Thérèse est une jolie femme, la cinquantaine, menue, frisée. Elle a un corps superbe avec un cul bien ferme et de jolis petits seins bien durs. De plus, ce qui ne gâte rien, elle adore la bite et le cul. Elle ne peut pas voir un homme sans imaginer immédiatement ce qu’elle ferait avec sa bite ! Dès que j’ai envie d’un bon plan baise bien dégueulasse, j’appelle Thérèse. Ce soir là, j’avais une grosse envie de chatte et de bite et Thérèse était disponible. Je lui donne rendez-vous au cinéma porno du Châtelet et lui dit de venir avec sa tenue la plus sexy possible. Je lui dis aussi que je mettrai mon string noir en cuir. Déjà au téléphone elle me raconte qu’elle mouille comme une folle et qu’elle se branle en pensant à ma bite dans sa chatte !
Le soir, nous nous retrouvons comme convenu devant le cinéma. Thérèse a mis son ciré noir et des hauts-talons. Elle porte des bas noirs et je suis sur qu’en dehors de ses porte-jarretelles et de son soutien-gorge noir, elle est nue. J’ai fait de même, avec mon string en cuir noir et un pantalon en cuir noir, je n’ai mis que mon imperméable. Nous entrons dans la salle. Elle est presque vide. Aussi nous en profitons pour nous installer sur le rang du fond pour être tranquille et voir les clients qui rentrent. A l’écran, le film deux travestis superbement bien montés et un couple.
La femme est très menue et l’homme est noir, avec une queue énorme et des couilles comme des mangues ! Un travesti est allongé et se caresse les seins. Il bande comme un âne et la femme s’empale sur sa queue. Elle gueule et mouille comme une folle ! Le noir se met derrière elle et commence à lui doigter l’anus en se branlant. Sa queue fait au moins trente centimètres de long ! En même temps, il suce la bite du deuxième travesti tout aussi bien monté.
A coté de moi, Thérèse est entrain de se caresser les seins et la chatte en gémissant qu’elle veut une grosse queue comme celle du noir dans le cul ! J’ai sorti ma bite de mon string et commence aussi à me branler. Thérèse me suce en bavant sur ma queue et elle s’assoit dessus en se caressant les seins. Elle a la chatte brûlante et pleine de sperme ! Elle me dit que je l’avais trop excité au téléphone et que faute de mâle à sa disposition, elle avait baisé avec son dogue Ralf ! Comme je le connais pour avoir déjà pris sa bite dans mon cul, j’imagine qu’il lui a mis un demi-litre de sperme dans le ventre ! D’y penser me fait bander encore plus et je lui dit :
« Salope, tu aurais pu m’appeler ! J’ai envie de foutre maintenant ! Il me faut une grosse bite pleine de foutre pour la faire juter et la boire ! Branle-toi, salope et fait moi boire ton jus mélangé au foutre de ton chien ! Regarde à l’écran les queues superbes ! Je veux les mêmes pour nous ! Si tu vois un ou deux hommes qui entrent, tu les dragues et on les sucent ! »
Elle me répond :
« Gros salaud, tu veux du foutre plein la gueule ! J’en veux aussi ! On va partager ! »
En attendant, elle continue de s’empaler sur ma queue en gémissant de plus en plus fort, ce qui attire bientôt deux hommes, un noir et un arabe. Ils s’approchent doucement en se caressant et comme nous leur faisons signe, ils sortent leurs queues. Thérèse commence aussitôt à sucer le noir en lui caressant les couilles. Il a une bite aussi grosse et longue que celui à l’écran !
Moi de mon côté, je suce l’arabe qui n’est pas mal monté non plus ! Il me rempli la bouche et j’avale son gland à fond. Ses couilles sont lourdes et rasées. Je les sent bien pleines de bon foutre chaud ! Je lui doigte le cul pour le faire bander encore plus. Thérèse suce maintenant à fond le noir qui ne tient plus ; il sort sa queue et presque aussitôt, il balance son foutre en longs jets brûlants sur le visage de Thérèse et le mien.
Il crache au moins dix fois son sperme, sans débander ! Voyant cela, Thérèse se lève, se retourne et se met à quatre pattes pour me sucer en tendant son cul vers le noir. Celui-ci n’hésite pas et enfonce son énorme dard dans la chatte brûlante que lui tend Thérèse. Je la sens qui tremble de jouissance !
