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Suceur de zob

Suceur de zob



Bonjour à tous.
Je viens ici vous expliquer comment j’ai sucé un zob pour mon plus grand plaisir…
Un jour, après un énième entretien d’embauche qui n’aboutira à rien, je retournai chez moi en voiture. Ayant une petite envie pressante, je m’arrête sur une aire de repos, entre Rabat et Casa, et je vais aux toilettes. Là, je défais ma braguette, descends un peu mon pantalon afin de sortir mon zizi pour uriner.
Je commençai tout juste à uriner quand un homme métis tout en cuir vêtu (style motard Harley Davidson) se positionne devant l’urinoir à coté du mien. Je ne peux m’empêcher de le regarder. Bien que mesurant 1m70, il faut que je relève la tête pour voir son visage. « Il doit bien mesurer 2m et peser dans les 120 kg ! » me dis-je. Il est tout en muscles. Il tourne son visage vers moi, avec un grand sourire, mais avec un regard glacial, tout en ouvrant sa braguette pour sortir son zob. Là, tout penaud, je baisse la tête mais je ne peux m’empêcher de regarder vers sa queue. Un véritable gourdin !
J’en tremble d’effroi et d’admiration, je n’en avais jamais vu une si énorme ! Et je l’entends me dire :
– Elle est belle, hein, ma queue ! Elle te fait envie, hein, le pédé ? En se tournant vers moi, la main soutenant son gourdin.
– Tiens-la-moi pendant que je pisse ! Me dit-il en prenant ma main.
Comme un automate, je m’exécute. Lui, pendant ce temps, passe sa main libre sur mes fesses, me les masse énergiquement. Je tortille des fesses pour échapper à sa main baladeuse, et mon pantalon tombe à mes pieds.
De ce fait, il s’aperçoit que je porte un string très féminin, et tout en ricanant, il m’ordonne :
– Alors pédé, tu viens ici pour sucer des queues, non ?
Et sa main se porte sur mon cou et m’oblige à m’agenouiller devant sa queue.
– Suce-moi, la tapette ! Et il présente son engin devant ma bouche.
De la tête, j’essaye de résister, tourne la tête de droite à gauche … Cela l’amuse un instant.
– Alors pédé, t’attends quoi pour me tailler une pipe ? Et sois douce, sinon gare à toi !
Et sa main devient un carcan pour mon cou. Je ne peux plus bouger la tête.
– Ouvre vite ta bouche, la salope, avant que je m’énerve !
Résigné, j’ouvre ma bouche et commence à le sucer.
– Fais attention à tes dents, je ne veux pas les sentir ! Et il m’impose son rythme de sa main. Sa queue enfle, raide comme de l’ébène.
– Là, c’est bien la lope, hein ! Elle est bonne ma queue, tu vas voir… tu vas avoir une sacrée rasade de foutre… et avale bien tout, la lopette !
J’ai des hauts de cœur quand sa queue heurte ma glotte, mais il s’en moque, tout occupé à son plaisir. Il râle de contentement.
– C’est bien… continue… tout en douceur… voilà !
Et au bout de quelques minutes de va et vient, il lâche enfin sa jouissance. De longues saccades de sperme que j’ai du mal à avaler.
– C’était très bien, la pute ! Sois là demain à la même heure, mais arrange-toi pour être plus tante, la pipeuse !
Il remet son zob dans son pantalon et sort, en me laissant là, pantelante…

