profitait sournoisement pour la toucher. Un couple illégitime probablement. Nous allâmes nous asseoir pas très loin d’eux, fuyant le brouhaha de la jeunesse qui sévissait autour du bar. Maryline était très gaie, elle plaisantait, riait beaucoup, elle me proposa un autre cocktail que je tins cette fois à lui payer.

La conversation s’orienta bientôt sur le couple qui sévissait à quelques pas de nous et que nous regardions discrètement d’un œil amusé. L’homme avait manifestement glissé sa main entre les cuisses de sa compagne et était en train de la caresser. Il faisait ça discrètement sous la table mais d’où nous étions, nous ne pouvions que le remarquer.

— Pierre, ça vous dirait de faire pareil ? proposa soudain ma compagne.

Devant mon embarras, elle éclata d’un rire franc et massif et ajouta avec malice :

— Vous n’y êtes pas obligé.

Je devais vraiment avoir l’air nigaud car elle rit de plus belle en sirotant son breuvage, consciente de la bonne farce qu’elle venait de me faire :

— J’espère que je ne vous ai pas choqué, au moins !

Elle regardait toujours le couple, mais, à vrai dire, de moins en moins discrètement :

— Moi je trouve cela très excitant, finit-elle par avouer.

Je me sentais pataud face à cette femme d’un certain âge, prise d’un désir soudain. Je posai ma main timidement sur sa cuisse, plus pour lui faire plaisir que par réel désir. Elle réagit de suite en relevant sa jupe et ma main entra en contact avec sa peau nue qui me sembla brûlante d’envie. Mon regard croisa celui d’un jeune qui nous regardait depuis le bar d’un œil amusé. Le rouge me monta alors aux joues, j’avais presque l’impression de sortir avec une grand-mère. Aussi baissai-je les yeux et exorcisai-je ma honte en plongeant plus avant entre les cuisses de Maryline qui ne demandait visiblement que ça. Sa culotte était humide, je l’écartai un peu et mes doigts entrèrent en contact avec une chatte très poilue.

— Humm Pierre, continuez, c’est très bon, j’adore ça me faire toucher comme ça… avoua-t-elle en me regardant.

Cette chatte humide était un mystère pour moi, qui croyais naïvement que les vieilles femmes ne mouillaient pas. Celle-ci était au contraire incroyablement trempée et appelait intensément mes caresses. Mes doigts glissèrent dans sa grotte, elle se cambra un peu plus pour que je la pénètre mieux. De son côté, l’autre couple ne chômait pas. Tout en roulant un patin à sa belle, l’homme lui frottait ardemment la moule. De temps en temps, il se retournait légèrement vers nous pour voir où nous en étions. J’avoue que tout ceci m’excita, je me sentis durcir, me rapprochai de Maryline et, tout en la masturbant, je l’embrassai alors à pleine bouche. Posant sa main sur ma bosse, elle comprit dans quel état j’étais.

— Oh Pierre, je crois que nous ferions mieux d’aller continuer ailleurs, chuchota-t-elle à mon oreille.

Mais elle m’avait beaucoup trop excité pour que je reste raisonnable. Tout en lui roulant une nouvelle pelle, je remontai franchement sa jupe et écartai au maximum sa culotte. Ça m’excitait de savoir que l’autre couple pouvait peut-être la voir et percer son intimité, même si la faible luminosité rendait cette approche incertaine. Je plongeai alors profondément mes doigts dans son antre juteux et me mis à la branler avec vigueur.

Elle finit néanmoins par me repousser. Elle avait du mal à reprendre ses esprits et des étoiles brillaient dans ses yeux. À ce moment-là, on aurait presque dit une jeune adolescente qui connaît son premier flirt. Elle remit en place fermement sa jupe, bien décidée à ne plus rien me donner en ce lieu :

— Pierre, allons-y, s’il vous plaît (d’un ton ferme et sans appel).

