Chap XXIII
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Une correction en privé. 1er Round
Cela faisait plusieurs jours depuis notre arrivé en fait que Viviane n’avait pas reçu de correction et cela commençait à lui manquer. On n’avait pris notre pied avec Anita et Robert et une soirée était prévue en fin de semaine, avec des amis à eux.
Mais Viviane était quelque peu à cran. Je sentais que ses orgasmes n’ étaient plus satisfaisant. Mais j’étais dans le même cas. Nous étions encore au début de notre relation et je ne voulais pas forcer les choses. Mais il est vrai que sans rien lui dire je rêvait de la cogner. J’étais son maître mais je n’avais pas encore compris le total asservissement sexuel qu’elle attendait. Ce fut sans doute ce soir là que je devint à 100% son maître.
Viviane avait natté ses cheveux, j’aimais tant sa longue natte qui lui caressait le creux des reins la naissance des fesses. Il faisait doux, la chaleur de l’après midi s’enfuyait, un vent léger entrait par les fenêtres ouvertes. Un verre à la main Viviane accoudée nue à la rambarde avait les yeux perdus vers la mer. Je m’approchais d’elle, collant mon corps contre le sien, je posais mon menton contre son épaule et lui mordillais le lobe de l’oreille. Elle frottait sa tête tendrement contre la mienne.
« Tu a envie… de moi ? »dit elle doucement.
Mon envie de la voir souffrir fut la plus forte.
« Oui…J’ai envie de faire crier mon esclave.. de te faire ramper.. salope ! » j’avais empoigné sa natte
Je lui tirais la tête en arrière, ses grands yeux limpides étincelaient .Viviane semblaient s’abandonner. Les lèvres tremblantes elle dit
« Oui mon maître je suis à toi »
Elle se laissa glisser a genoux devant moi, prosternée, elle embrassait mes pieds.
« Lèche » ordonnais-je
Sa langue léchait mes orteils, le dessus de mon pied. La voir ainsi répondre à mes attentes avait suffit pour me faire bander. Je le poussais du pied, la retournant sur le dos. J’écrasais son visage avec mon pied, puis enfilait mes oreilles dans sa bouche, elle me suçait le pied comme s’il avait été ma queue. Puis je posais mon pied sur ses seins, je pressais, écrasant sa poitrine, l’empêchant de respirer. La tête renversée me regardant elle subissait, bouche ouverte, un feu sombre brûlant dans ses pupilles, les bras en croix sur le tapis qu’elle griffait des ses ongles. Puis je pressais mon pied sur son sexe bombé, les petites lèvres pendantes et son clito très visible, déjà saillant. J’écrasais son sexe sous mon pied. Elle gémissait, mais s’offrait totalement.
« A quatre pattes tout de suite! Comme une chienne »ordonnais-je
Viviane se mit à quatre pattes, sa natte me servant de laisse je la traînais dans le salon. Sa croupe se dandinait au rythme de sa marche. Je lui assénais une claque sur chaque fesse et j’eus je plaisir de voir l’empreinte de ma main rosir sur chacun de ses globes de chairs tendres.
Je me penchais et saisis les petites lèvres follettes qui débordait les grandes lèvres comme pour s’en échapper. Viviane avait ces petites lèvres en horreur, disant qu’elles défiguraient son sexe. Je tirais les crêtes de chair, les étendant, les remuant en tous sens toujours en exerçant une forte traction. Elles étaient souples, très souples en tirant au maximum on arrivait à 7 ou 8 cm. Je fouillais dans notre sac a malice. J’y trouvais 2 pinces a ressort en acier, les points de pression étaient munis de petits caoutchoucs qui évitait de blesser les chairs. Ces pinces sont munies d’un ressort puissant et d’un montage en croix, plus on tire sur la chaînette de la pince plus elle se serre.
J’ouvrais la première et la plaçait à l’extrémité de la petite lèvre de droite.
« hmmmmm » fit Viviane réprimant un cri
Je plaçais la seconde pince elle poussa le même grognement.
Je revins devant elle et lui ordonnais de me regarder. Ses yeux étaient brillants de larmes, je savais pertinemment que les pinces faisait très mal. Son visage exprimait sa douleur, mais aussi le désir, son attente de plaisir. Quand elle était dans cet état d’esprit en attente de punitions Viviane avait une expression particulière de bête aux abois, son regard suppliait d’arrêter, mais également m’incitait à passer outre à la pousser dans ses retranchements et plus elle serait dans la douleur plus cette expression serait éloquente.
