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Dans les toilettes d’un centre commercial

Dans les toilettes d’un centre commercial



Dans les toilettes d’un centre commercial (histoire réelle)

Il y a quelques jours, je passais dans une galerie marchande de ma région en début de soirée. Il y avait peu de monde dans les allées et, à un moment, je vis arriver face à moi un jeune beur de 18-19 ans, de petite taille, avec un visage fin, les cheveux bien noirs coupés très courts sur les tempes et plus épais sur le sommet de la tête. Nous échangeâmes un regard en nous croisant mais je n’insistais pas trop ne voulant pas provoquer de réaction de sa part.

Je m’arrêtais quelques mètres plus loin devant une vitrine, jetais discrètement un coup d’œil dans la direction d’où je venais et vis le jeune beur entrer dans une grande surface d’articles de sports. Je fis demi-tour et entrais, à mon tour, dans ce magasin. Je ne vis pas tout de suite le jeune mec mais je finis par le trouver dans un rayon où il regardait les survêtements. Il me vit également et je continuais mon chemin sans me hâter. Je visitais ainsi quelques rayons et, à un moment, je le vis se diriger vers les caisses. Je m’y dirigeais également mais, comme je n’avais rien acheté, je pris la sortie sans achats et me retrouvais avant lui dans l’allée du centre commercial. Cette grande surface d’articles de sport étant située juste en face des toilettes du centre commercial, je m’y dirigeais lentement sans trop savoir si le jeune beur m’avait remarqué et s’il était disposé à me suivre.

Les toilettes sont situées à l’extrémité d’un large couloir très clair d’une dizaine de mètres de longueur. Elles sont constituées de deux urinoirs situés à l’entrée et de quatre WC fermés situés dans un renfoncement. Le tout est très clair et très propre. Alors que je m’y dirigeais lentement, je jetais un rapide coup d’œil en arrière et je vis le jeune beur traverser l’allée du centre commercial et prendre la même direction que moi. Mon cœur se mit à battre plus fort. Je ralentis un peu le pas pour ne pas trop le distancer et qu’il voie bien où je me rendais. Quelques pas plus loin, nouveau rapide et discret coup d’œil derrière moi : plus de doute, il était entré dans le couloir et me suivait. Je pénétrais alors lentement dans les toilettes tout en lui jetant un coup d’œil. Nos regards se croisèrent à nouveau.

Les toilettes étaient vides et je passais devant les urinoirs pour entrer dans la cabine de WC la plus au fond. Ces cabines sont assez spacieuses et peuvent accueillir deux personnes sans aucun problème. Je poussais la porte derrière moi tout en la laissant légèrement entrouverte, me mis face au WC, défis ma ceinture, ouvris largement mon pantalon et sorti mon sexe de mon string.

Quelques secondes plus tard, j’entendis des pas dans les toilettes et sentis la porte s’ouvrir dans mon dos. Je me retournais et vis le jeune beur entrer. Je fermais la porte pendant qu’il posait son petit sac à dos au sol et s’appuyait dos au mur. Je me plaçais face à lui, mon sexe pointé contre son ventre et mis immédiatement ma main sur son sexe que je sentis très dur à travers son pantalon. Je lui malaxais quelques dizaines de secondes en lui faisant écarter les cuisses puis je dégrafais sa ceinture, et laissait tomber son jean’s sur ses baskets. Il m’apparut alors en petit boxer bleu légèrement brillant et très moulant dans lequel la forme de son sexe, qui était en position presque verticale mais qui ne semblait pas très long ni très large, était bien dessinée.

Je me mis à genoux face à lui et commençais à lécher son sexe à travers son boxer tout en caressant ses cuisses très mates et assez poilues. Il eut l’air d’apprécier et je ne me gênais pas pour bien mouiller son boxer, son sexe et ses bourses que je léchais avidement. Ses formes se révélaient de mieux en mieux à travers le tissu mouillé et je ne tardais pas, tout en continuant à le lécher, à faire glisser son boxer.

