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Kevin VI

Kevin VI



Kevin VI

Pendant la semaine que Kevin est passé chez nous, un événement extraordinaire allait marquer, non seulement la suite de notre relation, mais aussi le restant de ma vie. Ici, je vous raconterai à quel point la situation avec mon beau-fils était devenue ingérable. Néanmoins, la vie, parfois, nous joue des tours qui font que certaines choses se mettent à leur place, tout simplement, sans faire du bruit.

Après notre rapport dans la buanderie, je suis descendue les retrouver, en mettant, quand même, une petite culotte. Kevin et son père étaient en pleine conversation. Dès que Joël m’avait vu, il s’était exclamé, tout content :

– T’as vu, Sandra, comme il va mieux, mon fiston ?
– Non, je n’ai pas vu…
– Comment, tu n’as pas vue ? Il m’a dit qu’il t’a montré…

Ça y est ! Je transpirais à nouveau. De quoi était-il en train de me parler ? J’avais le vertige. Qu’est ce qu’ils étaient en train de me sortir, là :

– Sa peau, bébé… Il est presque guéri !
– Ah, c’est ça ! Ai-je exclamé, très soulagée.
– Plus de pommade à lui passer…
– Si, quand même –protesta Kevin- Il faut continuer tant que ça ne sera complètement guéri, ajouta-t-il, me regardant droit dans les yeux.
– Quel est le programme, pour la journée ? Demandai-je, en changeant de sujet.
– On va aller en ville, au resto… et après au ciné. Ça te dit ?
– Ça dépend du film… Quel resto, d’ailleurs ?
– Ton chinois préféré, chérie… Et Kevin aimerais qu’on aille voir Là-haut!
– Tu connais, Sandra ? Ajouta-t-il, mon beau-fils
– Non… mais déjà le titre… Dis-je en pensant à la scène qu’on venait de vivre « en haut ».
– Hahaha ! tu verras, ça va te plaire ! Je me demandais pourquoi il rigolait comme ça. En fait, il n’était qu’un enfant ; oui, d’accord, un enfant avec un corps d’homme… Ouf !
– Laissez-moi un peu de temps pour me faire belle, alors !

Quand j’étais en train de prendre ma douche, Joël est entré. J’ai eu peur que ce ne soit pas Kevin. Mon mari tira le rideau et me dit :

– Merci, chérie…
– Quoi ? Je ne t’entends pas !
– Je te dis merci !
– Qu’est ce que j’ai fait, encore ?
– Etre gentille avec lui…
– Hum ! D’accord… Laisse-moi un peu tranquille, maintenant… S’il te plait…
– Tu ne veux pas que je te savonne le dos ?
– Non, chéri… je te connais !

Mais, il s’était déjà déshabillé et était entré dans le bain.

– Tu n’en as pas eu assez, hier soir, cochon ?
– Je n’en ai jamais assez, de toi… Touche, mon cœur !

Il bandait. Et j’avais tellement envie de sentir une bonne queue en moi ! Je me suis retournée et me suis penchée vers l’avant, en appuyant mes mains sur le carrelage, en écartant un tout petit peu mes cuisses. Il me pénétra d’un seul coup, fort. Il saisit, en même temps, mes deux seins, en les malaxant comme s’il pressait des oranges pour en tirer du jus :

– Mmm ! Cochon ! Que c’est bon quand tu me baises comme ça !
– Oh ! Oh ! Oui, ouiii ! Tu es tellement chaude !
– Ne t’arrête pas, mon cœur ! Plus fort, plus fort, plus fort ! Aaaahhh !

J’avais du mal à reconnaitre mon mari. Il était, comment dire, transformé. Lui, qui, depuis notre mariage, quatre ans auparavant, c’était toujours comporté au lit d’une façon plutôt molle, me montrait, à présent, son côté le plus mâle, me rappelant, sans qu’il en soit conscient, les manières brutales mais oh combien excitantes de mon ex, Didier.

– Oh, purée !!! Ouf ! Ouf ! Aaaaggg ! Oui, ouiiiii ! Aïe, aïe ! Les seins… Aïe !

