Bon j’ai trouvé le temps nécessaire pour vous raconter la suite de mon histoire avec ma
belle sœur. Je tient à vous rappeler que tout ce que je raconte est vrai. Libre a vous
de me croire ou non. Mais je pense que ça se ressens dans le texte… Certes, c’est écrit
de façon » romancée « , mais j’essaye de vous faire vivre le mieux possible ce passage de
ma vie absolument formidable. Et devinez quoi… Licia est toujours à l’heure actuelle
ma belle sœur… Et j’ai encore énormément de choses à vous raconter… ^^
L’épisode de la pêche à eu lieu il y a 2 mois. Nous sommes maintenant au mois de
septembre. Le 1er d’ailleurs si je me souviens bien.
Nous nous sommes revus moi et Licia. Nous nous sommes beaucoup revus même, puisqu’il y
eut encore des sorties à la pêche, On s’est également vu à quelques soirées, ou des
repas de familles…
Bref, le quotidien avait repris son cours d’une façon incroyable. A ma grande surprise,
ni Licia ni moi n’avions changé d’attitude l’un envers l’autre ! Nos yeux se croisaient
et nos corps se frôlaient sans même que l’on puisse détecté un instant, que la
complicité qui nous animaient tous les deux, était en fait charnelle, passionnelle…
Sexuelle… De discussion inodore à petite blagues, en passant par les conversations
standard d’un bof et de sa belle sœur, nous étions redevenus ceux que nous étions
avant. Pour notre bien à tous les deux. Cela apportait une certaine… légèreté à la
situation. Sans avoir à nous cacher ou nous éviter l’un l’autre, nous nous fondions dans
la masse, passions inaperçus… Je dirais même que je pensais que ça resterait comme ça
tout le temps… qu’elle, ou moi même, n’avions pas l’envie de recommencer, de prendre
le risque ou plus simplement, l’attirance avait disparue. Enfin je croyais…
C’est bientôt la rentrée et Licia commence sa deuxième année d’école de coiffure dans 3
ou 4 jours…Au détours d’une conversation , je lui glisse que tant qu’a faire elle
pourrait me couper les cheveux avant la rentrée, ça pourrait l’entrainer un peu , la
conforter, et par la même occasion me faire économiser 20 sacs. On tombe d’accord pour
un jeudi ou je suis de repos, la miss en vacance, et ma femme sera la en fin d’après
midi.
Le jeudi, je mange seul à midi, ma femme est au travail. Dans l’innocence la plus
totale, je répond à un coup de fil de Licia.
_ » Ouai , salut, dit j’peut venir plus tôt ? j’ai fini c’que je faisait, et j’me fait
chier en fait là… Donc autant j’passe te voir un peu et je te coupe les cheveux… » me
lance elle…
_ » Bah bien sur ! je prend ma douche et tu peux venir »
_ »Ouai mais tu prend une douche avant de te faire couper les cheveux ? t’es con ! tu vas
avoir des ch’veux partout , t’vas en reprendre une après ??? tu paye pas l’eau ou quoi
??? » me dit elle en rigolant.
_ » aller c’est bon viens, t’as raison je ferait ça après… A de suite ma belle , bisous »
20 minutes après on sonne, j’ouvre la porte et là… Fracture de la rétine…
Licia est devant moi,en sueur, un peu essoufflée , le visage rouge, en tailleur quasi
professionnel, jupe noire ultra moulante, chemisier blanc entrouvert de quelques
boutons, les cheveux décoiffées sur le devant… Pieds nus…! une paire de talons hauts
dans une main et sa mallette dans l’autre…Je bloque… Et je ne peut m’empêcher de
laisser courir mon regard de bas en haut, sur la belle essoufflée, sur son corps…
_ » quoi ?!…. Ça va bloque pas comme ça ! j’suis venue habillée en pro ! Tu m’as dit
pour m’entrainer, j’m’entraine ! » me dit elle encore essoufflée…
_ »ben…non, mais..non enfin… Rooo, c’est pas ta tenue, t’es magnifique au contraire,
ça te va super bien, c’est plutôt que t’es pieds nus, et toute rouge, style t’as couru,
c’est pour ça… »
_ » maiiiiiis non t’inquiète… J’suis rouge parce que j’avais le casque du scooter ! Et
puis les talons en scooter c’est la merde, ça raye tout les carters…j’peut fumer? »
Après cette arrivée surréaliste , le belle installe son matériel… Je ne peut
m’empêcher de rester figé sur ses pieds et ses petites et fines mains quand elle
s’assoit un instant pour remettre ses talons, avec l’élégance d’une vraie
femme…Ouaouh.. ça recommence… Comme la première fois… Je me surprend à la regarder
comme une femme attirante… des flashs de notre nuit me reviennent… Je suis en train
de déconner là…
Me voilà torse nu, assis sur une chaise dans le salon. Elle me coupe les cheveux, on
parle de tout, de rien, mais, sans plus de discrétions, mes yeux ne peuvent se détachés
des formes de Licia… Elle est superbe… Quand elle est devant moi, son chemisier me
