Revenant de chez une de mes fille, ma voiture se met à ratatouiller. Quelques kilomètres plus loin, en pleine foret, elle cale. Impossible de la redémarrer. Je peste au volant et téléphone à mon assurance pour obtenir un dépannage mais il n’y a pas de réseau. Il ne me reste plus qu’à espérer qu’un automobiliste me secoure. Il fait nuit noire et pas un chat dans les parages. Sachant qu’il y a un relais poids-lourd un kilomètre plus loin, j’enfile un gilet jaune et me voilà partie dans la nuit pour un marche en talon aiguille.
A une centaine de mètre de l’établissement, je vois de la lumière. Ouf, je vais pouvoir téléphoner. Quand je rentre dans le bar, un silence de plomb se fait et toute les têtes se tournent vers moi. Le patron, derrière le comptoir me lance :
« Elle est perdue la p’tite dame ? »
Je me râcle la gorge, peu rassurée, et lui réponds :
« Non ! Je suis en panne à un kilomètre d’ici et il n’y a pas de réseau. Puis-je utiliser votre téléphone ? »
Son sourire n’a rien pour me rassurer quand il me répond :
« Bien sûr ma p’tite dame ! Mais c’est pas gratuit ! »
« Pas de problème Monsieur ! J’ai de quoi payer ! »
« Huuum ! Oui j’vois ça ! » Dit-il en me déshabillant des yeux.
« Pas la peine de téléphoner ! Chris ! Tu dépannerais bien ce joli p-tit lot ? »
Je rougis de cette trivialité mais j’ai besoin d’aide. Le fameux Chris lève la tête de son verre, m’observe un instant, bois une gorgée, repose son verre et lance :
« Mouai ! Restez là et donnez-moi vos clefs. Vais j’ter un œil à vo’te caisse ! »
Le Patron me propose une bière en attendant. Je lui demande pour téléphoner à mon mari mais il insiste pour la biére. J’accepte et posant le boc sur le comptoir, il me dit :
« T’es pas bien avec nous ? »
L’ambiance devient lourde. Je suis la seule femme dans ce troquet. Je fais encore une tentative mais en vain.
« Je… Si mais mon mari va s’inquiéter ! »
Ils rigolent et le patron me dit :
« T’inquiète on va pas t’faire de mal ! L’Chris va’t’réparer ça en deux coup de cuillére à pot ! Et tu vas voir, il se fait payer en nature !»
C’est vraiment pas fait pour me rassurer. Un dénommé Thierry avec un drôle de sourire béat n’arrête pas de mater mes jambes. Je suis de plus en plus mal à l’aise quand je remarque deux loubards du quartier qui discutent entre eux en me regardant avec insistance. Les loubards se rapproche et font des réflexion déplacées, au moment où Chris entre dans le bar. Je suis sauvée par le gong. Il me dit :
« C’est bon ! C’était rien v’te caisse est réparée ! »
Le patron interrompt et lui susurre un truc à l’oreille.Je me léve pour partir mais un type me retient par le bras en me disant :
« Oulà la p’tite dame ! Tu crois pas que tu va nous quitter comme ça ! »
Le fameux Thierry, c’est mis derrière moi sans que je ne m’en aperçoive. Soudain, il se met à me peloter les seins. Je pousse un cri de surprise. Mais le patron intervient.
« Ta gueule salope ! Tu pensais rien payer ? J’t’ai bien dit que Chris se faisait payer en nature ! Les bourges comme toi qui entre dans un routier, c’est que pour se faire troncher ! »
Je proteste et me rebelle mais déjà j’ai les seins à l’air. Un black s’écrie :
« Wouaaa !!!! un peu les mamelles de cette bourge ! Son mec doit pas s’ennuyer avec une tel pute ! »
Il joint ses gestes à la parole en me malaxant les seins pendant que Thierry trousse ma robe et baisse mon string. Je veux me débattre et fuir mais j’en suis incapable entravée par ma culotte et retenue par ces puissants gaillards. Pendant que le Patron ferme le bar, on me pousse la tête sur une queue qui me force la bouche. Là, que m’arrive-t-il ? Mécaniquement, j’ouvre la bouche où s’engouffre aussitôt le chibre. Je suis en train de me faire violer dans ce bar sordide et curieusement, la peur et la révolte fait place, pas encore à du plaisir mais une sorte de lâché prise. Je me met à sucer cette bite avec toute mon expertise. Des encouragements insultants et vulgaires fusent, .obscènes.
Une main me fouille la chatte et son propriétaire lance :
« Elle mouille la bourge comme une chienne en chaleur ! »
Une autre queue remplace celle que je suçais. Le nouveau membre s’active dans ma bouche comme si on me baisait. La tête me tourne. Le patron a du mettre un truc dans mon verre c’est pas possible. On me met à quatre pattes et l’un d’eux m’enfile d’un coup sec jusqu’à la garde. Il n’a aucun mal à me pénétrer tant je suis ouverte et trempée. Une bite dans la bouche et bourrée rudement par la chatte, mes gros seins ballottent dans le vide. Je pousse des gémissements étouffés par la queue qui occupe ma bouche. Des mains s’emparent de mes seins qui sont malmenés. Les bites se succèdent devant ma bouche et dans ma chatte. Je ne suis plus la bourgeoise BCBG mais qu’un trou à remplir. Je me rend soudain compte qu’un des loubard du quartier prend des photos. Mais dans la foulée, un gros dard tente de m’enfiler par le cul en double. Je veux crier mais je ne peux pas et l’engin me dilate l’anus inexorablement.
Rapidement, celui qui me prend par derrière éjacule et lâche un torrent de sperme dans mes entrailles. Aussitôt un autre se lâche sur mon visage. Au fur et à mesure des pénétrations, je suis rempli de sperme. J’en ai partout. J’halète comme une salope. Un filament blanchâtre coule de la commissure de mes lèvres pour s’écraser sur mes seins. Je suis anéantie. Je suis leur jouet et il ne compte pas s’arrêter de m’humilier comme ça. Ils veulent profiter et abuser de moi jusqu’au bout. Après avoir taillées des pipes à tous ces obsédés et avoir été prisent de toutes les façons, les couilles vides, ils veulent s’amuser avec moi. Ils prennent une de mes chaussures et le cul bien exposé, ils y enfonce le talon aiguille. Les téléphones doivent chauffer avec toutes les photos qu’il prennent.
Après toutes ces humiliations, le réparateur de ma voiture me lance mes fringues en me disant :
« Voila ma salope ! Ta pris ta pétée ! Rentre chez toi ! Tu ferme ta gueule sinon ton mari recevra les photos ! »
Maladroitement, je me rhabille comme je peux ce qui les fait éclater de rire. Les deux loubards me regarde avec un air salace qui n’augure pas de bonne chose pour la suite car ils habitent dans mon quartier. L’un d’eux me lance :
« A demain salope ! On sait où t’habite ! »
Arrivée chez moi, Alain n’est pas là. Il doit encore être à faire une partie de poker. Heureusement quelque part car dans l’état où je suis, je n’ai pas à rendre de compte et je file direct sous la douche en essayant d’occulter ce qui vient de se passer.
Ajouter un commentaire