Ce passage de ma vie commence alors que j’avais 18 ans. Nous vivions dans une ville proche de Paris. Mon père y travaillait et ne passait pas plus d’une journée par semaine à la maison. Ma mère avais 20 ans de plus que moi, elle étais grande 1m75, des cheveux auburn, souvent habillé en pantalon et chemisier qui soulignait une jolie poitrine assez lourde. Les années avait passé son goût pour le maquillage et unE part de sa féminité et coquetterie n’était plus visible que sur des photos. Elle s’occupait de suivre mon éducation, mes loisirs et notre vie était assez réglés et habituels.
Pendant ces deux mois d’été, j’avais découvert les sorties avec les amis et amies et était donc un peu moins présent à la maison. J’avais un penchant clair pour les brunes ce qui n’avait je pense échappé à personne.
Un soir, lors du repas ma mère me dit:
-Dits donc tu sors de plus en plus avec tes amis.
-Oui, pourquoi?
-Et bien ta vieille mère elle reste à la maison et……accepterais tu de la sortir un de ces WE.
Je suis resté un peu étonné autour de cette demande.
-Oui si tu veux.
-Si on dit vendredi prochain?
-D’accord après le sport.
-Ok, je te laisse tout organiser.
Cette proposition m’étonnais mais en même temps à y réfléchir elle pouvait se comprendre et s’expliquer, maman avait sans doute envie de s’oxygéner l’esprit, ne pas cuisiner…….et cela pouvais être marrant.
J’eus donc toute cette fin de semaine pour préparer notre sortie. Le soir venant, au retour du sport, je filais vers la douche.
-Maman?
s-File à la douche, je me prépare.
Après une bonne petite douche, j’enfile un pantalon en toile et une chemise et retourne dans le salon pour retrouver ma mère.
-Maman?
-Deux minutes j’arrive.
Au bout de cinq minutes j’entends des bruits de talons arriver dans le couloir. Je tourne la tête et là je vois ma mère, les cheveux coupés au carré, brune, joliment maquillée, un chemisier cintré dessinant parfaitement ses formes, une jupe droite laissant admirer ses cuisses gainées de noir, des mollets galbés par ces hauts talons.
-Et bien, il y a un problème.
Ma tète trahissais mon étonnement.
-Non aucun c’est juste…..
-Juste quoi?
-Je n’ai pas l’habitude de te voir comme cela, les cheveux, l’habillage….
-Cela ne te plait pas?
-Si bien au contraire, tu es superbe, c’est moi qui ne vais pas être à la hauteur.
-Mais si, tu est mon petit homme de la soirée, je suis prête et à toi.
Je ne comprenais pas encore ce qu’il y avait derrière ces mots mais j’allais aller de surprise en surprise.
J’avais réservé dans un pub avec un repas type brunch, de la musique…….
Ma mère était tout sourire et heureuse. Je ne l’avais jamais vu ainsi. Elle ne parlais de mes amies, un peu curieuse. Parfois j’étais un peu gèné des questions mais petit à petit nous nous sommes passés à des échanges qui étaient plus de types copain copine que d’une relation mère fils.
Autour de nous les regards étaient divers, certains regardaient ma mère envieux, d’autre se demandant ce que nous faisions ensemble. Cette situation au finale m’amusait et me rendait même un peu fiers.
Vers 21H, elle ne dit:
-C’est super ce lieu, j’ai passé une bon moment, on rentre?
Elle a réglé l’addition et nous avons repris la voiture.
De retour à la maison nous nous sommes retrouvés dans le salon. Elle s’est retournée vers moi:
-Et bien moi je prendrai bien un petit cocktail et toi?
-Eh……. maman.
-T’inquiettes pas, une petite goutte n’a jamais tué personne, je te laisse faire, je reviens.
Je suis donc allé récupérer deux verres et préparer un petit cocktail qu’il lui arrivait de se faire, caraco, grand marnier et champagne qui se trouvais au frais.
Je n’assieds dans le salon et attend sont retour.
-Merci mon coeur, je vois que tu me connais bien.
Elle s’assied alors sur le pouf à côté de moi. Je lui tends son verre et m’aperçois tout de suite de la large ouverture de son chemisier, deux boutons ont été dégrafés laissant apparaître la naissance de sa généreuse poitrine.
Je m’arrête, un peu confus et sans doute complètement rouge. Elle prend son verre et me sourit malicieusement.
-Merci ma pupuce, à la tienne.
Nous avons repris nos discussions du restaurent et au fur et à mesure du temps, nous étions de plus en plus complice, à rigoler mais, mon regard pouvait de moins en moins quitter ses cuisses sur lesquelles la jupe était remontée et laissait apparaître la gaine des bas qui me troublait mais aussi son chemisier largement échancré qui laissait maintenant largement voir sa poitrine soutenue par un magnifique soutien gorge rouge et noir.
Je commençais à avoir une érection bien dur que mon pantalon en toile ne pouvait plus dissimuler.
Elle a posé son verre et en me souriant elle m’a dit:
-Elle te plais? en se redressant.
Je suis devenu tout rouge et ne savais que dire ou faire.
