Automne 1971
Je détestais profondément passer la tondeuse. Efféminer et donc peut musclé je peinais a pousser ce maudit engin bruyant, surtout dans la bute derrière la vieille maison canadienne que ma mère venait d’acheter en campagne. L’odeur de l’essence et de l’herbe fraîchement couper me soulevait le coeur. Mais ma mère nous élevaient seul moi et ma soeur et elle travaillait dur pour y arriver, j’étais donc heureux de l’aider du mieux que je le pouvais.
C’était Halloween aujourd’hui et pourtant il faisait aussi chaud qu’en juillet et j’étais en sueur. On devait ce temps exceptionnel à une dépression provenant du centre des États-Unis. Mais le ciel était boucher, de gros nuages gris s’accumulaient, ça sentait la pluie. Chaque fois que je regardais vers le haut de la butte et la forêt je pensais a Guy, mon nouvel ami avec qui je me masturbais et même plus et c’était la première fois que je faisais ça avec un autre. Je ne l’avais pas vue de la semaine parce qu’on allait à des écoles différentes et qu’il n’avait pas le droit de sortir le soir mais il devait venir ce matin et je l’attendais avec impatience. J’étais obsédé par lui et par sa grosse bite que j’avais hâte de revoir évidemment et de toucher tout autant que de me faire prendre la mienne. On s’était même sucé un soir sous les étoiles dans une vieille voiture perdue au milieu d’un champ. Juste d’y repenser me donnait des frissons et me faisait bander. Chaque fois que je m’étais masturbé cette semaine je n’avais pensé qu’à cela. Ma première fois pour tout ça; toucher la bite d’un autre, me faire toucher, lui sucer et il avait même été jusqu’a m’embrasser et avec la langue. Ça, ça m’avait vraiment fait flipper, le sentir m’enlacer avec force et me frencher avec vigueur. Jamais je ne pourrais oublier tout ça. En fait, j’avais réalisé que j’étais tombé amoureux de Guy, enfin c’est ce que j’imaginais et ça m’effrayait. J’avais une peur bleue d’être homosexuel, pourtant, voir les filles à l’école m’excitait toujours autant, surtout la belle Cécile. J’étais efféminé, je détestais le sport, j’aimais être dans les bras de Guy et faire ce que l’on faisait ensemble et pourtant… Je n’avais pu m’empêcher de parler à Cécile chaque fois que je le pouvais et elle de venir me voir à la récré ou en attendant l’autobus. Pierre, un ami de classe ne cessait de me dire qu’elle bandait sur moi et de lui sauter dessus. Moi, jamais je ne ferais ça, elle m’intimidait trop, n’empêche que juste idée de me retrouver seul avec elle me faisait bander. La belle Cécile avec es gros seins, ses cheveux roux, ses taches de rousseur et son côté garçon manquer. Elle me plaisait terriblement. Bref… je me sentais mélangé et pas a peut prêt.
Ma tache ennuyeuse terminer, je rangeai la tondeuse dans le garage et quand j’en sortis, il était là. Mon coeur bondit. Lui aussi était en jeans et t-shirt et il me regardait toujours avec cette étincelle dans les yeux qui me donnaient le frisson, sans parler de son petit sourire en coin des plus craquant. Je dus me retenir pour ne pas me jeter dans ses bras et l’embrassé comme un fou, mais, je ne suis pas sûr que ma mère aurait bien aimé voir ça.
— Salut, fit-il simplement en repoussant ses grosses lunettes noires sur son nez.
— Salut, ça va ?
— WAIS, on y va ?
— WAIS !
Une bonne odeur de sapin et de terre humide me monta au nez une fois dans la forêt. Je me sentais tout électrique en marchant derrière lui en imaginant déjà toute sorte de scénarios. Silencieux comme toujours je me contentais d’essayer de deviner ou il m’emmenait cette fois car il prit un nouveau sentier sur la droite qui serpentait entre les sapins et les épinettes. Le tonnerre gronda au loin. Je regretter de ne pas avoir emmené ma veste.
— On va où ?
— À l’école.
— Quoi ?