laisse apercevoir les seins dont j’ai encore le gout en bouche… Quand à un moment,
elle fait tomber un sabot de tondeuse, elle se met à genoux pour le ramasser sous la
table basse… L’occasion pour moi de profiter de ses fesses, moulées par sa jupe, qui
elle même laisse apparaitre la ficelle d’un string blanc qui enlace les hanches et le
dos cambré de la belle…ses mollets, fins se contractent quand elle s’étire…sa tête se
retourne d’un coup ! Et déjà souriante elle me lance :
_ » ça va ouai ? tu crois que je le sens pas que tu me matte ? »
_ »…je…je… ( je rougis surtout là ! ) »
_ » mais nan j’deconne… Bon aller deux coup de ciseaux et à la douche ! »
Ayant fini la coupe, elle passe ses mains dans mes cheveux plusieurs fois…en
caressant la peau de mon crâne avec ses ongles, la chair de poule et mes poils hérissés
attirant son oeuil … Elle laisse alors courir ses pouces sur ma nuque, en malaxant
légèrement la peau de mes omoplates… Ses mains passent par dessus mes épaules et ses
doigts effleurent mes pectoraux… Cette impression de mal a l’aise de la première fois
reviens… Je suis à la fois gêné, à la limite de me levé, de dire stop, et en même
temps, terriblement excité… Mon sexe gonfle… Je me revois entrain de manipulé la
douce… L’embrassé…l’enlacé…
Elle me tapote les épaules en me faisant signe que c’est fini. En me relevant, les
vestiges de mes anciens cheveux s’écoulent comme une rivière le long de mon dos et de
mon torse, encore collant de la chaleur extérieur. Elle me regarde fixement, à deux
mètres de moi, et j’aperçois sa lèvre inférieur venir se faire pincé délicatement dans
une morsure humide… Elle se mords une lèvre… L’effet est immédiat… Je bande… Et
instinctivement, je détourne le regard.
Un sourire se dessine sur sa bouche…
_ » Aller, bonne douche ! » me dit elle.
En m’avançant dans la salle de bain, je me retourne une dernière fois sur l’objet de mon
désire. Elle est là , penché au dessus de sa mallette, et train de ranger ses affaires,
les jambes légèrement tendues, dessinant les formes de ses mollets contractés… Elle
passe sa main dans les cheveux pour les glisser derrière son oreille… Magnifique…
J’entreprends d’enlever mon pantalon et mon boxer. Pas besoin de chauffage il fait
suffisamment chaud dans la salle de bain. Je met l’eau à couler et me jette directement
sous l’eau fraiche. En fermant le rideau je remarque que le loquet de la porte n’est pas
fermé… Sans savoir pourquoi, je passe outre ce détail, et commence une douche dont le
but est en fait d’enlever tous ses poils qui me gènes et qui grattent…Je me lave
plusieurs fois. L’eau est fraîche et pourtant mon érection à plutôt du mal a passer.
Victime d’une mauvaise blessure au rugby, j’ai une sorte de brûlure sur la hanche que je
dois lavée avec un savon spécial. Il n’est pas là… Et merde… le truc que je detetse
: sortir de la douche et foutre de l’eau partout… Tant pis, j’ouvre le rideau, et
là… Je suis nez à nez avec Licia… Une ou deux secondes de flottement passent… Elle
me fixe dans les yeux. Sa bouche peine à articuler quelque chose. Son regard descend
lentement… Je le sens sur le haut de mon corps, mes abdos… Mon sexe… Sa main
avance doucement vers moi et elle pince entre ses doigts le bout de mon sexe dressé. Son
regard remonte, alors que sa main entame un léger va et viens. Puis, d’un coup, alors
que maintenant son regard à replonger dans le mien, elle s’agenouille et avale mon
gland. Une chaleur m’envahit. Elle est là, a genoux, devant moi. Elle tient la base de
ma queue d’une main et avale l’autre moitié dans sa bouche chaude et crémeuse. Ses
genoux sont posé contre le rebord de la douche. Elle se positionne mieux et de sa main
libre, elle s’aggripe à mes fesses. Elle appuie dessus pour mieux enfoncer mon sexe
entre ses lèvres. J’empoigne ses cheveux, et mes bras, encore trempés, laissent courir
sur son front des goutes d’eau, qui glissent doucement jusqu’à sa bouche. Je boue. Sa
langue entame une danse avec le gland de mon sexe dur, et ses deux mains, serrés,
malaxes mes couilles. Elle les serres, et les étirent. Je reste encore bouche bée du
talent et de l’aplomb de Licia. Des sons baveux, rauque, liquide sortes de sa bouche au
fur et a mesure que mon plaisir grandit. Elle enfonce ma queue tellement profond dans sa
bouche, qu’elle bute au fond de sa gorge, provoquant ces petits bruits. Elle lève son
regard , et me fixe dans les yeux au moment ou elle enfonce mon sexe au plus loin, ses
yeux se remplisse de larmes, tant elle doit se maitriser pour avaler le membre en
entier.