J’ai cru qu’il allait m’arracher les mamelons, cette brute ! Il les avait, enfin, lâchés et s’est mis à me pilonner comme un marteau piqueur, en me mordillant le cou :

– Oh, putain ! Je vais jouir, je vais jouir, je vais jouiiiirrrr !
– Attend, bébé ! Pas dans moi !

Je me suis débarrassée de l’étau auquel j’étais soumise, fis demi-tour et m’agenouillai devant sa queue, la bouche grande ouverte, ma langue pendante, offerte comme un tapis à foutre :

– Aaaaaa ! Ouiiiii ! Tieeeeeens ! Aaaaa ! Ouiiii !

Il gicla tout son sperme sur mon visage, la plupart dans ma bouche. Je lui montrai avant de l’avaler :

– Tu me rends fou, Sandra !
– Pourvu que ça dure, mon bichon !

J’avais pu, enfin, terminer de me laver, non sans m’offrir un petit réconfort manuel qui m’avait soulagée de la tension sexuelle accumulée en si peu de temps.

Dehors, il faisait encore beau, malgré qu’on arrivait à la fin du mois d’octobre et que les premières gelées avaient déjà fait son apparition ; mais, dans la journée, la température était presque estivale. Pour cela, j’en avais profité pour mettre une belle robe, assez courte et décolletée et chausser mes nus pieds à talon. Une touche de mon parfum Hermès et me voilà prête pour passer un bon après-midi en compagnie de deux mâles, père et fils, qui n’avaient qu’une idée en tête : me baiser !

Pas grande chose à raconter de comment s’étaient déroulées ces quelques heures. Au resto, Kevin n’avait pas arrêté de me zieuter les nichons et son père, à deux reprises, il avait fallu que je lui mette une bonne claque sur ses mains, trop baladeuses. Et quelques commentaires de mon beau-fils à un moment où son père est parti aux toilettes :

– C’était bon, avec mon vieux ?
– Quoi ?
– Qu’est ce qu’il t’a fait, à la salle de bain ?
– Rien… On a parlé
– Mon œil ! Je t’ai entendu !
– Ce n’est pas bien d’épier les gens…
– Il t’a bouffé la chatte, comme moi ?
– Je n’aime pas ce langage…
– Pardon, madame… Il t’a caressé le sexe avec sa langue ? Il réussit à me faire rire :
– Non… il m’a fait l’amour… Mmm, c’était très bon ! Et en disant ça, je m’étais penchée en avant lui montrant une bonne vue de ma poitrine.
– Et moi ? Quand est-ce que je pourrai venir dans toi ?
– Tu rêves, petit… Répondis-je sournoisement, en regardant comme Joël revenait à table.

Pareil pour le cinéma, qui était bondé, avec plein de familles avec leurs enfants. Je ne me rappelle pas sur quelle scène hilarante (je me suis amusée comme une gamine, avec ce film) que j’ai senti la main de Kevin (il était assis à ma droite, Joël, à coté de lui) se faufiler sous ma jupe, que je couvrais pudiquement avec un petit gilet en cachemire :

– Sors ta main de là ! Tout de suite ! Lui dis-je à l’oreille.
– Oh, méchante belle-mère, ce fut sa réplique tout en me titillant l’intérieur de mon oreille du bout de sa langue. Pourquoi as-tu mis une culotte ?
– Sors-ta-main-de-là ! Lui chuchotai-je, sans trop de conviction.

Il ne cessait pas de me surprendre. Non seulement il s’enfichait de ce que je lui disais, mais encore, sa main se faisait plus osée et un de ses doigts ne tarda à trouver sur quoi il fallait faire pression, sur la fine toile de mon string. J’eus peur de faire une scène et être obligée de donner des explications. Je lui priai une dernière fois d’arrêter mais, comme toute réponse je n’obtins que :

– Écarte un peu tes cuisses… Bien… Comme ça !

