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L’initiation

L’initiation



Mon gland est positionné devant son petit anus rose. Je suis inquiet ! Je lui demande si elle a toujours envie. Elle est docilement allongée sur le ventre, des coussins au niveau des hanches remontant ses fesses, et les jambes écartées. Elle tourne son beau visage vers moi et me dit qu’elle a très envie d’essayer mais que je dois faire doucement. Ce n’était nullement mon intention de la brusquer.
Une fois de plus, j’humecte sa rondelle, glisse l’index, et d’elle-même elle recule ses fesses pour s’introduire plus avant. Mon gland est maintenant passé. Elle halète comme un petit chien. Je ne bouge plus. Je repense à la discussion du début du mois avec sa mère, et je me dis que j’hallucine.

Nous sommes vendredi soir. Jacqueline, avec qui nous avons eu des aventures torrides et brèves m’a appelé hier pour me proposer à dîner et me demander un service. Cela faisait un moment que je n’avais plus de nouvelles, et j’ai donc accepté volontiers. Elle me reçoit avec sa fille unique Julie. Je savais qu’elle avait une fille d’environ vingt ans, l’ayant connue enfant, très studieuse, très brillante, passionnée de chimie et de physique, mais je ne savais pas qu’elle était aussi jolie. Un portrait craché de sa mère, à l’échelle réduite : un visage d’ange, de longs cheveux châtains, une bouche aux lèvres pulpeuses, un nez un peu fort mais qui lui donne du caractère et un charme fou. Autant sa mère est pulpeuse, autant Julie est toute en finesse, bras et jambes délicats, doigts fins, yeux sombres de biche.

Le repas est agréable. Et quand je demande à Jacqueline quel est donc le service, je vois Julie devenir écarlate ! Sa maman prend la parole.

— Tu sais, on se dit tout avec ma fille. Et je lui ai dit un jour que de tous mes amants, tu avais été le plus doux et le plus drôle…
— Est-ce que je dois prendre cela comme un compliment ? rétorqué-je, étonné.
— Bien sûr, évidemment ! Et voilà où je voulais en venir. On a pensé avec Julie que tu pourrais être un excellent initiateur. Qu’en penses-tu ?

Je reste un moment silencieux. J’ai l’habitude rendre service, garder un chat, déménager un meuble, réparer une fuite ; mais là, je suis stupéfait…

— Elle n’aurait pas un copain de son âge, à la fac ?

Julie prend la parole, et d’une voix douce mais affirmée :

— Bien sûr, mais j’ai tellement peu de temps pour draguer – je ne suis pas sûre d’aimer cela, en plus – et je voudrais que cela soit réussi. Vous comprenez ?

Son anus s’est habitué à ma présence. Elle me demande maintenant d’aller plus profond… mais doucement. Je m’exécute. Le premier va-et-vient lui arrache un râle, mais c’est une jeune fille courageuse et curieuse. D’elle-même, elle commence à imprimer un rythme lent à ses fesses. Puis le rythme s’accélère. Elle me dit dans un sourire que je trouve crispé que cela commence à être bon. Je la laisse diriger les opérations. La coquine écarte maintenant ses fesses pour que ma pénétration soit plus profonde. D’une manière saccadée, elle me souffle qu’elle n’a pas d’expérience mais qu’elle a Internet. C’est fou comme Julie est excitante…

J’ai rarement dépucelé de filles. En plus, c’est un mot que je n’aime pas : on a l’impression d’être là pour lui enlever des puces… J’hésite un moment. Sa mère me regarde avec insistance, un sourire figé et crispé sur les lèvres. D’un côté, je suis flatté, et même excité parce que Julie est très jolie et sa mère m’a toujours fait de l’effet, même si cela fait quinze ans que nous ne nous voyons plus. D’un autre côté, je suis excessivement mal à l’aise, car faire l’amour sur commande avec une « obligation de résultat », c’est une première pour moi.
Julie l’a senti.

Elle est brillante, cette petite :

— Vous savez, ce sera une première pour moi aussi, et vous êtes trop vieux pour que je m’attache.

Je suis scié ! Nous prenons rendez-vous pour le dernier samedi du mois à dix-sept heures, chez elles. J’aurai eu le temps de faire un test VIH et Julie de se faire prescrire la pilule. En plus, elle a choisi ce jour car c’est le jour de ses vingt ans. La pression est terrible…

Trois semaines à penser continuellement à ce moment. J’ai repris les cours dans la salle de musculation, j’ai mangé équilibré, j’ai couru tous les matins. J’ai même pris quelques séances d’UV !

Ce matin, je me suis frictionné, récuré, épilé, shampouiné. Je suis propre comme un sou neuf ! Je sonne. Jacqueline m’ouvre : je suis surpris ! Elle s’en rend compte et me dit qu’elle s’en va. Elle embrasse sa fille, retient un sanglot et lui serre les deux mains très fort. Julie est ravissante. Elle porte une robe bleu foncé avec des pois blanc qui arrive à mi-cuisses, des chaussures à talons assorties, un joli collier de perles rouge, perles que l’on retrouve comme attache de ses couettes.

