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Agréable voisine (4)

Agréable voisine (4)



En s’asseyant dans la voiture, je sens le plug me chatouiller et je dois me concentrer pour laisser passer l’excitation, mais chaque aspérité de la route me rappelle sa présence ; heureusement nous arrivons vite au cinéma, et une fois la voiture garée sur le parking, me vient une appréhension à sortir de la voiture comme ça, et j’en parle à Marie. Rassurante dans ses propos, elle me dit de ne pas en faire de cas et de rester naturel-le (elle le dit comme ça), ce que je m’efforce de faire. Sans être complètement inquiet, mais davantage curieux, je jette des regards autour de moi pour mesurer l’effet provoqué, et je constate que les gens ne font pas spécialement attention à nous. Une fois dans le bâtiment, afin d’éviter au maximum le contact direct, nous nous dirigeons vers les bornes pour prendre nos places. Dans la file, je sens des regards sur ma poitrine, mes fesses, et un peu intimidé je n’ai qu’une envie, me réfugier dans les bras de Marie qui ressent mes pensées et me dit de me détendre, d’un sourire rassurant.

Une fois les places prises, arrive une étape de fouille et palpation, à cause des plans anti-terrorisme en vigueur, et ma dulcinée me ratt**** avant que je m’engage bêtement dans la file des hommes. Fiou ! Ce premier test grandeur nature n’est pas évident. Je redoute un contrôle d’identité, qui nous mettrait dans l’embarras, mais tout se passe bien. Une fois fouillés et palpés, nous accédons à la salle pour regarder ce film d’action dont on voyait tant de publicité en ville. Au cours du film, Marie me glisse un rapide baiser mais se limite à ça et moi, frustré, glisse ma main sous elle pour manipuler son plug, m’arrêtant aussitôt quand elle menace de me faire la même chose.

Une fois sortis, nous décidons d’aller nous promener au marché de Noël avant de rentrer, comme deux amies le feraient. Seulement les deux amies ont un plug anal en elles, et l’une d’elle se fait chatouiller la prostate à chacun de ses pas. Elle me conseille de mettre un pied presque en face de l’autre pour marcher, et ce faisant me laisse aller devant, pour revenir vers moi et finalement me demander d’arrêter de rouler des fesses. Après avoir vu la majorité des exposants, et ne tenant plus, je lui fais part de mon excitation, et sa réponse ne me surprend guère. Nous précipitons notre marche pour rentrer, excités l’un et l’autre, et sitôt la porte de l’appartement fermée nous profitons chacun l’un de l’autre et de sa tenue, retirant sensuellement les vêtements de son alter-égo, alternant les caresses et les baisers. Une fois nus, nous nous cachons sous la couette, et je me jette entre ses jambes pour la dévorer, tellement la situation m’a donné faim. J’agace son bouton, puis le lèche, le mordille, glisse un doigt dans son puits, revient vers son clitoris, puis joue avec la base de son plug, avant qu’elle se laisse aller dans son plaisir.

Sans lui laisser le temps de me préparer, ce qui aurait été inutile, je décalotte mon pénis pour le présenter sur ses petites lèvres, avant de m’introduire en elle. Je commence de lents va et viens, terrassé par deux nouvelles sensations : son plug que je ressens contre ma bite, et celui que j’ai en moi qui travaille ma prostate à chaque mouvement. Avant la jouissance, je m’arrête, la retourne pour la prendre en levrette, retire son plug, puis glisse mon bâton de chair à la place. Quelques allers-retours suffisent à me faire craquer, et se synchronisant avec moi, elle crie son plaisir tandis que je m’écroule sur elle dans un long soupir.

