Je démarre ici le récit d’un passage en colocation. Comme vous le verrez, la colocation n’est pas de tout repos…..
En espérant que cela vous plaise…
Durant mes études, j’ai longtemps cherché un appartement pas cher. Mission impossible. Alors je me suis tourné vers une solution que beaucoup envisagent : la colocation.
J’ai trouvé mon bonheur dans une immense maison sur deux niveaux. Le propriétaire au 1er et un appartement loué en colocation au rez-de-chaussée.
Même le logement du bas est immense : 2 salle de bains, une grande cuisine et 5 chambres ; ce qui signifie 5 colocataires.
Je me suis donc retrouvé en compagnie de Patricia, Paul, Sandra et Emilie, tous étudiants comme moi.
La vie de tous les jours se passe très bien, nous organisons des soirées entre nous ou avec des gens extérieurs de manière régulière et chacun fait les efforts nécessaires à la vie en communauté, malgré des caractères différents : Paul est très extraverti, Sandra est studieuse et pudique, Patricia est plutôt fêtarde et Emilie se révèle assez timide.
Tout se passe donc pour le mieux.
Un week-end, Patricia reçoit son petit copain, et Emilie et Paul sont rentrés dans leur famille. De mon côté je suis très fatigué et je passe la soirée du samedi à regarder la télé avec Sandra.
On se couche assez tôt – vers 22h30 – et je m’endors très rapidement. Vers minuit, je suis réveillée par Patricia qui rentre de soirée avec son mec. Ils ont l’air complètement saouls et ne font pas dans la discrétion.
Ils continuent à faire du bruit même une fois dans la chambre. Nos chambres étant contigües, je les entends parfaitement :
– Viens, j’ai envie….
– Non Patricia, je suis crevé.
– Allez, je suis chaude là…. Tu sens pas…
– Laisse moi !!
Ce petit manège dure presque une heure et le copain de Patricia ne cède pas. Je ne comprends pas sa réaction, car elle est plutôt sexe, un beau corps, de jolis yeux…
Au moins son refus me permet de dormir tranquillement.
Le lendemain matin, je me lève de bonne heure, prends une douche et déguste mon petit déjeuner dans la cuisine commune. Vers 8h00, le copain de Patricia part pour prendre son train.
Une fois les au-revoir passés, Patricia débarque dans la cuisine.
Sa tenue est bizarre : les cheveux ébouriffés, une vieille chemise trop grande et….des bas (ou des collants) !!!
J’en déduis qu’elle n’a même pas pu les enlever avant de se coucher la veille !!
– Salut.
– Ouais, salut…. Oh putain, je suis KO.
– Tu veux un café ?
Je veux bien merci.
Je lui prépare son café et j’en profite pour la détailler un peu plus. Elle s’est assise sur un tabouret et replie ses jambes. Au moment de lui servir son bol, je m’aperçois qu’elle porte bien des bas et pas des collants : sa chemise est légèrement remontée et laisse apparaître le haut de sa cuisse. Mon appareil ne me quitte jamais. Aussi je me retourne, prépare mon « coup » et je la prends en photo par surprise.
– Merde !!! Tu fais quoi !!
– Cette chemise te va trop bien….
Arrête de te foutre de ma gueule….
Elle baisse la tête pour regarder la chemise et découvre que son intimité est presque visible. Elle relève la tête :
– Tu matais !! Espèce de salaud !!
– Pas du tout !! T’es pas bien…
– Tu vas effacer la photo.
– Allez c’est bon. On voit rien de toute façon. En plus, je peux pas résister à de si jolies jambes tu sais… Tu n’as pas trop chaud au moins…
Elle rougit, prends une gorgée de café et me dit presque en chuchotant :
– Tu nous as entendus hier soir ?
– Comme si vous étiez dans ma piaule…
– Désolé.
– T’inquiète. En plus, comme vous n’avez rien fait, j’ai pu me rendormir.
Elle baisse le regard et son visage devient complètement écarlate.
Je décide de la tester un peu plus :
– D’ailleurs, je le comprends pas ton mec. Refuser une nana avec un corps comme ça… je pourrais pas…
Cette dernière remarque semble l’intéresser. Elle me regarde dans les yeux :
– Je change de sujet mais t’as remarqué que la porte de la grande salle de bain à du mal à fermer. Moi j’y arrive jamais.
Elle termine son café et lance :
– Bon je vais prendre un bain….
La phrase résonne dans mon esprit. Si ce n’est pas une invitation !!!
Je termine moi aussi mon café. L’eau ne coule plus ; elle doit être dans son bain… Ma bite est dure, grosse.
Je m’approche de la porte, et j’entre.
