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Retour de jogging.

Retour de jogging.



8 heures 30.
J’enfile mes chaussures de running, un cuissard, un débardeur et me voila parti pour mon jogging quotidien. Quelle belle matinée d’été, je sens le soleil qui chauffe déjà malgré l’heure matinale.
Courir dans la nature c’est formidable en plein été. Je continue ma course. Maintenant je rentre dans la foret: il fait moins chaud.
1h30 : j’ai fait mon quota pour aujourd’hui… Maintenant on rentre à la maison. Ce n’est pas loin, tout juste 1 kilomètre… Il ne faut pas que je traine car je suis en transpiration…
Bientôt arrivé chez moi… Si je poussais jusqu’à chez Marc pour voir si il était toujours d’accord pour un jogging dimanche prochain ? Aussitôt dit aussitôt fait !
J’arrive devant sa maison. J’aperçois Carole(la femme de Marc) dans le jardin:
– Salut Carole
– Tiens le beau Robert qui fait son jogging!
– A propos; Marc est là?
– Ben non ! Tu sais bien que le mardi il est à Paris pour son boulot !
Carole(sur qui j’avais déjà des vues) était une femme d’environ 50 ans: brune, les cheveux courts, une silhouette pulpeuse avec une poitrine volumineuse , un cul bien rebondi et des jambes que l’on devine un peu fortes( comme je les aime) sous un mini peignoir blanc qui a du mal à cacher tous ses trésors…
– Ah oui! C’est vrai qu’il est à Paris!
– Mais entre, me dit-elle. Vu ta transpiration je me doute qu’un rafraichissement te ferait du bien
-C’est pas de refus Carole, merci.
Nous nous sommes donc rendus dans la cuisine où sur le chemin en la suivant j’ai pu apprécier la silhouette de la dame!!! Son corps pulpeux commençait à me faire de l’effet.
– Tu boiras bien quelque chose !
– Merci Carole je boirais comme toi.
– Un jus d’oranges ça te dit?
– Parfait.
– Comme cela tu vas pouvoir récupérer les vitamines perdue pendant ton jogging!
– OK
Nous étions debout dans la cuisine, elle se hissa sur la pointe des pieds pour att****r 2 verres dans le buffet… Ce qui eu pour effet de remonter son peignoir à ras des fesses qui ne semblaient pas être vêtues d’une culotte… Elle nous servit le jus d’oranges et nous avons parlé de la pluie et du beau tempe. Moi pendant ce temps je jetais des coups d’œil furtifs sur son décolleté qui me semblait bien rempli…
Au bout de quelques minutes Carole sembla « furieuse » de me voir loucher sur sa poitrine:
– Dis donc Robert, faut pas te gêner, je vois bien que tu mates mes nichons, toi le copain de mon mari!
– Et alors il n’y a pas de mal à regarder de belles choses!
– Tu les trouve beaux mes seins?
– Ce que j’en vois, oui!
– Coquin va!
Sur ce, elle saisit les verres vides, se pencha et les mit dans le lave-vaisselle. De nouveau… Vision sur son cul, et là: confirmation elle ne portait rien sous son léger peignoir…
Mon sexe dans mon cuissard commençait à prendre de l’importance vu le tableau offert par la dame !
Carole se retourna et constata ce qui se passait au niveau de mon entrejambe:
– Ben dis donc Robert c’est moi qui te met dans cet état?
– Qui veux tu que ce soit d’autre que toi?
– Je vois que tu es en forme.
– Ben oui avec tes seins son mon mon nez !
– Mes seins mes seins à nos ages ils tombent un peu!
– Ben moi à nos ages il y a un truc qui remonte bien c’est ma queue!
– Je vois mon coquin!
Elle me tourna le dos à nouveau pour se laver les mains dans l’évier. Je vins me placer derrière elle. Nos corps se frôlaient donc. C’est à ce moment-là que, se cambrant en arrière, elle appuya franchement ses fesses au niveau de mon bassin. Elle ne pouvait plus ignorer mon désir mais ne chercha pas à rompre le contact.Passant sa main droite entre nos deux corps et la plaquant sur mon sexe, elle commença un lent mais appuyé mouvement de masturbation à travers mon cuissard. J’ai posé mes mains sur sa poitrine et titillé à travers le tissu les pointes qui se dressaient de plus en plus longues et dures.
Je fis tomber le peignoir… Je continuais à masser ses gros nibards et à faire bander les tétons.
Elle se retourna et nos lèvres s’unirent en un bon gros baiser bien mouillé. Cela dura un moment…Les mains de Carole caressaient ma queue. Mes mains massaient ses gros nibards en particulier les tétons qui étaient énormes (ils faisaient bien 2 cm de long!!!).
Me penchant sur elle, je lui ai tété et mordillé les seins. Sa respiration devenait de plus en plus haletante. De ma main droite, la gauche maintenant la chemise de nuit, j’ai commencé à caresser et explorer son sexe qui était déjà largement inondé. J’ai introduit un, puis deux doigts dans son sexe et par des mouvements d’aller-retour, je l’ai à mon tour masturbée.
