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Denise, La découverte du triolisme

Denise, La découverte du triolisme



Résumé de l’épisode précédent :

« La découverte tardive du bonheur »

Mon gendre m’a fait découvrir ce que c’était d’être une femme, et pas seulement une mère. Après m’avoir vue nue à côté de ma piscine, il a tout fait pour me draguer et me baiser. Il a pris son temps mais il est arrivé à ses fins. J’avais à l’époque 44 ans et je ne savais pas ce que c’était de faire l’amour avec un grand A. Il m’a fait devenir accro à l’amour et aussi à sa queue, même si parfois j’avais l’impression d’être une marionnette au bout d’une ficelle. Je crois qu’il m’a tout fait.

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Deuxième partie

La découverte du triolisme

Après cette sortie en boîte avec ses amis et ma fille, il est resté une semaine sans me contacter. Lorsque je l’ai appelé pour lui demander ce qui se passait, il m’a répondu que je devais maintenant le supplier à genoux pour qu’il continue. Un mois entier est passé. Je trouvais qu’il exagérait ; le supplier, non mais quand même…

Le dimanche suivant j’ai organisé un barbecue en invitant ma fille et mon gendre, non sans arrière-pensées : ça commençait à me démanger. Ils sont arrivés, l’air de rien. Mon gendre m’a fait deux bises sur les joues, et il est allé vers la piscine ; il me fuyait sans cesse. Il s’amusait avec mes filles dans l’eau comme si je n’étais pas là. Le message était clair : je devais faire ce qu’il voulait, sinon je n’obtiendrais rien.

Nous sommes passés à table. Mon gendre faisait les cuissons au barbecue ; je l’ai appelé pour venir m’aider dans la cuisine. Lorsqu’il est entré, je me suis mise à genoux pour le supplier. Il m’a alors ordonné de lui baiser les pieds, ce que j’ai fait. Mon mari est entré à ce moment-là, et je lui ai dit que je cherchais une épingle et que je ne la voyais pas. Il est ressorti sans piper mot de la situation. Mon gendre en a profité pour me dire de mettre mon beau maillot jaune avec son string et le paréo transparent. J’ai prétexté qu’il faisait chaud pour aller me changer ; mes filles m’ont accueillie avec des applaudissements pour ma tenue, mon gendre avec un large sourire, et mon mari est resté indifférent à la scène.

Nous sommes allés nous baigner ensuite, et j’ai remarqué que mes deux filles portaient le même maillot que moi mais de couleurs différentes. J’ai demandé à la plus jeune (18 ans à l’époque) où elle l’avait acheté ; elle me répondit que c’était un cadeau de Sébastien, mon gendre. Nous nous sommes amusés comme des folles dans la piscine, avec mon gendre au milieu de ses femmes. Mon mari est parti faire la sieste, et nous sommes sortis de l’eau, non sans avoir essayé de caresser le plus souvent possible la queue de mon gendre. Il nous a demandé d’enlever le haut du maillot car il aurait été dommage d’avoir des marques ; à ma surprise, mes deux filles et moi nous avons exécuté sa demande. Trois femmes, et trois poitrines différentes.

Il ne s’est rien passé d’autre cet après-midi-là ; par contre, je me suis demandé si ma deuxième fille n’était pas aussi passée dans le lit de Seb.

Nous avons échangé pendant dix jours de nombreux appels torrides ; il me faisait languir de plus en plus. Chaque fois que je lui parlais de ma fille cadette, il changeait de conversation.

La semaine d’après, mon gendre est venu me chercher à la maison pour un après-midi câlin. Je n’en pouvais plus, et je crois que s’il ne m’avait pas arrêtée je l’aurais violé sur place devant chez moi.

Il m’a d’abord emmenée dans un endroit très calme, après les facultés. Il m’a embrassée langoureusement et longtemps, puis m’a demandé de me mettre nue, ce que j’ai fait rapidement car je n’avais qu’un bustier et une jupe. Il m’a caressée de long en large, la poitrine, le ventre entre les jambes ; il m’a fait jouir très rapidement après s’être occupé de mon clito en douceur et avec insistance.

