Je me réveille le premier et constate que nous n’avons pas bougé, nous sommes toujours tous les deux dans la même position. Je check rapidement l’heure, 15h… nos organismes étaient vraiment fatigués. Marie dort encore, et j’en profite pour faire un état des lieux à l’aube de cette nouvelle année…
Il y a 6 mois j’étais célibataire, je ne me souciais pas de trouver une relation stable ni quoi que ce soit. J’aurais au mieux continué cette vie d’aventurier à prendre en chemin ce que je trouvais pour changer dès que je trouvais mieux, mais ça n’aurait pas collé avec ma volonté de me poser.
Aujourd’hui je suis en couple avec une nana incroyable, qui fait tourner les têtes quand on la croise, et c’est la mienne. J’ai quelque peu douté de la durabilité de cette relation compte-tenu des circonstances de notre première fois, je pensais n’être qu’un lot de consolation mais finalement j’étais le gros lot. On partage les mêmes délires, loisirs, rigolades, tout en ayant chacun une partie en désintérêt avec l’autre, autorisant débats qui finissaient sous la couette. Professionnellement tout allait au mieux pour chacun de nous et en plus nous avons des horaires raccords qui nous permettent de profiter pleinement du temps hors boulot. Et surtout on a en commun cette passion pour la lingerie, que dis-je, les vêtements féminins. Rien n’était prémédité, tant pour elle que pour moi, et nous nous sommes pris à ce jeu, sournois et quelque peu addictif, tout en restant raisonnables. C’est allé du simple port d’une culotte entre nous à une soirée de nouvel an totalement habillé de vêtements féminins au milieu de 50 personnes.
« That escalated quickly » pensais-je, tout en me remémorant ces agréables moments : je me plaisais autant à vivre « normalement » que simplement vêtue de sous-vêtements, à la maison ou même totalement transformé en femme, masquant ce qui fait de moi un homme et m’attribuant de quoi me faire femme, habillée, maquillée et portant des bijoux ; heureusement (car c’est toujours délicat à gérer et à faire accepter) pour moi me dis-je, je ne souffrais pas de problèmes d’identité sexuelle. Sexuellement parlant, ma vie avait également pris un tournant, en découvrant notamment le pegging, ce principe qu’un homme ait un rapport anal passif avec une femme par l’intermédiaire d’un strap-on, ce gode accroché à un harnais. Oui, en gros, elle m’avait enculé, elle l’avait bien fait et cerise sur le gâteau, elle l’avait fait de manière la plus agréable qui soit. D’ailleurs, elle m’avait toujours proposé sans m’imposer ces nouvelles pratiques, la découverte du sexe « côté obscur », dans la plus grande douceur qui soit.
Je lui avais rendu la pareille pour sa première expérience anale, et nous vivions heureux de ce mode de vie basé sur le respect mutuel, et l’égalité des considérations sans domination ni soumission, choses qui ne plaisaient ni à moi ni à elle. Cette soirée de nouvel an avait également effacé mes doutes quant à une éventuelle attirance pour le même sexe, et cela me rendait davantage épanoui dans ma vie, vous savez, quand tout va bien et que tout parait facile. Je signerais de suite pour une vie sur ce rythme.
Et nous étions là, l’un contre l’autre, ou plutôt l’une contre l’autre, elle endormie dans mes bras, offrant un spectacle quasiment lesbien et qui me renvoyait des images érotiques dans la tête. Inconsciemment, ma main partit se glisser sous sa robe, trouva sa culotte que mes doigts décalèrent pour pouvoir s’agiter sur son sexe. Je chatouillais ses lèvres, agaçait son clitoris et m’immisçait à l’intérieur de son vagin si bien qu’elle ne mit pas longtemps à s’agiter et sa respiration s’accélérer. Elle finit par se réveiller, puis elle se tourna, m’embrassa et m’attira contre elle. A quatre pattes au-dessus d’elle, occupé à l’embrasser tout en flattant ses seins de mes mains, mes bas frôlent les siens et me renvoyaient de divines sensations dans les jambes, qu’elle commença à caresser tout en remontant sous ma robe. Je frissonne à chacune de ses caresses avant de sentir ma culotte glisser, qui libère mon sexe déjà dressé. Je me redresse pour en faire de même, j’en profite au passage pour nous admirer dans le miroir qui renvoie l’image d’une femme couchée, jambes en l’air pour se faire retirer sa culotte par une autre qui n’attend que de lui donner du plaisir.