J’en ai faites, des cochonneries dans une salle de cinéma ; un paquet de fois. Mais là, c’était totalement nouveau, pour moi. Un film d’animation, une salle bondée d’enfants et la main d’un adolescent qui me branlait divinement. C’était, simplement, diabolique ! Je voulais fermer les yeux, mais, prudemment, je les ai laissés bien ouverts, faisant semblant de regarder ce film dont les images étaient en train de se dissiper, de devenir floues. Son doigt avait fini par se glisser sous mon string et me caressait le clitoris. Que s’était-il passé depuis cet été pour que ce garçon devienne si fin connaisseur de l’anatomie féminine ? Songeai-je, tandis que la marée de l’extase s’emparait doucement de mon système nerveux.

La salle toute entière éclatait de rire. Il n’y avait que moi qui ne rigolais pas. Ce fut l’orgasme le plus silencieux de ma vie. Kevin, fier de lui, sortit sa main de la fournaise de mon entrejambe et se léchait le majeur, trempé de mon jus. Il s’approcha de mon oreille et me murmura :

– Tu m’en dois deux, belle-maman !

Simultanément, Joël se pencha en ma direction :

– Il est super, non ?
– Si, si… Très drôle… Réussis-je à lui répondre avec un tout petit fil de voix.

En sortant du ciné, Kevin profita une nouvelle fois de l’absence de son père –parti faire pipi- pour me dire, en me tenant par la taille :

– Je n’en peux plus, Sandra !
– Dieux, Kevin ! Ce n’est pas bien, ce que l’on fait…
– Mais… On ne fait pas du mal à personne…
– Quel culot que tu as ! Et ton père, alors ?
– Mon vieux il t’a tous les jours, lui… Moi, je ne demande qu’à être avec toi une seule fois !
– Tu as changé beaucoup depuis la dernière fois, tu sais ?
– Comment ? Pourquoi dis-tu cela ?
– Laisse tomber…
– Non, non… dis-moi pourquoi tu dis ça…

Joël revenait vers nous, un grand sourire affiché sur ses lèvres. Discrètement, j’écartai la main de Kevin, toujours posée sur mes hanches :

– Super, ce film, hein ? Nous lança-t-il, tout guilleret.
– C’est vrai. On a passé un super moment, n’est-ce pas, Sandra ?
– Si, très bien…
– Et demain… Europapark ! –ajouta mon mari-. On va fêter l’anniversaire de ce garçon comme il se doit.
– J’ai horreur des manèges ! Dis-je. Ça me donne le tournis !

Ce soir là, tout s’était passé normalement, si on peut le dire. Kevin avait pris une douche et m’avait sollicitée pour lui passer de la pommade sur le dos. Et je l’avais fait, mais devant son père car je ne voulais pas aller plus loin dans nos rapports. En tout cas, pas de cette façon là. Nous nous sommes retirés assez tôt pour pouvoir nous lever de bonne heure. Au lit, Joël m’avait cherchée, de nouveau, soi-disant qu’il avait du mal à s’endormir. J’étais assez perturbée, même inquiète, je dirais. Il l’avait senti et il avait voulu enquêter sur mon état. Mais, je n’avais voulu me lancer sur un terrain plutôt glissant. Donc, je lui avais taillé une bonne pipe, avec, en bonus, un bon massage de sa prostate :

– Bonté divine, chérie ! Quelle sacrée suceuse, que tu fais !

Deux minutes après, il ronflait, satisfait. Vers trois heures du matin, je me suis réveillée. La moiteur que je sentais entre mes cuisses n’était l’habituelle mais celle que j’avais une fois par mois. Je me suis levée en vitesse et filé à la salle de bain, sans allumer la lampe de chevet pour ne pas réveiller mon mari, sans prendre le temps d’enfiler ma robe de chambre. Heureusement qu’avec l’âge, mes règles étaient de moins en moins copieuses et de moins en moins douloureuses ; néanmoins, un filet rouge ruisselait entre mes cuisses. En bas, il y avait de la lumière, et on entendait des voix. Merde ! Me suis-je dit, Kevin ne dort pas. Effectivement, il regardait la télé, assis sur le canapé, habillé d’un t-shirt et un boxer.

– Qu’est ce qu’il t’arrive, belle-maman ? Me demanda-t-il, amusé de me voir courir devant lui, nue et avec une main plaquée contre ma chatte.
– Chut ! Ne t’approche pas !

Pensez-vous qu’il est resté assis, sans rien dire et sans rien faire ?

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