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Belle maman, ma soumise … (6)

Belle maman, ma soumise … (6)



Cela fait maintenant un mois que j’entretiens cette relation avec belle maman. Elle est devenue une vraie chienne, acceptant d’être soumise, acceptant des actes immoraux, i****tueux. Je crois qu’au delà du jeu de soumission, elle s’est révélée au grand jour. Elle me contacte un midi :

– Bonjour David, Je voulais te remercier… Parce que tu m’as ouvert les yeux et fais assumer des choses impensables. Tu es l’amant que j’ai toujours souhaité. Soumets moi encore.. Plus loin, plus fort comme tu dis. Je suis une chienne maintenant. Ta chienne. Tu as pris ma bouche, ma gorge, mon vagin… Il reste mon cul. Prends le, je te le donne, ou tu veux. J’assumerai tout. Philippe est la ces prochains jours, pas facile de me libérer…
– Alors je viendrai à vous. Depuis quand n’avez vous pas couché avec Philippe ?
– Pas de pénétration depuis plusieurs semaines. Hier je lui ai fais une pipe devant la télé. J’ai pensé à toi. Mais il n’a pas voulu finir dans ma bouche. Il dit que c’est dégradant. C’est pourtant ce que je voulais.. Être dégradée.
– Vous êtes une bonne salope belle maman. Je vous donne rendez-vous au sous sol ce soir. Je vais m’occuper de votre trou du cul.
– Dis moi comment et je serai là.
– Je garerai la voiture en bas de la rue. A 22h je serai dans la buanderie, assurez vous que la porte du garage reste ouverte. Vous allez baiser avec Philippe avant. Je veux vous entendre gemir depuis le sous sol. Je veux qu’il jouisse en vous. Gardez une culotte. Pretextez d’avoir oublié d’étendre une machine après. Et rejoignez moi.
– Je mouille déjà à l’idée que tu m’entendes.
– 22h, je serai là, soyez précise. Si à 22h15 vous n’avez pas fini. Je m’en vais.
– Je ferai mon possible pour ne pas te décevoir. Je t’embrasse.

Comme prévu, je gare la voiture en bas de la rue, Émilie est de sortie ce soir, je suis tranquille. La nuit commence à bien s’installer. J’emprunte la descente de garage et me faufile discrètement. J’ai le cœur qui bat à fond. Je pense que c’était autant du à l’excitation qu’à la peur d’être surpris par Philippe. Si c’est le cas, je suis mort. Pas d’autres mots !

Je m’assoie et regarde l’heure, 21h55. Elle a donc 20 minutes pour arriver maximum. J’ai beau tendre l’oreille, pas un bruit dans la maison. Je n’aime pas ça… Je monte les marches qui mènent à l’entrée, la porte est entrouverte. Je touche mon pantalon, je bande déjà comme un dingue. Soudain, ça y est, je l’entends qui gémis… Par intermittence, je pensais entre plus que ça… Enfin, l’essentiel soit qu’elle honore ma demande, puis plus distinctement, je l’entends :

– C’est ça que tu voulais hein ?
– Claques moi le cul Philippe, fais moi mal.

J’entends claquer, Putain elle se donne.

– Tu es sauvage ce soir coquine.
– Je suis pas ta coquine Philippe, je suis ta pute de femme. Baise moi, baise moi je te dis !

Whouho… Il a dû galèrer beau papa… Vu l’energie au quotidien, je n’ose imaginer au lit ! Quoiqu’il en soit, il semble avoir réussi son coup, plus un mot. J’attends quelques minutes, 22h05. Dépêche toi Florence, je vais me barrer. Frustrer peut être, mais je vais me barrer.

D’un coup, j’entends l’escalier, je cours me planquer dans la buanderie, et si ce n’était pas Florence ! Une voix perse le silence en chuchotant :

– T’es la ?
– Buanderie.

Nouvelle étape à franchir. La baiser sous son toit en présence de son mari.

Elle entre dans la pièce sans allumer, la lumière des lampadaires au travers des fenêtres hautes suffisent.