Pour le moment elle était déjà frissonnante, signe qu’elle espérait beaucoup des instants à venir.
Fouillant dans le sac, j’y dénichais deux poids coniques, chacun pesait 150g.
Quand elle vit les poids elle comprit, ses yeux s’arrondirent et elle eu une petite moue. Je me plantais accroupi devant elle et lui demandais.
« Tu n’aimes pas les poids? Tu ne veux pas? »
Viviane me fit non de la tête. Ma main partit à la vitesse de l’éclair, une grande gifle lui cingla la joue droite, et le retour lui cingla là joue gauche. Rapidement mes doigts surgirent en rose sur sa peau.
Sa tête avait suivi le mouvement de mes gifles. Viviane eu un petit sursaut et me regarda dans les yeux.
« Tu veux les poids? » dis-je à voix basse.
Viviane hocha la tête.
« Debout, allez vite, debout jambes écartées » ordonnais-je
Viviane se releva prestement, se plantant devant moi, les pieds biens écartés, le buste droit, ses bras le long du corps les mains tenant ses cuisses.
« Tends tes mains »
Elle tendit les mains paumes vers le haut. J’y déposais les poids.
« Allez petite chienne, tu va les placer toi même » lui ordonnais-je
Se penchant en avant elle trouva la première pince et avec le mousqueton y accrocha le premier poids. Puis elle le laissa doucement distendre la petite lèvre qui semblait ne pas vouloir arrêter de se distendre.
« hummmmpppphhhh » fit elle
Puis elle me regarda l’air suppliant, comme si elle demandait – pas l’autre – naturellement c’était le jeu elle savait que je n’allais pas arrêter. Sauf si elle disait notre mot de sûreté – Rouge- dans ce cas là j’arrêterais tout. Durant les années ou nous sommes restés ensembles Viviane l’a utilisé 2 fois seulement.
« Allez l’autre poids esclave installe le, étire toi les lèvres »dis-je souriant.
Elle plaça docilement l’autre poids. Maintenant ses lèvres étirées par les poids, semblaient démesurément longues. Je savais également qu’elle avait horreur de ces étirements car ils allongeaient ce qu’elle n’aimait pas en elle. La torture était physique et morale. Ceci eut des conséquences que je vous narrerais plus tard
« Tss Tss Tss. Non ça ne va pas.. Ce n’est pas comme çà qu’il faut faire » dis-je d’une voix forte et l’air courroucé
J’approchais de Viviane, elle ne me quittait pas des yeux, sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration, elle accéléra alors que j’approchais. Sa bouche entrouverte était parcourue d’un frémissement qu’elle ne pouvait réprimer. Je lisais dans ses yeux, ce mélange de peur, d’excitation de défi aussi. Ces yeux resterons à jamais dans ma mémoire. C’étaient eux qui m’avaient accroché lors de notre première rencontre.
Je plaçais ma main sous les poids, les remontant j’annulais la traction qu’ils imposaient aux lèvres de son sexe. Elle savait ce que j’allais faire, ses yeux traduisait la panique, l’anticipation de ce qui allait arriver. J’avais remonté les poids contre son sexe. Je la regardais dans les yeux. Et lâchait les poids. Ils tombaient d’un coup étirant les lèvres brutalement, serrant les pinces plus fort.
« Arghhhhh ouilllle ahhhhhhhh mal!! »hurla Viviane
Je vis les larmes littéralement jaillir de ses yeux puis couler sur ses joues.. Elle s’était légèrement tassée sur elle même comme pour tenter de réduire la traction. Elle avait un instant calé sa tête contre son épaule comme pour s’y cacher. Maintenant ses cuisses,son sexe étaient agités d’un léger tremblement, ce qui agitait les poids et imposait encore plus de douleur.
« Ohhhhh ohh » fit elle dans un sanglot
« Mais c’est que tu aimes çà… dis donc.. » dis-je narquois.
Je passais mes doigts dans sa chatte, elle était humide, je remontais son clito saillait je l’effleurais du bout du doigt, elle eu comme un petit spasme, suivit d’une onde de plaisir. Elle était déjà a fleur de peau. Viviane était d’autant plus excitée que les choses duraient. L’attente la gamberge sur ce qui allait arriver était un moteur de sa sensualité.
« Comme tu aimes çà. Allez je recommence » dis-je la regardant
Son visage prit une expression de désespoir, elle pensait échapper à une deuxième fois. A nouveau le remontais les poids. Je fit mine de lâcher par deux fois, provoquant un raidissement de tout son corps. Et je lâchais au moment ou elle s’y attendait le moins.