Il rit simplement et stoppa en se retournant face à moi pour descendre sa fermeture éclair, rentrer la main dans son pantalon et sortir sa bitte encore molle et ses grosses couilles roses et luisantes qui pendaient très bas. J’en eus l’eau à la bouche en me sentant déjà tout exciter. Il se masturba en me souriant, bandant à vue d’oeil. Il avait un prépuce mais pas moi et son membre était énorme, deux fois plus long et plus gros que le mien. Je déglutis surexciter et moins gêner qu’avant en l’imitant et sans hésiter cette fois. J’avais des papillons dans le bas ventre en me branlant moi aussi. On se regarda faire un moment dans le même état d’excitation tous les deux tandis que j’espérais qu’il s’approche pour m’embrasser comme l’autre soir, mais voyant qu’il ne bougeait pas je me contenter de lui demander :
— Qu’est-ce qu’on va faire à l’école et quelle école ?
— De la démolition et ce n’est pas a t’ont école. Dit-il en fixant ma bite une dernière fois avant de reprendre la route.
Se promener bite a l’air avec lui en forêt, loin de tout, c’était flippant a mort. Sentir ma verge dure et gonfler se balancer, sursauter a chaque pas ou être effleurer par de grosses branches de sapin qu’il fallait écarter, sentir le moindre courant d’air, sur mes couilles, c’était vraiment le fun. Chaque fois que mon coeur battait elle sursautait tout comme la sienne, si grosse et si dure a présent. Une belle bite veinée et bien droite qui semblait remuer comme au ralenti tellement elle était lourde. Je me demandais quel effet cela pouvait bien faire d’avoir un tel engin entre les jambes tout en étant très satisfait de la mienne car elle me procurait tout autant de plaisir, j’en étais certain. Je ne cessais de me revoir lui sucer, ou de le branler l’autre soir dans la voiture et je ne rêvais que de recommencer. J’adorais tellement me balader comme ça avec lui que quelques coups de poignet m’auraient fait jouir. Mais pas question, j’avais trop hâte de voir ce qu’on ferait ensemble cette fois.
Le tonnerre gronda à nouveau mais plus près cette fois et se fut si fort que le sol trembla. Il faisait beaucoup plus sombre tout à coup et la forêt était si silencieuse maintenant que cela me fit frissonner.
— On devrait s’abriter, ça va tomber Guy.
— On arrive.
Cinq minutes plus tard je stopper éberluer devant un immense bâtiment délabrer tout en bois perdu au milieu de nulle part et encercler par la forêt, une ancienne école. Il n’y avait pas d’espace dégager tout au tour, les arbres et les arbustes poussaient carrément contre les fondations. Quelques marches de béton craquelé, recouvertes de feuilles mortes, menaient à des doubles porte ouverte, l’une d’elles était sortie de ses gonds. Juste au dessus de l’entrée, sur une plaque de métal rouillé, le nom de l’école était gravé (Collège St-Marie de Dieu). En levant les yeux je compter 4 étages et il n’y avait plus une seule goute de peinture sur la façade. Le bois était d’un gris terne et pas une seule fenêtre n’avait résisté au temps et aux vandales. Le sol était jonché de débris de verre. Impossible d’évaluer la largeur du bâtiment à cause des arbres. Je suivis Guy qui entrait déjà pour disparaitre dans la pénombre tel un fantôme. Je n’entendais plus que ses pas, à cause des feuilles mortes que le vent avait balayées à l’intérieur. On aurait juré qu’il marchait sur des croustilles. Une fois a l’intérieur, quand mes yeux ce furent habituer a la noirceur, j’aperçus un grand hall au mur couvert de graffitis pour la plus par obscène, qui donnait sur un passage d’un noir d’encre et un escalier que Guy grimpait déjà. Je le ratt****r et une fois là-haut on entra dans un long couloir perpendiculaire qui faisait tout la longueur du bâtiment. Le peu de lumière qu’il y avait provenait des salles de classe sur la droite et la gauche dont toutes les portes avaient disparu. Juste devant nous il y avait une guérite aux vitres fracasser et derrière un vaste bureau désert. Sans doute celui du directeur a l’époque. C’est à ce moment que la pluie se mit à tomber dru, on l’entendait clairement tambouriner là-haut, sur le toit.
Plus de tonnerre, pas d’éclairs et pas le moindre souffle de vent. La chaleur et l’humidité étaient à son comble. J’entendis des battements d’ailes lointains et des roucoulements, sans doute des pigeons.
— L’endroit idéal pour fêter l’Halloween, dis-je en sentant ma bite ramollir.
— Viens.
