Parfois la vie réserve de belles surprises, ce fut le cas ce soir-là.
Même si nous ne « pratiquons » presque jamais par petites annonces, nous nous plaisons à en lire.
Un jour, l’une d’elles a retenu notre attention et nous avons décidé d’y répondre.
La voici, telle qu’elle était rédigée:
» Monsieur, 53 ans, vivant avec son papa, souhaite rencontrer jeune femme pour soirée triolisme ».
Suivaient les coordonnées gsm.
Mais qui allait le contacter ? Monsieur ou madame ? Nous avons opté pour moi (madame) afin de ne pas apeurer l’homme et qu’il
comprenne bien que nous n’étions pas des fantasmeurs.
Au téléphone je lui ai dit que j’étais toute disposée à me rendre chez lui, à m’offrir à lui et son papa. Mais que je ne serais pas seule, que mon mari serait avec moi en tant que voyeur.
Il a marqué un temps d’hésitation puis a demandé si il serait question d’argent. Je l’ai rassuré, nous sommes candaulistes et seul le plaisir nous motive.
Rendez-vous fut pris pour le vendredi à venir, à 21h00.
Le vendredi je me suis apprêtée de façon très sexy, comme le souhaitaient nos hôtes: jupe ultra courte moulante, chemisier, pas de soutien-gorge, petite culotte collégienne, bas nylon et escarpins à talons hauts. Avant ça, lavement et douche complète.
A 20h30 nous avons pris la route et nous sommes rendus à l’adresse qui nous avait été renseignée.
Arrivés devant nous avons été étonnés et ravis, il s’agissait d’une construction neuve de belle allure.
Nous nous sommes garés et, comme demandé par l’homme, j’ai déboutonné mon chemisier et ai noué les 2 pans.
Ils devaient guetter notre arrivée car mon homme n’a même pas eu le temps de presser le bouton de la sonnette que déjà la porte s’est ouverte.
L’homme est apparu et directement son regard m’a déshabillée. Au vu de son sourire il est certain que je lui plaisais.
Il nous a invité à entrer et nous a mené au salon où nous attendait son papa. Il s’agissait d’un homme de 74 ans, un peu grassouillet mais de belle prestance. Il s’est levé et s’est approché de moi pour me donner un baiser de bienvenue. Baiser qui s’est traduit par un roulage de pelle très « chaleureux ». Ensuite il m’a invitée à m’asseoir dans le canapé, s’arrangeant pour que je prenne place au centre.
Voici comment s’est déroulée la soirée, avec son imprévu (pour nous tout du moins).
Une fois assise, le fils nous a proposé une boisson au choix, avec ou sans alcool. Nous avons choisi un vin rouge.
C’est mon homme qui a entamé la conversation, faisant éloge du bâtiment ainsi que de la décoration moderne de son intérieur.
Puis il a rappelé à nos hôtes que je n’avais aucun tabou, si ce n’est le s**to et les douleurs trop puissantes.
Ils ont marqué leur accord, mais je voyais bien que quelque-chose les tracassait.
Durant ces préambules de mise au point, le papa avait déjà déposé une main sur moi et me caressait la jambe.
Le fils (ça me fait drôle d’écrire « le fils » alors qu’il avait vingt- quatre ans de plus que moi) restait plus sage et ne me touchait pas.
Il semblait mal à l’aise, comme tracassé. Mon homme l’a remarqué aussi et l’a interrogé.
Avec une voix à peine perceptible il lui a avoué avoir parlé de cette soirée à son voisin.
Nous avons directement compris où il voulait en venir et, après un échange de regards complices avec moi, mon homme a proposé que le voisin nous rejoigne.
Ni une ni deux, notre hôte lui a téléphoné et l’a invité à nous rejoindre. Il n’a fallu que cinq minutes pour qu’il fasse son apparition.
C’était un monsieur de – 70 ans, fort petit et avec un fort embonpoint.
Afin de faciliter l’écriture et que vous puissiez suivre notre aventure, voici les prénoms des coquins: Le fils, Alain. Le père, Gustave. Le voisin, Marcel.
Autant Alain et Marcel restaient encore timides, autant Gustave se laissait aller à me tripoter. Il avait défait le noeud de mon chemisier et me pelotait vigoureusement la poitrine. Excité par la vue, Alain est venu prendre place à ma gauche et s’est décidé à me toucher.
Il n’a même pas pris le temps de me caresser, direct sa main est venue dans ma culotte et ses doigts ont titillé mon clitoris.
J’ai écarté les cuisses au maximum et ai laissé ma tête basculer vers l’arrière en fermant les yeux.
J’ai senti des lèvres se poser sur les miennes puis une langue chercher à s’introduire. Un long baiser s’en suivit, décidément le papa était encore très vert et gourmand.
Mon homme ne voulant pas que la soirée soit trop courte les arrêta dans leur fougue. Il me demanda de monter sur la petite table de salon et encouragea les trois coquins à me caresser et me lécher. Moi je tournais lentement sur moi-même, offrant à chacun tantôt ma chatte tantôt mon fessier.
