Dans le couloir menant aux chambres, tu as découvert une porte dérobée à laquelle tu n’avais pas fait attention le matin. Tu l’ouvres et te retrouves en haut de marches à peine éclairées. Tu décides quand même de descendre à tâtons. Prudemment, tu franchis les niveaux en te tenant aux murs de chaque côté afin de ne pas chuter. Tu arrives sur un palier qui s’ouvre sur la gauche. Tu t’engages et dois choisir entre deux nouvelles portes. Quelle importance penses-tu en ouvrant la plus près de toi. Dedans il fait sombre. Une pale lueur venant d’un rayon de lune franchissant le soupirail ne parvient pas à éclairer la pièce. Par contre l’odeur de lessive et d’adoucissant ne trompe pas, c’est la buanderie. Toujours en tâtonnant, tu reconnais le froid de l’émaille d’une machine à laver le linge, à moins que ça ne soit un sèche linge mais qu’importe, le temps passe et il te faut te dissimuler. Tes pupilles se sont peu à peu habituées à la pénombre et tu distingues une sorte de grand panier à linge. Dedans, quelques morceaux de tissu, sans doute des draps ou autres serviettes de toilette. Tu songes à te dissimuler au fond, sous l’amas de linge mais tu y renonces te disant que c’est ce qu’ils vont penser. Alors tu sors le panier de son logement et te glisse à la place en le ramenant sur toi. C’est bon te dis-tu, dès lors tu te calmes et les battements de ton cœur reprennent un rythme plus sage.
Tout est calme. Aucun bruit ne te parvient. Tu te prends à rêver qu’on ne te trouve pas. Tu t’assoupirais bien mais tes fesses nues sur le froid du ciment te rappellent à l’ordre. Surtout, ne pas bouger. Les minutes s’écoulent. Tu n’as plus aucune notion du temps. Le quart d’heure est-il écoulé? Ont-t-ils abandonné les recherches ou attendent-ils que tu te montres pour te tomber sur le râble? C’est alors que tu te poses ces questions que tu entends, te semble-t-il, un bruit de porte. De nouveau ton cœur bat la chamade. Tu fais attention à ne faire aucun mouvement qui révèlerait ta présence. Aucun son non plus. Tu fais en sorte de respirer doucement. Cette fois ce sont bien des bruits de pas que tu entends dans l’escalier. Des frissons parcourent ton corps.
Les pas sont sur le palier. Maintenant que tes yeux se sont accoutumés tu peux voir la poignée de la porte. Tu la fixes. Elle bouge! Tu te raidis. C’est bien ça, la porte s’ouvre et laisse filtrer un rai de faible lumière. Tu enfonces ta tête dans tes épaules pour être encore plus petite dans ta cachette. La silhouette entre. Tu n’arrives pourtant pas à distinguer si c’est un homme ou une femme. Soudain, la lumière jaillit, crue, vive, violente. Quelle idiote te dis-tu, tu n’as même pas pensé à allumer toi-même pour te cacher tout à l’heure. Cette fois tu le vois, c’est un homme. Tu es pétrifiée, inerte. Il regarde partout, c’est sur il va te voir. Il fouille dans les placards, sur les étagères où il déplace des piles de linge. Il s’apprête à repartir mais il revient sur ses pas et soulève les draps et les serviettes dans le panier derrière lequel tu es. Tu fermes les yeux et tout d’un coup tu ne sens plus l’osier frotter contre ta cuisse. Par contre tu entends sa voix de male crier victoire à la cantonade. Il te prend le poignet pour t’aider à sortir de ta cachette et te tire vers la sortie.