Je ne tiendrai pas longtemps…Et je ne veux pas.
_ »Licia… Tu…Tu vas me faire jouir… » lui dis-je, et sur ces mots, elle me serre
encore plus fort entre ses lèvres et ses mains, qui me branlent maintenant en rythme. Et
moi d’enchainer » Putain…C’est n’importe quoi… C’est n’importe quoi c’qu’on fait… »
Elle sort ma queue de sa bouche et en essuyant ses lèvres :
_ »Hum hum… Je sais… tu veux que j’arrête ? » elle garde une main sur ma queue et me
branle doucement , comme une de ces chiennes dans les pornos, en effectuant un petit
nettoyage de ses lèvres avec l’autre main… » Parce que moi, j’ai vraiment pas
envie…Tu sais de quoi j’ai envie… J’ai envie de toi… »
Je suis là, trempé, encore nu dans ma douche, et en face de moi, Licia, ma belle sœur,
que je connais depuis des années, que j’ai connu gamine, qui est maintenant un petit
bout de femme à peine majeure, une brunette fine comme un coup de sifflet mais avec des
jambes bien dessinés, de petits pieds charnus, une poitrine généreuse, un visage
d’adolescente et… et… sa main sur ma queue, en train de me dire qu’elle veut que je
lui donne le plaisir qu’elle réclame.
J’att**** ses deux mains, et la relève. Elle à le visage légèrement mouillé,
d’ailleurs, un peu de son maquillage coule. Je lâche ses mains un instant, me retourne,
et referme les deux robinets de la douche. Je ne peut pas résister… En me représentant
en face d’elle, mes mains trempés agrippent ses fesses et je la colle contre
moi. Surprise, elle laisse s’échapper un léger cri, étouffé rapidement par ma bouche.
J’entame un baiser qui se transforme vite en une véritable dégustation. Je dévore
littéralement ses lèvres et enfonce ma langue à la rencontre de la sienne. Elles se
trouvent et s’enlacent. Elle à encore le gout de ma bite. A mon contact, le chemisier
blanc s’imbibe d’eau, et en devenant transparent, laisse apparaitre sa poitrine tendue.
Il devient inutile. Je vais l’enlever. De ma main gauche j’écrase sa fesse qui se tord
sous ma paume. Mon autre main tire un temps le bas du chemisier, pour le faire glisser
hors de la jupe où il était retenu, ce qui me permet de laisser courir ma main le long
de son ventre, puis rapidement sur ses seins.
Je sors de la douche , et je la plaque contre le mur d’en face.
_ »att…Hm…Attend…Attend… j’enlève mes habits, j’suis…mhh… j’suis en train de
les trempés… » elle se détache de moi un instant, et , de façon précipité mais
terriblement gracieuse et excitante elle se déshabille. Après avoir ouvert une fermeture
éclaire sur le coté, elle entame un déhanché, soutenu par de léger sursauts, ce qui fait
couler la jupe jusque ses chevilles, et en même temps rebondir ses seins au travers du
chemisier mouillé. Ses pieds, fins et lisses, se débattent pour s’échapper de la dite
jupe. Elle retire son chemisier sans le déboutonner , comme on retire un tee shirt…
Pas de sourire sur son visage. Juste ses yeux dans les miens. Elle refait les trois pas
qui la séparaient de moi, et m’enlace à la fois de ses bras, et d’une de ses jambes, qui
prend appuie sur le creux de ma hanche. Nos langues jouent de nouveau. L’espace entre
nos corps nous laissent a peine la place de passer nos mains où nous voulons. Elle, a
repris ma queue en main. Elle la branle, avec la main à l’envers, mon gland se frottant
contre sa paume. Moi, je laisse de temps en temps ma bouche s’égarer dans son coup,
délicat, à la peau tendue. Je savoure le dessus de sa poitrine ferme et moelleux à la
fois. Une de mes mains écarte ses fesses au travers du string, tandis que l’autre elle
est passée à l’intérieur. Sa chatte, déjà très humide , dégouline encore plus au
contact de ma main chaude et trempée. Majeur et Index sont dors et déjà en train
d’explorer ses lèvres supérieur… Elle réagit… Par sa jambe perchée, elle dessine des
mouvements de bassins. Grâce à ces accoups, mon majeur rentre précipitamment en elle. Elle
m’agrippe la tête. La voir se tordre de désir comme ça ne me donne qu’une envie : Lui en
donner plus.