Elle me bave sur la bite ; je sens que je vais jouir ! Je pompe à fond l’arabe pour qu’il me crache son foutre ! Il ne résiste plus et je sens son sperme qui monte de ses couilles vers ma gorge ! Il en sort encore plus que de celle du noir ! Cela me dégouline le long des lèvres sur mes seins ! A mon tour, je jouis et je sens Thérèse qui aspire mon jus et le bois jusqu’à la dernière goutte. Elle a toujours la queue du noir dans la chatte. Celui-ci jouis à nouveau et lui rempli le ventre de foutre. Nous en avons partout !
Nous achevons de nous déshabiller et nous nous étalons le sperme sur nos corps. Maintenant, c’est parti ! Il nous en faut encore ! La plupart des hommes dans la salle sont venus voir ce qui se passait et profite de la fête ! Ils sont une douzaine, la queue à la main et se branlent autour de nous. Les jets de foutre partent en cadence et nous arrosent le visage ou le ventre !
Des mains nous branlent ; des doigts nous pénètrent ; des langues nous lèchent. Le noir de tout à l’heure se fait maintenant enculer par un géant qui lui écartèle le cul. Il trique à nouveau comme un âne avec un gigantesque mandrin dans le cul ! L’arabe le suce en se branlant et en se faisant enculer aussi. C’est une véritable partouze et un bain de foutre qui se déroule dans la salle. D’autres clients arrivent et remplacent les premiers ! En deux heures, c’est une cinquantaine de queues qui nous ont arrosé. Pour finir, nous allons dans les toilettes pour nous faire pisser dessus ! Nous somme lavés par des litres de pisse bien chaude. Quelques-uns uns réussirent même à nous pisser dans le cul pour nous faire un lavement !
Nous étions épuisés par les jouissances multiples de cette orgie.
Il nous fallu une bonne heure pour arriver à nous nettoyer et pour sortir enfin de la salle. Thérèse me propose de la raccompagner en me disant qu’elle a une surprise pour moi. Nous prenons ma voiture et comme il est passé minuit, je me dirige vers le bois de Boulogne qui est sur le chemin. Je lui dis :
« Comme nous sommes en tenue ce soir, j’ai envie de t’offrir une belle bite d’arabe et de m’offrir un beau brésilien ! Il fait encore assez chaud pour qu’on puisse baiser dans le bois. »
Aussitôt, je vois s’afficher sur son visage un rictus de plaisir ! Elle se caresse les seins et la chatte et me fait sucer ses doigts pleins de jouissance. Une fois dans le bois, nous sortons et j’emmène Thérèse dans un sous-bois que je connais ou il y a de magnifiques travestis. Ce soir, ils sont quasiment nus, avec juste des bottes de cuir, un string et un mini soutien-gorge. J’en repère un qui a beaucoup de difficultés à cacher une très belle queue entre ses cuisses et qui a de très beaux seins. Je dis à Thérèse :
« C’est lui que je veux ! Tu as vu son cul et sa bite ? Et ses seins ? Je veux sa grosse bite dans mon cul de salope ! »
Thérèse de son coté a repéré un arabe qui s’exhibe non loin de là. Il a une très longue et grosse bite qu’il branle chaque fois que passe un client à sa portée. Elle me dit :
« Regarde, c’est sa bite que je veux dans ma chatte ! Si tu veux ton travesti, vas dire à l’arabe qu’il peut me baiser ! J’ai la chatte trempée ! »
Je m’approche d’abord du travesti et j’entame une discussion avec lui :
« Bonsoir ; qu’est-ce que tu proposes ? »
« Bonsoir ; c’est 10 € la pipe, 20 € l’amour »
« Si tu as la queue pleine de foutre, je te propose 50 € pour une partouze dans le bois avec ma copine qui est là-bas et l’arabe qui s’exhibe. Qu’en penses-tu ? »
« C’est OK. Je m’appelle Georgia. »
« Si tu veux, tu vas voir ma femme pendant que je vais discuter avec l’arabe. »
Il se dirige vers Thérèse pendant que je m’approche de l’arabe. Il me prend pour un client et sort une nouvelle fois son énorme membre et le branle doucement. J’écarte mon imperméable pour qu’il voit mon sexe que j’ai sorti de mon string. Je lui dis :
« Tu as une très belle bite. As-tu envie de baiser une chatte en chaleur ? »
Il me répond :
« J’ai envie d’une chatte ou d’un cul de blanc. Tu veux que je te baises ? »
Je lui dis :
« Pas moi, mais ma copine qui est là-bas avec Georgia. On veut faire une partouze à quatre dans le bois. Toi, tu baises Thérèse et moi je baise Georgia. Cela te va ? »
Sans un mot, il me suit et nous allons retrouver Thérèse et Georgia qui se caressent mutuellement en s’embrassant à pleine bouche ! Nous nous enfonçons discrètement dans le sous-bois encore tiède jusqu’à trouver un tapis de feuilles sèches. L’arabe s’allonge par terre et Thérèse commence à le sucer. De mon coté, je suce Georgia pendant qu’il me doigte le cul. Sa bite est très longue et très dure. Je lui caresse les couilles et les seins en même temps. Je bande très fort quand il me pince les tétons.
