Loric Renoir
Marie, toujours nue, se maquilla légèrement devant le grand miroir de la salle de bain puis se coiffa en se sentant surexciter à l’idée d’explorer les cales du navire. Elle ressentait la même fébrilité que lors ce qu’elle était gamine et quelle traînait avec une bande gars se préparant a les accompagner pour aller faire des mauvais coups. Ce tenir avec des filles l’ennuyait a l’époque, mais avec des garçons, la, il y avait toujours de l’action.
Elle en profita pour s’observer sous toutes les coutures en soulevant ses seins puis les laissant retomber arborant un petit air de découragement, sans parler de son derrière quelle trouva trop mou et gonfler. Elle décida de se remettre à l’entraînement en revenant au musée, puis elle se rappela qu’il y avait une salle de gym sur le bateau et se promit de s’y rendre dès demain. Elle fila dans la chambre pour s’habiller et constata décourager que Paul ronflait coucher sur le ventre les fesses a l’air avec son petit tatouage d’Homer Simpson qui s’effaçait progressivement. Elle sourit, son homme s’endormait presque toujours après avoir joui.
«Tant Pis,» se dit-elle «j’irai seul comme dans le bon vieux temps ou je faisais du journalisme d’enquête pour la Presse.» Elle enfila des dessous et s’habilla chaudement, il allait sûrement faire froid en bas. Elle mit des jeans, un épais chandail à col rouler, des chaussettes de laine, un manteau court, ses bottes de randonnée et prit la caméra HD de Paul ainsi que son sac d’armées qui se portait en bandoulière. Elle y rajouta une mini lampe de poche et allait sortir, mais elle ne put s’empêcher avant d’aller poser un baisé sur les belles fesses blanches de son chum.
— Fais de beau rêve mon grand. Dit-elle en lui tapotant le cul doucement avant de le recouvrir avec les draps.
Loric Renoir finit son assiette de homard de Gaspésie fort délicieux et se tapota le ventre avant de vider sa coupe de vin. Le restaurant du troisième pont était presque désert, il n’y avait qu’un couple tout au fond et la jeune serveuse assise derrière le comptoir qui feuilletait un magazine de mode. Il lui avait fait du plat, c’est petite Québécoise était vraiment bandante, mais elle lui avait fait clairement fait comprendre qu’il perdait son temps. A 47 ans il n’avait plus le corps d’athlète de ces 20 ans, il faisait un peut de ventre et se ramollissait. Tant pis, de toute façon il avait déjà repéré quelques femmes marier qui lui avaient fait les yeux doux. Rien de tel qu’une croisière pour se taper la femme d’un autre.
Par la vitrine du restaurant, il regarda l’allée des boutiques pratiquement déserte également. Le fait qu’il n’y est presque pas de passager et de membre d’équipage sur cette traversé faisait bien son affaire, car Loric Renoir était un voleur et de calibre international, un professionnel qui avait immigré au Québec 10 ans plutôt, on le recherchait trop activement en Europe. Il était expert en électronique et ouverture de coffre, réputer pour pouvoir voler a peut prêt n’importe quoi et n’importe ou et la, il devait s’emparer de deux objets qui avait été embarquer hier a Terre-Neuve et il attendait que la nuit tombe pour être certain de ne pas faire de mauvaise rencontre en bas dans les cales. Il avait tout de même pris ses renseignements en discutant avec des membres d’équipage l’air de rien. Car Loric ne laissait rien au hasard, il était extrêmement minutieux et préparait ses coups des mois à l’avance. Il avait même déjà fait deux incursions en bas à la même heure pour être certain de ne pas s’y faire surprendre. Ce qu’il détestait par-dessus tout c’était bien les imprévue et dans ce métier la, valait mieux les éviter. C’est pour ça, qu’en 25 ans de carrière il n’avait jamais été prit. Interpol l’avait surnommé, l’invisible. En fait il était passé maître dans l’art du déguisement, chaque fois qu’il commettait un vol il prenait un visage différent ce qui embrouillait les pistes. Plusieurs de ses vols très audacieux avaient été largement commentés dans la presse internationale. Comme celui du fameux collier vert Ikaro du Japon, ou encore l’éléphant d’or blanc du Sri Lanka.