C’est à mon tour de m’agenouiller. L’odeur de son sexe embaume mes narines. ma main
écarte le string de la douce, pour mieux me permettre de déguster le fruit ruisselant.
Ses poils son collant, tant ils sont humides, et ma bouche les enveloppent dans un baiser
, bouche grande ouverte. Ma langue se faufile jusqu’à son antre, encore plus chaude. Je
descend le string… Je ne peut enfoncer plus ma langue, car dans cette position
délicate il m’est difficile d’aller plus loin. Mais Licia att**** ma main, qui
s’efforçait déjà de battre doucement l’entrée de sa chatte. Elle l’att****, et la
pousse contre elle, faisant pénétrer mes doigts plus profond en elle. Et en écartant ses
jambe est se baissant légèrement, elle accélère le mouvement de ma main. Mes deux doigts
joints agissent comme une machine, en branlant le sexe de la frêle et mince jeune fille,
une machine qu’elle contrôle. Elle ne peux aller plus vite, et c’est moi qui prend
l’initiative d’accélérer encore le rythme, transformant mon bras en un gigantesque et
unique muscle, nerveux, dont l’extrémité de ne cesse de rentrer et sortir frénétiquement
de la belle .
_ »Prend moi »…
Ces mots ont de quoi me rendre fou. La manière avec laquelle elle les a prononcés encore
plus. Plantée sur ma main, son intimité encore frémissante des percussions de mon bras,
elle se donne donc entièrement.
Elle me pousse au sol et m’allonge entièrement, passe une de ses jambe par dessus moi,
mais étouffé par l’envie de remettre dans ma bouche son sexe béant, je la fait opérer un
demi tour en saisissant ses hanche. Ses Lèvres bouillantes se retrouvent au dessus de
moi, tandis que je la sens déjà entrain de buriner mon sexe de sa bouche. Elle retire de
temps en temps ma queue pour laisser s’échapper plus facilement des cris bref qui
répondent à mes coups de langues. Je la baise avec ma langue un moment, et parfois
embrasse sa chatte entière, et tente même d’embrasser son anus, ce qui ne la gène
visiblement pas.
Alors que je me régale, elle me regarde , en penchant sa tête en avant. Entre ses seins
et mon torse, je la vois, visage à l’envers, et la bouche encore baveuse, qui me dit :
_ » Ailleurs, j’ai trop mal au genoux sur le carrelage… Viens… Baise moi… »
Effectivement, la position est pour moi également très inconfortable. D’ailleurs c’est
incroyable ce que les mecs sont capables d’endurer juste pour une position, ou un délire
particulier !
En se relevant, elle aspire littéralement ma queue, avec force, et la relâche dans un
bruit de sussions.
Debout, désormais entièrement nue, elle avance dans un déhanché langoureux vers
l’extérieur de la salle de bain, en ramassant par ci par la ses habits qui jonchent le
sol, comme les restes d’une guerre qu’elle dores et déjà gagnée. Son cul balançant
m’hypnotise, et je me redresse vite pour me coller à nouveau au corps fin de la beauté.
_ » Où ? » dit-elle sans se retourner… J’att**** ses hanche, la serre contre moi, les
bras croisés autour de sa taille, une de mes mains malaxant son sein tendre et pointu.
Je la traine dans la chambre, et m’échappe de derrière elle en la laissant basculer tête
en arrière sur le lit. Les jambes écartées, sa chatte offerte, ainsi qu’un regard
insistant sur ma queue, elle temps les bras pour accueillir mon corps sur le sien. Nous
nous déhanchons un instant, en mimant un rut effréné. Je passe ses bras au dessus de sa
tête, et plaque ses poignets sur le coussin, l’embrasse à plein bouche, tandis qu’elle
gigote et s’essouffle de désir. Ses bras tendu me laisse une vue libre sur ses aisselles,
parfaitement imberbes, que je déguste aussitôt quand ma bouche se met à glisser dans son
cou. Elle libère une de ses main pour la glisser sur son ventre, que ma queue tapisse
d’une crème légèrement odorante et huileuse. Elle saisit mon gland du bout de ses doigts
élancés, et le pousse contre son antre.
