‘Allez ma belle, assez rigolé, tu as du travail’ Elle me donna une claque sur mon cul, le cuir de ma robe claqua.
Elle ma poussa hors de la salle de bain et me montra les vêtements qu’elle avait amené dans sa valise. Je devais les ranger dans mon placard et jeter mes vêtements dans des sacs poubelles !
Bien sur les nouveaux vêtements étaient féminins et en majorité en nylon : culottes, soutien gorges, gaines, bas, des chemisiers satins, des tailleurs très classes avec pantalons à pinces.
Une vrai panoplie de parfaite allumeuse et ça m’était destiné !
‘Bien sur tout ça sera retenu sur ta prochaine paie, ma chatte ‘
‘Mais enfin madame, je …’ une claque violente m’atteignit au visage. La deuxième !
‘Ca suffit !
‘Bon tu veux que je te détache ta limace baveuse de ses chaines ou non ? Alors sois une gentille fille !!
‘A genoux’ me cria t-elle. Son ton de voix avait changé et j’étais inquiet de sa réaction.
J’obéis donc et exécutai ses ordres : à genoux et mains dans le dos.
Elle passa derrière moi en frottant sa robe en cuir contre moi.
Bien sur je ne fus pas surpris quand elle m’attacha les mains dans le dos.
Elle me poussa violemment en avant en je me retrouvait les épaules au sol, le cul en l’air.
Elle releva ma robe sur mon dos et baissa ma culotte inondée.
j’avais honte de ma position et peur de ce qu’elle avait en tête, mais j’espérai toujours qu’elle allait me libérer de ces chaines.
‘Eh bien ma cochonne, tu vas encore avoir une culotte à laver, elle me la fit glisser et l’enleva. Puis j’entendis le bruit tant espéré : un cliquetis de cadenas qu’on ouvre. Mon sexe, lesté du cadenas sur le gland, détaché de mes couilles, retomba à la verticale en m’arrachant une douleur aigue. Je sentais qu’elle enlevait ce cadenas maintenant, la douleur était intense, l’anneau pour se retirer forçait sur mon sexe en feu.
Tout de suite je fus soulagé, je sentais mon sperme s’écouler encore lentement de mon sexe.
‘Ne bouges pas, restes en levrette ma belle’
Elle allait fouiller dans la valise. Elle défit ensuite la chaine autour de mes couilles, mais le bonheur de retrouver mon corps indemne et libre ne dura pas. Je sentis sa main gantée tirer sur mon sexe et mes couilles et l’autre enrouler une nouvelle chaine. Elle s’était assise sur mon dos et se penchait pour tirer mes couilles vers le bas, quand je commençais à me débattre. Clic ça y est le cadenas s’était refermé, elle me lâchait et se redressait toujours assise sur mon dos.
‘Voila tes couillettes de chiwawa sont bien mises en valeur. Je n’ai fait que 4 tours de chaine. Ta limace pourra reprendre des couleurs comme ça !
‘Mais j’hésite à te libérer les mains, tu te branlerai tout de suite comme une chienne’
Mais elle n’avait pas encore fini : tout en me parlant elle attachait chacune de mes chevilles par une cordelle à mon paquet de couille, ce qui m’obligeait à lever mes pieds. Je ne reposais que sur mes épaules et mes genoux : aucune chance de pouvoir me redresser.
‘Bon maintenant la leçon de savoir vivre : je dois prendre soin de mes sous vêtement généreusement offerts par Mme XXX ‘
Elle se leva, défit sa ceinture bouclée et la fit tourner au dessus de mon cul offert !
‘Et je vois là 3 culottes souillées, jetées sur le sol !’
Sa voix recommençait à se faire menaçante.
J’étais pétrifié de peur : ‘Je suis désolé Mme XXX ! S’il vous plait’
Elle recula de trois pas et abattit sa ceinture sur mes fesses nues. Je criai de douleur. Les 3 culottes finirent au fond de ma bouche !
Elle reprenait son élan, la ceinture s’abattait. Elle avait pris la ceinture par le côté tissus, c’est la boucle en fer qui s’abattait sur mes fesses et mon dos, lestée par son propre poids.
Chaque coup était précédé d’un grand ‘hein’ tellement elle y mettait de force.
Je n’en pouvais plus, je criais à travers ses culottes dans ma bouche baveuse, des larmes coulaient, je ne comptais plus les coups.
Elle fini par s’arrêter, extenuée. Elle reprenait son souffle.
‘Bon la leçon de savoir vivre est apprise je pense ?!’
Je fis signe que oui avec ma tête. Elle détacha mes cordelettes, mes cuisses tremblaient.
Elle me rabattit ma robe en cuir sur mes fesses écorchées, me donna deux tapes qui me firent sursauter de douleur et m’enleva les culottes de la bouche. Elle se plaça devant moi.
‘Relèves toi sur tes genoux ! ‘
Je finis par relever mes épaules, en me roulant sur le côté. Je me trouvai face à elle, à genoux, les mains dans le dos, dans ma robe en cuir, maquillé, les sourcils épilés, les fesses en feux.
‘Lèves la tête et regardes moi’
Elle était là au dessus de moi ses mains gantées sur les hanches, les jambes écartées dans sa robe moulante, sa poitrine imposante. De son escarpin elle appuya a l’emplacement de mon sexe. Elle le savait je bandais à nouveau comme un âne. Les chaines enserrant mes couilles faisaient gonfler mon sexe déjà mal en point ! Mon sexe se plaquait contre ma robe.
‘J’ai bien fais de te laisser attaché, pervers comme tu es, tu essayerai de profiter de mon corps !’
‘Je vais même prendre quelques précautions’
Elle sorti une sorte de collier rose en chainettes argentées de la valise avec un prénom sur le devant et deux anneaux sur les côtés, me le mit autour du coup, et s’écarta pour juger de mon aspect.
‘Voilà à partir d’aujourd’hui tu es ‘Simone’ et tu m’appartiens’
Je la regardai incrédule et j’étais effectivement excité comme une chienne !!
Elle me tira par le collier et m’entraina vers mon lit, fixa une cordelette à un pied et la relia à mon nouveau collier.
J’avais le visage contre le sol.
Elle s’assit sur mon lit et plaça un de ses escarpins magnifique sur ma joue.
‘Et pour commencer nettoies moi ces divines chaussures Simone !’
A SUIVRE
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