J’ai ouvert les yeux, et là je me suis aperçu qu’il y avait plein de voyeurs. Mon premier réflexe a été de serrer mes jambes et de cacher mes seins. Il m’a demandé si ça me plaisait d’être admirée par tous ces hommes ; j’ai eu un peu peur au début, mais nous étions derrière les vitres de la voiture. Il m’a demandé d’écarter les jambes et de me caresser devant ces hommes qui avaient leur sexe à la main. Ces hommes qui se branlaient derrière les vitres, c’était impressionnant !

J’étais maintenant entièrement nue. Les trois hommes se sont approchés pour me regarder me caresser les seins et me doigter la chatte ; j’avais écarté les jambes pour que la vue soit imprenable. J’étais trempée, et mon vagin s’était ouvert comme une fleur. Ils ont rapidement joui sur la vitre et sont repartis sans demander quoi que ce soit. Mon gendre a défait son pantalon et m’a demandé de le sucer. Je me suis empressée de le satisfaire ; j’adorais le faire jouir dans ma bouche, ce qui ne tarda pas à arriver.

Ensuite il a ouvert la fenêtre ; je n’étais pas rassurée. Un homme s’est approché, et il a demandé s’il pouvait me toucher. Mon gendre, à ma grande surprise, lui répondit oui. Je n’étais pas d’accord, mais mon gendre m’a dit : « C’est ça, ou ta punition sera plus grande! »

Mon gendre a alors ouvert la porte ; il y avait trois nouveaux hommes qui avaient leur bite à la main et se masturbaient allègrement.

Le premier s’est approché et a commencé à me caresser les seins, les malaxant avec vigueur. Le deuxième s’est approché et a mis sa main entre mes jambes. Pendant que mon gendre me pénétrait la chatte, il me caressait le clito. Ils m’ont joui dessus très rapidement.

Mon gendre m’a demandé de sortir ; il m’a penchée sur le capot et m’a prise en levrette devant deux maghrébins qui s’étaient rapprochés pour suivre le spectacle. Ils ont baissé leur pantalon et se sont approchés. Mon gendre m’a décalée vers eux tout en continuant de me prendre en levrette ; il me limait de plus en plus fort.

Après avoir mis une capote, le premier m’a mis son sexe dans la bouche pendant que je masturbais l’autre. Le premier a joui très rapidement, et l’autre – qui avait un sexe plus fin – est venu prendre sa place. C’était très excitant d’avoir une bite dans la chatte et la bite d’un inconnu dans la bouche. Après l’avoir pompé un long moment, il a joui dans son préservatif en grommelant des mots incompréhensibles. Mon gendre et moi avons joui ensemble.

Après cet intermède très jouissif, j’étais en train de penser qu’il faisait de moi ce qu’il voulait, et que je me comportais comme une garce.

Une semaine plus tard, il m’a appelée pour savoir si j’étais dispo. « Bien sûr ! » je lui ai répondu. Il m’a dit de porter la même tenue car il adorait ce bustier que je portais sans soutif : cela lui permettait de me caresser plus facilement les seins. Nous avons pris la direction de l’hôtel ; je me disais que nous serions plus tranquilles. À l’arrivée, il m’a dit que j’étais très belle et que je devais remonter un peu ma jupe ; c’était vraiment très court…

Le réceptionniste a apprécié ma tenue, surtout que le carrelage très brillant du hall semblait refléter ma foufoune et ses poils. Mon gendre a même soulevé ma jupe alors que nous étions devant l’ascenseur pour me caresser les fesses. Le réceptionniste a dû en perdre la vue…

Dans l’ascenseur, mon gendre a baissé mon bustier et il m’a longuement sucé les seins, comme si un nourrisson tétait pour prendre son lait, et il m’a laissé aller jusqu’à la chambre seins nus.

À l’entrée de la chambre, il m’a longuement embrassée. Il en a profité pour m’enlever la jupe et le bustier, puis il a fermé la porte. Il m’a demandé de m’allonger sur le lit. Il a sorti des écharpes de sa veste ; je lui ai demandé pourquoi faire ; il m’a répondu « Tu vas voir ; ou pas, d’ailleurs. » Il m’a attaché les mains et les chevilles aux barreaux du lit ; je lui ai fait remarquer qu’il ne pourrait pas profiter de mes mains. Il m’a dit « Aujourd’hui, c’est à toi de profiter. » Il m’a ensuite bandé les yeux.

