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damien soumis ( episode 3)

damien soumis ( episode 3)



Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. Les doigts ont quitté ma raie. La main est sortie de mon pantalon, mais mon slip est resté bloqué sous mes fesses. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place ou se déroulait le spectacle.
Les mains ont fouillé dans mes cheveux et ôter l’élastique qui les retenait en queue de cheval. Khaled les a étalé sur mes épaules.
– T’es mieux comme ça. Cheveux longs et pantalon de courtisane. Ils vont aimer….
Je n’est pas eu le temps de réagir quand, d’un mouvement rapide, il m’a baissé le pantalon sous les fesses. Complètement paniqué, j’ai sursauté. J’avais le cul à l’air au milieux de cette foule compacte qui me collait de toute part. C’était complètement dingue.
Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d’être surpris. Les deux arabes les plus proches de nous, ont certainement vu mon cul à l’air. Khaled m’a remonté le pantalon aussi rapidement qu’il l’avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais de peur.
– Je veux qu’ils voient ton petit cul…. Même dans le noir on peu voir tes fesses toutes blanches…. Tu devrais bronzer à poil. Dommage que c’est interdit chez nous….
Un des mecs a parlé et l’autre a ajouté quelques mots. Khaled leur a répondu. La discussion s’est engagé entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient, mais je me doutais bien que je faisait parti de cette discussion.
Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir.
– Ils veulent encore voir la marchandise.
– Non Khaled. S’il te plaît arrêtes… On risque de se faire prendre.
– Ta gueule Damia… On va encore leur monter tes petites fesses..
Les autres ont entendu le prénom féminin et on sourit d’un air de connivence. Khaled a de nouveau baissé l’arrière de mon pantalon. Cela duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu.
Les deux arabes n’ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d’envie. Je n’arrivais plus à voir ou étaient Sylvie et Mourad. A nouveau des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle.
– Il dit que tu as de très belles fesses…. Hautes et musclées….
Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu’il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Sylvie et Mourad. Khaled me parle a l’oreille
– Ils ont envie de te niquer… Ils disent qu’avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup à tirer….
Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon coeur bat la chamade et je tremble. J’ai un mouvement de révolte. Pourtant je n’arrive pas à lui faire part de mon refus. Il me traite comme un objet, comme son objet et c’est cela qui me trouble et me rends aussi passif. Nous nous regardons. Il souri.
– J’ai bien envie de leur dire que je suis d’accord pour leur prêter ton cul…
– Non… Non Khaled… S’il te plaît….
– Ta gueule…. Tu fais ce que je te dit…. Et puis d’abord pourquoi je leur refuserai…. Je sais que tu aimes ça…. Je le vois dans tes yeux….
– Non je veux pas…. S’il te plaît….
– T’as rien a vouloir….
Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d’avance avec Khaled. Pour lui, j’étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j’étais sa pute.

La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip dans le linge sale de Sylvie.
Ce jour là, il était de mauvais poil, agressif et dur, le geste brusque et nerveux. Il a pris le slip dans sa main et l’a serré de toutes ses forces.
– Qu’est que tu attends pour te foutre à poil….
Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. D’un air méchant, et m’a jeté le slip au visage.
– De dos avec son slip j’aurai l’impression de la baiser elle. Tu lui ressembles avec tes cheveux longs et ta taille fine.
J’ai compris qu’il se passait quelque chose entre ma copine et lui et qu’il voulait se venger avec moi.
Il m’était impossible d’accepter ce qu’il me demandait et j’ai osé refuser et lui tenir tête. Il est entré dans une rage folle et m’a giflé violemment avant de se jeter sur moi.
Nous nous sommes battu, mais je ne faisais pas le poids.
J’ai appris à mes dépends qu’il pratiquait couramment les arts martiaux. D’une clefs très douloureuse, il m’a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et bras tordu dans le dos, à la limite de la cassure.
– Je vais te faire obéir moi… On ne discute pas avec moi…. Tu n’es qu’une poule mouillée qui mérite une bonne punition….
Il m’a alors donné une fessée magistrale. Il avait une force redoutable et il m’a assené une volée de claques sur les fesses qui m’a fait pleurer de douleur.
Il a continué jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. On devait entendre mes cris dans tout l’immeuble. Je m’en fichais. J’avais trop mal au fesses.
– C’est pas fini le français… Il faut que tu le demandes poliment….
Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers.
J’ai crié, puis l’ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu’il voulait. Il m’a frappé les couilles. La douleur a irradié dans mon cerveau. Me bloquant la respiration.
– La prochaine fois que tu refuses de faire ce qu’on te dit. Voilà ce qu’on te fera. Les fatma; elles n’ont pas besoin de couilles….
Un autre coup sur mes couilles. La douleur était intolérable. Il m’a lâché. J’ai mis de longues secondes à récupérer.
– Allez, Tu le mets ou je recommence…..
En pleurant et reniflant, j’ai mis le slip de dentelle. Mes fesses me brûlaient. Je titubais et mes couilles douloureuses n’arrivaient pas à se loger dans l’empiècement.
– Penches toi et tends bien ton cul.
Je lui ai présenté mes fesses rougies enserrées dans la dentelle noire. Mes fesses me cuisaient…
– Chez nous, les femmes elles obéissent en se taisant….
Il a écarté le fonds du slip, dévoilant ma raie…. .
– Mets toi de la salive sinon je te niques à sec
J’ai craché dans ma main pour m’enduire la raie. Je l’ai fait plusieurs fois de suite jusqu’à ce que je n’ai plus de salive.
Avec ses pouces, Il a ouvert largement mes fesses au niveau de mon anus et son gland s’est collé contre mon trou mouillé.
