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Mon voisin (suite)

Mon voisin (suite)



Pour revenir à mon voisin et sa queue, nous nous vîmes régulièrement dans la cave de mon bâtiment en construction. C’était en fait de courtes visites, ou à chaque fois c’étais la même chose : abaisser et enlever nos pantalons, ensuite en sous-vêtement lui en slip Kangourou et moi en slip de sport, lui bandant directement dans la poche de son caleçon, moi j’avais besoin d’un peu plus de temps et je devais la plupart du temps jouer moi-même avec ma queue dans mon slip pendant que lui me regardais et s’excitais énormément. Cela ce voyait nettement à la tache qui se formait dans son sous-vêtement, lorsque ma bite était bandée la tête de la sienne sortais déjà par sa braguette ou à côté de sa cuisse, le gland luisant de pré-foutre se montrait. A ce moment là cela ne durait plus très longtemps pour qu’il me demande de le branler ainsi ou en baissant son slip. Lorsque je baissais de mon autre main mon slip, il était la plupart du temps prêt à éjaculer. Parfois je me permettais de l’exciter un peu plus en ralentissant expressément les mouvements de ma main et le faisant encore un peu plus durcir. J’essayais toujours un peu de le calmer afin de profiter un maximum de son énorme queue mais cela ne réussissait pas souvent et il commençait à juter en lâchant de longue et grande giclée de jus épais. Lorsqu’il n’avait pas joué de trop avec sa queue avant de me rejoindre, il lâchait parfois de 8 à 10 giclées et parfois encore plus c’est à croire que cela n’arrêterait pas. Et quand on parle de giclées c’étais vraiment de grosses quantités de jus bien épais.
Souvent après cela sans même s’essuyer la bite il remontait son caleçon et secouait alors sa bite dans la poche du sous-vêtement. Quant à moi je devais encore souvent me branler moi-même afin de me vider ou alors je remettais ma bite dans mon slip sans lâcher la moindre goutte de sperme. Rien qu’à penser à cela, je me mets à bander dans mon mini-slip noir et à mouiller. Lorsque l’on retournait le soir, le rituel était toujours le même, dès qu’il me voyait en slip, il se mettait à bander et sa poche était déformée par son paf en moins de quelques secondes. Ce type avait une réaction immédiate à la vue d’un slip et se mettait à bander. A l’emplacement de son gland, il ne lui fallait que quelques instants pour que déjà un belle tâche humide apparaisse suite à sa première éjaculation et le jus restant probablement dans sa queue. Alors commençait mon travail de va et vient sur sa bite dans son slip, la plupart du temps après plusieurs aller retour le faisant encore plus mouiller, je lui abaissai son slip kangourou et je me mettais à le masturber en décalottant à fond son gland. Comme il mettait un peu plus de temps à venir, il me dédiait un peu plus d’assistance et me branlait de la même façon. Ensemble et en cadence on se faisait aller et venir le long de la hampe, moi je le prenais entre le pouce et l’index, cela le poussait à fond car lui préférait sentir la main, mais ma manière était un peu plus fine et provoquait une plus grande excitation. Après avoir manipulé ainsi nos bites durant quelques temps, je sentais chez moi l’arrivée du jus dans ma bite et chez lui je sentais d’un coup sa bite enfler et le jet sortait en puissance. Après avoir lâché ma dose, je nettoyais convenablement ma bite et la remettais dans mon slip. Lui par contre, essuyait sa bite dans la poche de son caleçon y provoquant une nouvelle tâche humide. Les pantalons remontés et on rentrait à la maison. Je trouvais cela quand même un peu malheureux de ne pas pouvoir sucer sa bite et boire son sperme.
Notre relation dura ainsi quatre à cinq ans, le temps de construire ma maison. Celle-ci était construite à 300/400 mètres du terrain de football du village. Un certain dimanche je le vis débarquer sur mon chantier en pleine furie. Il me demanda d’aller directement dans la cave, ainsi personne ne pouvait le voir ici. Dès qu’il fut en bas il m’expliqua qu’il avait pu se rendre dans les vestiaires du club afin de discuter avec les joueurs qu’ils connaissaient bien. Mais voilà, là les joueurs étaient entrain de se déshabiller et de rendre à la douche. Notre homme avait ainsi eu le loisirs de voir la plupart des joueurs en slip, boxer et autre sous-vêtement et même l’un ou l’autre nu de dos, ce qui lui avait procurer une forte érection et bien plus encore. Il m’avait juste expliqué cela que son pantalon était déjà sur le sol le découvrant dans un slip kangourou blanc avec un poche prête à explosée et marquée d’un tâche humide suite à son excitation maximale. Sa bite devait probablement dégouliner de liquide transparent. Il me demanda de baisser mon pantalon et mon slip car il avait besoin de voir une queue. Je fis ce qu’il me demandait et me voilà avec mon pantalon et slip sur mes talons, mon engin à moitié raide. Il me demanda de lui retirer son slip kangourou, afin de le taquiner un peu, je laissai ma main faire quelques va te vient