— Vous savez, maman est plus tendue que moi. Je sais que je ne risque rien. Et vous allez être gentil, n’est-ce pas ?
— Tu sais, je suis aussi un peu tendu ! lui réponds-je avec une voix qui avait du mal à sortir de me gorge.
— Vous voulez un verre ?
— Pourquoi pas ?

Elle me sert un grand verre d’un alcool fort, pas très bon, et m’entraîne dans la chambre de sa mère en me disant que je dois connaître l’endroit. Je m’assois sur le lit et sirote mon breuvage. Elle est debout devant moi, me sourit, et me dit :

— On attaque ?

Les heures précédentes, j’avais élaboré un petit scénario, et le lui propose. La première étape consiste à ce qu’elle découvre le corps de l’homme.
Je pose mon verre sur la commode en bambou et m’allonge sur le lit en prenant soin d’enlever mes chaussures.

— Voilà, fais ce que tu veux de moi. Dans un premier temps, je ne te touche pas.

Les timides, ou bien les expérimentées peuvent avoir des réactions surprenantes. Je m’imaginais qu’elle aurait commencé par un baiser. Il n’en fut rien ! Elle se penche sur moi et s’attaque à ma ceinture, puis déboutonne les boutons de mon pantalon. Elle fait une pause et me caresse le sexe à travers le caleçon. Je voudrais bander rapidement mais je n’y arrive pas. Elle passe maintenant la main par l’ouverture du caleçon et commence à me tripoter.

— C’est étrange comme sensation… Cela vous fait mal ?
— Tu as déjà caressé un homme ?
— Une fois, mais c’était par hasard. Et il avait bu.

Je sens mon sexe durcir, et j’en éprouve un certain soulagement. Ses caresses deviennent plus précises, ses doigts coulissent maintenant sur ma queue.

— Wouawww, c’est gros ! Je peux y goûter ?

J’acquiesce du regard. Elle penche son visage, et d’un petit bout de langue rose me titille le gland. La sensation est divine. Malgré ma promesse de ne pas bouger, ma main cherche le contact de sa cuisse. Je la touche. J’attends une réaction de retrait qui ne vient pas. Je continue donc ma progression et ma main parcourt maintenant sa peau sur toute la longueur de sa cuisse, remontant jusque sous la robe à la limite de sa petite culotte. Son corps dégage un parfum subtil de jasmin et de savon. Elle a maintenant mon gland complètement dans sa bouche. J’ai toujours trouvé ses lèvres charnues très bien dessinées, d’autant plus quand elle les rehausse élégamment d’un rouge carmin. Mais pas une fois je ne me serais imaginé mettre ma queue dans une si belle bouche.

Sa fellation est maladroite, mais cela ajoute à son charme. Elle essaie d’enfoncer mon membre dans sa gorge, elle lèche, suce, mordille, me branle fort puis doucement. Je ressens bien qu’il ne se dégage aucun sentiment amoureux dans ses caresses, mais plutôt de l’expérimentation. Et après un subtil sentiment de frustration, cela m’excite maintenant. Je vais être son professeur de travaux pratiques…

Je me contorsionne sur le lit et place ma tête entre les jambes de Julie qui n’a toujours lâché ma bite. Nous sommes tête-bêche, sur le côté, et je lèche sa chatte à travers sa petite culotte de soie blanche, sûrement un cadeau de sa maman. Délicatement, je trousse sa robe et fais glisser sa culotte à ses chevilles. Sa chatte est ravissante, quasiment imberbe ; quelques poils bruns et fins forment un léger duvet au-dessus de ses lèvres closes. Avec ma langue, je les sépare et cherche à titiller le clitoris. Elle émet un léger râle et se recule imperceptiblement, puis quasi immédiatement, appuie sa chatte sur ma bouche. Elle a le goût des fruits de printemps, frais et juteux, délicatement sucré avec une pointe d’acidité. Je passerais ma vie entre ses jambes. Le temps s’étire indéfiniment.

Brusquement, la jeune Julie se lève et allume la radio et cherche une station musicale ; son choix s’arrête sur un morceau de R&B. Elle quitte sa robe, garde son collier rouge, revient sur le lit et me dit :

— Vous comprenez, je voulais que, pour la première fois, je puisse avoir une musique que j’aime…

Elle s’allonge sur le lit, sur le dos, à côté de moi, me sourit et écarte ses jambes. D’une main, elle caresse son clitoris et de l’autre reprend ma bite et la branle doucement. Je replonge entre ses cuisses et salive abondamment sur sa petite chatte. Je me place maintenant sur elle. Elle positionne ma queue entre ses lèvres humides, et je m’enfonce doucement. Elle a fermé les yeux, se mord la lèvre et pousse un soupir au moment où je la déchire. Je m’arrête immédiatement et c’est elle, délicieuse Julie, qui commence à onduler du bassin. Lentement, les premiers mouvements, puis de plus en plus fort… jusqu’à ce qu’elle crie et s’abandonne, relâchée comme une morte.