Ce petit jeu dura plusieurs minutes durant lesquelles je sentais mon excitation monter. Déjà un léger écoulement sur mes cuisses traduisait mon état.
Il me fallait de la queue, n’importe où, mais de la queue en moi !
Alors j’ai demandé si nous pouvions aller dans une pièce plus adéquate et nous nous sommes rendus dans la chambre.
Ils avaient préparé celle-ci à m’accueillir et à satisfaire leurs envie.
Sur une des tables de nuit se trouvaient des petits mouchoirs en papier. Sur le lit étaient disposés une cravache, un masque loup sans ouverture visuelle et un foulard. Quand je suis seule je n’accepte jamais d’être attachée et les yeux bandés, mais quand mon homme est présent il n’y a pas de souci.
Ils s’y sont mis tous les trois pour me déshabiller. Ce fut vite fait vu qu’il n’y avait que mon chemisier déjà ouvert, ma jupe et ma petite culotte.
Il ne me restait que mes bas nylon.
Alain s’est approché de moi et m’a mis le masque, ensuite il m’a couchée sur le lit, face contre le coussin.
Avec le foulard il m’a attachée les mains derrière le dos.
Ensuite ils ont commencé un petit scénario oral qu’ils avaient dû mettre au point ensemble.
Ils m’ont maltraitée de tous les noms et adjectifs possibles: salope, petite traînée, souillure, putain, dévergondée, suceuse de bites, …
Et tout en m’injuriant l’un d’eux a commencé à me fesser (j’ai appris que c’était Marcel). Quelques claques puis des caresses, encore des claques suivies de caresses. C’était un expert, il savait procéder. Ensuite ce fut Alain qui s’attaqua à mon fessier, mais avec la cravache.
Et tandis que les coups s’abattaient sur moi, Gustave avait glissé sa main sous moi et me masturbait avec vigueur.
Je ne sais pas si ils l’avaient deviné (mon homme m’a assuré ne rien leur avoir dit), mais c’est une situation qui me porte au paroxysme !
La douleur mêlée à la masturbation me donne des orgasmes géants.
J’ai joui et crié de plaisir, ce qui a eu pour effet d’exciter encore plus mes partenaires et mon homme a dû les freiner car ils ne mesuraient plus l’intensité des coups.
S’arrêtant de me cravacher, l’un d’eux m’a soulevée et m’a fait mettre à genoux sur le lit. Ensuite il a appuyé sur mon dos pour me faire comprendre de me pencher vers l’avant (c’était Alain). Gustave m’a enlevé le masque et j’ai pu voir. Il était face à moi, lui aussi à genoux sur le lit. Ma tête était à quelques centimètres de son sexe dressé.
Il m’a ordonné de le prendre en bouche et de lui donner du plaisir. Chose que j’ai faite avec ravissement, depuis le temps que j’attendais.
Je le suçais, jouant avec ma langue autour de son gland ou allant et venant en le raclant avec mes dents. J’ai senti des mains m’écarter les jambes et, dans le mouvement, le sexe de Gustave est venu bien au fond de ma gorge.
Alain m’a pénétrée d’un coup sec, vu ma chatte dégoulinante il n’a eu aucun problème.
Je suçais Gustave, Alain me baisait et Marcel me caressait partout.
De temps à autres mes yeux se dirigeaient vers mon homme qui se régalait de la scène et se tripotait la queue.
Alain cessa de me baiser et je sentis un doigt s’insérer dans mon anus. Il s’aidait de ma mouille et n’eut aucune difficulté.
Quelques allées et venues puis son sexe a remplacé son doigt. Il était de gabarit honorable, mais pas de taille disproportionnée.
Alors qu’il me défonçait le cul, Marcel est venu se placer de manière à me faire une délicieuse minette.
J’étais hors de moi, mon cul honoré, ma chatte dégustée et un sexe m’emplissait la bouche. Je suis devenue une furie et Gustave en a fait les frais ! Moins de deux minutes plus tard il n’a pu se retenir et son miel chaud s’est déversé dans ma bouche.
J’ai serré légèrement les dents, lui faisant comprendre que je voulais le garder en moi.
Puis ce fut au tour d’Alain de cracher son miel et c’est sans se retirer d’entre mes fesses qu’il le fit.
Quand il s’est retiré, Marcel était toujours en train de me bouffer la chatte. Il a eu droit à une partie du sperme d’Alain qui s’écoulait hors de moi.
J’ai laissé Gustave se retirer et me suis laissée m’affaler sur le lit.
Marcel m’a retournée, m’a écarté les cuisses puis m’a baisée. Le type ne fut pas très vaillant, le moins brave des trois.
Quand ils eurent tous terminé, mon homme s’est approché et je lui ai fait sa petite gâterie habituelle de fin de soirée candauliste.
Gustave, jamais rassasié, n’a cessé de me caresser tout du long où j’ai sucé mon homme.
Avant de les quitter Alain nous a demandé si il serait possible que nous revenions la semaine suivante. Malheureusement pour lui nous ne rencontrons (à de rares exceptions près) jamais deux fois un partenaire.
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