Mon épouse Bernadette s’est fait prendre à plusieurs reprises par olaf, imposant berger allemand, appartenant à un voisin, qui est parti pour quelques jours chez son fils.
Nous nous sommes proposés de lui donner à manger, dans le but, que ma femme puisse profiter de ce bel a****l qui s’est avéré être particulièrement doué avec les femmes.
Nos voisins sont revenus, pour nous remercier, ils nous ont invités à déjeuner.
Mais nous ne nous attendions pas à la petite surprise qu’ils nous ont préparés …..
Ma femme est bien contente de retrouver olaf, mais appréhende ce moment, car la présence de ses maîtres la gène un peu.
Comme prévu, en arrivant, le chien fait fête à mon épouse en tournant autour d’elle, et en poussant de petits cris, il se rappelle qu’à plusieurs reprises, elle a été sa femelle.
Son maître lui dit d’aller se coucher d’un ton autoritaire, ce qu’il fait en baissant la tête.
Le repas se déroule en discutant surtout de leur voyage et de leur famille.
Nous arrivons au café, la fille de nos amis: Babette qui est une jeune fille brune assez grande, mince, est vêtue ce jour d’une jupe assez courte, elle va s’asseoir sur le canapé qui est situé en face de la table ou nous déjeunons.
Aussitôt, olaf se lève, et va mettre son museau entre les cuisses de sa jeune maîtresse, qui au lieu de le repousser, ouvre un peu plus ses cuisses, le berger, lèche le slip de la minette, qui écarte ce dernier rempart pour donner libre accès à sa langue, ses doigts écartent ses lèvres pour permettre au mâle d’aller plus en elle.
Tout le monde a les yeux fixés sur le spectacle, la petite cochonne pousse de petits cris, en encourageant son compagnon à aller plus loin dans son intimité.
Sa mère, belle femme brune la rejoint sur le canapé, elle écarte ses belles cuisses, retrousse sa robe, enlève son string, son sexe est également épilé, elle se masturbe en appelant olaf à venir la rejoindre.
Le mâle, va d’une femme à l’autre, je fais alors signe à mon épouse de les rejoindre, elle est un peu gênée, mais l’envie est trop forte, et va s’asseoir sur le canapé, en retroussant sa jupe, son slip est ôté, la langue râpeuse lui donne à elle aussi bien du plaisir.
Les trois cochonnes s’excitent avec leurs doigts quand le mâle les délaisse pour l’autre, elles couinent, transpirent, elles ont la bouche grande ouverte, et encouragent olaf qui a bien de la peine à suivre les désirs de ces filles en chaleur.
C’est alors que Pierre se lève, baisse son pantalon et son slip, et va se faire sucer par sa femme.
Mon copain, me fait signe d’aller retrouver sa fille, olaf, lui est entrain de s’occuper de mon épouse qui est toute excitée, elle semble prendre énormément de plaisir de retrouver son amant.
En me voyant venir vers elle, la petite me regarde un peu surprise, mon sexe est à hauteur de sa bouche, elle le prend dans sa main, me branle vigoureusement quelques instants, puis me lèche, elle fait pénétrer ma bite dans sa bouche pendant que je lui ôte ses vêtements, elle n’a pas de sous vêtement, et je découvre assez surpris ses nichons qui sont assez plats;
Je triture ses tétons en les pinçant légèrement, je les mordille doucement, arrachant quelques plaintes.
Elle a des jambes assez longues, et fines qui se terminent par un petit cul qui parait assez nerveux et qui me donne bien envie de me la faire.
Je la positionne en levrette, passe un doigt sur sa chatte toute gluante, je le fais coulisser à l’intérieur de sa moulette que je trouve assez étroite.
Elle transpire, gesticule sous mes caresses et me demande de la baiser, elle veut sentir ma queue bien au fond de son minou.
Je positionne alors mon pénis à l’entrée de sa grotte, je le passe sur ses lèvres pour l’enduire de mouille, j’avance lentement dans ce conduit très humide, la petite est impatiente et très excitée, elle vient au devant de ma pique qui va aller se planter au plus profond de son intimité.
Elle me regarde en souriant et me demande de bien la faire jouir, qu’elle aime bien la sentir au fond.
Pendant ce temps, mon épouse s’est déshabillé, et positionné à quatre pattes, les fesses bien cambrées, les cuisses bien ouvertes, son amant canin est entrain de la monter vigoureusement, sous les cris d’encouragement de Bernadette.
Pierre lui sodomise sa femme Sylvie qui s’est rapprochée de sa fille pour l’embrasser à pleine bouche.
Je prends ma partenaire aux hanches, je la pénètre vigoureusement par de nombreux allers retour sous les encouragements assez crus de Babette qui transpire, souffle et couine, tant son plaisir est intense.
Je manque d’éjaculer plusieurs fois, dans ce conduit aussi étroit, qui m’enserre bien le sexe malgré la lubrification provoquée par le plaisir de cette petite cochonne.
Le chien s’est séparé de mon épouse très vite remplacé par mon copain qui la sodomise avec son imposante queue, Sylvie s’est positionnée de façon à caresser la poitrine de Bernadette tout en lui prenant la bouche par de profonds baisers, leurs langues s’enlacent, les deux femmes sont très excitées.
Je me sépare de Babette, lui prend les lèvres, et lui fais un profond baiser, auquel la petite me répond, en nouant sa langue à la mienne, je passe ma main sur ses petits seins qui réagissent à mes attouchements.
De la façon dont est positionné Sylvie, j’ai bien envie de me sauter cette belle femme à la poitrine bien généreuse et aux cuisses bien pleines, je lui enfile un puis deux doigts dans la minette, je passe ma bite sur son entrecuisse, je la prend par les hanches et fais pénétrer ma queue au plus profond de son intimité.
Je la lime pendant un bon moment sous ses encouragements, ne pouvant plus me retenir, je me bloque, et me vide par plusieurs jets, dans ses profondeurs vaginales, tout en regardant ma femme dans les yeux, elle a aussi bien du plaisir sous les coups de boutoir qu’elle prend au plus profond de son anus.
Nous nous désaltérons et reprenons des forces.
Pierre se couche sur le dos, sa tige bien verticale, il fait signe à sa fille de venir s’empaler sur son vit, la petite enjambe son père, descend lentement, ses doigts écarte son abricot qui vient s’enfiler sur ce pieu violacé, il la couche sur lui, faisant se cambrer son derrière, il me fait signe de lui prendre l’anus, en me demandant de ne pas la ménager, car dit il, il veut l’entendre gueuler.
J’hésite, à sodomiser ce passage qui me parait bien étroit, Pierre m’encourage crûment à la sauter et à la pénétrer profondément pour la faire couiner.
Je présente ma tige à l’entrée, je pousse légèrement, mon sexe est comme aspiré dans ce fourreau bien serré ou il fait bon être.
La jeunette, prise en sandwich ne peut que subir les assauts des deux mâles qui lui pilonnent ses parties intimes sans la ménager.
Les deux femmes sont en soixante neuf entrains de se gouiner la chatte, pendant qu’olaf est entrain de saillir par l’anus, une nouvelle fois mon épouse.
Pendant toute l’après midi, et assez tard dans la soirée, nous avons forniqués, en changeant de partenaire, le tout entrecoupé de poses, ou le champagne est venu nous réconforté.
Bernadette a bien profité de son amant canin.
J’ai bien profité des deux femelles de la maison, plus particulièrement de Babette qui s’est avéré une fille aimant le sexe.
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