Non, Loric Renoir ne laissait rien au hasard, même dans la vie de tous les jours, il était méticuleux, ranger, soigné, au point ou cela en était obsessif. La moindre petite chose qui le dérogeait de ses plans le rendait fou furieux. Il avait aussi une peur bleue des bactéries, il mangeait avec des gants blancs dans les restaurants et apportait toujours avec lui son assiette et ses ustensiles et même sa coupe de vin. Jamais il ne sortait en public sans mettre des gants et évitait autant que possible tout contacte avec les autres, sauf les femmes, la, il n’avait pas le choix. Il enfilait tout de même des gants de latex et évitait les baisers comme la peste ensuite il se lavait une bonne demi-heure en se frottant durement a la brosses et au désinfectant corporel. Il devait porter aussi des verres spéciaux qui oblitéraient la couleur rouge, car voir du rouge le rendait cataleptique. Loric était le dernier d’une étrange famille de consanguin et en payait le prix.
Et il était sur le même bateau que Paul et Marie. Petit Jésus !
Il savait qu’il y avait deux inspections par jour dans les cales, une le matin et l’autre en fin d’après-midi. Avant d’embarquer à Montréal, il avait fait beaucoup de recherche sur les objets en question et sur ce bateau. Il regarda sa montre suisse en aluminium brossé noir mat noir avec chiffre lumineux orange qui valait une petite fortune, « c’est presque l’heure » se dit-il.
Il se rendit deux ponts plus bas a une des deux cabines qu’il avait louées sous deux identités différentes, au cas ou. Il y enfila une salopette de mécanicien voler dans un casier qu’il avait lavé cinq fois tout comme la casquette avec l’écusson du navire puis il mit de lourdes bottes de travail acheter neuf et une chaude Canadienne flambant neuve également. Sac à dos a l’épaule contenant ses outils il partit pour les cales avec un plan en poche fournie par son mystérieux client et un autre trouver sur le web au cas où.
« Ce seras régler vite fait », pensa-t-il sur le lui comme toujours en entendant l’ascenseur, ensuite il n’aurait plus qu’a séduire de jolie femme jusqu’en Angleterre. Loric n’avait pas l’intention de laisser de trace de son passage en bas, en tout cas, le moins possible.
Marie appela l’ascenseur, quand les portes s’ouvrirent elle figea de surprise en apercevant Madona qui mâchait de la gomme en lui souriant et la regardant de bas en haut comme le ferais un gars ; petite robe noire provocante, bas noir, running a fleur rose, cheveux blond platine et boucler, longs faux cils et rouge épais aux lèvres. Pas de garde du corps, s’étonna Marie.
— Wow, fit celle-ci, on jurerait la vraie Marie Lemieux. Pis, tu montes ma belle ?
Marie comprit aussitôt quelle avait affaire a un sosie, surtout avec l’accent québécois quelle avait en plus. Elle devait être à bord pour un spectacle probablement. Elle lui sourit se trouvant idiote d’avoir crue que c’était la vrai et elle la prenait pour son sosie en plus. Marie sourit à cette idée.
— Qu’elle étage ma belle Marie.
— S5.
Paf !!!
Une bulle de chewing-gum qui éclata quand les portes se refermèrent. Dans l’espace restreint, cela résonna comme un coup de fusil.
— Je ne savais pas qu’il avait engagé une Marie Lemieux, je ne t’ai pas vu à Terre-Neuve ?
— Non je…
— Tu vas faire quoi pendant le spectacle, lire des nouvelles comme l’autre le faisait a la télé ?
Madona partit à rire comme une dinde.
Marie se contenta de lui faire un sourire glacial.
— Désoler fâche toi pas ma jolie c’était une blague.
— Hum !
— Mais a mon avis tu as trop forcer sur le botox pour les lèvres, la vrai les as plus mince, ce n’est pas si mal pareil. Ton cul par contre y est plus gros, mais t’en fais pas on ne peut pas être des copies conformes, t’as quand même un beau derrière. En tout cas t’es aussi grande qu’elle, les gars vont triper quand tu vas faire t’ont chaud. Je ne sais pas ce qu’ils ont tous à bander autant sur Marie Lemieux. Seigneur est plate a mort.
— Ça doit être son intel….
— Tes seins c’est des vrais ?
Paf !!!
Marie la regarda surprise, elle ne s’attendait pas a ce quelle la prenne pour un travesti. Madona décollait de la gomme verte de ses lèvres et de son nez avec ses faux ongles. Elle par contre, elle l’était probablement.