« Ahhhhhhhhhh Ah Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh » hurlait-elle
D’autant qu’une des pinces venait de riper sous le choc le poids fit un bruit sourd sur le tapis. Viviane serrait les cuisses les mais sur son pubis. De grosses larmes coulaient maintenant. La douleur était très forte.
« Ramasse le !!! Allez vite remet çà.. Plus vite!! » ordonnais-je violemment
Viviane s’accroupit, se redressa lentement car l’autre poids étirait sa lèvre. Elle attrapât l’autre et assujetti la pince à sa petite lèvre qui semblait un peu tuméfiée par la pince. Puis elle se redressa me regardant dans les yeux. Son rimmel partait avec les larmes. J’essuyais les traces avec un mouchoir. Bouche ouverte elle respirait rapidement. Son ventre se creusait, ses cuisses son sexe était agités d’un tremblement peu esthétique comme si ses muscles, sa chair étaient transformés en gélatine.
« Tu as mal? » dis-je naïvement
Elle hocha la tête.. pour signifier que oui.
« Tu voudrais que je les enlève? » continuais-je
A nouveau elle fit signe que oui..
« Certainement pas!!! Tu les gardes!! je veux voir tes lèvres se distendre.. tu aimes çà! petite pute!! »
Puis passant mes doigts entre les lèvres je les ressortais luisants de cyprine grasse et onctueuse.
« En plus tu mouilles!! tu adore çà!! dis moi que tu aimes çà » criais-je
« Oui.. j’aime !! » cria t-elle
Je la giflais à nouveau en aller retour
« Oui qui? » demandais-je
« Oui maître » dit-elle contrite
Je portais ms doigts luisants de mouille à ses lèvres. Je dessinais leur contour, les faisant briller avec le jus de son sexe.
« Maintenant nettoies mes doigts, lèche bien » ordonnais-je
Je la laissais lécher puis j’enfonçais mes doigts dans sa bouche, deux d’abord, puis quatre doigts que je poussaient comme si je voulais fister sa bouche. Elle fini par avoir un haut le cœur, inondant mes doigts de salive. Elle bavait sur ses seins, de longues rigoles argentées dans la lumière. Je ressortais mes doigts et étalais sa bave sur son visage.
Viviane tremblait, sa bouche ouverte la bave aux commissures, semblait prête a éclater en sanglots.
Je bandais comme un dingue, ma queue raidissait plus a chaque instant. La tension montait progressivement palier par paliers. J’aime cette sensation. J’en arrive à me demander si ce n’est pas l’état dans lequel me mettent ces séances qui est le plus satisfaisant pour moi
Je la regardais, laissant monter l’angoisse de ce que j’allais faire. Ses yeux ne me quittaient pas. Chaque mouvement que je faisais était suivi par ses pupilles. Je me rapprochais d’elle. Je caressais la rondeur de sa poitrine, passant mes doigts sous ses seins, je caressais la peau douce, remontant vers le creux de ses aisselles puis je revins vers ses mamelons tendus. Ses aréoles brunes, granuleuses sous mes doigts, elle frissonnait, je taquinait les tétons durcis avec mes pouces, puis prenant ses tétines entre pouce et index, je serrais ses pointes, les écrasant.
« heennnnn hennnn »fit elle la bouche ouverte
J’insistais je serrais plus fort, mon visage était à deux centimètres du sien. Elle haletait bouche ouverte. Je remontais ses pointes.. levant ses seins. Elle se mit a trembler plus fort.. Gémissant, son visage barbouillé de sa salive luisait.. Son front commençait à se couvrir de sueur. Maintenant je tordais les pointes un quart, un demi tour puis trois quart de tour. J’entends les poids entre ses cuisses qui s’entrechoquent. Sa bouche est grande ouverte un son guttural sort de sa gorge. Je profite de l’occasion je crache sur sa langue, sur ses lèvres. Viviane me plante son regard dans les yeux.. Puis ses yeux montent au ciel sous ses paupières tandis qu’elle lèche ma salive s’en repaît.
Ma queue touche son pubis je sent vibrer mon sexe. Quand je m’écarte d’elle je vois nettement un fil humide entre mon gland et sa peau. Je mouille..
Il faut que je prenne garde de ne pas toucher mon sexe car il n’en faudra pas beaucoup pour me faire éjaculer.