Pendant 2 jours, je ne savais pas quoi faire…
Il faut quand même que je me présente. J’ai 35 ans, grand et mince et marié. Depuis, je peux m’adonner sans problème à un vieux fantasme : me travestir et, petit à petit, j’ai commencé à jouer avec des godes, à être de plus en plus féminine dans l’intimité … et c’est pourquoi, depuis, je ne porte plus que des strings, tangas ou autres dessous féminins sous mon pantalon…
Mais de là à être forcé à sucer la queue d’un homme dans les toilettes d’une aire de repos… là non, je refuse… Quoique, il faut bien que je me l’avoue, j’ai aimé cette sensation de n’être qu’une bouche pour cet homme, d’avoir été contrainte de lui faire une pipe… j’en suis resté toute pantelante… choquée mais heureuse que cet homme m’ait obligé de passer le cap… De vivre enfin du réel !
Et pendant 2 jours, il est vrai que je me suis préparé, sans le vouloir, à y retourner. Une épilation complète à la cire, car ces derniers temps, je m’étais laissé aller. J’avais du mal à choisir la guêpière que j’allais mettre, la noire qui laissait mes « seins » accessibles, ou une autre moins provocante, ou encore une rouge (tellement sexy et pute). Dans ma tête, une obsession : lui plaire et lui montrer que j’ai aimé quand il m’a forcé à le pomper.
Et enfin, j’y suis allé. Sous mes habits masculins, je portais une guêpière rouge et des bas résilles noirs. Dans un sac, j’avais pris aussi ma perruque blonde et de quoi me maquiller, ainsi qu’une paire d’escarpins avec 5 cm de talons. À 17 h 45, j’entrais dans les sanitaires de l’aire de repos, dans une chiotte afin de me changer et d’être prête quand il arriverait. J’attendais tout en faisant attention à qui entrait et sortait. Heureusement pour moi, peu de monde voulait entrer dans la chiotte où j’étais. Enfin, j’ai entendu le bruit de ses bottes sur le carrelage. Doucement, j’ai ouvert la porte des toilettes et je l’ai vu face à un urinoir et commencer à défaire sa braguette. Je me suis avancé d’un pas non assuré, ce qui faisait résonner mes talons sur le sol carrelé. Il n’a pas bronché quand ma main s’est approchée de son zob pour le tenir, comme il me l’avait ordonné la première fois. Il a retiré sa main qui est venue se plaquer sur mes fesses, tandis qu’il urinait.
Ayant fini son besoin, il s’est tourné vers moi et m’a balancé une gifle qui m’a fait tomber sur le sol.
– Alors la pute ? 2 jours que j’attends ta bouche pour me vider les couilles ! Qu’as-tu foutu, bordel ? Viens ici et pompe-moi bien le zob, la salope ! Mais c’est qu’elle s’est fait belle, la pute, pour honorer ma queue ! Tourne-toi avant !
Je me relève péniblement et commence à tourner sur moi même. Je suis toute chose, complètement sous l’emprise de cet homme. Je commence à onduler des fesses. Un grand sourire de plaisir envahit mon visage, je suis heureuse car je vois que je lui plais ainsi. Son zob commence à durcir. Je lui fais de l’effet, c’est sûr !
– C’est bien mon zamel (zamel = pédé en arabe marocain), viens ici et pompe-moi vite ! Je n’ai pas que cela à faire !
Je m’agenouille devant sa queue et commence doucement à l’effleurer de mes lèvres. Sa main puissante s’empare de mon cou et me force à ouvrir grande ma bouche pour y accueillir son membre. Il me viole carrément.
– Je t’ai demandé de me tailler une pipe, pas de jouer à la chatte apeurée !
Et il m’impose, comme l’autre jour, son rythme. De longs va et vient jusqu’au fond de ma gorge avant de ressortir sa queue et de la replonger bien au fond. Il bloque ma tête ainsi, sa queue toute entière dans ma bouche. Il joue avec moi comme il l’aurait fait avec une poupée gonflable. Je ne suis rien pour lui, rien qu’une bouche qui va vider ses couilles. A un moment, il accélère le rythme, de plus en plus vite, pour reprendre ensuite plus calmement. Tout en me baisant, il n’arrête pas de me traiter de tous les noms. Et je m’aperçois que j’aime cela. Ma quéquette se raidit, et je prends de plus en plus de plaisir à cette situation. Moi vêtue comme une pute de bas étage en train de tailler une pipe à un homme dans des toilettes !
Enfin sa jouissance arrive, je sens son zob palpiter et il m’explose en bouche. J’ai du mal à tout avaler et un petit peu de son sperme coule de ma bouche.
Il range son outil et me dit :
– C’est bien la pute, à demain !
Là, je me rends compte que, moi aussi, j’ai joui sans même me toucher !
FIN

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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