— WAIS, ces des vrais !
— Wow ! Moi je n’ai pas encore les moyens de m’en payer, l’an prochain. Le sosie de Lady Ga Ga aussi en as des vrais, celui de Nathalie Simard lui avec, enfin c’est ce qu’il dit, mais j’y croix pas trop.
— Hum.
Paf !!!
— Tu viens tantôt, on se fait une petite fête ?
— Non, j’ai un rendez-vous.
— En tout cas si ça te tente c’est au s2, cabine 209, on va bien s’amuser, surtout avec Michelle Richard. Elle est aussi sautée que la vrai.
Marie fut soulagée de la voir sortir à son étage et en se déhanchant beaucoup trop. N’empêche qu’il ressemblait à s’y méprendre à Madona.
— Bye ! Fit Marie froidement en se disant que Paul voudrait sûrement aller voir leur spectacle.
— Bye ma belle ! Fit-elle en lui envoyant la main en agitant ses petits doigts sans se retourner, n’oublie pas la répétition demain midi. Pis inquiète toué pas pour ton cul il est super. Je te baiserai ma grande, quand tu veux.
Marie se demanda comment ça pouvait être de baiser avec une travestie ou une transsexuelle surtout celle qui ont des poitrines. « Le vin te tourne la tête ma vielle,» se dit-elle.
Paf !!!
— Maudite gomme, fit-elle en appuyant sur le bouton de fermeture des portes.
Une fois celle-ci refermer Marie soupira en regardant son derrière décourager puis se prit les seins par-dessus son manteau en riant.
— WAIS c’est des vrais moi, Madona
Les portes s’ouvrirent a nouveau avant que l’ascenseur ne reparte devant deux gars de la maintenance éberluer fixant ses mains toujours sur sa poitrine qu’elle abaissa aussitôt le feu aux joues.
Petit sourire narquois des gars qui entrèrent en la reluquant sans équivoque.
— Wow ! Fait le plus jeune en appuyant sur s4. Ta vraiment l’air de Marie Lemieux. Pas croyable, on jurerait que tes une vraies filles.
Ben voyons s’étonna Marie, ils me prennent tous pour mon sosie tout à coup. Oh ! C’est pour ça qui me regarde sans gêne comme ça.
Les portes se refermèrent.
— WAIS ! Tu y ressembles vraiment, bravo. Dit le plus âgé des deux. J’ai hâte de voir le spectacle.
— Merci ! Fit-elle rouge comme un piment fort tandis que l’ascenseur s’arrêtait a son étage. Elle sortit en sentant encore leurs regards sur son cul quand elle tourna sur la droite au bout du couloir pour prendre une petite coursive qui donnait sur un autre long passage.
Paul allait être mort de rire quand elle allait lui raconter ça. Le plus drôle, pensa t-elle c’est que des rumeurs comme de quoi elle était un homme avait déjà couru. Parce quelle était un garçon manquer, mais surtout parce quelle avait toujours refuser de poser en bikini sexy pour des magazines de mode par timidité et aussi de poser pour playboy quand ils étaient venus recruter au Québec et ça, c’était surtout par estime de soi.
C’était un des étages ou les employés avaient leurs cabines. Ici c’était bien moins luxueux que là-haut, pas de tapis au sol, mais du linoléum blanc, moins d’éclairage et la propreté laissait a désirer. Elle trouva la cabine 32, elle allait frapper, mais entendit un son de petit moteur électrique qu’elle ne connaissait que trop bien, celui d’un vibrateur. La femme qui était son contact à bord devait se désennuyer.
Elle hésita un instant puis frappa, le son stoppa aussitôt et la porte s’ouvrit sur un jeune gars impressionnant couvert de tatouage des pieds à la tête et juste en slip noir. Il s’était fait tatouer tout les os du corps sur la peau, mais c’était le crâne tatouer sur le visage qui était vraiment impressionnant. Marie avait l’impression de le regarder avec des yeux rayon x comme ceux de Ray Milland dans le fameux film des années 60. En plus, il avait de nombreux Piercing.
Il avait du sang sur le bras gauche, visiblement elle le dérangeait pendant qu’il peaufinait son œuvre d’art. « Oups, » pensa-t-elle, « ce n’était pas un vibrateur. » Le voir lui rappela son petit tatouage. Il la regardait avec envie et sans détour.