Je voyais qu’elle appréciait ce que je lui faisais car les bruits que faisait sa chatte était explicites.
– Aaaah oui salaud, branle moi bien. Tu me fais juter.
La bouche entrouverte elle se laissait faire et moi j’astiquais de plus belle sa moule baveuse !
– Ah putain je jouiiiiis!!!
Elle était magnifique le visage dévoré par la jouissance.
Au bout de quelques instants elle reprit ses esprits et me dit:
– Ah mon saligaud tu m’as bien fais jouir, maintenant c’est à moi de faire le boulot et j’espère que l’on en profitera tous les deux!•Tu m’as fait jouir comme j’aime tout à l’heure. Alors maintenant c’est à moi. Laisse-toi faire, c’est moi qui mène la danse.
Elle fit tomber mon cuissard non sans mal tant ma bite était dure et gonflée.
– Ben dis donc mon coquin, tu bandes ferme! Ta bite n’est pas particulièrement longue mais elle est bien trapue, une bonne matraque !
– Vas y bouffe la ma queue!
– Oh oui que je vais te la bouffer ta bonne pine, je vais te la faire cracher!
Au bout de quelques secondes elle arrête de me sucer, pose ses mains sur ses seins, et commence à me branler avec ces derniers. Ma queue glisse facilement sur sa peau douce, et je m’abandonne totalement, me laissant guider dans cette nouvelle caresse. Mais cela ne dure pas plus de deux minutes car elle me reprend en bouche et vas-y que je te suce…
– Une bonne branlette espagnole entre deux séries de suçage, c’est terrible Carole!
Putain les nibards que tu as!
– Elle a bien coulissé ta bite entre mes gros obus!
– Suce suce salope, je vois que tu aimes ça, ton mari me l’avait laissé entendre.
– On ne parle pas de mon mari! C’est toi que je vais faire gicler!
Je suis sur le point de jouir. De plus en plus excitée, Carole me branle à grands coups de poignets.
-Maintenant arrête de me branler sinon je vais jouir! Attend je m’assois sur une chaise et tu vas venir t’embrocher sur ma bite.
– Voila j’arrive mon gros loup! Attend je me mets face à toi comme cela tu pourras me bouffer les seins!
– Enfin!
– Ta bite est bien raide, je vais me l’enfiler! Aaaah ça y est, elle est entrée!
– Ah putain je suis au chaud dans ta chatte, elle est bien lubrifiée.
– Ben oui, avec tout le jus qui coulait quand tu m’as branlée! Aaah salaud, vas-y tète moi les seins, vas-y suce moi les bouts, ouiiii!
Moi j’envoyais des grands coups de bite et en même temps je lui bouffais les tétons, les suçant, les mordillant, les tétant.
– Oh, gémit-elle à l’intention de son amant… Comme tu es long ! … Je te sens au fond de mon ventre… Tu m’as défoncée !… Huummm comme c’est bon. Vas-y maintenant, ramone-moi bien la chatte avec ton gros bout !
— Mais c’est que tu es mouillée, dis donc : ça rentre comme dans du beurre. Tu vois que je te fais de l’effet ! Allez, remue-le un peu, ce beau cul !
– Oui Robert vas-y baise moi, pine moi bien mon gros loup. Putain on ne dirait pas que tu es si vieux!
– Si vieux, si vieux. L’age n’a rien à voir à partir du moment où il y a un beau cul qui te fait triquer et toi ma belle tu passes à la casserole! 60 ans et une bite qui baise une grosse salope!
– C’est sur que je suis une salope. Vas-y vas-y, salaud fais moi danser sur ta queue!
— Tu l’aimes, ma bite, hein salope ! Tu es bien une vraie cochonne. Allez, remue-le, ton gros cul !
— Oui, encore… Plus vite, vas-y, à fond… Fourre moi bien! Allez ! Mets-la-moi ! Bien profond ! Baise-moi !
– Oui oui oui! Avale ma pine jusqu’au fond de ton vagin.
– C’est incroyable comme tu es raide.
– Je ne vais pas pouvoir rester raide trop longtemps car je sens le foutre qui ne va pas tarder à monter.
– Ohhh Robert je viens déjà… c’est trop fort.
— Laisse-toi aller ma poule.
– Aaaaah ouiiiii je viens, je jouis, vas-y mon chéri!
– Attend attend ça vient, bougre bien ton cul!
– Putain c’est trop bon!!! Vas-y crache ton jus!
— Oui, encore… Plus vite, vas-y, à fond… Je déchaaaaarge! Oh ouiiii!
– !!!
– Ah putain tu me vides les couilles.
– Ah Robert tu m’as tuée! Ta grosse bite m’a bien baisée…
– !!!
– Quelle bonne baise! Regarde tu m’as inondée!
– Toi aussi tu en as bien profité, t’en as mis partout tellement tu as joui!
En nous rhabillant nous nous sommes fait la promesse de n’en parler à personne et surtout pas à son mari.
Quelle baiseuse et je suis sur que si une autre opportunité se présente Carole ne dira pas non. Moi non plus, car trouver une belle plante comme elle et qui aime la bite!
Bon c’est pas tout ça mais je doit finir mon jogging.
– Oh! Une goutte de sperme qui perle à la surface de mon cuissard!

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