– Je t’ai déjà dis de te raser la raie…. T’as intérêt à le faire… Et la prochaine fois, tu t’essuieras mieux quand tu chies… On n’aime pas les gens sales chez nous…. Il faut que tu sois absolument propre avec nous compris… T’as intérêt à obéir….
Cette humiliation de plus a été un nouveau coup de poignard pour moi. J’ai pleuré comme un gamin. Cela l’a fait rire.
– Allez Damia, recules, c’est toi qui va te niquer tout seul
J’ai du tortiller mon cul pour m’empaler sur son sexe tendu. Il m’a laissé faire et j’ai lentement reculer. Mon anus s’est ouvert sans trop de difficultés. La douleur était supportable. Je sentais son sexe écarter ma corolle. Le gland est passé sans problème. Puis la tige épaisse est entrée. Mon ventre se gonflait.
Je continuais de reculer malgré la douleur qui se réveillait.
– Continues. je veux que tu te la plantes jusqu’aux couilles.
J’ai reculé d’un coup. Tout est entré et mes fesses se sont collées contre son pubis.
– Tu vois quand tu veux… Vas y…. Damia bouges bien ton cul…. Plus vite…. Vas-y ma salope, tortilles ton cul de poufiasse…
Mon cul s’est ouvert autour de son sexe très épais. C’est moi qui m’enculais et j’allais de plus en plus vite.
J’ai redressais mon visage vers le plafonds en gémissant doucement. Mais pas de douleur.
Son sexe occupait tout mon ventre et tapait tout au fonds de mes intestins. Mon trou béant l’avalait sans difficulté et la salive jouait parfaitement son rôle de lubrifiant.
J’ai reculé vers sa bitte jusqu’à ce que ses couilles frappent les miennes. Je me cambrais au mieux pour lui tendre mes fesses toujours enveloppées du slip de Sylvie. Je sentais parfaitement le sexe coulisser en moi.
– Allez encules toi mieux que ça…. Vas plus vite…. Plus vite, si non c’est encore une fessée…. C’est dommage que tu peux pas voir la taille de ton trou autour de mon zob….. Plus vite salope…. Ca viens…. Vas-y….
Il parlait fort comme pour être entendu de l’extérieur. Il m’a tiré de toutes ses forces contre son bas ventre et a jouis dans mes entrailles dévastées…. Mon cul s’est remplis de son jus chaud…. Il m’a caressé les fesses.
– C’est bien t’es une bonne putain…
Il a pratiquement crié la phrase et j’ai entendu des voix dans la cour intérieure de l’immeuble.
Son pieux a libéré mon trou gluant. Il l’a essuyé contre le slip de Sylvie que je portais toujours. Je me suis redressé en ayant encore l’impression d’avoir son sexe en moi.
Il m’a regardé méchamment. Il a lentement remonté son pantalon. Sa bitte toujours tendue, sortait de sa braguette ouverte. Il a ôté sa ceinture de pantalon qu’il a brandit vers moi.
– La prochaine fois que tu nous désobéis, c’est avec la ceinture que je te corrige et on raconte tout a Sylvie….. Baisses les yeux quand je te parle…
J’ai obéis. Je me sentais misérable, sale dans la tête et ridicule, uniquement accoutré du slip de ma copine, le cul ouvert et dégoulinant. En plus je savais qu’il y avait du monde dans l’immeuble et qu’ils avaient du entendre et comprendre ce qui se passait.
Kalhed s’est approché de moi pour mettre son ceinturon autour de mon cou. Il a tiré vers le bas.
– D’après Mourad, tu fais très bien la fellation…. C’est un plaisir rare…. A genoux… Tu vas me montrer comment tu te débrouilles….. Vite… Si non gares à tes fesses.
Des exclamations étouffées devant la porte de la chambre. Je suis tombé a genoux devant lui. Son sexe maculé de traces luisait devant mes yeux. Une très forte odeur s’en dégageait et me soulevait le coeur. La peau brune tendu était couverte de taches brunes ou blanches.
– Ouvres ta bouche…. Bien grande… Nettoies , j’aimes pas avoir le zob sale… Allez nettoies ta merde… Et la prochaine fois tu devra avoir le cul bien propre et rasé….
On parlait à voix basse derrière la porte. J’ai ouvert la bouche. pour sucer la bitte sale de ce jeune arabe. J’étais entrain de bouffer ma merde et son sperme, alors que des inconnus derrière une porte devinaient ce qui se passait dans la chambre. J’avais envie de vomir ou de disparaître de la surface de la terre.
Et pourtant, je bandais et je ne pouvais pas le lui cacher puisque le slip de ma copine était trop petit pour cacher mon sexe dur. J’ai découvert l’odeur et le goût de mon intimité en léchant le gland baveux et la hampe tachée.
– Rappelles toi… La prochaine fois, le cul propre à l’intérieur et à l’extérieur et la raie bien rasée… Si non on te fait bouffer ta merde…. Allez bois jusqu’au la dernière goutte…. Allez Damia avales bien toute la jute de ton mâle…
A partir de ce jour, je ne me suis plus rebellé et ai exécuté toutes leurs envies de plus en plus dominatrices.

Le spectacle de tous ses chevaux caracolant sur la place était splendide. Mais je n’y faisais pas attention.
– Allez viens… Suis moi….
Nous avons fendu la foule toujours aussi enthousiaste avec beaucoup de difficultés. Les deux autres arabes nous ont emboîté le pas. Nous avons réussi à quitter la place.
De nombreuses ruelles. Pas d’éclairage. Un bon quart d’heure de marche. C’est un des deux inconnus qui nous guide.
On stoppe devant une porte très étroite dans une venelle étroite et très sombre. L’inconnu l’ouvre et parle a Khaled. Nous entrons. Le mec ferme à clef derrière nous.