Après avoir rameuté le reste de la troupe, vous vous retrouvez tous de nouveau dans la salle à manger. La maîtresse de maison reprend la parole en félicitant l’heureux gagnant et en te félicitant également car, estime-t-elle, tu t’es fort bien cachée dans une maison dont tu ignores presque tout. Après quoi elle demande au vainqueur de choisir sa partenaire. Celui-ci semble hésiter puis il demande si ce doit forcément être une femme? Étonnement de notre hôtesse quelques fractions de seconde, mais elle répond qu’après tout aucune règle stricte n’est fixée, alors il peut choisir qui bon lui semble. C’est ce qu’il fait en désignant le maître de maison qu’un sourire illumine. Il est manifestement heureux de participer. A ce moment précis, l’hôtesse annonce qu’il faut la suivre. Elle se dirige vers le couloir des chambres, ouvre cette même porte par laquelle tu étais parvenue à la buanderie, descend les escalier suivie de la petite troupe et ouvre avec une clé la seconde porte qui t’avais fait hésiter. Tu t’aperçois alors que tu n’aurais pas eu le choix de toute manière. Vous entrez. La pièce est sombre, sans fenêtre ni soupirail. Soudain un éclairage indirect discret révèle le contenu de cette salle. C’est une cave voûtée, genre médiéval. Le décor rappelle un club échangiste. Sofas et canapés de velours rouge, tables basses et comptoir dans un angle. Au sol, des tapis, beaucoup de tapis, on se croirait dans un bordel au Maroc. La seule différence, c’est qu’en plus, divers objets de torture meublent les murs. Des carcans, des croix avec des lanières de cuir aux extrémités, des fouets, des masques de cuir, etc.. Au centre une table ni basse, ni normale. Elle est entre les deux. Avec des menottes à chaque pied. Facile d’imaginer son utilité. Certains ouvrent de grands yeux alors que d’autres semblent déjà connaître les lieux. Les non-initiés font le tour de la pièce, regardant de plus près chaque objet, chaque petit coin, se demandant parfois leur fonctionnement. Mais ce soir, rien de très sévère ne t’est réservé. Alors que la plupart prenne place dans les canapés, les deux heureux gagnants se mettent au centre. Il t’est demandé de les déshabiller. Ensuite, alors qu’ils sont côte à côte, tu dois les sucer à tour de rôle. Ce que tu fais avec application. Quand tu en suces un, tu branles l’autre. Très rapidement, tu obtiens deux belles érections. Ils en profitent pour rapprocher leurs queues et tentent de pénétrer ta bouche ensemble. Tu as beau faire des efforts pour ouvrir tes mâchoires au maximum, il n’y a que les glands qui rentrent. Voyant cela, ils abandonnent l’idée, et tu reviens à une fellation classique. Dans les canapés ça commence aussi à se frotter. On peut voir des moignons de bras. Le reste étant perdu entre des cuisses accueillantes, voire même plus loin. Des seins sont tétés par des bouches avides pas toujours masculines, alors que des sexes raides disparaissent entre des lèvres mouillées de salive.
Se jugeant suffisamment bandé, l’un des hommes se couche sur le dos. Le second, notre hôte, te fais signe d’aller t’empaler la chatte sur sa bite tendue. Ensuite il vient derrière toi présenter sa grosse bite à l’entrée de ton trou du cul. Tu as tellement mouillée durant la séance de suce qu’il n’est nul besoin d’un lubrifiant. D’ailleurs, se ravisant, au lieu de t’enculer directement, il te force la chatte et vient rejoindre son ami dans ton vagin trempé. Tu pousses un cri au moment de la pénétration, mais très vite cette nouvelle sensation te donne un plaisir que tu ne connaissais pas encore. Deux bites dans la chatte, voilà qui est nouveau. Mais il la ressort. Maintenant que ta mouille l’a bien lubrifiée, c’est ta rondelle qu’il force. forcer est exagéré car en fait, une légère pression a suffit pour que le gland soit avalé. Après un temps pour que ton cul s’habitue, il t’enfile le reste de sa queue, doucement, sans a-coup, mais en continu. Durant cette pénétration, tu as la bouche ouverte, un peu crispée, c’est quand même une très grosse bite. Pas énormément longue, mais très épaisse. Bref, tu la sens passer. Mais après, les deux va-et-vient dans tes trous te procurent un plaisir indicible. Celui du dessous te malaxe les nibards en te pilonnant la chatte tandis que l’autre, agrippé à tes hanches, te bourre le cul à grand coups de reins ponctués de « hans » sonores. A ce rythme, les deux lascars ne tardent pas à être au bord de l’explosion. L’un se retire de ton cul, te soulève afin de dégager l’autre et tout deux se masturbent devant toi, à genou, la bouche ouverte et les yeux fermés. Une première giclée t’atteint sur la joue te provocant un réflexe de recule. Mais tu reviens en position au moment où le deuxième crache aussi son venin. Les deux bites t’aspergent la bouche, la langue, les joues, le nez. Tu sens que ça dégouline sur tes nichons gonflés par le plaisir. On te dit d’avaler, puis des mains te saisissent la tête et on te dit aussi de nettoyer les bites. Autour de votre trio, ça baise un peu partout et dans tous les trous aussi. Il semble que l’assistance soit une belle bande de pervers.
Quand les bruits de succions se sont calmés, lorsque les feulements, les cris de plaisir, les ahanements ont cessé, les corps sont retombés repus au fond des sofas ou à même le tapis. Les seins gonflés luisent de sueur, tandis que les bites devenues molles pendouillent lamentablement. La première à reprendre un peu de vigueur est notre hôtesse. Elle se remet sur pied et s’adressant à toi, elle dit que tu n’as pas encore fini, qu’il te faut nettoyer toutes les chattes et toutes les queues avec ta langue.