_ »Licia…j’ai…j’ai pas de capote ici… On peut pas…3
_ »prends moi… Prends moi… j’prend la pilule, ça craint rien… Je sais que t’es
clean, moi aussi… Tu sortira avant de venir, mais prend moi… »
Je ne voudrais pas être taxé de faire l’apologie des rapports non protégés, loin de moi
cette idée. Malheureusement dans le cas présent, ma queue écarte déjà légèrement les
lèvres supérieures de ma partenaire, et elle la pousse encore plus bas pour que le gland
exerce une pression contre le fond de son entrée… De temps en temps elle la remonte
sur son clitoris gonflé, provoquant de légères suffocations, et des tremblements dans sa
respiration.
Je ne tient plus… Je vais lui faire l’amour…En me jetant en arrière pour reprendre
appuis sur mes bras , je saisie ma queue, raide et rouge, bleu par endroit ta
l’excitation me bande, et l’orient convenablement face au sexe de Licia.
Ses cuisses se pressent contre ses hanches, et elle m’enroule avec ses jambes, chevilles
croisées, et exerce une pression avec ses mollets que je retient au maximum dans le but
de la pénétrée avec délicatesse. Ses deux mains s’enlacent autour de mon cou, et son
regard quitte doucement le mien pour observer mon membre s’enfoncer en elle. Je rentre.
Elle est serrée… Malgré la poussée quelle exerce dans mon dos, je m’efforce de
contester un entrée brutal qui pourrait lui faire mal… Elle en veut. Son regard se
perd, elle ne sait plus où le diriger, à la fois captivée par la vision de cette queue
bandée qui s’enfouit en elle, et en même temps, cherchant mes yeux , qui ne trahissent
que mon envie de m’enfoncer plus loin. Elle gagne.
Sa tête bascule en arrière lorsque mon gland passe la porte de son plaisir, et s’enfonce
un peu plus à chaque va et viens. Ses lèvres se pincent, et son regard décroche … Sa
frange masque ses yeux, à priori fermés, et ses mains longent peu à peu mes bras, en
descendant, jusqu’à ce qu’elle se mette à serrer fermement mes poignets, appuyés sur le
lit. Je sent un légère contraction de son vagin lorsque je glisse plus de la moitié de
ma queue en elle. Ses mains s’écartent , grande ouvertes, et un petit sifflement d’air
entre ses dents manifeste une douleur.
_ »shhh…Aie… aie aie… excuse… ça fait un peu mal… »
_ » c’est moi qui m’excuse… je vais un peu vite , pardon… »
_ » continue… » Une de ses mains bascule pour rejoindre son clitoris, et le caresse dans
des mouvements circulaires. L’autre main arrive à son tour. Son index et son majeurs, en
V , laissent à peine la place à mon sexe de passer, mais élargissent l’antre de la belle
en écartant ses lèvres. L’effet se fait vite ressentir. En retirant mon membre
intégralement de son intimité, en en le représentant devant, je me sens véritablement
aspiré, et m’enfonce quasiment en entier en elle. Les lèvres de Licia blanchissent quand
ses dents se plantent lors d’une morsure jouissive.
J’accélère désormais le rythme. Je suis absorbé par la vivacité des spasmes de son corps
quand son clitoris lui procure de petites secousses de plaisir. Elle se cambre parfois,
ce qui exerce une pression supplémentaire sur ma queue lorsque j’atteins presque le fond
de ses entrailles. Je pousse ses cuisses contre le lit en m’appuyant sur ces dernières.
Licia commence à se débattre. Des frissons et des soupirs parcourent son corps chaud et
humide, ruisselant par endroits. Des sons caverneux s’échappent de sa gorge, transformés
parfois en petits cris quand je m’amuse à essayer de la pénétrer de toute ma
verge. D’ailleurs des claquements humides se font entendre quand mon bassin commence a
se plaqué contre celui de ma princesse. La main qui écartait ses lèvres se dérobe pour
attrapé une de ses cheville, tandis qu’elle commence à jouir d’un léger orgasme de son
clitoris… Sa respiration s’accélère. Elle balade de droite à gauche ce qui ressemble
maintenant à une petite cerise. De temps en temps sa main se porte à sa bouche pour
ressortir luisante de salive et replonge aussitôt. Elle l’agite, le tord, le pince…le
tapote même parfois… Etant au dessus d’elle j’improvise même de lui apporter un
soutient dans sa tache, en laissant pendre de ma bouche un crachat léger, qui vient
s’écraser un peu au dessus de son clitoris, et qui me lie à elle par un filet de
salive. Elle glisse ses doigts dessus pour le récupérer et ainsi lubrifier le haut de
son sexe. Ses jambes écartées et complètement relevés me permettent de commencer à
taper vivement au fond d’elle. Son regard flotte… Elle retient quelques cris…
Plante ses ongles dans mon dos, quand sa main quitte sa cheville… Se cambre une
dernière fois au moment où mon sexe et le sien se rencontrent dans un orgasme qu’elle à
menée d’une main de maître.
