Note préalable, ce texte n’est que pure projection et n’est en aucun cas le reflet de quelconques événements ou personnes.
Les mots claquèrent tel un coup de fouet
« allonge toi la gros pervers… »
Elle me désigne du doigt un lit ancien d’hôpital psychiatrique, la tête de lit et le pied de lit sont barreaudés, oxydés, mais solides, le sommier est a ressorts mais usés, un vieux matelas défraîchis et souillé repose dessus
Je m’installe donc sans rien dire, les consignes étaient on ne peut plus claires, fermer ma gueule et obéir, cela commençait d’ailleurs a m’exciter
J’étais a poil, avec des menottes en cuir autour des poignets et de chevilles, mais aucuns raccordés ensembles
« alors il paraît qu’on est un sale pervers qui aimerait jouir sous la contrainte, comme une grosse pute dépravée, tu veux te faire violer petite merde? »
Elle prononçait ces mots tout en m’attachant les poignets et les chevilles au barreaux, comme je la regardais faire et oubliais de repondre, elle m’assena une gifle sur la bite
« Tu vas répondre quand je te parles sac a merde? »
Je hochais la tête de haut en bas
« Oui maîtresse »
« OUI QUOI?? Sac a foutre? »
« oui… J’ai … Envie d’être forcé de jouir et violé par des femmes »
« ok mon gros pervers, on va arranger ça, tu vas t’en souvenir crois moi »
En ressenrant les menottes autour de mes poignets et chevilles elle appuya sur un bouton
Et une femme entra, jeune, peut être 30 ans, plutôt mignonne, jolie poitrine et joli cul, brune, féline souriante
« elle c’est soumise H, un gros pervers comme toi n’a pas a en savoir davantage, elle va te sucer un moment et te préparer avec moi, gare a toi si tu jouis, et elle suce plutôt bien pour une salope donc retiens toi de toutes tes forces… »
Soumise H s’allongea entre mes jambes écartées et tout sourire attrapa mon sexe demi bandé et l’enfourna tout entier dans sa bouche immense, couilles comprises, aussitôt je sentais sa langue se glisser entre mes couilles et mon sexe et masser mes bijoux avec expertise et voracité
« alors grosse merde, elle suce bien hein? Je serais toi je penserais a tout sauf a sa bouche délicieuse et perverse qui te pomperas dans le but de te faire gicler ton foutre, sinon elle aura 40 coups de cravache… Donc retiens toi de toutes tes forces, elle sera sans pitié »
Passant des sangles a soumise H
« vas y sangle lui le bide, je ne veux pas qu’il puisse bouger »
Évidemment, savoir que j’allais être sucé comme ça durant longtemps, que je devais me retenir de jouir et que cette femme suçait sublimement, me fit raidir le sexe de plus en plus, le plaisir grondant dans mes couilles, ne demandant qu’à sortir
Je gémissait encore et encore, tentais de supplier la soumise de ralentir, mais rien n’y faisais, elle continuais a me pomper avidement avec un sourire dans le regard
Lorsqu’elle senti mon sexe palpiter entre ses lèvres elle força encore le rythme et la puissance de sa succion alors que la maitresse venait de refermer une sangle autour de chacune de mes cuisses et une bien serrée autour de mon cou, comprimant légèrement ma gorge et limitant l’irrigation de mon cerveau
Le plaisir fut sans commune mesure, la bouche soyeuse et experte de soumise H m’arrachant le plus puissant des orgasmes
Je grognais comme un porc en rut en déversant mon foutre dans sa bouche d’ange
Elle ouvrit la bouche en montrant le sperme récolte pour prévenir sa maîtresse que son devoir était fini
« bien H, tu peux aller t’asseoir sur son visage, il va te remercier comme je vais lui ordonner »
Toute guillerette, elle vient poser ses fesses sur ma bouche et les écartant bien large, elle appuya sa rondelle sur ma bouche
La maîtresse enduis alors mon sexe d’huiles tout en plaçant des élastiques autour de la base de mon paquet, les élastiques enserrant mes bourses et mon membre, empêchant le retour du sang
« toi tu vas pas aimer la suite, mais tant pis tu n’as pas pu te retenir »
« Mais… »
Je n’eu pas le temps de protester, une puissante claque me cloua le bec
« Ta gueule quand je parle grosse merde »