Un escalier étroit éclairé par une seule lampe. On voit à peine les marches. Khaled me fait passer devant eux. Un des mecs prononce de brèves paroles. Khaled rigole.
– Il a dit qu’il a pas bien vu ton cul tout à l’heure…. Damia, tu vas faire ce qu’il te demande….
Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m’ignorent superbement. Ils sourient les trois.
– Laisses ton pantalon et ton slip ici…. Ils veulent voir ton pt’i cul de jeune fille monter l’escalier…. Tu récupéreras tes affaires au retour…..
Comme je reste immobile, c’est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip reste sur la première marche.
Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L’escalier est interminable, sans aucun palier.
De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J’arrive enfin devant une porte. C’est celui qui nous ouvert en bas qui ouvre encore. Nous entrons.
C’est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. Sur le mur opposé à celui de la porte d’entrée, il y a une autre porte. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. Des montagnes de linge. Jamais je n’en avais vu autant. Une vrai blanchisserie.
– On va être tranquille… C’est dans cette pièce que tous les habitants de l’immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l’étendre sur la terrasse derrière cette porte.
Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent. On entend les lointaines clameurs de la fantasia.
Les deux mecs sont venus m’entourer. Ils parlent à Khaled. Me palpe, les cuisses, les fesses, la taille et bien sur la raie.
– Allez-y mes frères…. Ils est à vous….
Khaled s’est assis sur un tas de linge. Les deux arabes biens plus vieux que nous semblaient impatient et voulaient profiter de l’aubaine rapidement. Ils portaient des alliances. Leur mains pressantes couraient sur mon corps, m’ont débarrassé de mon dernier vêtement, et m’ont poussé vers le sol.
Je me suis retrouvé en levrette, uniquement vêtu de mes chaussures, sur un tas de linge qui sentait la sueur et la crasse.
Un des mecs a tiré mes cheveux vers le haut, m’obligeant à lever la tête. J’ai compris ce qu’il voulait et j’ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.
– T’aimes vraiment être traité comme une pute toi…
La bitte qui s’est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. J’ai eu un haut-le-coeur de dégoût. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s’est planté dans ma bouche.
– Allez Damia, montres lui comme tu suces bien…..
L’autre m’a palpé le derrière. J’ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Un gland contre mon trou. Mon cul s’ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s’enfile en souplesse dans mon intimité. L’arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème.
– Allez Damia au turf, fait bien plaisir à mes deux amis..

Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C’était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J’avais une bitte dans la bouche et l’autre plantée dans mon cul. J’imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sur qu’il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute.
– T’es une bonne tapette, dommage que Sylvie n’est pas là.
Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être.
J’avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C’est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m’utilisaient pour leur plaisir.
– Ils disent que t’es qu’une putain à qui ils vont éclater le cul et la bouche….
Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement.
– Ils veulent profiter à fonds d’une bonne salope comme toi… Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs….
Au bout d’un moment les bittes m’ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale. Mais ils ne m’ont laissé aucun répit et m’ont retourné à plat ventre.
Ils n’avaient même pas ôté leur pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leur fesses et leurs bas-ventre. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leur cravates.
Les bittes dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises, ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l’aération.
Un des mecs s’est mis à genoux au dessus de ma tête, m’emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s’est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s’est mis a frotter son cul sur ma bouche. L’odeur de merde et de sueur était suffocante. J’avais du mal à respirer.
– Sa femme lui a toujours refusé ça…. Tu vas lui bouffer le cul comme une professionnelle…..
L’autre m’a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m’a saisit les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras.
J’étais cassé et plier en deux. J’avais un mal fou a respirer. La position qu’ils m’avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J’avais l’anus offert. Mon visage était soudé contre la raie très poilue. L’odeur était insoutenable. Ils ont parlé en arabe.
– C’est dommage que tu n’arrives pas à te voir dans cette position…. Avec le cul en l’air et le trou bien offert…. En plus tu bandes bien mon salaud…. Ils veulent voir la taille de ton trou…..
Je ne pouvais ni parler ni crier. L’anus du type était contre ma bouche. C’était très chaud, doux et avec une odeur poivrée très forte.
– On va voir si tu as le fion aussi souple que le corps….
Un sexe a forcé le passage de ma corolle. Le mec m’a pris par les cuisses et m’a tiré vers lui. Sa bitte s’est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater.
– Il veux que tu lui lèches le cul….. Dommage que Sylvie ne peut pas te voir….
Ma langue s’est mise à nettoyer la rosace plissée. Les poils étaient rugueux et collés entre eux. Je m’habituais à l’odeur épicée et au goût sucré de la peau.
Une brusque douleur qui m’a fait sursauter. Mon enculeur donnait de violent coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bitte tapais durement au fonds de mon ventre.
J’avais l’impression que mon cul aller éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l’anus d’un de mes agresseurs.
– Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à la chatte de ta copine… Dommage que tu ne mouilles pas autant qu’elle….
Pendant un bon quart d’heure, j’ai cru que j’allais mourir d’étouffement ou d’un déchirement. J’avais l’impression que mon cul était béant. J’étais complètement ouvert et offert a ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières.
J’étais leur chose, et ils faisaient ce qu’ils souhaitaient de mon corps, avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait sagement assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place et je léchais des bittes souillées. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert entre leur relais. Les deux arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J’étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement.
Quand ils m’ont lâché, j’avais l’impression d’être complètement disloqué. Je n’ai même pas senti les bittes qui se sont déversées à tour de rôle dans mes entrailles.
Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumés des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. J’avais du mal à retrouver mes esprits. J’avait des poils dans la bouche et leurs odeurs tenaces étaient encore dans mes narines. J’avais un peu froid. J’avais le visage contre le linge sale. Ils ont éteint leurs clopes. J’ai vu leurs chaussures revenir.
– Tu leur fais de l’effet ma petite Damia, ils ont encore envie de toi…. On a encore le temps, la fantasia n’est pas finie…. Ils veulent faire comme les cavaliers et continuer à te monter….
Ils m’ont sodomisé à plusieurs reprise, et n’ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J’avais avalé leurs sexes et léché leurs culs sales. J’étais complètement cassé moralement et physiquement. Ils ont chacun jouis plusieurs fois dans ma bouche et dans mon cul. J’ai bu leurs spermes jusqu’à la dernière goutte. Chose inconcevable aujourd’hui avec le sida.
Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j’avais l’impression que mon trou ne se refermerait plus. Je le sentais boursouflé et douloureux. Je me suis relevé en pleurant de honte. J’avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul inondé, je suis redescendu toujours devant eux. J’ai remis mes affaires après m’être essuyé avec mon slip.
– T’as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon de courtisane…
Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled…..
Le spectacle était fini et la foule envahissait les rues. Je marchais comme un somnambule à coté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitter. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique
– Nettoies toi sinon Sylvie ne va pas comprendre
Je me suis aspergé le visage. C’est tout ce que je pouvais laver. J’avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses pour que le sperme ne tache pas mon pantalon. Khaled m’a montré plusieurs billets de cents dinards
– Ils ont été très généreux
J’étais abasourdi. Ainsi donc, il m’avait vendu à ces deux parfaits inconnus! C’était donc vrai que j’étais sa pute!
Le pire c’est que nous avons retrouvé Sylvie et Mourad attablés a une terrasse de café et j’ai retrouvé ma forme coutumières. Ils ont parlé un moment en arabe pendant que Sylvie s’extasiait du spectacle auquel elle avait assisté.
C’est Khaled qui nous a offert la tournée et les repas avec l’argent que je venais de gagner avec mon cul et ma bouche. Sylvie l’a remercié très chaleureusement.

Deux ou trois jours après la fantasia, la première fissure entre moi et Sylvie. Toute la nuit, elle avait refusé mes avances, d’abord avec douceur, puis avec exaspération. Le matin elle m’a annoncé qu’elle passerai la journée avec Khaled. Elle devait certainement s’attendre à ce que je lui demande des comptes. Mais je n’ai rien dit. Je savais déjà ce qui se passait. Je me suis contenté de lui poser un baiser sur le front avant d’aller prendre ma douche en lui souhaitant de passer une bonne journée.
Je pense que c’est à cet instant précis que notre séparation s’est faite. Même si aucun de nous ne l’a annoncé.
J’ai passé la journée à marcher dans la ville. Je voulais retourner en France. Tout de suite. Laisser ce pays, tout abandonner et retrouver ma vie d’antan et mes joies d’avant. J’en avais marre. Vers le milieu de l’après-midi, je suis retourné à la plage. Les jeunes jouaient au foot devant les bungalow.
Tous les jours, ils étaient là et jouaient inlassablement. Le petit marchand de maïs étaient avec eux. Ils se lançaient le ballon pour tenter de marquer. Dans les but, il y avait Mourad. Lui aussi avait été largué pour la journée. Comme moi.
Il m’a fait un signe de la main. Les jeunes m’ont entouré. Je n’avais pas envie de jouer au ballon. Mourad m’a demandé si la fantasia m’avait plus. Aux intonations de sa voix, j’ai compris que j’allais payer pour Sylvie. Je m’en foutais.
– Alors, il parait que maintenant tu te fais payer?
Les jeunes se sont calmés. Je ne savait pas si ils comprenaient le français. Mourad a parlé au vendeur de maïs. J’ai vu la clef changer de mains. Les jeunes se sont exclafés en me tournant autour. Ils ont rompu le cercle devant la porte bleue. Tête baissée, je suis entré dans le bungalow sous leurs quolibets.
Mourad m’a donné un bourrade sur les omoplates. Je connaissais le chemin. Il ne m’a rien demandé. Complètement soumis, j’ai ôté ma chemisette, mes espadrilles et mon pantalon. J’avais les mains sur l’élastique de mon maillot de bain.
– Garde le….. Penche toi et prend appuis sur le lit….. Ecarte les jambes…. Encore plus….
Je ne comprenais pas ce qu’il cherchait. Il est resté immobile derrière moi sans se déshabiller.
– Ne bouges pas… Je reviens…
La porte qui s’ouvre. Il sort un instant et revient. J’entends des bruits de pas. Des chuchotements, des rires nerveux, des piétinements.
Mourad est à nouveau là. Il prend mes cheveux et les tire en arrière. M’obligeant à lever la tête vers le mur décrépis.
– Tu vas répéter ce que je dit…
Il prononce une courte phrase en arabe.
– Répètes ce que je viens de dire.
Je prononce les mots incompréhensibles. Un autre phrase que je répète. Puis d’autres. Les chuchotements continuent dans l’autre coin de la pièces. Ils sont entrecoupés de rires. Des silences quand je parle.
– Maintenant tu baisses ton slip lentement…. Plus lentement que ça… Enlève le complètement….. Reste les jambes bien écartées….
Des claques sur mes fesses. Le bruit résonne dans toute la pièce couvrant les voies basses. Je sursaute de surprise plus que de douleur.
– Bouge ton cul…. Allez fais danser ton cul….
Les coups tombent sèchement. Je gémis en me cambrant pour y échapper. Je tortille mes fesses dans tous les sens. Les chuchotements deviennent plus fort.