Reprenant mes esprits, je regarde mon sperme s’écouler entre les globes fessiers avant qu’elle ne se lève, s’essuie puis aille fouiller dans le carton du colis de la veille. Elle en ressort un harnais, avec un double gode au bout, et le lubrifiant, en me demandant si je suis d’accord. Embaumé par la passion crée par nos ébats, et sans me soucier de ce que réprimerait la morale, j’acquiesce, et face à moi, elle enfile ce harnais, le remonte le long de ses jambes, puis s’introduit le gode de son côté. Elle resserre les sangles, presque inutile vu comme ça à l’air de se tenir, et s’avance vers moi. Je me positionne à 4 pattes, elle retire le plug délicatement, puis fait couler un peu de lubrifiant entre mes fesses et sur le gode. Elle s’avance, me demande si je suis prêt, et à mon oui s’enfonce en douceur en moi. Lubrifié et un peu ouvert grâce au plug, je ne ressens aucune douleur, juste un côté « interdit » ou « moralement incorrect » qui m’excite d’avantage. Puis je sens ses cuisses au contact des miennes, ce morceau de plastique au fond de moi, et je surprends un petit cri de sa part : en plus d’être au fond de moi, le gode est au fond d’elle : nous allons prendre notre plaisir ensemble, de concert, chacune de ses avancées en moi provoquera une avancée en elle.

Marie décide de reculer, ressort de moi tandis que le gode frotte ma prostate et me fait échapper un râle, puis revient au fond de moi de manière plus rapide et nous crions tous les deux. Elle recommence, encore et encore, dans une délicatesse incroyable, et je lui dis que je sens que le volcan va entrer en éruption. Elle se retire, puis me met sur le dos, se saisit du gode qu’elle décroche du harnais et me pilonne le fondement d’une main, tandis que l’autre se saisit de mon pénis pour le mettre dans sa bouche et avaler ma semence qui arrive. On se couche de cette manière, et heureusement qu’on a choisi ce jour, on se réveille à 14h le lendemain.

Décembre s’écoula tranquillement, nous avons passé le réveillon de Noël chez ses parents et le lendemain chez les miens, tout se passait à merveille alors que l’on n’avait pas « joué » depuis la partie de strap-on. J’arrive à très bien gérer cette double vie, et évite de prendre des risques avec des connaissances perso ou pro, ou de la famille, pour ne pas affronter un quelconque jugement. Marie n’insiste pas non plus, me laisse libre de mes choix, et nous avons suffisamment d’activités communes (sport, sorties, etc.) pour ne pas tomber dans la dépendance du travestissement : nous choisissons nos terrains de jeu, nos dates, et restons assez libres.

Assez rapidement vient la question du nouvel an, et dans la semaine entre les fêtes une amie à Marie l’a invitée à une soirée. Ne sachant pas que nous étions en couple, Marie me proposa un nouveau jeu : elle demanderait si elle pouvait emmener une amie, et je serais cette amie. Ne connaissant personne sur place, j’accepte, histoire de terminer et commencer l’année en beauté. Une fois que Justine, l’amie de Marie, accepta ma présence féminine, nous décidions de rentrer chez nous pour faire quelques achats et préparer la soirée. Marie alla jusqu’à me proposer de faire les magasins habillé en femme, mais je refusais, pour ne pas risquer de tomber sur une connaissance. Sans thème particulier, nous avons pris la décision de rester dans des tenues glamour / chic, pas provocatrices vu que nous étions tout(es) les deux en couple. Ainsi, je pris pour moi une robe de soirée sans manches, bleue foncé, avec un peu de dentelle au niveau des épaules, puis qui met en valeur la poitrine sans décolleté, serre au niveau de la taille avant de s’évaser en dessous de la ceinture, et s’arrête au niveau des genoux ; une paire de bas autofixants dans la même teinte avec des décors en étoile, et – je n’avais pas d’échappatoire – une paire d’escarpins assortis, avec un talon d’environ 7cm de hauteur, ainsi qu’une paire de ballerines pour soulager mes pieds au besoin.

