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Mon histoire – Partie 3

Mon histoire – Partie 3



Durant les jours qui suivirent, je constatais un changement chez ma femme.
Je la trouvais parfois perdue dans ses pensées, quelquefois inquiète,
A mes interrogations elle répondait que tout allait bien, qu’elle était un peu fatiguée et qu’il ne fallait pas que je m’inquiète.
Je voyais bien qu’elle était préoccupée mais je ne savais pas, ou peut être ne voulais pas, par quoi .
De mon côté je continuais de voir mon Maître.
Il ne m’avait plus reparlé de cette fameuse soirée et je pensais que « l’incident » était clos.
Il continuait à bien roder mon fessier. J’acceptais sans problème ses enculades puissantes, ses éjaculations dans ma bouche ou sur mon visage.
Un vendredi soir Hélène rentra bien après moi . Son visage était défait. De profondes cernes marquaient ses yeux bleus.
– Qu’est ce qu’il t’arrive ? tu es malade ?
– oui , je n’ai pas été bien de toute la journée , me répondit elle , Excuse moi, je vais prendre un cachet et me coucher. Tu ne m’en veux pas ?
– Mais non, bien sur . Tu veux que j’appelle le toubib ?
– Non, non, se hâtât elle de me répondre, ca ira mieux demain .
J’entendis la douche couler longtemps avant qu’elle n’aille se coucher.
Je passais la soirée dubitatif. Mi inquiet , mi interrogatif . Elle avait une solide constitution, je ne l’avais jamais vue dans un tel état.
Le lendemain elle était pimpante, souriante, enjouée .
– Dis donc, ca va mieux on dirait
– Oui, la nuit a été bonne .
– Tu voudrais qu’on fasse un calin ?
– Ecoute, je suis encore un peu patraque, on remet ça ? D’accord ?

Elle si demandeuse d’habitude se refusait à moi.
Au cours de la journée je la surpris à consulter régulièrement son portable et à répondre à des messages.
Je n’y prétais guère attention lorsque le lendemain, alors qu’elle me croyait dans une autre pièce, je la vis se déshabiller pour aller à la douche.
Ses fesses étaient marbrées de traces rouges qui commençaient à virer au bleu.
Le doute n’était plus permis.
Son adorable arrière train avait subi une bonne correction. Je ne pouvais plus ignorer que ma femme, à mon instar, avait une vie cachée dont j’ignorais tout .

Il me fallu me rendre à l’évidence, et deux plus deux faisant quatre , faire la relation entre la rencontre fortuite avec Maître Alain et l’état de mon épouse.

Le soir même, dans la pénombre de notre chambre, alors que nous étions couchés, je passais doucement ma main sur ses fesses.
Elle eut un sursaut …
– Qu’est ce que tu fais ?
– J’ai envie de toi .
– Je suis fatiguée . Bonne nuit mon chéri. A Demain

Les jours passèrent.
Mes relations avec Hélène s’espaçaient. Elle ne se refusait plus à moi mais je sentais bien qu’elle trouvait nos parties de jambe en l’air fades et qu’elle elles acceptaient plus pour me faire plaisir que pour trouver le sien.

Pour le reste , rien n’avait changé. Elle semblait heureuse, épanouie.
Si notre intimité sexuelle avait sensiblement évolué, il me semblait que son amour pour moi n’avait pas évolué.
Celà me rassurait un tant soit peu.
J’étais quasi certain qu’elle entretenait une relation avec Alain , une relation purement sexuelle.

Je n’osais en parler ni à l’un , ni à l’autre de craindre de rompre cet équilibre qui s’instaurait peu à peu.
J’étais jaloux, oui, mais après tout, j’avais moi aussi des secrets à cacher.

Un jour que j’avais rendez vous avec Maître Alain, il me reçut avec Jamel.

– Ce jour me dit il, est un peu spécial..
– Oui Maître ? demandai je intrigué
– Oui. Il y a quelques temps que je fréquente une femme. et aujourd’hui tu vas faire sa connaissance …
Mon cœur subitement se mit à battre à mille à l’heure
– Mais Maître, nous avions convenu d’une discrétion absolue..
– ne t’en fais pas, elle ne te verra pas, mais moi je veux que tu vois ce qu’il va se passer…
Il me fit déshabiller, attacha les mains derrière mon dons et me fit mettre à genoux derrière une cloison de la pièce voisine.
Il avait aménagé un trou par lequel j’avais une vue dégagée sur le grand canapé du salon.

La sonnette ne tarda pas à retentir …

– Bonjour toi , entendis je
– Bonjour , répondit une voix féminine que je reconnut aussitôt….
– Je te présente un copain, Jamel, tu peux lui faire la bise . Installe toi , tu veux un verre ?
Et il l’a fit s’asseoir aux cotés de Jamel, prenant la place à l’autre bout du canapé.

J’avais une vue parfaite sur le trio. Ma femme s’était faite toute belle, une jupe courte mettait en valeur ses jolies jambes. J’entrevoyais le haut de ses bas tenus par un porte jarretelle dont j’ignorais l’existence, je ne savais pas non plus qu’elle pouvait porter ce genre de tenue.
Je la voyais se tortiller, mal à l’aise, sur son siège .
Elle était venue baiser avec Alain, elle se retrouvait en compagnie d’un se ses amis et ne savait pas trop comment se comporter .

– Tu sais Hélène, Jamel est un ami, je lui raconte tout. Je partage tout avec lui annonça soudain Alain.
Il passa alors sa puissante main sur le genoux de ma femme , remontant vers la lisière de ses dessous.
,Hélène se tortilla de plus en plus mal à l’aise . Elle était perdue, ne savait plus comment se comporter.
Elle sursauta quand la main de Jamel se posa sur son autre genou.
Elle fit un bond et se leva précipitamment du canapé.
– Ecoute Alain, je n’ai pas envie de faire ça, j’ai envie de toi mais de toi seul.
– Hélène, laisse toi aller, tu verras, Jamel est très doux, très bien monté, tu vas apprécier ..
– Non Alain, je n’ai pas envie, excuse moi, je ne veux pas ..

Alain entra alors dans une colère froide .

– Tu n’es qu’une salope, tu m’humilies devant mon copain. tu veux bien qu’un black lime ta chatte de bourgeoise mais Madame ne veux pas me faire plaisir . Casse toi et ne reviens plus .
Il la pris par le bras, et la traîna vers la porte.
Elle était stupéfaite et restait muette .
– Allez bye
– S’il te plait Alain …
– Si tu veux rester tu sais ce que je te demande ..
– Non, je ne peux pas
– Alors ouste ..
Et la porte claqua..

– Bien dit Alain, Il nous reste le cocu…
– Alors ? me dit il en venant me chercher , maintenant tu sais que ta femme est une salope. Pas une aussi bonne pute que toi mais je m’en suis bien régalé.
– Je m’en doutais Maître .
– Ah oui ? peu importe , elle est plus la, on va s’occuper de toi maintenant.

Ce fut une des séances des plus dures que j’ai eu à subir. Les 2 mâles étaient excités, frustrés aussi par l’attitude de mon épouse et je leur servit d’exutoire.
ils me sodomisèrent avec v******e alternat les coups de bites dans mon, avec l’utilisation sans modération de ma bouche.
Mes fesses rougies par leurs mains me chauffaient, et quand, pour la 3eme fois de l’après midi ils firent gicler leurs chibres dans ma bouche, m’obligeant à avaler leur semence abondante , je n’eus besoin que de quelques allers et retours sur ma queue pour prendre un plaisir qu’ils m’avaient refusé jusque là.

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