Son sexe jaillit alors bien dressé à la verticale, sortant d’une abondante touffe de poils très noirs. Il était de couleur très foncée et, comme je l’avais imaginé, il n’était pas très long et plutôt fin mais cela ne m’empêcha pas de continuer à le lécher, des bourses jusqu’au gland. Il était circoncis ce qui me permettait de jouer, sans obstacle, avec ma langue tout autour de son gland. Je finis par avaler son sexe à pleine bouche, son gland se positionnant juste à l’entrée de ma gorge. Je jouais ainsi avec ma langue et je sentais son sexe et ses cuisses vibrer de plaisir. Je fis plusieurs allers et retours, ressortant entièrement son sexe de ma bouche avant de l’avaler brutalement en entier et d’aspirer son gland. Dans cette position je pouvais goûter avec délice à son abondante toison pubienne noire.

Comme il se mettait à gémir sous l’effet de ce régime, j’abandonnais son sexe et me mit à avaler ses bourses poilues tout en lui malaxant les seins. Il avait des tétons plats mais, sous l’effet de mes caresses, je les sentis se dresser ce qui me permit de jouer avec mes doigts. Je lui léchais largement les bourses, les cuisses et lui écartais les cuisses au maximum avec ma tête pour lécher son entrecuisse et la base de son anus. Je n’osais pas, pas peur de l’effrayer, le retourner pour lui ventouser l’anus mais j’aurais bien aimé lécher cette rondelle que j’imaginais sans plis et bien serrée.

Bien qu’il restait le dos collé au mur et les bras à la verticale le long du corps, je sentais, à ses réactions, qu’il appréciait mes jeux de langue. En ce qui me concerne, je sentais de la mouille au bout de mon sexe prêt à exploser.

Après plusieurs minutes passées à le lécher, je remontais avec ma langue sur son sexe et l’avalais à nouveau totalement. J’étais complètement subjugué par ce sexe très rigide et que je pouvais avaler sans problème. J’avais maintenant hâte de le sentir exploser dans ma bouche.

Je recommençais donc mes allers et retours avec insertion totale de son sexe dans ma bouche et je lui aspirais le gland en fond de gorge. Comme quelques minutes auparavant, je sentais son sexe et ses cuisses vibrer mais je décidais de ne pas ralentir mon rythme et, comme je m’y attendais, au bout de quelques allers et retours, il murmura ses premières paroles : « Je viens ».

J’aspirais donc son gland au maximum à l’entrée de ma gorge et je le sentis tout à coup vibrer de tout son corps tandis qu’un long jet de sperme inondait ma gorge. J’avalais directement sa semence tout en reculant la tête pour que son sexe revienne au centre de ma bouche et la remplisse avec les quatre ou cinq autres giclées de sperme de son éjaculation.

Ainsi, la bouche pleine de sperme je continuais à le sucer longuement pendant que son sexe revenait au repos. Lorsque je le laissais sortir de ma bouche, il était brillant de salive et de sperme et sa toison pubienne et ses bourses en étaient également recouvertes.

Je finis d’avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte pendant qu’il remontait son boxer et son pantalon sans même s’être essuyé. Il attrapa son petit sac à dos, ouvrit la porte et s’enfuit presque, sans un mot ni un regard. Je refermais immédiatement la porte, me laissais aller contre le mur et me masturbais brièvement. Je ne mis que quelques dizaines de secondes pour atteindre l’orgasme et éjaculer plusieurs longs jets de sperme épais qui allèrent s’écraser sur le mur d’en face et par terre.

Mon éjaculation terminée je remis immédiatement mon string en place, réajustait mon pantalon et sortit. Arrivé dans l’allée du centre commercial je ne vis pas mon partenaire. Je suppose qu’il avait un peu honte de ce qu’il avait accepté mais je suis sûr que, comme moi, il y avait pris beaucoup de plaisir. Je gardais longuement, en souvenir, le goût de son sperme dans ma bouche.

De retour chez moi, je mis mon string auréolé d’une belle trace de sperme encore humide, dans la machine à laver et me masturbais à nouveau longuement sous la douche.

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