Thérèse est maintenant à cheval sur l’arabe et s’est enfilé sa grosse queue dans la chatte. Elle le chevauche en se caressant les seins pendant que l’arabe lui pétrit le cul. Moi, je suis à quatre pattes et Georgia commence à m’enculer doucement, jusqu’à rentrer complètement son dard dans mon cul en chaleur. Nous baisons un moment comme cela, puis Thérèse me dit :
« Viens m’enculer en même temps avec Georgia ! Je veux ta bite dans mon cul ! Ahhh ! Je veux sentir deux bites dans mon corps ! »
Tout en gardant la queue de Georgia dans mon cul, je m’approche de Thérèse et comme je bande comme un cerf, je lui rentre toute ma queue dans son cul, d’un seul coup ! Je sens la bite de l’arabe au travers de son boyau. Elle lui rentre jusqu’au milieu du ventre ! Sa chatte dégouline de jus qu’elle utilise pour se caresser le clitoris en même temps. Georgia me met des grands coups de bite dans le cul en cadence avec ceux que je met à Thérèse. Georgia me pince les seins très fort.
Thérèse gueule :
« Ahhh ! Allez-y, crachez votre foutre salauds ! Je sens vos queues qui gonflent dans ma chatte et mon cul ! Je vais jouir ! Je veux votre sperme ! »
L’arabe gicle le premier ; je sens ses jets de foutre dans la chatte de Thérèse. Georgia grossit encore dans mon cul et gicle à son tour en me pinçant très fort les seins, ce qui me fait jouir à mon tour ! Thérèse et moi tombons sur le coté, pendant que Georgia et l’arabe se relèvent. Ensemble, ils nous pissent dessus pendant que nous sommes encore collés par le cul, puis ils disparaissent. Quelques instants après, nous sommes de retour dans la voiture et en route pour aller chez Thérèse et sa surprise. En chemin, Thérèse me dit :
« J’ai vu que tu aimes de plus en plus prendre une bite dans ton cul ! Cela te plait de te faire enculer, salaud ! Tu dois avoir le cul plein de sperme depuis ce soir ! Au moins autant que moi ! Quand on arrivera, tu verras ma surprise ! »
Dès que nous arrivons, je crois comprendre ! En plus de Ralf, il y a un autre chien, un dogue allemand noir, très musclé et très grand. Thérèse me dit :
« il s’appelle Wolf et il baise comme un dieu ! Ce soir, il est pour toi ! Je vais me prendre Ralf dans le cul pendant que Wolf t’enculera. Tu verras, il est très doué ! »
Nous nous mettons complètement nus et comme nous sommes encore plein de sperme et de pisse, les deux chiens nous lèchent immédiatement et commencent à bander. La bite de Wolf est impressionnante ! Plus de vingt-cinq centimètres de long, très épaisse et très rouge, et surtout très dure ! Thérèse est déjà en position et Ralf lui a mis toute sa queue dans le cul ! Je me met à quatre pattes et Wolf aussitôt me monte sur le dos. Je sens son énorme queue qui darde dur sur ma rondelle bien graissée.
Il pousse et commence à m’enculer ! Incroyable, cela rentre tout seul ! J’ai maintenant plus de vingt-cinq centimètres de viande rouge dans le cul qui s’agite et qui me font bander comme un fou ! Wolf pousse toujours et grossit encore ! D’un seul coup, je sens une énorme boule gonflée dans mon cul et Wolf se contracte sur mon dos ! Je sens des secousses dans mon ventre et bientôt je suis rempli de jets de foutre brûlant qui sorte en cadence de la pine de Wolf. J’ai le regard qui se trouble par la jouissance !
Je distingue Thérèse qui s’est fait complètement défoncé le cul par Ralf ! Lui aussi reste collé au cul de Thérèse comme l’est Wolf au mien. Je sens encore des jets de sperme qui me gicle dans l’intestin ! Il a du m’en mettre un demi-litre ! Enfin, Wolf et Ralf s’arrêtent ! Leurs queues toujours plantées dans nos culs, ils se retournent et lèchent nos anus en attendant de se décoller. Il faudra cinq minutes pour qu’enfin leurs bites libèrent nos culs, laissant nos anus béants et dégoulinants de foutre chaud. Définitivement anéantis de fatigue, nous nous endormons sur place, pendant que Wolf et Ralf nous lèchent doucement le cul, la chatte et la bite.
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