Il a téléphoné à la réception et a demandé une bouteille de champagne. Je lui ai dit qu’il ou elle allait me voir. « Justement ! » m’a-t-il répondu. On a frappé à la porte. J’étais terrorisée et excitée en même temps ; était-ce une femme ou un homme qui allait entrer ?

Une voix grave a dit « Voilà une belle femme qui semble offerte… » Mon gendre répondit que c’était seulement pour la vue. L’homme faisait des commentaires élogieux, commentait ma chatte, mes seins, mes lèvres, mon clito, ma toison. Il a demandé à mon gendre s’il pouvait sortir son sexe et se branler en me regardant. Mon gendre a acquiescé. L’homme s’est approché de moi et je l’entendais s’astiquer le manche de plus en plus fort, tout en disant des commentaires élogieux sur mon corps. Il m’a joui dessus. Il s’est rhabillé, a remercié mon gendre et il est reparti.

J’étais trempée. Mon sexe était en feu ; il demandait qu’une chose : qu’on s’occupe de lui ! J’ai senti une main qui me caressait les chevilles puis qui remontait vers les genoux, les cuisses. Elles me frôlaient l’entrejambe, puis le haut du pubis ; elles tournaient autour du pot sans le toucher. Je suppliai mon gendre de me caresser, de me prendre, de me lécher la chatte. Il a versé le champagne sur mon entrejambe. Tout d’un coup j’ai senti un souffle chaud devant mon entrejambe, puis sa langue qui venait s’occuper de mon bouton, le titillant avec son bout de langue, très doux et très rapide. Il avait changé de façon de faire et j’adorais ça. Est-ce que c’était lui ou quelqu’un d’autre ? Rien que de penser ça, j’ai joui comme une fontaine, j’ai eu des soubresauts et des tremblements comme jamais. Il m’a enlevé le bandeau et il a mis sa verge entre mes seins pour se branler ; il adore ça. Il a joui en me remplissant le visage de son sperme.

Je suis allé à la salle de bain me doucher. Mon gendre m’a rejointe et m’a dit qu’il allait s’occuper de ma petite chatte. Il l’a savonnée, m’a demandé de m’allonger dans la baignoire et de bien écarter les jambes. Là, il a sorti un rasoir et m’a complètement rasé le pubis, le tour des lèvres, et jusqu’à l’anus : j’étais lisse comme un bébé. Il est ensuite sorti. Je l’ai entendu téléphoner et demander une autre bouteille ; il avait l’air très en verve.

Lorsque je suis sortie de la salle de bain emmitouflée dans mon peignoir, il s’est levé, est venu m’embrasser et m’a ôté lentement le peignoir, jusqu’à me faire frissonner. Il est très fort !

On a tapé à la porte ; il m’a demandé d’aller ouvrir entièrement nue. Je me suis mise derrière la porte et je l’ai ouverte en restant bien derrière pour que le serveur ne me voie pas. Celui-ci a fermé la porte et je me suis retrouvée nez à nez avec Sam. J’ai bien essayé de me cacher avec les mains et les bras ; cela l’a fait rire. Il est entré. J’étais rouge de honte. J’ai dit à mon gendre que c’était un beau salaud, il me répondit que si j’étais comme ma fille, j’allais adorer le bâton d’ébène ! En plus, il me dit « Tu l’a déjà vu, et t’as eu l’air d’apprécier en dansant avec Sam ; et je ne parle pas de la pipe dans la voiture. » Celui-ci a mis de la musique et m’a invitée à danser. Il me fit remarquer que ma petite chatte bien rasée devait être douce à caresser.

Je me demandais dans ma tête si je devais céder à tous les caprices de mon gendre, lui qui aimait bien m’humilier, ou peut-être voulait-il seulement me donner de plus en plus de plaisir ? J’optai pour la deuxième solution et j’acceptai de danser avec Sam. Je lui fis remarquer qu’il était très vêtu par rapport à moi ; il m’a susurré à l’oreille que je n’avais qu’à le déshabiller.