Je complétais avec un shorty en dentelle bleu et noir, un soutien-gorge assorti, et des bijoux dans les mêmes tons : un collier, une bague, deux bracelets, et des boucles d’oreilles qui ne nécessitent pas de trous. En rentrant, j’avais toute hâte d’essayer, et je me précipitais dans la chambre, m’y enfermais et me transformais. J’étais ravissante, chic et raffinée dans cette tenue, et Marie fut du même avis, bien que je n’aie mis ni bijou, ni maquillage, ni cache sexe. J’en profitais pour m’entraîner à marcher avec les talons, ce qui ne me parut pas si difficile que ça, sous le regard amusé et les conseils de Marie. Excitée, elle m’effeuilla puis nous fîmes l’amour « classiquement » pour la dernière fois de l’année.

Le lendemain, vers 17h, nous nous préparions gentiment tous les deux, ou devrais-je dire toutes les deux (j’utiliserai le féminin pour parler de moi lors de cette soirée, puisque je devais me comporter en femme jusqu’à ce que nous rentrions, et d’un commun accord Marie commença à me parler au féminin pour ne pas faire de bourde). Nous avons pris une douche sans s’exciter, puis chacune de nous s’est épilée les jambes, les aisselles, le maillot, et la raie. Pour les jambes je elle me fit tester son épilateur électrique, une joie pour le pas se couper avec le rasoir. Revenues dans la chambre nous avons entreprit de nous habiller ; ma tenue était prête et n’attendait que moi. Désormais habitué, je camouflais mon sexe, et bien que je n’y pensais pas spécialement je ne fus pas surpris quand Marie me tendit le plug. J’acceptais, car je ne prévoyais pas de rapport ce soir, c’était mon premier nouvel an en couple. Je déposais une noix de lubrifiant sur le plug, m’accroupis puis je frottais le bout sur mon petit trou.

Une fois prêt, je poussais délicatement le plug jusqu’à la garde, et je dû me concentrer pour faire retomber l’érection naissante et ne pas fausser mon camouflage. Je passais le shorty, profitant de la douceur du tissu le long de mes jambes. Ensuite, je mis en place ma fausse poitrine et mis le soutien-gorge en place. J’étais presque inquiète d’y arriver aussi bien que ma chérie, je lui en fis part et nous avons éclaté de rire toutes les deux. Toutes deux en sous vêtement, je la regardais, et je n’avais presque rien à lui envier, si ce n’est le côté naturel. Je mis en place la perruque avant de continuer, et quiconque serait rentré à ce moment aurait vu 2 superbes femmes. M’enlevant cette pensée de la tête, j’enfilais les bas, et de nouveau je dû faire preuve de concentration pour ne pas bander, tellement le contact sur mes jambes nues était affriolant. Je me levais du lit, puis passais la robe, dégageais les cheveux, et Marie était là, face à moi, et me bouffait du regard. Elle m’invita à m’assoir, puis me maquilla légèrement, pour gommer les derniers traits de masculinité qui subsistaient, tandis que je mettais les bijoux, puis elle me mis du vernis à ongles bleu, me coiffa, et je mis une touche de parfum ; je regardais cette femme à ma place dans le miroir : de nouveau, le camouflage était parfait.

Toutes belles toutes les deux, il ne me manquait qu’un indispensable : le sac à main. Elle m’en sorti un de taille moyenne, suffisant pour mettre mon téléphone, des mouchoirs, les ballerines, un étui en tissu pour ranger le plug en cas de gêne, et du bric à broc typique de sac à main de nana.

Elle finit de se préparer pendant que j’enfilais les escarpins, elle avait également une tenue chic, avec une robe de soirée noire sans manches également, et globalement dans les mêmes formes que la mienne ; ses gambettes étaient couvertes de bas noirs, ainsi qu’une paire d’escarpins noirs et argentés. Légèrement maquillée et parée de bijoux, elle était vraiment désirable. J’attrapais un gilet à elle, puis pris les clefs, et ouvrit la porte pour aller affronter ce passage à la nouvelle année.

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