Elle ne tarde pas à reprendre ses esprits, puisque désarmait elle se relève, et
m’allonge vivement sur le dos. Elle m’enjambe, se positionne au dessus de moi. Elle ne
s’appuie pas sur moi mais sur ses jambes, et d’une main posée sur mon torse, garde
l’équilibre. L’autre main tire mon sexe en arrière pour le mettre à l’horizontal, et au
moment ou il s’aligne à son bassins, elle fléchit cuisses et mollets, introduisant elle
même mon membre. Elle l’engouffre entièrement. Je saisit sa taille et la maintient. La
position ne dois pas être de tout repos, et c’est moi qui imprime le rythme en la
soulevant et l’écrasant contre moi à l’aide de mes mains sur le haut de ses hanches. Les
cris de jouissance sont maintenant francs. Elle commence même à me parler parfois…
Exprimant son plaisir, ou exigeant d’accélérer, de freiner, d’aller plus loin, plus
vite, ou plus fort.
_ » Han…Oui… C’est bon putain… »
Comme seule réponse je ne trouve qu’un mouvement vif du bassin, combiné à un écrasement
de son corps contre le mien. Ma queue s’empale en elle plusieurs fois de façon vive et
rapide, tout en claquant dans un dernier sursaut encore plus fort. La réponse est
manifeste.
_ » Hmmm…Encore… Baise moi…. Vas-y… C’est trop bon… »
Je recommence… Mais ne m’arrête pas… Je la saisit par les mollets, et la suis du
regard lui faisant comprendre que je veux qu’elle descende maintenant. Elle replie ses
jambe et se met à califourchon sur moi. Mes mains écrasent ses fesses et mon sexe
s’enfonce plus loin , buttant contre une parois rugueuse. Je déguste ses seins dans une
frénésie qui n’a d’égal que les coup que lui inflige mon bas ventre. Je bat son corps de
toute mes forces, plaquant son cul contre ma queue au rythme de mes vas et viens, et
broyant ses seins d’une mains recouverte de ma propre salive.
Licia jouit bruyamment, et des mots vulgaires, mais appropriés, sont désormais en jeu.
_ » Ta queue en moi c’est trop bon…putain tu m’fais jouir… baise moi…baise
moi…baise moi… » Elle répète ces mots quelques fois, augmentant le ton, lorsque
j’augmente le rythme et la force.
_ » prend moi par derrière… »
La voix de Licia prononçant des mots de ce vocabulaire si particuliers, m’excite
terriblement , et c’est dans une dizaine de dernier accoups terriblement puissants, plus
lents mais violents, qui laissent claquer nos corps l’un contre l’autre, et font crier
la belle encore plus fort, que je me retire pour changer de positon.
D’elle même, elle se retrouve à quatre pattes, la tête penchée entre les épaules, les
omoplates écrasées, comme une poupée désarticulée.
Le dessous de ses petits pieds me fait face lorsque je me retrouve derrière la belle. Je
ne peut m’empêcher d’aller les gouter. Ma langue cours du talon rougeâtre jusqu’au creux
de ses orteils. Son pieds se tords. Je m’empare de son talon d’une main, et du haut de
son mollet dodu, de l’autre, comme si le tout était un morceau de viande que j’empoigne
et que je mange avec voracité… Je gobe son mollet en le serrant de ma bouche et mes
dents, puis redescend avaler son gros orteil, que j’entoure avec langue. Puis je savoure
l’autre orteil, puis l’autre…Elle se tort, se cambre. J’entame une remontée de cette
jambe ponctuée de baisers tendres ou de coups de langue. Je me redresse pour dominé
maintenant le corps sculptural de Licia. Son cul est ouvert, tout comme sa chatte rouge
et bouillonnante. Son anus est légèrement recouvert d’un peu de salive et de mouille
mêles. Ma langue s’engouffre de haut en bas de ses fesses. Je la laisse glisser sur son
anus, en prenant soin de le tremper de salive. Puis en descendant , l’enfonce légèrement
dans sa chatte, et remonte. J’exécute le mouvement plusieurs fois, en écartant de plus en
plus son cul, jusqu’à ce que les deux orifices se retrouvent liées d’une épaisse couche
de salive chaude. Ma main qui glisse de temps en temps entres les deux fesses qu’elle
maintient écartées, laisse échapper un doigt qui vient caresser son anus. Ses soupirs et
miaulements ne m’entrainent qu’à continuer. Mon autre main et en dessous, et s’occupe de
balader son clitoris du majeur, et de pénétrer tendrement sa chatte avec le pouce. Ma
bouche continue de valser d’un trou à l’autre, aspirant parfois ses lèvres coulantes. En
haut, mon index et passé à l’étape supérieur. Les caresses ont laissées place à de
petites tentative de pénétration. La belle est retissente, se penche en avant pour se
dérober, mais quand elle recule, son anus se dilate, comme essoufflé par la résistance,
et permet à un petit peu de mon doigt de s’introduire.