— WAIS ma belle ?
— Eh, est-ce que….
— Shit tes le sosie de…
— WAIS, Suzi est là ?
— Té vraiment un gars, y parais que ces justes des transsexuelles dans le chaud ?
— WAIS, pis ses mêmes pas des vrais boules que tu fixes.
— Shit…
Il daigna lever les yeux finalement. Les orbites creuse du crane était tatouer de noir même ses paupières. Il y avait même les séparations de la calotte crânienne tatouer sûres à sa tête chauve.
— Pis ?
— Eh non, elle travaille jusqu’à 8 h, un remplacement de dernière minute. Tes vraiment un…
— WAIS, OK, dit lui que je vais revenir cool ?
— Cool ! On se feras une partouze se serait hot. En attendant si tu veux un tatoo je ne charge pas cher.
— Non merci !
Décourager Marie fila. Elle regarda sa montre, 1 h a tué. Elle rappela l’ascenseur décider a aller jeter un coup d’oeil en bas en attendant, avec un peut de chance elle trouverait peut être le sarcophage tout seul. Quand les portes s’ouvrirent elle vit un autre gars de l’entretien avec un sac a dos, casquette rabattue sur les yeux et lunette. Il la regarda comme les autres, cela commençait à l’énerver, elle voulut appuyer sur s5 le dernier étage avant les cales, mais le gars allait la justement. Elle appuya sur s2 par réflexe, mais l’ascenseur continua à descendre avant de remonter.
Loric regarda entrer cette grande fille bandante à mort. Longs cheveux roux, longues jambes et ce visage superbe qui lui rappelait quelque chose. Mais oui, la lectrice de nouvelle hyper sexy a la télé québécoise. Loric n’avait que deux faiblesses, la bonne bouffe et les rousses. Et là il se rappela l’affiche annonçant un spectacle de sosie – transsexuelle pour demain soir. Il réalisa quelle devait être un homme et devait faire partit du spectacle, car les passagers ne descendent jamais aux étages des employé, par contre les artistes y avaient leurs cabines et cela l’excita encore plus.
— Vous êtes… Commença-t-il.
— Hum !
— Wow, vous lui ressembler vraiment bordel.
Un français en plus, se dit Marie se forçant à lui sourire.
— Merci !
— J’aime les trans… Rajouta-t-il en lui mettant la main aux fesses, on pourrait aller prendre un pot ce soir ?
S’il y a quelque chose que Marie détestait, c’était bien ce genre de comportement. Elle enleva la main, mais il la remit. Elle le toisa méchamment, mais elle comprit qu’avec ce genre de gars ce ne serait pas suffisant.
— Allez, déconne pas poupée, on va bien s’amuser. Insista-t-il en lui pressant une fesse en bandant déjà. Ton prix sera le mien, ma belle si ce n’est que ça.
Marie sentit le sang affluer a son visage, trop c’est trop. Par réflexe elle lui décrocha un puissant coup de coude au ventre en même temps que les portes s’ouvraient. Le gars, plier en deux, le souffle couper sortit en chancelant pour s’écrouler contre le mur.
En appuyant sur le bouton s2 plusieurs fois sa main tremblait. Elle avait été victime d’une tentative de viol dans la trentaine et avait pris aussitôt des cours d’autodéfense ; boxe et Jeet Kune Do. Elle n’aurait peut être pas du le frapper, surtout au plexus comme son idole de jeunesses le faisait souvent, Bob Morane, mais… il avait couru après. En se rongeant un ongle tandis que l’ascenseur remontait elle décida d’attendre son contact, les portes s’ouvrirent à nouveau, elle sortit au s2. Elle entendit aussitôt de la musique de Noël, des éclats de voix par une porte de cabine ouverte. Soudain elle se rappela le party de Madona et elle n’avait vraiment pas envie de la revoir. Elle appuya à nouveau sur le bouton d’appel de l’ascenseur et entendit :
— Tien, tien, la belle Marie Lemieux.