Il prit à droite et m’amena dans l’une des dernières salles de classe justes avant d’arriver au bout du couloir ou la, un escalier permettait d’accéder aux autres étages. Dans le grand local presque vide et sombre qui empestait l’humidité et la décomposition, il n’y avait que quelques vieux pupitres qui s’ouvrait pour y ranger les livres de classe et le bureau de l’enseignant, toujours a ça place, mais plus aucune chaise. Le papier peint tombait des murs dévoilant du plâtre et des planches robustes et le tableau noir avait disparue, visiblement arracher car les grosses visses qui le soutenait avait laisser de gros trou dans le mur également couvert de graffitis colorer de toutes sortes. Des seins démesurés, des grosses bittes, des cranes, des tags et des petits mots charmants : (Jaque veut fourrer Hélène) (J’ai une grosse bite Lili) (j’aime Marie) (Pauline est une salope) (Mort aux flics ) etc.
Sur le plancher qui craquait sinistrement sous nos pas, le linoléum user et décolorer se décollait par endroits. Par les fenêtres sans vitre on ne voyait qu’un rideau de pluie qui s’abattait lourdement sur la forêt qui bouchait la vue. J’étais bien heureux d’être a l’abri mais un peut nerveux, j’avais une peu bleue de passer carrément au travers du plancher. Et soudain Guy me dit en s’astiquant la bite qui avait un peu ramollie également :
— Tu restes la et tu attend t’on tour comprit. Interdit de sortir de la classe.
Je froncer les sourcils intriguer.
— Mon tour pour quoi ?
Il se contenta de sourire en passant derrière le bureau du professeur pour s’arrêter devant un des trous de visses du bas qu’une grosse flèche noire dessiner a l’aérosol pointait. Je devinais déjà la suite quand il frappa sur le mur du plat de la main faisant tomber quelques petits morceaux de plâtres. Je froncer les sourcils intriguer tandis qu’un long silence s’installait. Soudain, quelqu’un répondit en frappant de la même manière de l’autre côté mais je l’entendis à peine à cause du déluge. Je frémis de savoir qu’il y avait quelqu’un d’autre que nous ici. Mais qui ? Je me sentis nerveux, parce qu’on avait la bite et les couilles a l’air, mais surtout jaloux. Jaloux de savoir que l’on était plus seul lui et moi. Même que je me sentais extrêmement déçu. Et la, pas vraiment surprit, je le vis détacher sa ceinture et descendre son pantalon et son slip aux genoux puis prendre sa grosse bite pour la glisser dans dans le trou. L’orifice était juste a la bonne hauteur et parfaitement rond et Guy se mit a gémir aussitôt en plaquant ses mains et sa joue contre le mur tout se serrant ses jolies fesses blanches si lisses que je fixais avec envie; envie de lui toucher, de lui presser, d’y poser des baisers, même de lui mordiller tendrement. Je dus déglutir en répriment également une forte envie de me branler furieusement. Ma bite pulsait, voir son cul faisait battre mon coeur encore plus vite et surtout de savoir qu’il y avait quelqu’un dans l’autre classe en train de jouer avec sa bite.
Pas besoin d’être devin pour comprendre ce qui se passait. Quelqu’un lui tripatouillait le membre de l’autre côté, mais qui ? La mienne reprit rapidement de la vigueur en me chatouillant tandis que je m’approchais de lui pour lui demander tout bas qui c’était sans oser, encore une fois, lui mettre la main aux fesses surtout en sachant que quelqu’un pouvait entrer ici n’importe quant. Les yeux brumeux derrière ses verres épais il me fit signe de me taire. Je me contentai de le regarder un instant avant d’aller m’asseoir sur le bureau en me branlant très doucement d’une main, me pressant les couilles de l’autre en attendant mon tour tout en me sentant fébrile, exciter et pas mal nerveux. Mettre ainsi son membre a la merci de quelqu’un qui pouvait vous faire n’importe quoi, y comprit le mordre ou même… le couper. Un frisson glacer me parcourut l’échine juste a l’idée de fourrer mon machin si précieux dans ce trou, mais je bander plus a voir ses belles fesses blanches se contracter et dut me la lâcher car je risquais de jouir. Quelques gouttes de liquide transparent avait déjà jailli de mon urètre que je m’empresser de cueillir avec mon pouce pour ensuite le sucer. J’adorais ce goût salé.
