Je m’appelle Nathalie, j’ai 35 ans et je suis divorcée depuis 5 ans, j’ai bien eu quelques aventures sexuelles depuis mais sans lendemain.
Je travaille dans une grande société pharmaceutique et j’ai toujours des fins de mois difficiles. Pourtant je gagne bien ma vie, mais le loyer et les charges de mon appartement puis la nourriture ont tôt fait de mon salaire.
Au bureau, je me suis liée d’amitié avec une collègue un peu plus âgée que moi (40 ans) qui est très sympa, elle s’appelle Clothilde , un belle grande, très bien, quoi que je ne suis pas mal aussi, tout très bien habillée, elle habite à 2 pas de chez moi, alors souvent nous faisons le chemin ensemble.
Un soir, alors que nous rentrions, elle me propose de venir chez elle, prendre un verre, comme je n’avais rien à faire, j’acceptai.
Elle avait un superbe appartement, très bien meublé, avec une grande terrasse, nous nous asseyons dans le salon et elle me sert un whisky et nous bavardons, du travail et de notre vie personnelle.
Je lui demandais comment elle faisait pour être si bien logée, avec un salaire à peu très identique au mien, elle m’avoue, qu’elle a des « amis » qui prennent bien soin d’elle et qu’elle ne travaille que pour s’occuper. Elle me raconte, qu’au début est à été escort girl et qu’elle s’est fait un carnet de relations, qu’elle a pu acheter son appartement, sa voiture et que ses armoires sont pleines de fringues, qu’elle faisait l’amour 2 à 3 fois par semaine avec ses amants et même quelquefois avec 2.
Je rentrais chez moi, en repensant à sa vie et comme femme entretenue, elle au moins n’avait pas de soucis d’argent.
Un samedi, Clothilde m’appelle pour aller faire les magasins et acheter des fringues, je n’étais pas chaude, mes finances me le permettent pas, mais bon ça fera passer une bonne après-midi.
Nous sommes allées dans un magasin de lingerie et Clothilde m’a fait essayer des dessous charmants et suggestifs, soutien-gorge et slip à dentelles, porte jarretelles assortis, bas résille, puis dans un magasin branché, une mini robe très sexy et dans un magasin de chaussure des escarpins à talons très hauts. Évidemment, elle m’offrait toutes ces fringues.
En rentrant chez elle, elle voulut qu’à nouveau, j’essaye l’ensemble, ce que je fis sans attendre, elle profitais que j’étais à moitié-nue pour me féliciter sur mon corps, que j’étais belle et pleine de charme, elle m’invita à dîner pour le vendredi suivant , elle reçoit quelques amis et aimerait que je sois là, elle me prêtera une robe de soirée (nous sommes à peu près de la même taille) et elle m’emmène dans sa garde-robe la choisir. Son choix s’arrête sur une robe noire très élégante, pas trop décolletée mais assez moulante, je me regarde dans la glace et me trouve magnifique. J’accepte le prêt et l’invitation.
Toute la semaine, je me demandais si j’allais être à la hauteur de la situation, Clothilde me rassure en me disant que ses amis étaient très sympa et que je n’avais pas de soucis à me faire.
Je me rendais chez Clothilde vers 17h30 le vendredi soir, dans ma robe noire très moulante et l’on pouvait admirer mon corps mince. La table était mise et à mon étonnement seulement quatre couverts était installés, Clotilde me dit que nous serons que quatre, nous deux, Jean et Marc de vieux amis à elle et que c’étaient des hommes très bien élevés et que je n’avais rien à craindre.
A 20 heures, les invités de Clothilde arrivent, l’un avec des fleurs l’autre avec une bouteille de Champagne, ils ont environ 45 ans et encore très séduisants, nous nous asseyons dans le salon et prenons l’apéritif en échangeant quelques mots pour faire connaissance et détendre l’atmosphère (j’étais assez tendue).
Le dîner se passe bien, effectivement, ses amis sont très bien élevés et rien dans leur conversations ne me laisse deviner qu’ils ont pus être ses amants, je suis enfin détendue, et après dîner, Clothilde met un disque pour pouvoir danser. Jean m’invite et nous dansons ensemble quelques slows, puis je danse un peu avec Marc.
Je retrouve Clotilde dans la cuisine et celle-ci me demande comment je trouve se amis et je réponds qu’ils sont très sympa et que je ne saurais pas s’il fallait lequel choisir, lequel prendre, Clotilde me répondit pas un sourire. Nous retrouvons nos danseurs dans le salon et reprenons nos slows.