Je sentais alors un sorte de tube dans lequel elle fit pénètre mon sexe flasque encore humide
Elle mit en route la machine qui aussitôt se mit a me pomper littéralement la queue, je sentais mon sexe aspiré a l’intérieur de plus en plus fort sans pouvoir rien faire pour le soustraire
« lèches la du mieux que tu peux, fais la jouir et je te le retire un peu, échoues et cette merveille t’arrachera ton jus, et pour être certain que tu bandes bien je vais ajouter cette autre merveille, un plug en acier d’electrostimulation, il va pousser sur ta prostate et envoyer des impulsions électriques te forçant a contracter tes muscles pelviens et augmentant ton érection et ta sensibilité »
Avant même qu’elle n’introduise l’objet dans mon anus je rebandais déjà a fond, le viagra commençait a faire effet…
Je me sentais impuissant, et cette sensation renforçait inexorablement mon plaisir. Tout comme la suffocation résultant des effets conjugués de la sangle serrant ma gorge et des fesses délicieuses de soumise H fermées hermétiquement sur ma bouche et mon nez, il ne fallut pas longtemps pour que ces effets cumulés me poussent vers un second orgasme, je gémis horriblement entre les cuisses ruisselantes de soumise H qui gloussait de plaisir tout en se tripotant le clitoris avec un vibro puissant
Elle commença a remuer de plus en plus, annonçant un orgasme proche, ce fut le déclencheur de mon second orgasme et premier dans la trayeuse, j’avais l’impression que l’on m’arracha’extrayait les dernières gouttes de sperme de mes couilles
Je hurlais entre les cuisses de soumise H qui semblait aimer cela et se frottait le sexe et le cul de plus belle sur ma bouche
« ta gueule lopette » lâcha la maîtresse en augmentant la puissance de la trayeuse et sa vitesse
« Je t’avais dis que tu allais le regretter et, hélas pour toi, on vient juste de commencer
H, va chercher la suivante »
Je suppliais la maîtresse d’arrêter la machine, pour toute réponse elle saisi les couilles, les comprimant entre ses doigts et me cracha au visage
Je hurlais a nouveau, mais a cause du viagra, même la douleur ne me faisait pas débander
La femme suivante entra, d’allure stricte et hautaine, habillée en tailleur, la coupe carrée et un maquillage précis et marqué, blonde, petite et trop mince a mon goût
Elle vint devant moi, me sourit sadiquement et se mit a torturer les tétons et mes cuisses de ses ongles
« mmmmm, il est réceptif, j’aime ça »
« n’est ce pas, il a déjà éjaculé deux fois et il ne sait pas débander, le probe inséré dans son cul le force a contracter son anus et sa prostate est surstimulée, Ce jeune porcelet n’a pas fini de se vider et de hurler crois moi »
Sur ces mots, la nouvelle augmenta la vitesse de la trayeuse et l’intensité du courant du stimulateur M’arrachant un râle de bête agonisante
« Hahaha on dirait qu’il va encore jouir, tu crois que je peux mettre ses tétons en traction? »
« Mais bien sûr il est là pour servir et jouir »
N’attendant pas une seconde, la nouvelle plaça des pinces de traction sur mes tétons et mes testicules, les raccorda toutes les pinces sur un système de poulies et elle s’assura de bien tendre les cordes
Je suppliais de me libérer, que je n’en pouvais plus, je pleurais et tremblais elle se pencha sur moi et prononça sadiquement
« Continue seulement, j’adore les cris et les pleurs mon bébé, maman va bien s’occuper de toi »
S’en était trop, je jouissais une troisième fois sans pouvoir me contrôler ni prendre de plaisir tant ma stimulations était implacable
Les yeux a moitié révulsés, la bave aux lèvres je gémissait alors que la trayeuse m’aspirait de force quelques gouttes de jus de couilles, la sadique accélérait alors encore les mouvements de la pompe et montait la puissance de l’électrode, tout en augmentant la traction sur les pinces qui m’arracherent une longue plainte, puis des suppliques en cascade
« Rhaaaa pi…tié je vous….haaaaaaaaaaa en supplie…. Arrrrrhhh…ettez…je ferai ce que …vous …voudrez »
Partie 1 fin
La suite si vous le désirez
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