Tout en l’entendant gémir mon imagination travaillait. Quelqu’un le branlait ou le suçait, mais qui, cette question me hantait; un gars, une fille, un groupe peut-être. Une fille ce serait génial. J’aurais pu aller voir mais il m’avait ordonné de rester là et d’attendre et, avec lui, j’étais très obéissant. Il me faisait découvrir tant de choses fantastiques. J’étais tout de même un peut déçut de ne pas toucher ou sucer moi même ça bite mais il était tôt et la journée n’était pas terminer. C’était vraiment bandant de l’imaginer se faire sucer de l’autre côté de ce mur. Même pas croyable, je n’en revenais pas. Fallait être sacrément tordu pour penser à ça. En le regardant se tortiller et gémir je m’imaginer un instant dans l’autre classe la bouche pleine en donnant de la tête. Mon coeur cognait tandis que le temps s’égrainait lentement. La pluie qui s’abattait toujours avec autant de force entrait un peu par les fenêtres pour former des flaques d’eau sur le sol qui était aussitôt absorbé par les craques du plancher. Je suais à grosses gouttes en me demandant si j’aurais le courage de faire comme lui même s’il semblait y prendre énormément de plaisir et soudain, il frappa a nouveau sur le mur du plat de la main. À le voir grimacer et serrer les fesses je deviner qu’il était en train de jour, ça fit sursauter ma bite. Dents serrer, joues et mains contre le mur Guy grognait de plaisir ou de douleur, qui sait ? Puis il se décrispa, grogna, expira fortement et se détendit avant de reculer lentement, sortant son membre toujours en érection du trou avec précaution. Son gland, luisant et rougi, dégoûtait. Fasciner, je le regarder se la presser et se la secouer, projetant du sperme épais sur le sol, apparemment était très soulager. Ses gros testicules semblaient avoir disparu et son scrotum était tout petit et plisser. Le voir comme ça et à demi nu me mit l’eau à la bouche encore une fois. Il frappa a nouveau sur le mur et encore une foi on répondit.
— À ton tour, fais vite. Fit-il tout sourire en se la pressant encore pour extirper tout ce qui restait de foutre dans sa verge avant de commencer à se déshabiller complètement. Il avait ouvert un pupitre et y jetait ses vêtements au fur et à mesure. Quand tu te sens venir tu frappes sur le mur OK !
— OK ! Répondis-je nerveux.
Mon coeur bondit en me levant, parce que c’était à mon tour mais aussi à le voir se mettre nu, complètement nue, ne gardant que ses souliers de course. Ses couilles luisantes avaient réapparu et se balançaient joliment. Wow ! Cette fois je flippais, j’étais si excité par tout ça que j’en avais mal au ventre. Je frémis en m’approchant du fameux orifice sombre tacher de sperme en sentant ma bite très dure palpiter sous mes doigts et prête à exploser. Ce damné trou m’attirait, mais, en même temps… il me faisait sacrément peur. Une fois en position, comme lui, je baisser mon pantalon et mon slip frémissant juste a l’idée de lui montrer mon petit cul. C’est alors qu’une pensée idiote me traversa l’esprit; et si ma bite était trop courte. La sienne avait presque un pied de long, la mienne sept pouces; était-ce suffisant ?
Pas mal nerveux, je soupirer longuement, fesses serrées puis je pousser ma verge gonfler a bloc dans l’orifice sentant mon gland ultra sensible frotter contre du plâtre lisse et du bois avant de se retrouver a l’air libre. Je pousser jusqu’a écraser mes couilles contre le mur en sentant une monté d’adrénaline m’envahir. Mon coeur cognait à cent a l’heure, surtout quand je sentis des doigts et des mains me toucher la hampe et le gland sans ménagement. Trois mains, même plus, ma bite sursauta méchamment et je grimaçai, joue contre le plâtre et les graffitis tellement ça m’agaçait. Ce que je ressentais me semblait beaucoup plus intense surtout à cause de la peur que j’avais de mettre mon membre ainsi a la merci d’inconnues mais aussi parce que cela était extrêmement excitant de ne rien voir.