Marc me serrait très fort contre lui, ce que j’appréciais beaucoup en me laissant aller, je répond à son baiser en entrouvrant ma bouche afin que sa langue prenne la mienne, Clotilde de son coté, flirtait avec Jean.
Il ne fallut pas longtemps, pour que ma culotte soit trempée et que Marc s’aperçut de mon envie de faire l’amour, Clothilde me dit à l’oreille, allez dans la chambre d’amis il y a des préservatifs dans le tiroir de la table de nuit et puis tu vas voir c’est un super coup. Nous nous éclipsons en laissant Clotilde et Jean danser.
A peine la porte de la chambre refermée, je me jette sur marc et lui enlève sa chemise et nous nous retrouvons nus l’un contre l’autre, mes seins étaient devenus très durs et ma chatte toute mouillée, sa queue était toute raide et ma main le caressait doucement, je sentais ses doigts invertir ma grotte et je me laissait branler en jouissant très fort, je pris sa queue dans ma bouche, obligée d(ouvrir ma bouche en grand, tellement son sexe était gros, il dirigeât sa bouche vers ma chatte et trouva mon clitoris qu’il suça jusqu’à ma jouissance en laissant échapper une décharge de cyprine dans la bouche.
Je suçais cette grosse queue et lui passais ma langue sur le gland et il se retenait pour ne pas lâcher toute sa semence dans ma bouche, il me léchait toujours la chatte et je senti ses doigts investir mon petit cul et ceux-ci mouillés par mon jus, s’enfonçaient en moi sans résistance, Je jouissais comme jamais j’ai jouis (même avec mon mari), puis il se retira de ma chatte et s’allongeât sur moi, j’écartais mes jambes le plus possible, afin qu’il me pénètre le plus loin possible. Après quelques va et vient, je senti son énorme queue toucher le fond de mon vagin ce qui me déclencha un super orgasme, il me baisait à merveille et je pris mon pied plusieurs fois de suite, puis il me retourna et me pénétra par derrière d’un seul coup. Ne l’ayant pas fait depuis mon divorce, j’ai eu un peu mal, mais quand j’ai senti cette énormité dans mon cul, j’ai crié de bonheur (je pense que Clotilde et Jean m’ont entendu).
Nous avons baisé pendant une bonne heure dans toutes les positions et par tous les trous, et quand épuisé, nous étions allongé l’un contre l’autre, Marc me dit, maintenant tu vas goûter la queue de Jean
Me laissant allongée, il se leva et alla retrouver Clotilde et Jean, et leur dit « Nathalie est un super coup », à toi Jean.
Quelques minutes après, je commençais à récupérer, la porte s’ouvre et Jean entrât, me voyant nue sur le lit, il se déshabillât et vient placer sa langue entre mes cuisses, ce qui me déclenchât à nouveau un orgasme, je pris sa queue dans ma bouche, elle était aussi grosse que celle de Marc, mais je voulus le sucer à fond afin d’avaler tout son foutre, ce qui n’a pas été trop long. Je senti son nectar couler par jets puissants dans ma bouche et j’avalais toute sa semence sans en perdre une goutte. De mon coté j’ai jouis sur son visage et ma cyprine l’arrosa (je viens de découvrir que je suis une femme fontaine)Je n’avais jamais arrosé aucun de mes amants de cette façon.
Jean me pénétrât si profond, que je jouis une nouvelle fois et que mes cris attirèrent Clothilde et Marc que se reposaient dans le salon, la porte s’ouvre et je les vois arrivés tous les deux nus et la je compris que c’était ma première partouze et que j’allais goûter à l’amour avec une femme.
Nous baisons tous les quatre sans retenue pendant toute la nuit, et si je suis un bon coup, mes partenaires homme et femme n’ont rien à m’envier.
La nuit fut magnifique, et au petit matin, nos amants étant partis, Clothilde me demandât si je regrettais ma soirée, ma réponse fut évidemment non et j’ai une seule hâte c’est de recommencer et je lui demande si je peux profiter de son carnet d’adresse.
Depuis, cette soirée, je me donne à tous ses amis et je profite bien évidemment de leurs largesses. Je n’ai plus de problème de fin de mois, et vois l’avenir beaucoup plus rose.
J’ai gardé mon travail, et j’attends le soir pour retrouver Clothilde et mes amants pour les nuits d’enfer qu’ils me font partager.
Voici comment je suis devenu une pute, et je regrette de ne pas avoir commencé plus tôt.
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