Je lâche la pointe de ses seins. Elle se détend. Mais son souffle est court sa poitrine meurtrie se soulève rapidement. Qu’elle est belle. Elle s’offre totalement. Elle est a moi. Ce sentiment de toute puissance est un vrai poison. Il vous envahit, c’est un moment divin.. on est divin à cet instant. C’est un peu comme si la vie de la soumise était dans le creux de votre main. Parfois effectivement sa vie peut se retrouver dans le creux de votre main.. Il se peut aussi que la soumise justement ai déposé sa vie dans votre main, c’est quelque chose de fort et troublant.
Dans ces moments le temps s’écoule différemment, je n’ai pas l’impression d’avoir passé beaucoup de temps mais ça fait plus d’une demi heure pourtant et nous n’en sommes qu’aux prémices.
Ma main glisse entre ses cuisses.
« Écarte!! Plus. Encore!! » ordonnais-je
Mes doigts glissent entre les lèvres, elles sont trempées. Je remonte cherchant la grotte, je la trouve, plus je remonter plus l’humidité brûlante est importante. Je plonge deux doigts das sa chatte. Viviane se mord la lèvre inférieure, ses yeux papillonne et elle pousse un long soupir
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….. »
Elle apprécie ce moment de douceur, quelques sursaut quand mon pouce glisse sur son clitoris saillant. Il est gonflé et maintenant sorti de son capuchon.
Viviane avait un clitoris énorme, regardez la première phalange de votre pouce vous aurez l’idée de la taille de son bouton. Viviane je pouvais lui branler véritablement le clito en faisant coulisser le capuchon comme on le fait avec une queue.
Je revint vers le sac, laissant Viviane apprécier les instants de douceur qu’elle venait d’avoir. Je trouvais ce que je cherchais. UN collier de cuir que j’avais fabriqué et mis au point. Ce collier en fait était tout juste a la taille de son cou, mais a l’arrière il était muni d’une plaque en cuir en forme qui s’appuyait sur sa nuque, un écrou fixé dans les « épaisseurs du collier pouvait a loisir grâce à une vis a ailette ouvrir ou refermer le collier. Oh je n’ai rien inventé c’est le système utilisé pour les mises a mort en Espagne jusqu’en 1975 « Le garrot » C’est à manier avec précaution. Là il ne servait qu’a serrer son cou facilement, de pouvoir appliquer une pression plus forte par un simple tour de vis. C’est plus facile à doser qu’a la main et comme toute moins dangereux quand le débattement est limité.
Voyant le collier Viviane frissonna, elle en avait très peur, mais adorait cet instrument. Elle savait qu’avec elle pouvait se mettre en danger, mais justement cette sensation de danger l’excitait énormément.
Je passais donc le collier, le fermait. Pour le moment il était juste là pour marquer sa soumission.
« Les mains sur la tête!! » ordonnais-je
Elle obéis, ses yeux me scrutent intensément. J’approche mon visage, du sien comme si j’allais déposé un baiser. Mais je lui crache a nouveau sur la bouche et en même temps je serre la vis. Le collier entre légèrement dans son cou. Elle ouvre la bouche largement, je serre un peu plus et crache sur sa langue.. Et je serre encore.
Maintenant le collier commence à la gêner un tout petit peu, en fait il presse sur les carotides. L’afflux de sang montant au cerveau est diminué. Je desserre. Elle peut respirer normalement son cou est bien serré mais ce n’est que quand elle déglutit que l’effet se fait sentir. Quand on n’a rien autour du coup nous ne sommes pas conscient de la déglutition et de combien de fois cela arrive dans 5 mn par exemple. Là on en prend conscience
Note: N’essayez pas ce genre de choses si vous n’êtes pas certain de ce que vous faites
Viviane frémit en permanence. Elle mouille de plus en plus. Je vois des fils gras qui coulent le long des pinces et pendent à ses petites lèvres. Je ne peux m’empêcher de toucher mon sexe, je le prend en main doucement il est humide mon gland décalotté suinte tout ce qu’il peut. Je dois garder mon self contrôle pour ne pas me branler et gicler sur mon esclave.
Je prend maintenant la cravache à côté du sac. Une cravache d’équitation, souple, longue avec un cuir étroit au bout.
Viviane me regarde arriver vers elle avec cet instrument. J’en promène l’extrémité le long de ses courbes, suivant les reins, les fesses. Puis je remonte sur ses flancs, je viens caresser la rondeur de ses seins. Je m’attarde à taquiner ses tétons dressés, à faire tourner le cuir autour du mamelon avant de tapotiner le sein. Je descend le long du ventre, forçant son nombril avec la cravache comme si je voulais la faire entrer en elle.