– Je suis bouillante David. J’en veux encore.
– A genoux belle maman.
– Oui oui…
– Retirez votre robe de chambre, seins nus. Continuez de baigner dans le sperme un peu. Sucez moi.

Elle att**** une pile de serviettes pliées sur une étagère, la jette au sol et se met à genoux dessus. Ses joues sont encore rougies, son front perle de sueur. Elle commence à me pomper fort, elle est en feu cette maman pute.

– Lechez mes couilles, appliquez vous on a pas toute la nuit.

Je me branle en même temps, appuyant la tête de belle maman avec l’autre main. Je la force à venir me lecher entre l’anus et mes couilles.

– vous n’avez jamais léché par là hein ?
– Non, mais j’adore…

Elle est encore plus chaude que moi.

– Alors venez goutter ça.

Je l’att**** par les cheveux, écarte mes cuisses toujours debout et plante sa bouche sur mon anus.

– Léchez ça, branlez moi en même temps. Montrez moi que vous êtes une bonne chienne.

Oh le bonheur, belle maman qui me bouffe le cul avec tant d’appétit. Je la sens qui écarte mes fesses pour essayer de me baiser avec sa langue.

– Je vais vous enculer, maintenant.
– Tu veux pas me tutoyer ? Ça fera moins formel.
– Vous êtes ma belle mère, question de respect. J’etouffe un rire.
– Si tu refuses de me tutoyer quand on est tous les deux, je te laisse pas m’enculer.

Je l’att**** à la gorge, fermement sans lui faire mal pour autant. Je m’approche de son visage.

– D’accord Florence. Je vais te remplir le cul.

Elle se retourne sans rien dire, se cambre et écarte sa culotte.

– Prends le sperme de Philippe comme lubrifiant. Defonces moi. Fais vite.

Je n’y vais pas dans la dentelle. Je trempe mon gland et la penetre quelques secondes dans sa chatte pour me lubrifier. Elle est trempée. J’allume la veilleuse de la buanderie. Je veux admirer ça. Elle porte une culotte en coton, avec quelques motifs fantaisie.

– Mais je connais cette culotte.
– Elle est à ma fille. Je pensais que ça te plairait.

Le coton est imbibé de sperme et de Cyprine. Je suis en transe encore une fois.

– Écarte tes fesses avec tes mains. Offres le moi.

Je la penetre doucement sans m’arrêter. Elle retient quelques gémissements. Malgré le lubrifiant de sa chatte, c’est un peu douloureux. Je m’en fou, j’enfonce ma queue jusqu’au fond et commence mes vas et viens, prenant le soin de sortir jusqu’à la moitié de mon gland à chaque fois.

Au bout de quelques minutes je sens que je vais venir. Elle aime ça. Mais pas tout de suite. Je l’att**** par les cheveux :

– T’aimes ça être une chienne hein ? Tu aimes le risque d’être surprise ?
– Je suis ta vide couille. Finis toi dans mon cul.
– Suis moi, j’ai mieux encore.

Je me dégage de son cul. Elle me suit au pas, je la tiens par les cheveux.

– Où tu vas ?!
– Dans l’entrée. C’est là que je vais finir.
– T’es fou, Philippe ne doit pas encore dormir.
– Je propose, tu disposes.

Je ne me reconnais plus. Je serai prêt à la gifler si elle refusait. Même elle aime ce risque. C’est aussi ça qui l’ excite. Être souillé dans le confort d’un chambre d’hôtel à l’abri des regards ne l’intéresse pas.

Nous arrivons dans l’entrée. Au pied de l’escalier qui mène à la chambre parentale.

– Pas un mot maintenant, pas un bruit. Je vais t’enculer sans aller au fond. Faut pas que ça claque.
– Prends moi vite. Dépêche toi.
– Ta gueule maintenant. Tu n’es plus Florence là, t’es une vide couille. Je veux plus t’entendre. Je la prends en levrette debout. Elle se tient à la rambarde de l’escalier. Il ne faut pas deux minutes pour me faire jouir, je suis endurant normalement, mais cette femme m’excite trop, cette situation encore plus. Je finis par jouir au fond de son cul. Retenant mes gémissements. Je me dégage et prends quelques secondes pour regarder.