– Maintenant tu t’écartes les fesses…. Plus… Je veux voir ton trou de pute…. Dévoile bien te raie…
Puis il passe à l’arabe. Je suis obligé de répéter trois fois la même phrase. Je ne sais pas ce que je dit. Des crachats s’écrasent sur ma raie ouverte. Les murmures sont jeunes. Je sais que nous ne sommes pas seul et qu’il est entrain de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits.
– Couche toi sur le lit ma salope…. Ecarte bien tes cuisses…. Laisse pendre tes jambes de chaque coté….
Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis prés du lit. J’ai le visage plaqué contre le grabat. je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir.
Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l’entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée.
Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bitte de l’inconnu entre sans problème. Il s’agite sur moi. A peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d’une voix juvénile.
– Restes comme ça… C’est pas fini.
Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie.
– Tu sais ce que tu leur a dit tout à l’heure…. Tu leur a dit que tu étais une pute. Une chienne qui adorait se faire niquer… Tu leur a demandé de te baiser à la chaîne…. Tu leur a dit que c’était gratuit et que tu voulais leurs queues….
J’ai serré les dents quand le troisième m’a sodomisé. Sa bitte était plus grosse que les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont remplis mon ventre. J’avais mal. J’ai crié quand un quatrième s’est couché sur moi et m’a enculé violemment.
– Tu peux crier…. Ils s’en foutent… ça les excitent de t’entendre gémir comme une fatma…. C’est dommage que tu ne peux pas les voir…. Les premiers qui t’ont niqué rebandent déjà…..
Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont niqué. Ni combien ils étaient.
Cela m’a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je pleurais sans aucune honte pendant qu’ils jouissaient dans mes intestins. Un odeur de merde flottait dans la pièce. Je n’avait plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toute mes forces. Je crois que je me suis évanouis…
Puis plus personne ne s’est couché sur moi. Je n’avais pas la force de me lever. J’avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu’il y avait encore du monde dans la pièce.
Mourad a pris un gros épis de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m’obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j’avais pleuré.
Il a placé le légume devant ma bouche.
– Suce le…. Suce le bien…
Les autres étaient toujours dans la pièce. Je léchais le légume sur toute sa longueur. Je le suçais comme on suce une bitte. Je savais parfaitement sucer maintenant. Bien sur, je pouvais à peine prendre la moitié du légume dans ma bouche.
– C’est bien…. On va leur montrer les capacités de ton trou…
Mourad a positionné l’épis entre mes fesses. Je l’ai suppliais de ne pas faire ça. Mais il voyais bien que je bandais. Avec eux, je bandais toujours. Plus ils m’humiliaient, et plus je bandais. J’entendais les exclamations de surprise des mômes.
Mourad a poussé le légume. J’ai encore supplié d’une voix rauque.
– Tu ferais mieux de te taire… Branles toi et tu auras moins mal…. Montres leurs que tu aimes ce qu’on te fait…..
Mourad m’a planté la presque totalité du légume dans mon fion qui l’a engloutit sans problème. J’étais sidéré de la facilité avec laquelle le gros légume s’est enfoncé en moi. J’avais mal, mais la douleur était tout à fait supportable.
– Attends…. Y en a encore…
Mourad l’a poussé jusqu’aux feuilles. Mon anus s’est refermé sur le légume. Seules les feuilles dépassaient. L’épis ne pouvait plus ressortir. Drôle de sensation de dilatation. Peur aussi qu’il ne puisse plus ressortir.
– T’es comme une poule farcie….. Branle toi….
Je me suis branlé. J’ai du sucer son sexe tendu en gardant l’épis planté au fin fond de mon ventre. Il m’a aspergé le visage de son foutre chaud et gluant.
J’ai gémis comme une pute. Une bitte devant ma bouche. Elle est fine et longue. Des couilles imberbes que je lèche. Un gland très doux que je tète et du sperme que j’avale. Une très grande quantité de sperme que je bois jusqu’à la dernière goutte. Pas le même goût que celui de Mourad. Des paroles de gamin. C’est le vendeur de maïs. J’ai joui comme un fou devant eux. Les spasmes de jouissance étaient tellement violents, que ma tête tournait.

Il était temps que je prenne le chemin de mon lieu de rendez-vous. J’ai fini mon café turc et me suis dirigé vers le port. Je savais qu’il y avait une bonne vingtaine de minutes de marche. Assez de temps pour revivre la fin de mes aventures en Tunisie.
Quelques jours après la séance de la fantasia, il y a eu les hammams ou j’ai vue ma copine avec Khaled. C’est après cette séance que tout a véritablement changé entre nous.
Avant de quitter la pièce, Khaled et elle ont échangé devant nous un long baisé passionné et à la voir coller sa tête contre le torse musclé de Khaled et ne pas lui en vouloir du tout de la sodomisation par surprise, j’ai compris qu’elle était vraiment amoureuse de lui. J’en fut presque soulagé car il fallait reconnaître objectivement que j’éprouvais de moins en moins de sentiments pour elle. C’était devenue sans que je m’en aperçoive une bonne amie. Mais rien de plus.
Dés lors, les choses sont devenues plus claires car elle a passé la majeures parties de ces journées avec Khaled, me laissant seul avec Mourad.
Khaled non plus ne venait plus me voir. Avec Sylvie, ils trouvaient toujours des prétextes pour s’éclipser. Je laissais faire sans demander d’explication. Elle a compris que j’avais compris et c’était très bien comme cela.
Par contre il m’a semblé que Mourad était un peu jaloux même si son admiration pour Khaled le poussait à accepter l’idylle. Lui m’avait à sa disposition, et bien sur, se vengeait sur moi.