Je m’allonge sensuellement sur elle, et pointe mon pénis vers son vagin qui n’en peut plus d’attendre, et m’introduit dedans sans rencontrer la moindre résistance. Les images vues dans le miroir se bousculent dans ma tête et le plaisir est maximal, ce qui m’oblige à faire de longs et lents va-et-vient pour ne pas exploser, rendant le moment encore plus intense pour elle. Alors qu’elle relève de plus en plus ses jambes pour mieux me sentir en elle, je décide de les prendre contre mes épaules, les lui mets à la verticale et continue mes pénétrations, sur ce même mouvement long et lent. Au bout d’un moment, je lui demande si elle préfère justement ce mouvement lent, tout en le lui imprimant, ou si elle préfère un mouvement plus rapide, tout en prenant du recul, mon gland tout juste enveloppé par ses lèvres, pour lui administrer un puissant coup de reins. Sans attendre de pouvoir me répondre, elle s’arque boute dans un long cri de jouissance impossible à contenir, et m’entraîne avec elle dans le plaisir, lui tapissant l’intérieur par de longs jets de sperme.
Nous restons un moment uni(e)s dans cette position, et profitons pour nous redire notre amour.
Je finis par me retirer d’elle, les lingettes étaient trop loin, elle se lève pour aller à la douche, et je profite de la suivre pour voir ma semence couler le long de ses cuisses, ce qui réveille mon érection. Nous nous déshabillons, je me déféminise, et nous nous engageons dans la douche, elle me saute dans les bras, guide ma bite en elle et ouvre l’eau de la douche. Je l’appuie contre le mur pour la prendre en la portant, nous faisons quelques mouvements de cette manière, mais j’ai du mal à tenir et peur de glisser. Elle redescend, se tourne, et me propose de la sodomiser. J’accepte, je lui détends l’œillet avec mes doigts en m’aidant de son jus mêlé au mien, puis remplace mes doigts par mon bâton. On ne tarde pas à jouir, en même temps, puis finissons notre douche, et nous nous habillons normalement pour partir souhaiter la bonne année dans ma famille, chez ma grand-mère qui reçoit traditionnellement tout le monde le soir du 1er janvier.
C’est l’occasion de satisfaire les commères de la famille, qui n’attendaient que ce moment pour passer ma chérie à l’inévitable interrogatoire d’intégration dans la famille. Peu m’importait ce moment et je la laissais libre de répondre ou non, de toutes façons je n’avais plus d’attache particulière avec mes oncles et tantes et mes cousins, qui n’ont jamais manifesté un quelconque soutien ou félicitations dans mes succès mais n’ont jamais hésité à critiquer et rabaisser quand j’ai raté mon diplôme, il y avait de ça 18 mois. Je ne cherchais pas non plus la gloire, j’étais davantage dans la philosophie de faire mes projets en silence et laisser la réussite faire du bruit. C’est pourquoi je ne leur ai pas parlé de l’importance du poste que j’avais pris dans ma nouvelle entreprise, qui m’avait fait confiance malgré la non validation de mon diplôme – et qui avait eu raison. Pour ainsi dire, en 6 mois j’avais pu rembourser l’argent que m’avaient prêté mes parents, et mettre assez de côté pour envisager d’acheter une nouvelle voiture, sans faire trop de concessions sur les performances et le confort.
Il faut dire que mon studio ne me coûtait pas grand-chose en location et que j’étais peu dépensier, à part le nécessaire pour vivre décemment que je partageais avec Marie et les vêtements qui étaient du côté « plaisir ». Nous étions également en fin recherche d’un vrai nid d’amour – je me serais contenté du logement actuel de Marie mais elle voulait définitivement rayer Cédric de sa vie – et nous avions trouvé dans une maison à quelques rues de notre immeuble actuel : un appartement de 90m², avec une suite parentale, une deuxième chambre, une cuisine ouverte sur séjour, une deuxième salle de bain et un wc ; 2 garages, terrasse et jardin. Le mois de janvier fut consacré aux cartons et au déménagement, nous n’avons pas pris le temps de jouer « entre nanas », et une fois installés je me fis plaisir en commandant une 308 gti, ainsi qu’un vélo, profitant du garage pour garder la voiture la semaine et faisant mes déplacements pro à pied ou à vélo.
