J’ai vécu quelque chose de complètement capotant. Un soir, comme je ne travaille pas le lendemain car, au Québec, c’était congé férié, je me suis décidé à sortir dans le village gay. Après avoir soupé sur une terrasse, je me suis ramassé dans un bar où l’on joue de la musique disco des années 70 et 80. Comme j’adore cette musique, je me suis retrouvé sur la piste de danse en peu de temps.
Le bar était plein à craquer. Il faisait une chaleur atroce. Je me décidai donc à enlever ma chemise, sachant parfaitement que j’attirerais des regards. Je ne me cache pas que j’aime bien sentir des yeux sur moi. Je suis un peu exhibitionniste et comme je le dis souvent, je travaille assez fort au gym pour que le résultat fasse en sorte que les mecs me matent. Je portais un bermuda sans sous-vêtement et comme je n’avais pas de ceinture, mon bermuda descendait loin du nombril, laissant entrevoir le début de mon bassin. Je n’ai pas à vous dire que ça faisait son effet. Selon plusieurs, je suis assez craquant lorsque je danse (du moins pour ceux qui me trouvent de leur goût); mes mouvements sont masculins et virils tout en étant sensuels. Mais bon, j’en arrive à ce que j’ai vécu de capotant.
A un moment donné, je sentis une pression contre mon cul. Comme la piste de danse était bondée et que tous les mecs étaient serrés les uns contre les autres, j’en fis aucun cas, continuant de danser. C’est alors que deux mains se posèrent sur mes hanches et là, je sentis vraiment quelque chose contre mon cul mais cette fois-ci, la pression était plus forte. Je ne doutais nullement qu’un mec se tenait derrière moi et qu’il appuyait son corps contre le mien. Je poursuivis de danser, feignant l’ignorance mais au fond de moi-même, ça commençait à m’exciter. Doucement, le mec se mit à glisser ses mains sur mon ventre et sur mon chest et se mit à me licher le cou. Je sentais son érection qui tentait de transpercer mon bermuda. Lentement, je glissai ma main droite sur sa cuisse, gravissant lentement pour me retrouver directement sur sa queue bien dure; lui non plus ne portait pas de sous-vêtement et je peux vous dire que ma main, côté tripotage, en avait pour son argent. Je ne savais pas à qui j’avais affaire mais ce que je savais par exemple, c’était qu’il était amanché comme un cheval.
Lui, de son côté, poursuivait ses caresses, une main sur mon chest et l’autre sur mon ventre et je l’entendais me dire à l’oreille qu’il aimait que je lui tripote la queue. Je savais que les mecs autour nous regardaient mais je m’en foutais, même que ç augmentait mon excitation. De toute façon, je suis certain qu’ils rêvaient d’en faire du pareil mais, sans doute, la gêne les empêchait de s’exécuter. Soudain, il descendit sa main et la posa sur mon bermuda, à l’endroit même où ma bite prenait de l’ampleur. A son tour, il me tripotait le machin en me léchant le lobe d’oreille. Le mec qui dansait devant moi me fixait, ayant l’air de vouloir me dire que je n’étais qu’une salope mais je le laissai faire, me foutant éperdument de lui. J’avais un fun fou et le reste, tant pis.
Ma main toujours sur la verge durcie du mec, je me décidai à plus. Doucement, je baissai la fermeture éclair de son jeans pour y faufiler mes doigts. Aussitôt, sa main quitta mon chest et rejoignit sa bite qu’il sortit de son jeans, me la plaquant immédiatement contre mon cul, sûrement pour la cacher face aux autres. Mais moi, je la sentais entre mes fesses; je me serais fait enculer sur le champ si nous n’avions pas été sur la piste de danse. Je ne sais pas s’il lisait dans mes pensées mais il me dit: « Je suis certain que tu aimerais que je te la foutre dans le cul ». S’en était trop. Je voulais maintenant savoir à qui j’avais affaire. Je me retournai donc, me dépêchant de me coller contre lui pour ne pas mettre sa queue à la vue de tous. C’était un black; je capotais. Beau, grand, musclé (il avait enlevé son t-shirt lui aussi).
Je sentais maintenant sa queue contre la mienne. Nous dansions si collés que nos lèvres se frôlaient sans que nous nous embrassions réellement. C’était sex au max. Il glissa sa langue sur mes lèvres que j’entrouvris et il l’enfonça dans ma bouche. Discrètement, je glissai ma main sur sa queue et me mit à faire des mouvements de va-et-vient, lentement, très lentement. Je la tenais bien en main et lui se laissait faire. Je le masturbais au travers de tous ces mecs qui ne semblaient se douter de rien. Ils voyaient bien que nous nous embrassions mais c’est si banal dans un bar gay que deux mecs s’embrassent. Lentement, il s’approcha de mon oreille et me dit: « Tu vas me faire gicler si tu continues ». Je ne répliquai rien, me contentant de poursuivre mes mouvements sur sa bite et je l’embrassai à nouveau jusqu’à ce que je sente, sur mes doigts, sa queue qui crachait son sperme chaud et gluant. Je l’entendis qui gémissait discrètement avant de me dire: « A ton tour ». Il sortit ma queue de mon bermuda et commença à me crosser pendant que moi, je continuais à tripoter sa bite gluante qui commençait lentement à perdre de l’ampleur. Ma main était remplie de son yaourt. En quelques mouvements de sa main chaude, je giclai à mon tour, l’embrassant à nouveau pour assourdir mes gémissements. Tout en restant collés l’un contre l’autre, je remis sa queue à sa place, dans son jeans et il en fit de même pour moi. Il me sourit et me dit: « Tu m’excites au max. On va prendre un verre »? Il n’était pas question que je refuse car je savais fort bien que cette queue que j’avais tenue dans ma main, je la voulais ailleurs, soit directement entre mes fesses.
Nous primes donc un verre (moi une bouteille d’eau car je ne bois pas d’alcool) et nous nous quittâmes avec, dans nos cellulaires, nos numéros. Maintenant, je ne rêve que de la suite. Je crois que je vais l’appeler dès demain.
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