J’en retiens beaucoup d’autres souvenirs dont un dernier très cuisant, car la dernière semaine de vacance, Khaled et Sylvie avaient décidé de partir pour deux jours dans le sud du pays. Khaled voulait lui montrer le village ou il était né. ça allait de mieux en mieux entre eux deux.
Ils sont partis assez tôt et vers le milieu de la matinée Mourad est venu me chercher directement chez moi.
– Allez viens avec moi.
– Ou?
– En Bateau
Devant mon incompréhension, il m’a précisé que nous aussi nous allions partir deux jours avec des pêcheurs d’étoiles de mer. Nous allions passer quarante huit heures en pleine mer.
J’étais assez inquiet mais je n’est bien sur pas pu refuser. J’ai voulu prendre des vêtements de rechanges.
– Pas la peine tu peux rester comme t’es. Mais tu mets de bonnes chaussures.
Je portais uniquement un polo et un short sur mon maillot de bain. J’ai enfilé mes grosses tennis. Mourad a pris mon sac de plage qu’il a vidé sur le lit. Il y avait une serviette de bain, un slip de rechange, un flacon d’huile solaire, un blouson de protection contre la pluie et mes cigarettes. Mais, il y avait aussi un paquet de tampons périodiques. Je les avais complètement oublié. Bien sur, ils étaient à Sylvie en cas de besoin.
– Tu vois on a raison de t’appeler Damia…
J’ai été assez con pour lui répondre que c’était à Sylvie. Il a tout remis dans le sac. Assis sur le lit, il me regardais d’une façon que je connaissais bien maintenant. J’ai reconnu ce regard, dominateur et moqueur, sur de son pouvoir sur moi.
– Montres moi ce que tu portes sous ton short.
J’ai un tout petit peu hésité avant d’ouvrir les boutons et le zip. Mon short est tombé autour de mes chevilles sur mes baskets, découvrant mon maillot de bain noir.
– Enlèves ton maillot et met le dans ton sac…. Allez fais ce que je te dit….. Je veux que ton cul soit à ma disposition….
J’ai eu du mal à me défaire du short et du maillot à cause de mes grosses chaussures. Je suis resté à moitié nu, m’attendant à ce qu’il me demande de satisfaire une de ses envies.
Mais il n’a pas bougé, se contentant de tourner dans la pièce à la recherche de je ne sais quoi..
– T’as toujours les fesses aussi blanches. On voit très bien la marque de ton maillot…. T’as pas un gros zob…. Elle a raison Sylvie d’aller avec Khaled… Lui au moins, il sait bien la remplir….. Il m’a dit que ta copine a un très joli slip rouge tout en dentelle….. Khaled aime beaucoup quand elle vient le voir avec ce slip et le soutif assorti….
Je savais qu’il me racontait cela pour me faire du mal et effectivement, j’avais un pincement au coeur en l’entendant se foutre de mon sexe ou faire allusion aux relations de Khaled et Sylvie, mais je ne voyais pas pourquoi il me parlait de ses sous vêtements.
– T’as quand même un joli cul pour un mec…. Surtout bien rasé… Bientôt tu vas retourner dans ton pays et tu penseras à nous chaque fois que tu iras faire caca…. Je suis sur que tu regretteras très vite nos gros zobs…. T’as vraiment un joli pt’i cul tout blanc…. Je suis sur que le slip te ta copine t’iras très bien….
J’ai blêmis. Ainsi donc, il voulait que je mette ce slip que je connaissais moi aussi très bien pour avoir beaucoup aimer l’enlever à Sylvie.
– Tu sais ou il est?
– Non… Non…
– Pas grave, je vais le trouver moi.
Il connaissait la chambre par coeur et s’est tout de suite dirigé vers le coin de la penderie. Il a ouvert le sac de linge de Sylvie pour fouiller dedans.
Constatant l’échec de cette recherche, il est parti vers le coin douche pour fouiller dans le sac de linge sale.
Il l’a trouvé et l’a porté à ses narines. Il a profondément respiré le tissu plaqué contre son nez et sa bouche.
– ça sent bon la femelle en chaleur…
Il me l’a jeté au visage. Je reconnu les odeurs intimes de mon amie. Le tissu était très doux. Beaucoup de dentelle.
– Mets le….. Vas y mets…. Je veux voir ton cul dans ce slip….
Je l’ai enfilé lentement. Il m’allait assez bien et moulait parfaitement mes fesses. Par contre, il était difficile de faire tenir mon sexe dedans. Heureusement il n’y avait aucune glace assez grande dans la chambre pour que je puisse me voir. Ainsi vêtu, j’attendais le bon vouloir de Mourad.
– Allez mets ton short. On y va…
– Avec ce slip???
– Bien sur avec ce slip. Personne ne le verra sous ton short. Il n’y a que moi qui sait. N’écartes pas trop les jambes quand tu t’assois. Comme une vrai fatma… Allez viens…
Nous étions à la fin du mois d’août. Les touristes étaient très nombreux, la chaleur étouffante et les rue bruyantes. Le port de pêche était assez loin du centre ville.
Le slip me gênait pour marcher. Le tissus soyeux glissait sur mes fesses et entre mes jambes, et mon pénis ne trouvait pas sa place.
L’odeur de poisson pourri a commencé à envahir les rues pour devenir pratiquement insupportable sur les quais. J’en avais la nausée. Mourad n’était pas du tout dérangé. Il devait avoir l’habitude. Sur les jetées, il y avait plein de vieux cordages, des cageots à moitié éventrés, et des restes de poissons.
Au bout de l’une d’elle un petit bateau de couleur blanche avec des bandes horizontales bleues. Un grand mât sans voile, un poste de pilotage, un fatras pas possible sur le pont, cordages enroulés, casiers vides, masques, tubas, filets.
