Mon nom est Laurie, je suis au collège et je mène une vie d’étudiante normale. Je me trouve plutôt jolie : les cheveux un peu rouge, 1m70, 90C et des hanches larges. Je suis lesbienne depuis toujours mais je suis célibataire.
On est en juin, il fait beau et la fin de l’année scolaire approche à grand pas. Je passe la plupart de mon temps libre à réviser pour les examens, soit toute seule, soit avec quelques amies. Ce samedi-là, nous sommes trois, chez moi. Le soleil illumine toute la chambre et nous invite à sortir. Nous en avons marre des révisions alors nous décidons d’aller faire un tour en ville pour nous changer les idées.
Dans la rue piétonne, il y a plein de petits magasins qui vendent un peu de tout, mais celui qui attire notre attention est un magasin de maillots de bain. Nous entrons et nous en choisissons deux ou trois chacune. Une fois nos achats terminés, nous rentrons chez Inès et Estelle, mes deux copines qui sont sœurs jumelles, pour essayer nos bikinis dans leur grande piscine.
Une fois arrivée, nous nous empressons de nous changer pour enfin pouvoir nous rafraîchir. Cinq minutes plus tard, nous sommes devant la piscine. Je les trouve superbes avec leurs bikinis, elles se ressemblent comme deux gouttes. Elles ont des courbes magnifiques, des fesses fermes, une belle poitrine et doivent faire 1m75. En voyant ces corps presque nus, je commence à mouiller.
Nous décidons de plonger les trois en même temps mais juste avant de sauter, je détache discrètement le haut d’Estelle. Une fois la tête en dehors de l’eau, je me retrouve en face de ses seins nus. Je les fixe pendant qu’elle essaie maladroitement de rattacher son haut. Elle a l’air gênée et ça m’excite encore plus.
Après deux heures de baignade et de discussion, nous sortons de l’eau. Une par une, nous passons à la salle de bain afin de prendre notre douche. Je passe la dernière et je retourne dans la chambre d’Estelle où j’avais laissé mes habits. Je frappe et rentre sans attendre de réponse, je la vois du coin de l’œil se cacher derrière son armoire, elle croit que je ne l’ai pas vue. J’espérais bien qu’elle soit là pour qu’elle puisse à son tour me voir nue. Je me mets dos à elle et laisse tomber mon peignoir, je me sens observée et je recommence à être excitée. Je me tourne et la vois disparaître, j’avance tout doucement et surgit devant cette magnifique fille. Je vois à travers sa culotte qu’elle mouille. Elle essaie de se dérober mais je l’att**** et la pousse sur le lit. Elle se débat un peu mais quand j’approche mon visage du sien, elle se laisse faire et je l’embrasse. Estelle me rend mon baiser et on s’embrasse pendant une bonne minute. Je lui enlève son haut. Contre toute attente, elle se laisse faire alors je continue et la mets aussi nue que moi.
Je descends et m’arrête sur ses seins. Ils sont parfaits. Je les lèche et mordille les tétons. Ils pointent rapidement vers moi. Je continue ma descente en laissant une main masser son sein gauche. Je contourne sa chatte et descends jusqu’au genoux puis je remonte toujours en la léchant. Quand j’arrive à sa chatte, elle est déjà bien humide. J’écarte ses lèvres et je commence à lécher sa vulve. Un spasme traverse son corps, elle ferme les yeux et se détend complètement. Je la pénètre lentement avec un doigt pendant que ma langue joue avec son clitoris. Je fais des aller-retours de plus en plus rapide puis je rentre un deuxième et un troisième doigt. Je bouge dans tous les sens à l’intérieur de son vagin. Elle gémit de plus en plus fort. Au moment où je la sens partir, j’arrête tout. Elle me supplie de continuer mais je la fais patienter en revenant sur sa poitrine. Je la masse, toujours en l’empêchant de jouir. Au bout d’un moment, je lui remets trois doigts d’un coup. Elle jouit presque instantanément dans un long gémissement. Un filet de cyprine coule sur le lit. Je me couche à côté d’elle et l’embrasse à nouveau.
Je la laisse récupérer puis lui dit que j’aimerais jouir moi aussi. Elle me répond qu’elle ne sait pas comment faire alors je lui propose de faire comme si elle se masturbait. Elle acquiesce puis descend vers mon intimité. Avec un doigt, elle trace des cercles autour de mes lèvres puis, hésitante, elle rentre un doigt dans mon vagin. Elle se débrouille assez bien. Quand je commence à gémir, elle s’écarte et va dans son armoire. Elle en ressort avec un gode de vingt centimètres. Je lui souris. Elle le pose sur mon trou et sans prévenir, l’enfonce presque entièrement. Je me cambre et pousse un râle de plaisir. Elle fait des va-et-vient en changeant régulièrement l’angle et la vitesse. Je jouis rapidement.
Au moment où elle se couche, je lui prends le sex-toy des mains et m’assois sur son visage. Je lui ordonne de ma lécher. Elle est hésitante mais finit par franchir le pas. Pendant ce temps, je me couche sur elle pour avoir sa chatte près du visage. Elle est encore toute mouillée alors je lui mets directement le gode au fond du vagin. Je la baise avec le gode pendant qu’elle me fait un cunnilingus, c’est le paradis. Après quelques minutes, je décide de passer au cran au dessus, je mouille un doigt avec sa cyprine et je le pose sur son anus. Elle le resserre alors je fais quelques tours pour le détendre. Une fois détendu, je glisse lentement le doigt dans son cul. Elle a l’air d’apprécier parce que ses gémissements s’accélèrent, alors je mets un deuxième doigt. Quand son anus est suffisamment dilater, je sors le gode de sa chatte et la pénètre par derrière. Après quelques va-et-vient, nous jouissons ensemble et elle m’asperge de son jus que je m’empresse de boire.
Nous sommes exténuées mais nous nous rhabillons vite pour pas que sa sœur se doute de quelque chose. Heureusement car moins d’une minute plus tard, Inès débarque dans la chambre pour nous proposer de faire le repas ensemble comme leurs parents ne sont pas là. Ah oui, c’est déjà 19h,le temps a passé beaucoup trop vite.
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