L’autre homme nous regarda avec un léger sourire ironique. Sa compagne d’un soir était tout autant troussée, complètement paf, la tête rejetée en arrière, elle se laissait toujours toucher.

Maryline m’entraîna à l’extérieur. Quand nous passâmes près du bar, les jeunes nous dévisagèrent avec des sourires entendus. Dans leurs yeux, je pus lire « elle est bonne ta salope ? ». Bonne, oui, mais pas pour toi, Ducon.

Une fois dehors, Maryline ne se montra plus aussi farouche. Au contraire, elle s’accrocha à mon cou et me réclama des baisers. Moi qui croyais que nous allions rentrer tranquillement à la case pour faire l’amour à la papa… mais, ne pouvant sans doute pas attendre, elle m’attira derrière un bosquet et entreprit de dégrafer ma braguette. Elle extirpa ma queue sans plus attendre et se mit lentement à la masturber.

— Oh Pierre ! J’ai très envie de vous… Je peux vous la sucer ?

Je ne pensais qu’à ça, en fait, à ce moment où, agenouillée à mes pieds sous la bienveillance de la pleine lune, je verrais ces cheveux poivre et sel engloutir ma trique. Je ne suis peut-être pas d’un gros diamètre, encore moins d’une longue taille, mais elle l’avalait toute entière jusqu’au pubis et, au vu de ses gémissements, elle semblait véritablement apprécier. Elle me pompa ainsi un long moment. Manifestement, elle savait parfaitement doser. De l’autre côté du bosquet, des gens passaient à quelques pas de nous et ce n’en était que plus excitant. Et elle finit par me faire jouir, elle but tout mon sperme, jusqu’à la dernière goutte et garda encore ma queue en elle, jusqu’à ce que celle-ci daigne enfin ramollir. Puis elle se releva et me prodigua un baiser gluant de mon sperme qui humectait encore sa bouche.

— J’aimerais beaucoup la sentir en moi, m’avoua-t-elle après ce baiser goulu.

Mais je ne me sentais pas encore en état de reprendre mes activités. Alors je la fis allonger sur le sol terreux et plongeai à mon tour entre ses cuisses pour lui faire du bien…

Nous étions là depuis presque une demi-heure lorsque nous fûmes dérangés par un couple qui devait avoir eu la même idée que nous. J’avais fait jouir Maryline avec ma bouche et elle était à nouveau en train de me sucer pour me préparer à la pénétration. C’est dans cette position que l’autre couple nous trouva, moi pantalon baissé, allongé sur le sol et ma compagne penchée entre mes cuisses en train de me lécher… Ils me regardèrent, regardèrent ma suceuse, je vis dans leur yeux une certaine incompréhension, il faut dire que la différence d’âge était frappante. Ils décidèrent d’aller ailleurs mais Maryline, perturbée par l’incident, préféra que nous rentrions à la case.

La porte à peine refermée, nous reprîmes de plus belle nos ébats.

Cette soirée- là fut le prélude à une semaine d’amour effréné que nous passâmes en grande partie dans la chambre de cette amie sans tabou qui avait, malgré son âge, un sacré tempérament. La seule chose qu’elle me refusa c’est de me montrer ses seins : elle avait, paraît-il, des cicatrices horribles dont elle avait visiblement honte.

De retour en métropole, nous avons gardé contact. Je suis allé la voir deux fois chez elle et je dois y retourner bientôt, pour la Noël.

Une de ses filles, probablement un peu plus vieille que moi, habite malheureusement juste en face de chez elle. Elle semble vraiment sceptique face à cette idylle naissante et voit d’un très mauvais œil mes venues chez sa mère. Elle ne m’apprécie guère, et les élans amoureux de sa mère envers moi semblent vraiment la choquer. Par conséquent, je ne sais donc pas comment tout ceci va se terminer et si nous avons un avenir commun, mais j’aimerais pourtant poursuivre un peu l’aventure…

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