Nous montons à bord. Il y a trois hommes sur le pont. Ils nous saluent et nous souhaitent la bienvenue. Mourad leur rend leur salut en leur souhaitant une bonne journée et en me présentant. Les hommes me regardent, curieux et intrigués.
Ils nous attendaient et abrègent les salutations d’usage car ils semblent pressés de prendre la mer. Mourad et moi allons à l’arrière du bateau. Assis sur un tas de vieux cordages, nous regardons les marins bouger rapidement le long des ponts.
Le bateau se décolle lentement du mur et le bruit du moteur augmente. Des halètements poussifs de plus en plus rapides et de la fumée nauséabonde. Nous prenons le cap de la pleine mer.
Une fois la mise en route faite, le plus vieux qui semble être aussi le patron, se met à discuter en arabe avec Mourad en me jetant de fréquents coups d’oeil. Il parle peu et hoche souvent la tête.
Nous quittons lentement le port. Les odeurs disparaissent pour être remplacées par celles des embruns et de l’iode. Il fait un temps sublime. Je me laisse bercer par le tangage. Les marins s’affairent toujours à des tâches de maintenance. Ils préparent leur matériel et ne font plus attention à nous. Une légère brise nous caresse et diminue l’intensité du soleil sur nos corps.
Une bonne heure s’écoule. La côte est loin maintenant et l’embarcation me semble bien frêle sur cette mer d’un bleue très sombre. C’est l’heure de la pose et le capitaine nous invite à nous joindre à son équipe pour boire un thé à la menthe.
Un des marins nous sert en silence. Nous buvons. Le thé est délicieux. Le marin nous sert à nouveau. La palabre reprend entre le capitaine et Mourad. Les deux autres écoutent sans intervenir.
Ils doivent avoir sensiblement mon âge. Ils sont assez grands, vêtus des pieds à la tête malgré la chaleur. Je réalise alors que je suis le seul à porter un short. Eux portent tous des pantalons de toile sur des polos marins. Ils sont costauds, les cheveux très courts, les dents blanches. Ils me sourient. Du sourire que l’on fait généralement à n’importe quel touriste susceptible de donner de l’argent. Je serre bien les jambes pour que personne ne voit quel genre de slip je porte.
Après la pose, le travail reprend. La navigation dure encore une bonne heure avant que nous stoppions entre plusieurs rochers qui émergent de la surface lisse de l’eau.
Il y a peu de profondeur et on peu voir le fonds de l’eau. Les deux jeunes, se mettent en maillot de bain, des caleçons noir assez larges. Ils sont très musclés, sans un gramme de graisse, le corps très bronzé. Ils prennent chacun leur masque ainsi qu’un tuba qu’ils ajustent sur leurs visage . Ils plongent du bateau et s’enfoncent dans les eaux claires à la recherche d’étoiles de mer.
Ils font des allers-retours incessants pour remonter diverses choses susceptibles d’être vendues aux touristes. Les casiers se remplissent d’étoiles de mer, de coraux, de gros coquillages. Je les regarde travailler. Ils semblent infatigables et continuent inlassablement à plonger. Le capitaine range les produits dans des casiers.
Il fait de plus en plus chaud. Je suis mal à l’aise avec mes grosses baskets. Au bout d’un moment, je m’en débarrasse. J’aurai aimé aussi ôter mon short mais cela m’était impossible. Par contre, je garde ma chemise qui protège mon torse des ardeurs du soleil.
La pêche a duré deux bonnes heures. Les deux plongeurs s’arrêtent afin et rejoignent définitivement le bord, à peine essoufflés. Leurs caleçons collent contre leurs corps mouillés. Cela me trouble de voir leurs fesses moulées dans le tissu et surtout les bosses de devant. Deux grosses bosses noires.
Je les dévisage discrètement. Des muscles partout, les torses imberbes et des jambes au contraire, couvertes de poils noirs frisés. Cela forme un contraste étonnant. Ils restent en maillot pour sécher au soleil.
Il est déjà midi. Pas âme qui vive autour de nous. Nous sommes la seule embarcation à des kilomètres aux alentours et seuls sur cette immensité. C’est l’heure du repas. Les deux jeunes plongeurs font le service et amènent à manger sur le pont. Des fruits, des fromages, des salades de tomates et de poivrons, du pains, du lait, de l’eau, des dattes. Un repas frugal que nous mangeons assez rapidement.
Ils parlent entre eux, ou plutôt, c’est Mourad qui parle. Je reconnais les prénoms de Khaled, Sylvie, Damien et même Damia. Je comprend vite qu’il leur raconte mes aventures avec eux. Je me sens rougir quand les marins me regardent. La conversation s’anime et à voir leurs regards, ou entendre leur exclamations, ils ne semblent pas croire ce que raconte Mourad.
Bien entendu, je suis complètement exclus de cette discussion dans leur langue. Je devine que les deux jeunes marins se nomment Rachid et Tahar. Je n’ai pas ouvert la bouche depuis mon arrivée sur ce bateau et personne ne m’a adressé la parole.
A la fin du repas, les jeunes se lèvent pour débarrasser. Leurs peaux sont sèches, mais les caleçons de bain encore humides, collent toujours contre leurs bas-ventre et leurs fesses.
– Damia aides les
Je lèves la tête vers Mourad avant de réaliser qu’il a employé le prénom féminin. Le patron comprend le français mais s’adresse a Mourad en arabe. Les deux jeunes aussi. Tout le monde parle le français dans ce pays.
Mourad se remet a parler. Une longue diatribe. De nouveau le mot fatma, les prénoms de Sylvie et Khaled, et plusieurs fois le mien féminisé. Tous me regardent et je rougis de plus belle en baissant les yeux.