Je me relève doucement , et aligne ma queue face à sa chatte. Par confort, j’ai
désormais attribuer mon pouce à sa deuxième antre. Il glisse dessus, et le presse
contre, dans le but de rentrer, tandis que mes phalanges nappent son sexe de la salive
qui s’écoule.
Ma queue la pénètre. Quand elle arrive au bout, Licia laisse voler un cri léger de
satisfaction, et dans une fessée ferme, je plaque ma main contre son cul et l’empoigne
fermement. Je sur-renchérie d’une deuxième fessée. Plus forte. Un cri s’échappe à nouveau.
Ma main, en se déplaçant, laisse derrière elle la marque rouge de mes doigts, et longe
maintenant son dos jusqu’à sa nuque, que je saisie. J
Les coups de burin s’intensifient. Elle jouit de plus en plus, prend du plaisir à se
cambrer de temps à autre. Les mots et sons qui sortent de sa bouche m’excite. Je tend ma
main jusqu’à ses lèvre, et elle s’empresse de l’embrasser, puis de sucer l’index et le
majeur, tous deux joints. Je me redresse pour ne plus m’appuyer sur mes genoux mais
désormais sur mes pieds. Jambe fléchies au dessus de son cul, je l’empale à nouveau de
toute mon entièreté. Une main appuyée sur son dos, et l’autre qui att**** ses cheveux.
Elle tombe en avant, et se retrouve la tête dans les coussins, et la poitrine écrasée
sur le lit. Ses bras son sous elle, et ses mains on déjà recommencé à jouées de sa
cerise. Les cris sont étouffés par le coussins…
Je la baise avec force. Ma queue l’embroche entièrement , et de tout mon poids je me
jette littéralement sur elle à chaque poussée. Surplombant son cul, je crache de temps à
autre pour continuer d’irriguer ses orifices. J’enlève la main de son dos, pour
m’appuyais sur son cul tendu vers le ciel, et en profite pour faire rentrer la moitié
d’un doigt dans son anus…
Elle hurle parfois dans le coussin. Je tire ses cheveux et lui redresse la tête en
arrière , légèrement inclinée pour mieux voir son visage, parcouru de traces rouges et
d’essoufflement. Complètement dominée. Ses yeux peinent à me voir. C’est dans cette
position que j’entame la conversation :
_ » c’est bon…? »
La seule réponse que j’obtiens et un grondement profond , que l’on pourrait presque
confondre avec des pleurs.
_ » putain…t’es bonne… T’aime ça quand je baise fort comme ça ? »
_ » Oui..i…i..i…i… »
_ » T’aime ça ? » en frappant plus fort contre son cul béant.
et d’une voix caverneuse elle me répond :
_ « Moooui… Baise moi… BAISE MOI ! «
Je continue de la baiser violemment, une fessée de temps en temps. Mon index rentre
facilement dans son cul, et exécute des allers-retour qui font leur effet.
Dans un spasme, ses main se posent sur lit, et arrêtent de masturber son clitoris.
Sa chatte se serre, et se desserre, et plus un bruit ne sors de sa bouche.
Elle remonte ses bras jusqu’à sa tête. Une de ses mains se pose sur sa nuque et saisit
la mienne, accrochée à ses cheveux. L’autre main s’enfonce dans le coussin, qu’elle serre
fort.
Les contractions de son vagin sont de plus en plus vivent. Un soupir lointain traverse
son corps qui s’immobilise, et devient dur comme de la pierre, se raidit, se crispe, ne
bougeant même plus sous l’effet de mes coups de reins déchainés.
Elle jouit dans une note aigüe, les dents serrées, la tête sur le coté. Je l’observe et
me retrouve absorbé par le spectacle magnifique qui se déroule devant moi.
Cette vision me fait instantanément ressentir une pointe dans le bas de mon sexe, qui se
contracte, signe que je vais bientôt jouir…
Je ralentit les mouvement, pour me faire redescendre la pression, et lui permettre de
vivre pleinement ce qui s’apparentait à un orgasme. Je retire mon doigts de son anus, et
retire également ma queue. Je redescend à genoux et porte à ma bouche les deux orifices
boursouflés et dégoulinant.