— Wouawww, c’était fort ! Et je n’ai presque pas eu mal… souffle-t-elle, le rouge aux joues. Je me lave, vous m’attendez ? Vous n’avez pas joui ?
— Non, belle enfant. Je t’attends…

Quelques minutes après, elle revient, toute fraîche, plus tendre, plus aimante, et se niche nue dans le creux de mon épaule. Elle me sourit, d’un sourire espiègle, coquin, et sans hésiter reprend ma bite dans sa petite main.

— Je voudrais maintenant que vous passiez par derrière. Vous voulez ? Maman m’a dit une fois que c’était trop bon ! Et si la Nature l’a placé si près du vagin et y a mis des tonnes de terminaisons nerveuses, c’est pour l’utiliser, non ?

Sa spontanéité et sa franchise me fascinent !

— Bien sûr, si tu veux ; que veux-tu que je te refuse ?

Des pensées lubriques inondent mon esprit. J’ai toujours pris beaucoup de plaisir à sodomiser les femmes, et le plaisir a toujours été partagé ; mais là, à l’idée de défoncer le petit cul vierge d’une si jolie fille, je me mets à bander comme un centaure. Ma main glisse en ses fesses, et subrepticement lui glisse un doigt dans son anus étroit et humide.

Je suis entré en elle plus facilement que ce que j’imaginais. La petite est douée et va faire des ravages. Dans l’action, Julie, à plat-ventre, les fesses en arrière, commence à s’agiter frénétiquement. Le rythme s’accélère, mes couilles cognent contre ses fesses, ses deux couettes tourbillonnant en cadence. Elle a glissé un coussin sous son ventre pour que son cul avale mon sexe plus profondément ! Je la tire par les hanches et la mets à quatre pattes. Elle crie maintenant son plaisir. Je sens que je vais jouir et le lui dis.

— Venez dans ma bouche, comme dans les films. Je veux goûter votre sperme ! dit-elle en tournant son visage rougi vers moi, mais en continuant à agiter son bassin.

Ma bite est sortie de son petit trou qui se referme instantanément. Julie se tourne, et ses mains agrippent ma queue qu’elle branle frénétiquement. La sauce monte, et quelques jets furieux arrosent son beau visage et sa petite poitrine. Elle continue de me branler à m’en faire mal. Je l’arrête. Elle prend quelques gouttes de sperme sur ses seins, et d’un index mutin les porte à la bouche.

— C’est bizarre ! Ce n’est pas mauvais, mais c’est bizarre. J’imagine que c’est comme le bon vin : il faut en boire souvent pour commencer à l’apprécier…

Son naturel est désarmant ! Et tellement attachant !

— Bon, je vais prendre une douche, dit-elle en se levant. Vous claquez la porte en partant, et il faudra que vous appeliez ma mère. Elle a bien insisté.

Elle s’éloigne vers la salle de bain.

— Et encore merci ! crie-t-elle en ouvrant l’eau.

Je reste un moment complètement hébété. Je la connais depuis toute petite, je l’ai portée dans mes bras, et là, je viens de l’enculer… et elle m’éconduit comme un vulgaire livreur de pizzas ! Je ramasse mes affaires, lui crie « Bon anniversaire ! » et rentre chez moi, furieux et frustré. Je n’ai pas envie d’appeler Jacqueline, sa maman. Je prends un bain et tente de positiver la situation. Mais la frustration et l’orgueil blessé sont toujours présents.

Mon téléphone sonne alors que je me suis à moitié assoupi dans l’eau tiède. J’écoute le message : c’est Jacqueline qui me dit que sa fille était enthousiaste, qu’elle a tout apprécié, qu’elle me remercie encore. Jacqueline ajoute qu’elle aimerait me remercier personnellement et que je la rappelle vite…
Après m’être séché, je la rappelle sur son portable. Après quelques félicitations qui me gênent assez, ayant l’impression d’avoir réussi un examen d’entrée, elle me propose de venir me retrouver à l’appartement. Elle apporte une pizza.

Jacqueline a toujours été adepte des petits scénarii érotiques, et nous en avons bien profité. Mais à l’époque, j’étais marié et elle aussi, avec le père de Julie justement. Et la pizza était une de nos histoires préférées. J’arrivais chez elle, sachant qu’elle était seule, avec ma pizza. Elle m’accueillait dans une tenue très « working girl », et prétendait qu’elle n’avait pas assez d’argent sur elle pour me payer. Je faisais le garçon furieux, et pour se faire pardonner elle me proposait de me sucer. Alors elle remontait sa jupe étroite, s’accroupissait en prenant soin d’écarter les cuisses en s’excusant de ne pas avoir mis de petite culotte, et engloutissait mon membre, en sortant ses seins énormes de son soutien-gorge. L’histoire finissait souvent sur le canapé ou sur son lit, moi lui dévorant le cul avec application, et elle me suppliant de l’enculer violemment avant que son mari ne revienne…

La sonnerie de l’entrée retentit. J’ouvre à Jacqueline qui porte une jupe noire très ajustée et un chemisier blanc cintré. Elle entre, me tend la pizza et m’embrasse sur la joue. Elle me dit en minaudant :

— Tu m’excuseras, je suis venue très vite et je n’ai pas eu le temps de mettre ma culotte…

DuranDuran

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