Il frottait sans vergogne son bas-ventre contre moi, ses mains me caressant le dos, les fesses. Je lui ai enlevé sa chemise, bouton par bouton, doucement ; j’ai ouvert sa ceinture et je lui ai défait son pantalon. Son sexe a jailli, lui aussi. Il ne porte jamais rien en dessous. Ce garçon baraqué, beau et athlétique, avait l’air d’un vrai petit âne. Sa verge d’au moins vingt-cinq centimètres (gland décalotté énorme compris) était aussi très épaisse, avec une paire de couilles en proportion. Sa verge était dure, droite comme un i.

Il m’a caressé un sein pendant que sa deuxième main s’emparait de mon bas-ventre. Il me titillait doucement le clito, il tournait autour, et le pressait doucement ; il était d’une extrême douceur. Il a introduit un doigt dans mon sexe trempé, m’a embrassé un sein et a tété goulûment le bout qui était déjà saillant. Il est descendu vers mon nombril, puis ma chatte ; il m’a fait remarquer qu’elle était très douce. Il s’est glissé entre mes jambes, et avec sa langue il est venu me titiller le bouton, me provoquant une jouissance immédiate. Il a introduit sa langue dans mon sexe ; il agissait avec comme avec une queue, mais en plus doux.

Il s’est relevé et m’a demandé ce que je pensais de son bâton ; sans attendre ma réponse, il m’a demandé de venir le goûter. Je me suis accroupie face à lui, j’ai mis ma main sur la hampe, je l’ai branlé en le regardant droit dans les yeux et j’ai mis le bout de sa verge dans ma bouche. J’ai roulé une pelle à sa queue ; il a gémi. Je l’ai branlé d’une main pendant que je le pompais. Sa queue était trop longue pour que je la mette entière dans la bouche ; quel morceau ! Je l’ai sucé, pompé, aspiré ; il a gémi, mais il s’est retiré. Il m’a dit qu’il ne voulait pas jouir tout de suite.

Mon gendre est alors venu se mettre derrière moi ; il m’embrassait derrière, et Sam devant. Leurs mains me parcouraient le corps, devant, derrière, c’était trop bon ! Sam est allé s’allonger sur lit, a mis un préservatif et m’a dit de venir me mettre sur lui. Je me suis empalée sur sa tige ; elle était vraiment très grosse. Mon gendre est venu se positionner derrière moi, il m’a d’abord mis un, puis deux doigts dans l’anus ; il était doux. Il est ensuite venu se mettre accroupi derrière moi et m’a enfoncé peu à peu sa queue dans l’anus. J’étais comblée par les deux trous.

Après s’être enfoncé jusqu’au bout et avoir attendu que je me fasse à la présence de ces deux énormes queues en moi, ils ont commencé un va-et-vient infernal, que je ne suis pas prête d’oublier. J’ai joui comme une folle ; j’ai même eu de fortes éjaculations, tellement je prenais mon plaisir. Ils m’ont joui tous les deux dedans, et nous nous sommes écroulés, épuisés.

Il a fallu que j’attende d’avoir 44 ans pour connaître les joies de l’amour ; se faire prendre par deux hommes, c’est vraiment un pied inégalable !

En partant, profitant que mon gendre était sous la douche, Sam prit discrètement mon numéro de téléphone portable, et sourit lorsque mon gendre me dit que j’avais l’air fatigué.

La semaine d’après, j’ai reçu un SMS de Sam avec une heure de rendez-vous et un lieu.

Mes jambes se sont mises à trembler. Qu’est-ce que j’allais faire ? J’allais sûrement accepter. Par contre, je changerais le lieu et l’heure pour lui fixer un autre rendez-vous. Ce Black avec un si gros sexe… C’est un beau mec, avec un style différent des Blancs, mais sa grosse queue m’a fait mouiller, jouir. Sam, pas mal de sa personne, très musclé, rasé de près, pas de cheveux, célibataire, couvert de bijoux en or très ostentatoires !

Enfin, pas de prétexte : j’en ai envie.

Après plusieurs jours de réflexion je répondis au SMS de Sam : je voulais bien le revoir, mais pas pour baiser en dehors de mon amant (mon gendre). Il me répondit aussitôt qu’il m’invitait à boire un verre, et que si je le voulais on irait dans son magasin de vêtements car il avait reçu sa nouvelle collection.

Il me dit « J’espère que vous porterez la même tenue qu’avec Sébastien : une belle robe, et pas de sous-vêtements… »

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