L’événement majeur de mi-février arriva à grand pas, et je voulu créer la surprise pour Marie. J’avais profité du samedi de la veille pour aller flâner dans les magasins, et j’en avais profité pour me procurer de la lingerie : une guêpière noire, en dentelle et en tulle, pas trop décolletée afin de ne pas faire trop apparaitre ma fausse poitrine, avec des décors de fleurs en tissus et en strass sur le devant, une base faite de volants ainsi que des jarretelles ; un tanga assorti (j’aurais préféré un string mais n’aurait pu cacher correctement mon sexe), ainsi que des bas résille ; je complétais avec une robe type patineuse rouge et noire, afin de ne pas en dévoiler trop tout de suite, ainsi que des escarpins fins, rouge verni, avec un talon aiguille de 11.5 cm. Voulant également pour l’occasion me détacher de l’image de jumelle de Marie, je m’occupais également à trouver une perruque blonde avec des cheveux courts, avec une mèche sur le côté. Mes emplettes finies, j’étais follement excité et le retour me parut durer une éternité.
Je laissais tout dans la voiture pour retrouver ma chérie, lui sauter dessus et « consommer notre couple ».
Le lendemain, j’attends le milieu d’après-midi qu’elle soit perdue dans une sieste sur le canapé pour accomplir mon œuvre. Je file récupérer mes vêtements et profitant de la suite je ferme à clef la porte de la chambre : j’ai accès à tout ce qu’il me faut. Ne sachant par où commencer tellement j’étais excité(e), je prends mon sexe en main pour me masturber et faire retomber l’excitation. Mon sexe nettoyé, je décide de le cacher, puis d’enfiler le tanga. Je retrouve ces divines sensations, qui commençaient à me manquer. Je recréé ma fausse poitrine, qui me va toujours aussi bien, puis j’enfile la guêpière. Nouvelles sensations, c’est serré, et heureusement que je ne suis pas épais pour rentrer dedans sans problème ; je change de mon registre habituel de glamour, je deviens sexy, voir sal… J’enlève cette image de ma tête en passant les bas et les accroche aux jarretelles. Je reste peu convaincue et me dit que les autofixants sont tout de même mieux. Dingue, je pense comme une femme maintenant ! Je passe la robe, j’apprécie le touché, puis j’enfile les escarpins.
Le bout est plus serré que les autres, mais je devrais m’y habituer. Je me lève, cache que je suis haute avec ces talons aiguilles ! Je fais quelques pas prudents, mais je retrouve vite le coup. Je les enlève, et passe une paire de chaussettes pour protéger les bas le temps de finir de me préparer. J’enfile la nouvelle perruque, et je suis content de mon choix, ça me va plutôt bien. La mèche me rend terriblement sensuelle. Je m’assois à la coiffeuse, ajuste la perruque, puis commence de me maquiller en reprenant tant bien que mal les conseils de Marie. Petit à petit, mon visage se transforme. Je prends du rouge à lèvre pétant pour accorder ma robe, puis je fais rapidement mes ongles avant de les vernir de rouge également. Mes mains de nouveau utilisables, je retire les chaussettes pour remettre les escarpins. Je me regarde dans la grande glace de la chambre sans me reconnaître. Que je suis sexy et désirable ! Ambitieuse, je décide de sortir faire tourner des têtes avant de m’attaquer à ma chérie.
Dans les escaliers, j’envoie juste un sms à Marie « je vais faire un tour je reviens », et m’y tenant, je fais le tour du pâté de maison. Il fait beau mais frais, et les bas ne protègent rien du froid. Je croise 4-5 personnes qui se retournent sur moi, et je prends du plaisir à me faire mater de la sorte. Arrivée chez moi, je monte rapidement les escaliers et je frappe à la porte. La porte s’ouvre, Marie me dévisage, me déshabille du regard, essaie de trouver de quoi me confondre, avant de me dire :
– T’es parfaite ma chérie, mais un peu salope quand même, et tu sors comme ça ? t’as envie de te faire violer ou quoi ?
– Mmh oui j’ai envie de me faire violer, mais par toi ma chérie…
– Je sais même pas pourquoi tu me demandes ça…
On s’embrasse langoureusement, puis je défile devant elle, elle me bouffe des yeux, me siffle, puis se lève, me demande de l’attendre, et part dans la chambre. Elle en ressort 10 minutes plus tard, en nuisette de satin bleue qui ne cache pas grand-chose, sur le même genre d’escarpins que moi mais en bleu également, ses jambes habillées de bas résille mais autofixants, la dentelle commençant assez bas sur ses superbes seins qui tiennent sans push up, et la bosse du gode ceinture apparaissant sous la nuisette. Elle s’est décoiffée ce qui la rend encore plus sexy, s’est passée du rouge à lèvres également, bref elle s’est mise à mon niveau. Elle m’emmène dans la chambre, on se câline, elle me tripote de partout, les seins, le cul, en me traitant de salope, qu’elle va me tringler, que j’ai bien fait de faire ça le jour de la saint-valentin, etc. Je la reconnais à peine et me félicite de mes achats et de ma préparation…
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