Je crus entendre des rires de l’autre côté, des rires de fille mais avec le bruit de la pluie je ne pouvais pas en être sur. Il y avait de la place que pour une main sur ce qui dépassait de mon membre de l’autre côté et on semblait se battre pour me l’agripper, me la caresser, me masturber jusque par-dessus le gland vraiment trop sensible. Combien ils, ou elles, étaient; deux, trois, tout un groupe ? Peut-être des gars et des filles. Est-ce que je les connaissais ? Impossible a dire mais ça se relayait pour me masturber et c’était fabuleux, presque trop. Je me tortillais contre le mur en gémissant tout bas tout en sentant ma bite si dure que j’aurais sans doute pu faire un autre trou dans ce mur. On me cracha sur la bite plusieurs fois pour la rendre bien glissante, une vraie torture. Des mains bien lubrifier par la salive me la serraient trop fort d’autre pas assez et ça me coupait presque le souffle.
Comment j’arrivais à tenir, à ne pas décharger ? Je ne savais pas, mais c’était si bandant que j’y arrivais pourtant. Mais je sentais mon scrotum durci et mes couilles rentrer par en dedans, il en fallait de peu maintenant. Et soudain, une main me l’enserra simplement sans remuer et je sentis une bouche chaude et humide se refermer sur mon gland et commencer à me le sucer. Je faillis m’évanouir de plaisir en gémissant plus fort tout en essayant de pousser ma bite plus loin, mais rien n’a faire. Je sentais bien mon gland glisser sur une langue et contre un palais et des lèvres bien enserrer ma hampe. C’était fabuleux, bouche de fille ou pas, je m’en foutais. La main me lâcha et la personne put me sucer plus profondément, mais à peine comme si elle avait peur que je jouisse et je la comprenais maintenant que j’avais sucé Guy une fois. Mais ça m’agaçait tellement que j’en tremblais, j’en frémissais de plaisir. Plaquer contre ce mur, les yeux fermer, j’imaginais que c’était Cécile qui me suçait et je faillis venir, mais la bouche se retira juste au moment ou j’allais frapper sur le mur. Je sentis ma bite mouiller de salive palpiter dans le vide et je sursauter quand une autre bouche me ravala mais juste le gland, enfin j’imaginais que c’était une autre car cette fois je sentais un peut des dents en me faisant sucer. Je suais a grosses goute submerger par le plaisir de ces fellations a l’aveugle. Cette bouche ne me suça pas longtemps, juste quelques coups et une autre prit la place mais pas longtemps. On me l’empoigna aussitôt à deux mains pour me branler furieusement. Cette fois je ne pouvais plus me retenir, je sentis mon sperme monter dans ma queue tendue a l’extrême et je taper du plat de la main sur le mur comme un fou en entendant Guy qui riait derrière moi. Je retins mon souffle en sentant mon sperme jaillir de mon gland et j’éjaculai avec force, dents serrer et gémissant. Une vraie délivrance qui me vida de toute énergie d’un seul coup. Les mains s’agitèrent tant que ma bite cracha du sperme puis elle me lâchèrent me laissant pantelant, genoux chambranlant avec le coeur qui battait à toute allure. Je m’en bavais sur le menton. Je me reculer en tremblant pour la sortir avec précaution du trou et me la secouer a bout de souffle en m’essuyant la bouche avec mon bras.
— Génial hein ? Fit Guy assis sur le bureau qui fixait ma bite en branlant son membre énorme tout en repoussant ses lunettes sur son nez
— WAIS, fis-je étourdit en me reprenant peut a peut. Mais, c’est qui ?
— Des filles, enfin je pense, combien je ne sais pas. Parfois il y en a qu’une, parfois plusieurs comme ce matin. Elle m’on avertit de ne jamais aller voir de l’autre côté si non se serait fini. Je me branlais ici au début de l’été et j’ai vue ce trou j’y ai glisser ma bite aussitôt juste pour le fun et un matin, quelqu’un me la toucher en me disant de ne pas venir de l’autre coté, une fille. Je viens tous les samedis matin ou presque, parfois il y a du monde, parfois non. Parfois ils font juste me branler, parfois ils me sucent. Tu t’est fais sucer ?
— WAIS !
— Déshabille toi et cache tes vêtements dans un pupitre comme j’ai fait, on va s’amuser a démolir un peut la place.
— Et les autres ?
— Déjà parti probablement, on s’en fou.