– Ton cul et ta chatte coulent de 2 spermes différents maintenant. Ca c’est une bonne salope…

Ce spectacle est magique. Pas un bruit dans la maison. Je la regarde, remplie de toute part, épuisée, souillée.

– Tu veux que je nettoie ta queue ?
– Je t’en serai reconnaissante.

Elle replace sa culotte. Me guide quelques mètres, au pieds des escaliers qui mène au sous sol. Elle s’assoie sur la première marche, je descends quelques une pour que ma queue soit à la meme hauteur. Elle s’applique à sucer doucement, tendrement ma queue qui ramollit… Je sens le bout de sa langue passer dans les moindres recoins de mon gland.

– C’est la première fois que tu gouttes ton…

D’un coup la porte de la chambre s’ouvre à l’étage, elle regarde paniquée. Philippe ne dort pas.
– Chérie ? Tu veux de l’aide ?
– Non Philippe je remonte, c’est bon.

On entend Philippe qui commence à descendre l’escalier. Oh Putain. Là, c’est la merde.

– Bloque lui le chemin, embrasses le, fais quelque chose ! Le temps que je rhabille et me casse !

Elle se lève en urgence. Il arrive dans l’entrée, il ne voit pas le couloir qui mène à l’escalier du sous sol.

Florence lui barre la route. Cachant tout malaise.

– J’ai fini, on va se coucher ? Je suis épuisée mon amour…
– Bah ? Qu’est ce que tu fous encore à poil, il est où ton peignoir ?
– Heu, bah je l’ai mis au sale en bas pour la prochaine machine !

Je suis toujours au même endroit. Sois je bouge et il m’entend, soit je reste ici et espère que Florence lui empêche d’arriver jusqu’à moi. Je le sens dans son timbre de voix, il trouve ça louche. Mais peut il se douter qu’un amant vient de l’enculer au sous sol !? J’en doute.

Florence m’avoua le lendemain qu’elle n’a jamais eu aussi peur de sa vie. Il fallait faire barrage coûte que coûte. Je n’ai pu admirer la scène malheureusement mais elle me l’a raconté en détail.

Il est debout dans l’entrée. Elle s’est mise à genoux à baisser son caleçon et commencer à le sucer.

– J’en veux encore mon chéri. Donne m’en encore.
– Je t’ai jamais vu comme ça Florence. Mais j’aime beaucoup.

Je commence à redescendre l’escalier, j’entends au loin Florence qui se fait prendre la gorge, j’entends ces bruits que j’aime tant. Philippe est train de lui defoncer la bouche.

Philippe la surprend entrain se toucher en même temps. Il adore ça.. En réalité, elle se doigtait pour tenter de se vider le trou du cul.. Effacez les preuves autant que possible.

Elle lui a demandé de remonter. En le tenant par la queue. Philippe est docile. Elle aime son rôle de dominatrice dans son couple. C’est nouveau. Mais il aime ça.

Sur le trajet du retour, je reçois un message.

– C’était moins une. J’ai donné de ma personne. Je suis defoncée, j’ai mal partout… Il m’a bouffé le cul et la chatte. Il m’a giclé dans la bouche. Tous mes trous ont été souillés, dilatés ce soir. Il dort enfin, j’ai le goût de ton cul sur la langue. Merci…
– Tu as goûté deux spermes différents ce soir. Je savais que tu le ferais. Tu es une bonne pute Florence. Le prochain sperme que tu gouttes, c’est celui de Thomas. Crois tu que je l’avais oublié ?
– Je pensais oui, comment faire avec lui ?
– Il est en stage à Paris non ?
– oui et ?
– Organises un déjeuner un midi, toi, lui et moi. Je m’occupe du reste. En échange, tu devras m’organiser un rendez-vous aussi…
– Vendu. Je te tiens au courant. Je t’embrasse.

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