Elle a alors déboutonné les derniers boutons, tiré sur le chemisier et l’a ôté pour m’exhiber sa poitrine.
Il n’y avait plus un bruit, nous nous regardions droit dans les yeux, elle: souriante moi assez gêné……
Elle a alors légèrement écarté les cuisses laissant apparaître sa vulve à ma vue. Elle s’est approchée en passant ses cuisses de parts et d’autre des miennes et a posé ses mains sur mes cuisses. J’étais pétrifié mais la bosse de mon pantalon trahissait mon excitation.
Avec un large sourire sur son visage, ses doigts ont commencés à remonter le long de mes cuisses. Sa main a alors parcouru ma verge au travers du pantalon. Elle a déboutonné le pantalon, saisit le haut de mon boxer, abaissé ce dernier pour libérer ma verge convulsée d’excitation.
Elle a alors regardé ma verge, puis l’a prise en main et commencé un lent mouvement de caresse et de va et vient.
Au bout de cinq ou six va et vient je ne tenais plus, ai fermé les yeux et éjaculé en cinq ou six gros jets.
Au bout de quelques secondes j’ai réouverts les yeux, ma mère me souriait toujours, elle tenait toujours ma verge et avait les doigts plein de foutre mais il y en avait aussi partout sur le pantalon et sur ses bas.
Elle a lâché ma verge et porté ses doigts à sa bouche. Lentement elle a léché ses doigts et avalé tout le foutre s’y trouvant.
Elle s’est ensuite levé.
-Mets toi à l’aise, retire ton pantalon.
Aussi suréaliste que pouvait être la situation je me suis levé et ai retiré mon pantalon.
Elle m’a alors repoussé sur le pouf et ai venu s’asseoir les jambes écartées face à moi sur mes genoux.
Nous étions à quelques centimètres l’un de l’autre, mes yeux était maintenant focalisé sur sa poitrine dont les tétons était maintenant gonflés, nous avions tous les deux le souffle court.
Elle a posé ses mains sur mes épaules et les miennes ont rejoint ces cuisses. Elle a commencé à déboutonner ma chemise, ses mains ont parcouru mon torse pendant que les miennes étaient arrivées sur ses hanches.
Son front s’est posé contre le mien, nous avions tous les deux la bouches ouvertes, nos coeurs et corps battaient la chamade.
Sa main est redescendue au nouveau de ma verge qui était de nouveau bien dur.
Elle s’est levé, retourné, a repris ma verge en main pour la diriger vers sa vulve. Elle a alors décalotté totalement ma verge et positionné mon gland à l’entrée de sa vulve littéralement trempée d’excitation. Elle a lâché ma queue, j’ai posé mes mains autour de ses hanches et elle s’est lentement et totalement empalé. Elle a commencé à lentement onduler du basin. Ma queue était dure totalement empalée au plus profond en elle. Les mouvements se sont amplifiés et accélérés petit à petit, nous commencions tous les deux à souffrir, de petits cris sortaient de sa gorge, son vagin commençait à se contracter et totalement aspirer ma queue……Elle commençait à jouir, les contractions ont montées d’un niveau, ses râles aussi, je n’en pouvais plus et me suis répandu en elle ce qui a eu l’effet de la faire exploser et la plier en deux.
Nous étions tous les deux remplis de plaisir, halètant.
Quelques secondes se sont passées ainsi puis elle s’est levée, a pris les deux verres, s’est agenouillée entre mes cuisses et m’a tendue le verre en me fixant droit dans les yeux.
Je lui ai souri, pris le verre et avons trinqué.
-A nous me dit elle.
A nous.
Nous sommes resté ainsi à nous regarder un long moment, échangeant des sourires, des caresses.
Elle s’est redressée face à moi, a déposé un bisous sur ma joue, puis sur l’autre, dans la cou. Elle a happé un de mes tétons, puis l’autre et est descendue vers mon sexe qu’elle a alors commencé à sucer.
Ma mère, à moitié nue, à genoux entre mes cuisses en train de me sucer en me fixant droit dans les yeux. Au bout d’un petit moment ma queue a commencé à durcir, sa langue enlaçait mon gland, au fur et à mesure ses yeux était de plus en plus brillant.
Elle s’est alors redressée et s’est rapprochée de mon oreille.
-Viens me prendre.
Elle s’est levé, est partie vers la table de la salle, posé les mains sur la table, écarté les cuisses et cambré sa croupe. Je me suis placé derrière elle, l’ai prise par les hanches. Ma queue est passé entre ces jambes, elle s’en est saisie et l’a inséré dans sa vulve. je l’ai pénétré à fonds.
J’ai commencé à la pistonner fermement, de nouveau de petits cris sortaient de sa gorge, je la défonçais de plus en plus fortement et ses cris se rapprochaient. j’ai de nouveau joui en elle ce qui eu pour but de la faire bondir.
A près avoir repris son souffle elle s’est retournée, positionnée à côté de moi et m’a glissé à l’oreille:
-Tu avais peur de ne pas être à la hauteur, personnellement je t’ai trouvé très bien, merci pour la soirée, bonne nuit.
Nous nous sommes chacun jetés sous une douche et sommes partis faire une bonne nuit après cette aventure désorientante mais fort agréable.
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