Patricia est dans la baignoire, se savonnant sensuellement le corps… Ses cheveux mouillés sont devenus beaucoup plus foncés. Elle me jette un regard, puis continuant de passer ses mains sur ses seins, s’attardant sur ses tétons :
– C’est une belle bosse que je vois là…. Si tu la libérais…
Je me mets nu aussi rapidement que possible. Ma bite est dressée vers le plafond, mon gland gonflé comme jamais.
– Mmmmmhhhh… Ça devient très intéressant…
– Je trouve aussi…
Je m’approche de la baignoire. Elle saisit ma queue et sans attendre, la glisse délicatement dans sa bouche. Rien de tel qu’une bonne fellation après le petit déjeuner…
Patricia est douée, ses lèvres serrent mon membre, sa main me caresse les couilles. Elle pousse de petits gémissements et accélère son mouvement.
L’appareil photo, toujours prêt, immortalise la scène.
Son joli cul ressort de l’eau… Quel plaisir !! Elle s’applique pour me procurer le maximum de sensations !!!
Je passe ma main dans ses cheveux pour lui faire comprendre de m’avaler encore plus…et le message semble passer !!
Ma verge disparaît entièrement dans sa gorge…. Je respire fort, exprimant mon ravissement :
– Oohhh Patricia !!! Vas-y Ohhh ooui….
J’entends de légers « claquements » dans l’eau. Elle se caresse tout en me suçant goulûment. Je me retire et lui chuchote à l’oreille :
– Je peux pas te laisser jouir avec tes doigts…. Redresses-toi!
Elle se met debout dans la baignoire, m’enlace, et m’embrasse à pleine bouche… Elle se colle à moi et je sens les poils de sa chatte contre ma bite… Je lui saisis le fesses, la soulève, elle m’entoure de ses jambes et se laisse redescendre en douceur sur mon calibre.
Sa chatte trempée accueille facilement mon membre jusqu’à la garde !! Son intimité est chaude et profonde… Je la sors de la baignoire et la plaque contre le mur.
– Prends-moi fort !!! Tu sens comme je suis brûlante !! Je veux du SEXE !!!
Surmotivé par ses déclarations, je fais entrer et sortit ma queue le plus rapidement et le plus fort possible. Elle me regarde dans les yeux et ponctue chaque coup de boutoir d’un « OUI », à la limite du cri…
– Continues Franck !!! Je te sens bien….Tout au fond…. Ohh OUIIIII !!!
Elle pose à nouveau ses lèvres sur les miennes. Sa langue est acidulée, fraîche…. Je sens ses tétons durs… Elle resserre l’étau de ses jambes…. Ce qui a pour effet d’accentuer les sensations que je ressens… Je commence à fatiguer.
Elle fait tomber une serviette au sol. Je m’écarte du mur et je l’allonge sur la serviette blanche. Durant toute cette opération, ma bite n’a pas quitté son antre si sublime !!
– Fais-moi crier Franck. Je veux te sentir encore plus fort !!!
– Tout ce que tu veux…
Elle écarte les cuisses, je me redresse, bras tendu autour de sa tête et je commence un pilonnage en règle : à chaque fois, mon ventre claque bruyamment sur sa vulve, totalement inondée de cyprine…
Elle ne se contrôle plus. Elle hurle son bonheur :
– OOOHHH COMME CA !!! OUI PLUS FORT !!!
Je redouble d’efforts.
– JE TE SENS !!! ENCORE !!! OHHH OUIIIIIIIIIII !!!……
Je suis littéralement dans un état second. Je la pénètre de toutes mes forces, sans aucune retenue.
– OHHH C’EST BON !!!! DONNE-MOI TON FOUTRE !!! JE VEUX TE GOUTER !! OOHHHH
Je me retire rapidement, passe à califourchon sur sa poitrine et lui présente ma queue. Elle me saisit de sa main –tremblante- et me branles comme une forcenée.
Ce traitement à vite raison de mon endurance et je me décharge sur son visage…
AAHHHHhhhhhh….. Ouiiii, prends tout ma jolie…
Une fois les couilles bien vidées, je prends l’appareil photo. Elle me regarde et ouvre la bouche en grand démontrant une fois de plus son envie de luxure….
Elle retourne dans son bain, je l’accompagne. Elle se lave entièrement, puis sors, se sèche et me laisse en disant.
– T’es un bon coup Franck. Mais on en restera là.
– Mais, tu…
– Pas la peine d’insister.
Elle quitte la salle de bain et effectivement, je n’ai jamais plus baisé Patricia.
Ce que nous avons tous deux oublié, c’est que Sandra – l’étudiante studieuse – était dans l’appartement et que les cris de Patricia n’ont pas été discrets…
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