Elle, essoufflée, laisse apparaitre un sourire, illuminant son visage… Puis c’est
carrément en rigolant qu’elle me cherche du regard, tandis que je viens m’allongé à coté
d’elle.
Entre deux respiration, et avalant sa salive, elle me dit :
_ » …han…Fiuuu… Ouaouh… J’ai.. J’ai jouit je crois… Hmmm…c’était…
super…Enfin j’sais pas comment dire… J’étais… Ailleurs… »
Moi, allongé sur le ventre, je continue de branler légèrement mon sexe. Je la regarde
dans les yeux, satisfait d’avoir procurer à la douce ce qu’elle voulait, peut-être
plus.
Puis , c’est dans un sursaut qu’elle se penche sur moi, et reprend ma queue en main.
Elle est sur le coté, et serre ma queue de ses deux mains. Sa tête au dessus laisse
couler une grande bande de salive qui vient s’écrasée sur mon gland, et elle la
répartit tout le long de ma queue, créant une sensation de pompe entre ses deux mains.
Moi dans une tentative absolument hypocrite, je lui dit :
_ » T’es pas obligé ma belle, c’est bon tu sais… » sans trop bien y croire.
Et d’ailleurs sa réponse est claire lorsque de ses lèvre elle gobe à son tour le sexe
dur, et effectue des mouvements synchronisés. Quand elle descend, elle écarte mains et
bouche qui effleurent à peines ma queue. Puis, au moment de remonter, elle enveloppe mon
sexe et l’aspire jusqu’en haut. Elle recommence l’opération , et à chaque fois plus vite
et fort qu’avant. Je ne pourrait bientôt plus me retenir, malgré mon désir de voir la
belle continuer son jeu. Elle bave allègrement sur l’ensemble de la structure qu’elle
compose, et renforce ainsi l’effet procuré… C’est divin… Je vais venir…
Là, comme si elle avait senti que je n’y tenait plus, d’une voix sensuelle, érotique,
elle me lance :
_ » mets en moi partout… Viens… «
Ses yeux me fixent, quand, emporté par ces quelques mots, je me laisse jouir de toutes
mes forces et abondamment dans sa bouche, dans ses mains…
Elle continue son jeu de sucions quand l’épais liquide couleur crème s’écoule d’entre
ses doigts… Elle me masturbe, les deux mains croisés , accompagnant les mouvement de
mon sexe qui s’étendpar accoups, et viens sucé les goutes qui résistent au sommet de
mon gland…
J’ai vraiment beaucoup…comment dire…giclé…! La première fois autant… Les mains
tapissées de sperme, elle me regarde en souriant, et les portes à sa bouche… Elle
lèchent doucement la paume d’une main, et laisse l’autre au dessus, les doigts penchés
en avant, pour que le jus s’écoule…
_ »mmmh…. ça va ? « .
_ »ohhh…. Licia… c’était BON… Putain… Tu m’as sucé… un truc de malade… »
Elle rit, et se relève… Part à la salle de bain se rafraichir…
Ce jour là, nous avons fait comme la première fois… Après ce qu’il s’est passé, elle
est revenue dan le lit à coté de moi, blottie dans mes bras… Nous n’avons pas
parlé…Pas un mot… Nous nous sommes presque endormit, bercés par nos respirations…
Un peu plus tard , Licia se relève et se rhabille. Je fait de même. Elle s’avance vers
moi, met ses bras autour de mon cou, s’approche de ma bouche, et les yeux dans les yeux
elle me dit, doucement :
_ » j’y vais mon amour… On se revoit bientôt ok ? «
Troublé, je n’arrive pas à retenir un léger baiser. Elle s’éloigne en souriant, et
part, ses talons et sa mallette à la main…
Je ne ressent pas de gêne quand ma femme rentre deux heures après… Je ne me sens pas
comme un salaud qui à trompé sa femme… J’aime ma femme, plus que tout, et j’aime son
corps , son esprit, sa façon de faire l’amour… J’aime tout chez ma femme…
Mais la relation que j’ai avec Licia est autre… Certain dirons que ce n’est que » pour
le cul « … Je ne suis pas de cet avis… J’ai même plutôt des théories plus
farfelues… Comme celles de l’âme sœur…De l’ange gardien… Nos corps se sont mêles
dans une bestialité et une rage qui ne peut être que de l’amour… Mais un
amour…Particulier…
D’ailleurs…Cette amour, nous le cultivons toujours… Et il s’en ai passé des
choses…
A suivre…
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