Viviane sursaute quand le cuir frôle son clito. J’insinue la cravache entre les lèvres humides de sa chatte. J’agite la cravache latéralement, faisant bouger les lèvres de son sexe et les poids qui y son suspendus.
« Hmmmmmphhh » grogne Viviane.
Puis je fais aller et venir la cravache entre ses petites lèvres, allant et venant le manche torsadé frôle son clito lui tirant frissons et gémissements.
« Hummm Ouiiii » dit Viviane
Je retire la cravache et cingle ça cuisse droite.
« Oui qui? » demandais-je
« Oui maître…. oui maître » s’empresse t elle de dire.
Je tourne autour d’elle comme un vautour autour d’une charogne. Je donne un petit tour de vis à son collier. Elle toussote, déglutis plusieurs fois. Je frappe sa fesse gauche, puis la droite. Elle geint à peine. Je regarde les marques rosir sa peau. L’intérieur de sa cuisse droite quelques cm en dessous de l’aine là ou la chair est douce et tendre. Puis l’autre cuisse. Je tourne, elle me suit du regard, cherchant à savoir où tombera le prochain coup. Son tremblement c’est accentué. Elle semble avoir du mal a tenir sur ses jambes.. En fait ce sont les poids qui se balancent et la font horriblement souffrir. C’est vrai qu’ils sont très lourds. Je remarque même que les pinces ont glissé et elle sont vraiment au bord des petits lèvres.
J’approche d’elle, je commence par taquiner son clito. Elle saute et gémit. Elle est littéralement inondée. Elle mouille comme rarement je l’ai vu. J’ai du mal à att****r les pinces qui sont trempées. Je sais par expérience que c’est maintenant qu’elle va le plus souffrir. Quand on a des pinces qui restent en place longtemps, l’ouverture cause une douleur encore pire.
J’ouvre la première et la laisse tomber au sol.
Viviane hurle de douleur, son visage un peu congestionné à cause du collier, se pliant en deux.. avant de se redresser tremblant sur ses jambes.. De grosses larmes coulent sur ses joues, c’est plus fort qu’elle. Elle tousse, son collier est un peu trop serré, je défait un tour de vis, son visage devient moins rouge. Je la regarde, ses yeux sont suppliants.. elle sait que je vais lui faire très mal de nouveau.. Mais après elle sera soulagée.
Je lui fait un petit signe de tête.
« Ohh oui maître s’il vous plaît » renifle t-elle
Je pose ma main sur sa jouer, je la tiens, elle serre ma main entre sa joue et son épaule.. Se frottant comme une chatte. De mon autre main j’ouvre la pince rapidement et la laisse tomber au sol. Elle se tend, se raidit.
« arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh merde!! mal!!! ohhhhhhhhhhhh nonnnnnnnn!! » hurle t-elle
Son ventre se creuse..Elle est agitée de spasmes Elle s’appuie sur moi.. Ses yeux se retournent.. je glisse ma main entre ses cuisses.. plonge mes doigts dans sa chatte.. ma paume frotte son clito.. Viviane jouis dans ma main.. Elle gicle sur mes doigts.. S’inonde les cuisses. Le tapis s’orne d’une large tache.
« Ouiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouisssss !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » crie Viviane.
Elle s’effondre au sol sur le tapis.. à quatre pattes. Je lui relève le menton et je présente ma queue.
« Ouvre !! »
Docilement elle ouvre la bouche, je la pénètre d’un seul coup faisant entrer ma queue dans sa gorge. Je fais un effort pour ne pas gicler de suite. Elle hoquette un peu. Un tour de vis a son collier.. Elle s’étrangle, les spasmes de sa gorge massent ma queue. Je vais et vient dans sa bouche la salive inonde mes couilles. Elle bave comme un démente. Les doigts de sa main droite se crispent sur le collier tentant de le desserrer. Nouveau tour de vis.. Ses yeux s’affolent, je ne vois plus que le blanc de ses yeux..Je gicle enfin mon sperme dans sa bouche.. C’est violent. Je la remplie, elle s’étouffe. Je dégrafe le collier. La bouche encombrée de sperme, reprenant son souffle
Viviane connais un nouvel orgasme et se vide totalement la vessie sur le tapis.
Avant de se laisser choir au sol le souffle court le corps luisant de sueur. Tandis que j’essore de ma queue les dernières gouttes de sperme sur son visage.
… petit répit avant de continuer.
A suivre
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