Les jours suivants, le beau temps est toujours de la partie. Si bien que tout ce petit monde évolue des chambres à la piscine, de la piscine au barbecue, puis retour à la piscine après une petite sieste plus ou moins crapuleuse, parfois balade en forêt, le tout égayé de rires, de cris, de jeux et bien entendu, entrecoupé de câlineries, de fellations, de cunnilingus, de baise ou de sodomie dont la plupart du temps, tu es la principale actrice mon amour. Mais même si tu es un peu l’objet sexuel au service de tous, ils te le rendent bien. Chacun est attentionné à ton égard et prend soin que tu ais aussi du plaisir. D’ailleurs tu es resplendissante! Tu as vite pris l’habitude de déambuler nue en permanence. Dès le matin, à peine réveillée, tu viens nue prendre ton petit déjeuner et jusqu’au soir lorsque tu disparais dans ta chambre, chacun peut apprécier ton joli corps. Et comme prévu donc, à tout instant, l’un des invités ou l’un des maîtres de maison peut te solliciter afin d’assouvir une envie soudaine. Ainsi il n’est pas rare de te voir à genou sur la pelouse, faisant une pipe ou bouffant une chatte humide. Parfois en même temps, un ou une autre s’occupe de ton arrière train. Mais tout ça se fait dans la bonne humeur. On pourrait voir parfois, sous un certain éclairage, un tableau de grand maître hollandais ou un Renoir. C’est le déjeuner sur l’herbe ou un petit caboulot au bord de la marne. C’est champêtre et bucolique à souhait si ce n’était le satyre qui surgit par instant et transforme tout le monde en bête lubrique. Le soir, vous vous retrouvez tous dans la grande salle à manger, comme un rituel. Le domestique est vraiment extraordinaire car chaque soir, le menu est différent et d’excellente qualité, tant sur le plan culinaire que sur le plan présentation. C’est souvent un plaisir pour les yeux avant d’en être un pour les papilles. Un soir, c’est toi qui a servi de plat de présentation. Tu t’es allongée sur le dos à même la table et il a disposé sur toi tous les ingrédients nécessaires au repas. Tu es couverte de la tête aux pieds de victuailles. Quand les autres sont arrivés, les cris d’admirations succédaient aux bravos enthousiastes. Puis tous se sont jetés sur toi. Ils ont enlevé des rondelles de saucisson, des tranches de jambon cru, des radis, du chou fleur, des demis œufs durs, des feuilles de salade, etc… Ils ont trempé les légumes dans un bol de sauce posé sur tes cuisses, au niveau de ta chatte, avant de les croquer goulûment. Mais assez rapidement, ça a dégénéré. On commençait à apercevoir des bouts de ton corps, alors certains et même certaines, ont grimpé aussi sur la table pour déguster directement sur ta peau. Ils t’ont léchée, attrapé du saucisson avec les dents, tout en se déshabillant pour finalement terminer comme toi, plein de victuailles, de sauce, de salade, de vinaigrette, bref, une belle orgie. On t’a fait sucer des bites avec de la mayonnaise, bouffer des chattes enduites de crème, téter des seins à la crème anglaise et tu t’es faite baiser et enculer par des hommes que tu ne reconnaissais plus tant leurs visages et leurs corps étaient maculés de denrées aussi variées que visqueuses. Ce fut quand même une bonne partie de rigolade qui s’est terminée sur la pelouse, où tout le monde s’est fait asperger au jet par le domestique requit pour l’occasion.
D’autres soirs se sont terminés dans la pièce du sous-sol. Tu as ainsi goûté à plusieurs instruments. Tu as été crucifié, tu as testé la chaise gynécologique, tu as essayé quantité de godes et autres jouets intimes, tu as même enculé une femme avec un gode ceinture alors qu’un homme t’enculait en même temps, si bien qu’à force, avec cet entraînement intensif, presque à la fin de ton séjour, une double anale ne te faisait plus peur. Tu as obtenu l’adhésion de toutes et tous. Ils t’ont vraiment appréciée, tant sur le plan sexuel que sur le plan humain. Lorsque je suis venu te rechercher, à la fin des deux semaines, ils n’ont pas tari d’éloges à ton sujet. Je crois même qu’ils t’ont décernée l’oscar de la meilleure suceuse. Aussi bien hommes que femmes d’ailleurs. Je suis vraiment très fier de toi Annabelle mon amour. Nous pourrons sans doute faire encore de grandes choses avec toi.
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