sur la poche de son slip, ce qui le fit presque rugir d’envie, je croyais qu’il allait juter dans son caleçon. Et la tâche sur sa poche de s’agrandir encore tellement le pré-foutre sortait de sa bite. Je mis ma main dans son slip et tirai en même temps celui-ci vers le bas, la bite sauta littéralement dehors. Son gland rouge carmin était près à éclater, je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Je me mis à faire aller ma main de haut en bas sur son engin, le secouant ainsi régulièrement. Il me demanda d’accélérer mon mouvement et d’aller très vite, après plus au moins une minute il se mit à hoqueter en lâchant 7 à 8 dont l’un ou l’autre atteignit ma bite et l’englua. Quelle crème, sans qu’il le voie je pris un doigt de mon autre main et goutait cette liqueur. Magnifique. Je voulais arrêter mon mouvement mais il me dit de continuer, sa bite restant aussi dure qu’au paravent. Pour moi, je me trouvais là avec mon chibre bien raide vers l’avant, le gland décalotté et enduit dune partie de son sperme en tant que lubrifiant. Je continuais donc mon mouvement de va et vient sur sa queue. Cette fois-ci il lui fallut nettement plus de temps mais petit à petit je sentis à nouveau sa bite durcir. Plus ou moins 10 minutes après avoir giclé une première fois il se lâcha une seconde fois la même quantité que la première fois. Heureusement que j’avais enlevé mon pantalon et mon slip, car les jets arrivèrent à nouveau sur ma bite et aux alentour. Je lui demandais de me branler et de jouer avec ma queue à son tour, mais il me dit de me branler moi-même. Ce que je fis naturellement, ma bite étant d’une raideur excessive. Il resta juste en face de moi me regardant espérant peut-être qu’il banderait à nouveau en me regardant me branle. Prenant bien mon temps, je fis monter la pression au maximum dans mon chibre et n’y tenant plus, je laissais ma bite éjaculer avec force toute ma charge, plusieurs jets atterrirent sur sa bite et ses couilles, juste retour des choses. Ne rebandant pas une troisième fois il remit son slip ainsi sur sa bite sans même l’essuyé. Il me dit que cela serait un souvenir pour lui. Dommage qu’il ne laissait pas sucer. Cela aurait été fantastique.
Une autre fois il s’amena à nouveau ainsi après les mêmes circonstances. Dès que nous fûmes dans la cave, il m’expliqua qu’il avait arrangé la poche de son pantalon de façon à pouvoir arriver à son engin tout en gardant la main en poche et ainsi se toucher délicatement sans que personne ne s’en aperçoive. Il me dit de plonger ma main dans sa poche, effectivement au lieu d’être dans sa poche ma main se trouvait sur la braguette de son slip et pouvait manipuler sa bite. Je profitais de l’occasion et me mis à caresser son engin. Celui-ci n’étais déjà plus au repos mais commençais à prendre de l’ampleur dans son slip. Dès qu’il fut totalement dur et bien raide la tête redressé vers le haut dans la poche je retirais ma main. Comme j’avais finis mon boulot, j’enlevai mon pantalon de travail en me tournant dos à lui. Etant ainsi plié vers l’avant les fesses proéminentes dans mon slip de sport, je l’entendis baisser son pantalon et tout à coup je sentis ses mains sur mes fesses, il écarta le tissus de mon slip. Je sentis alors qu’Il y glissait sa queue et se mit à faire des mouvements de va et vient en frottant contre mon anus et mes couilles. Je sentis qu’il commençait à mouiller du gland les gouttes se répandant contre mes couilles. Je l’entendais respirer de plus en plus fort et tout à coup mon slip fut inondé par des jets puissants de foutres gluants et collants, il s’était tout simplement masturbé entre mes fesses et sur mes couilles dans mon slip. Mon slip était vraiment trempé de jus. Je lui demandai alors de me faire une pipe en compensation, mais il ne voulut pas. Il me proposa de me branler dans la braguette de son slip kangourou contre sa bite. Je retirai mon slip et m’approchant contre son ventre j’enfilais ma queue toute raide dans sa braguette de slip. Il prit les deux queues l’une contre l’autre et d’un mouvement de va et vient vers le haut, Il se mit ainsi à nous masturber. A manipuler ainsi nos queues l’une contre l’autre, je sentis ma queue se raidir et la sienne aussi annonçant une éjaculation imminente. Je sentis que j’allais tout expédier et le lui dit. Il mit nos queues vers le bas dans la poche de son slip et me dit d’y de me laisser aller ce que je fis sans me retenir, remplissant la poche et engluant ses couilles de mon jus. Mon premier jet arrosant son gland il se lit également à juter à gros jets. Nos deux jus se mélangèrent ainsi dans la poche du slip. Je retirais ma bite de sa braguette de slip et l’essuyait. Avec un sourire, il me dit que ce slip là il ne laverait pas pour conserver nos spermes mélangés. Il se rhabilla et j’en fis de même, heureusement j’avais toujours un slip de rechange sur le lieu de mon travail. Nous rentrâmes chacun de notre côté afin d’éviter les rumeurs dans le village.

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