Je le fis quelque peut embarrasser car c’était la première fois que je me mettais complètement nu devant quelqu’un et ça me fit frissonner. La manière qu’il avait de me regarder me donna la chair de poule malgré la chaleur humide. Je ne garder que mes runnings comme lui et on alla se balader a poil avec nos bite rester longue claquant contre nos cuisses. C’était bandant à mort de se promener comme ça ici surtout après cette expérience incroyable avec le trou. Il m’amena dans l’autre classe, il n’y avait plus personne évidemment, juste du sperme sur le mur et par terre et pas la moindre trace comme si c’était des fantômes qui nous avait tripatouillé la bite. Puis, on monta au troisième ou on s’amusa à défoncer des murs à coups de pieds ou avec une patère, puis à balancer une cuvette par une fenêtre et des tas d’autres choses comme bien d’autres avant nous. Mais eux ne devaient pas le faire flambant nus, c’était d’autant plus flippant. Parfois, je croyais entendre encore des rires et des bruits de pas a l’étage du dessous ce qui me donnait le frisson mais c’était peut-être mon imagination.
Une heure plus tard il pleuvait toujours autant et on s’était bien défoulé. Épuiser, appuyer sur le rebord d’une fenêtre je regardais la pluie tomber quand Guy me prit les couilles d’une main, ce qui me plut énormément et me refit bander aussi sec et il me caressa les fesses de l’autre en disant :
— T’as déjà essayé de t’habiller en fille. De dos comme ça on jurerait ta soeur. T’as le même beau petit cul.
Je déglutis embarrasser, me penchant plus en écartant les pieds tellement j’aimais ces caresses, en repensant a toutes les fois ou j’enfilais des vêtements de ma soeur ou de ma mère quand elles sortaient. Trop timide, j’évitai de répondre en demandant :
— Tu connais ma soeur ?
— Non, mais je l’ai juste vue quelques fois. Elle est bandante !
— Ma soeur, t’es malade!
Il rit en se penchant sur moi, me prenant par les épaules pour juste laisser glisser sa verge, que je sentis très dure, dans ma craque de fesses et la faire aller et venir en se pressant contre moi. Ça me fit frémir en assurant ma poigne sur le rebord de la fenêtre sentant des gouttes de pluie tiède me tomber sur le visage. Il donnait des coups de reins lentement en pressant de plus en plus ça bite contre moi, ça me chatouillait, surtout l’anus quand son gland l’effleurait. Ça me plaisait de sentir ses mains et ça bite sur moi mais surtout ses grosses couilles frapper les miennes et de plus en plus vite a présents. Alanguie, frissonnant, et comme hypnotiser par la pluie qui tombait et ce qu’il faisait, je le laissais faire en me disant qu’il devait y prendre du plaisir. Ma bite pulsait en reprenant de la vigueur, je ne pus m’empêcher de me la prendre pour me masturber violemment et m’emmener a l’orgasme rapidement. Je décharger contre le mur en frémissant de plaisir. Et soudain, Guy stoppa en poussant fort contre mon cul, m’écrasant le ventre contre la fenêtre en accentuant ça poigne sur mes épaules presque a me faire mal et je sentis de longue gicler de foutre chaud me tomber sur le dos jusqu’a la nuque. Encore sous le choc de mon orgasme, je tourner la tête pour vois son gland qui crachait du sperme en abondance. Guy grimaçait sans se toucher la bite se contentant de faire des pressions et de regarder son sperme s’accumuler au creux de mes reins avant de couler le long de mes hanches. Ça me chatouillait. Je ne savais pas qu’on pouvait venir comme ça, sans ce toucher, juste par pression. Je me rendis compte à ce moment que j’adorais l’exciter et que je ferais n’importe quoi pour lui.
— C’est comme fourrer une fille, dit-il au bout d’un moment la voix enrouer en se reculant pour se la secouer, enfin j’imagine. Tes venues aussi ?
— Hum ! Fi-je simplement en sentant ma bite ramollir et dégoûter. T’as quelque chose pour m’essuyer ?
— WAIS ne bouge pas, je reviens.
Je rester seul, toujours pencher a la fenêtre en me sentant si bien même si j’avais les reins couverts de sperme. Je repensais au trou, aux mains qui m’avait donné tant de plaisir de l’autre côté de ce mur et a ce qu’il venait de faire, décidément ce gars ne cessait de me surprendre. Tout ça était si incroyable, si… excitant. Il revint avec une vieille chemise à carreaux qui devait traîner quelque part. Une fois qu’il m’eu essuyer, il la jeta par terre et je ne pus m’empêcher de me retourner pour lui sauter au cou et plaquer ma bouche sur la sienne.
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