Les deux jeunes finissent de ranger le restant du repas et nous servent à nouveau du thé brûlant et odorant que nous buvons à toutes petites gorgées.
Le patron dit quelque chose à Mourad. Une phrase brève et sèche. Mourad souri d’un air entendu. Les deux jeunes marins en font autant. Le bateau tangue doucement au grès de la houle. Je me sens prisonnier. Sentiment oppressant de solitude.
– Le chef, il aimerai voir ta petite culotte…..
– Non…. Mourad….. Non Pas ça.
Ma voix est toute cassée, à peine audible. Je le regarde apeuré et ne trouve pas la force d’en dire plus. Il ne m’en laisse pas le temps.
– Pourquoi t’es venu tu crois?… Ne fais pas ta mijaurée….. Je leur ai tout raconté… Ils ont l’habitude… On est en pleine mer et on est quatre…. T’as aucune chance…. Lève toi…. Montre leur que tu es une vraie tapette…. Lève toi je te dit sinon gare à toi…
Il se lève en même temps que moi. Je reste debout les bras ballants et la tête basse. Mourad passe derrière moi. Les autres le regardent ouvrir mon short et le baisser. Le tissu tombe autour de mes chevilles devoilant le slip rouge en dentelle. L’angoisse noue mes tripes et ma gorge, mais comme d’habitude, il m’est impossible de me révolter. Je n’avais jamais subit ce genre de chose en plein jour. Et cette nouvelle étape m’enfonçait encore plus dans la soumission vis à vis de cet arabe.
Des exclamations, des rires gras, des moqueries. Les pans de ma chemise cache partiellement la culotte de dentelle rouge.
– Montre ton derrière
Il me retourne brutalement pour que les marins voient mon postérieur emprisonné dans la culotte de dentelles.
– Enlèves ton short complètement…. Tu n’en a plus besoin maintenant… Le capitaine veut que tu restes comme ça…..
J’obéis. Les rires et les insultes me vrillent les oreilles. Les exclamations augmentent de plus belle quand Mourad défait mes cheveux qui tombent sur mes épaules et qu’il découvre que je suis épilé. Les trois marins assis sur des caisses en bois ne perdent rien du spectacle.
– Il faut leur montrer la marchandise.
Mourad relève l’arrière de ma chemise, m’en couvre la tête, puis tire les pan de tissu vers le bas, m’obligeant à lever légèrement les bras et à me pencher. J’ai le torse entièrement nus et la tête complètement enveloppée dans ma chemises. Je ne vois que des ombres à travers le tissu.
– Penche toi…. Ecartes les jambes….
Il me claque les fesses pour que j’obéisse plus vite. Je prend appuis sur la rambarde assez basse. Des mains se posent sur mon postérieur tendu.
– Montres leur ton petit cul de français
Les mains tirent sur le tissu du slip et le font entrer dans ma raie. J’ai les globes complètement dénudés. Mourad remonte le slip le plus haut possible. J’ai le cul complètement à l’air. La brise caresse mon derrière et me donne la chair de poule malgré la chaleur. Je reste sans bouger dans cette position.
Je les entends parler, échanges rapides de mots arabe entrecoupés de rires et d’exclamations.
– Ils veulent voir ton zob la taille de ton zob….
Mourad baisse le slip et passe sa main sous mon entre jambe. Il saisit mon sexe et le tire en arrière, puis il remonte le slip de dentelle le plus haut possible en faisant passer l’arrière du slip devant ma bitte qui se trouve retournée et coincée entre mes jambes. Mon gland calotté pointe vers mon anus et écrase mes couilles. Je suis obligé de resté plié pour ne pas avoir mal. Je ne peux plus me redresser.
Dans cette position, visage dissimulé sous la chemise, slip de dentelle remonté et sexe retourné entre mes cuisses, je leur offre toutes les parties de mon intimité y compris mon anus. Je suis comme un a****l que l’on exhibe à des acheteurs. Je deviens un objet. Je reste dans cette position fesses nues et offertes et bitte retournée.
– Ils trouvent ton zob minuscule…. Je leur ai dit que tu adorais quand on te bourre le cul……. Ils veulent voir ton trou du cul….
Il m’écarte les fesses, tire le fond du slip et leur dévoile ma raie humide de sueur et mon anus fripé. Il tire sur ma corolle pour bien dégager mon trou. Je me sens comme un a****l de cirque. Pourtant malgré ce que je suis en train de subir, je me laisse faire, complètement docile aux caprices de Mourad qui tire de part et d’autre de mon anus tout en continuant de leur faire l’article.
Je reconnais la voix du capitaine qui lui répond et les deux jeunes marins s’en mêlent aussi.
– Au taf! Faut payer la traversée!…
Tout va très vite. Ils se saisissent de moi et je me retrouve nu, à genoux sur des vieux bouts de tissus, à moins d’un mètre du capitaine toujours assis entrain de siroter son thé.
Rachid est devant moi et Tahar derrière. Le maillot de bain noir est déformé par la bosse devant mes yeux. Rachid le baisse à mi cuisse. Son sexe jaillit devant mes yeux. Le gland cherche mes lèvres.
– Le capitaine veut voir comment tu suces.
J’ouvre la bouche et commence à sucer cette bitte que je ne connais pas. Je suce en plein jour sur ce bateau. Le gland est très gros et j’ouvre les mâchoires au maximum de mes possibilités. J’ai la bouche pleine. Rachid tient fermement ma tête qu’il presse contre son bas ventre. Impossible de prendre la totalité de son sexe au goût salé. Le gland qui cogne au fond de ma gorge me donne envie de vomir. Mon visage touche la toison pubienne. La bitte va de plus en plus loin dans mon palais en lâchant de temps en temps un peu de liquide au goût âcre.

A suivre…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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