Soupirant elle tourna la tête et aperçu une blonde a moitié nue qui sortait des toilettes, la copie conforme d’une chanteuse a la mode. Lady Ga Ga ; petite, svelte, pulpeuse, longs cheveux droits si blond qu’il en était presque blanc. Elle portait un petit top en filet sans soutien-gorge qui ne cachait rien de sa poitrine lourde au mamelon tendu qui se balançait mollement. Elle portait des bas filets en partie déchirer et une mini-mini-jupe noire avec des petits runnings bleu ciel. Marie déglutit quand celle-ci s’approcha en lui souriant. Elle avait toujours ressentit la même attirance envers les femmes qu’envers les hommes et ça, peut de gens le savait, mais la elle avait devant elle une transsexuelle et de savoir quelle avait probablement un pénis sous sa mini-jupe la troublait terriblement.
— Salut, moi c’est lady Ga Ga. Fit-elle en lui tendant la main aux ongles longs et couvert de rouge.
— Salut, fit Marie mal alaise en serrant la main moite tout en fixant son visage très maquillé, mais si féminin, les yeux surtout. Sans parler de ses lèvres rouges si épaisses, boxtox sans doute, mais très sexy. L’avoir croisé dans la rue elle n’aurait pu deviner que c’était probablement un gars.
— Tes superbes ma grande, Madona n’avait pas menti et tu rougis en plus. T’es mignonne comme tout et ta main tremble, je t’intimide a ce point ? Ah mes seins, au prix qu’ils mont couter, j’aime bien les montrer et y as personne d’autre que nous a cet étage.
— Un gars m’a mis la main aux fesses dans l’ascenseur, il a eu droit a bon coup de coude dans le plexus.
— Oups, fit Lady Ga Ga en levant les mains en l’air ce qui souleva sa poitrine. Une fille avertie en vaut deux. Il a eu juste ce qu’il méritait le salaud. Les gars pensent que nous les shemales on est des putes et qu’on couche avec tout le monde. Une petite bière, ça te dit, ma cabine est juste là ?
Marie déglutie embarrasser, c’était bien un gars, elle n’en revenait pas, elle la trouvait magnifique, terriblement sexy. Ce mélange garçon fille l’attirait énormément, jamais elle n’avait essayé ça et elle avait du temps devant elle. Mais il la prenait pour un gars… Marie déglutit la vue des seins nue la faisait saliver bien malgré elle.
Elle regarda sa montre en disant :
— OK, mais j’ai un rendez-vous dans 45 minutes.
— Cool ma belle, dit-elle en lui prenant la main et l’entraînant vers une cabine.
Celle-ci était beaucoup plus petite que celle réserver au passager et sans salle de bain. Un lit, une commode et un fauteuil, même pas de fenêtre, car elle se situait au centre du bateau. Des vêtements traînaient et il y avait des petites lumières de Noël qui pendait un peut partout, cela rendait la cabine plus accueillante.
— Appelle moi France, dit elle en sortant deux bières d’un mini frigo après avoir fermer la porte, ces plus courts, toi ces quoi ton vrai nom, enfin pas celui de ton sosie ?
La mini-jupe était si courte que Marie vie le dessous de ses fesses bomber.
Elle prit la bière se forçant pour ne pas fixer sa poitrine superbe et la décapsula en donnant le nom de sa mère. Son cœur cognait tandis qu’elle jetait le bouchon dans une corbeille près du lit.
— Émilie.
— Santé Émilie, elles cognèrent leur bouteille et burent une gorgée, enlève ton manteau, met toi a l’aise ma grande.
Marie jeta son manteau sur le fauteuil, heureux de l’enlever tellement elle avait chaud, France la regardait les yeux pétillant, elle la dévorait des yeux. Marie avait des chaleurs en ramenant ses cheveux derrière ses oreilles, elle se demandait, si cette France voulait la baiser, en faite elle en était certaine et comment il ou elle le prendrait quand il verrait quelle était une fille, une vraie. Elle se demandait s’il était gai. Si oui, tant pis, elle n’avait jamais dit quel était un gars sauf au tatouer.
— C’est ton idole Lady Ga Ga ?
— WAIS, je l’adore, est hot. J’ai vu tous ses spectacles à Montréal et à New York. Je ne sais pas ce que je donnerais pour baiser avec elle. Et toi, c’est la Marie Lemieux évidemment.
Ouf, pensa Marie, il n’est pas gai à moin que Lady Ga Ga soit un homme. Des rumeurs couraient à ce sujet.
— Eh oui, je la trouve bandante, j’aimerais bien la baiser moi aussi.
Marie se sentit toute drôle de dire ça.
— WAIS t’es pas la seule, est pas mal pour son âge je la baiserais bien moi aussi, mais moi j’aime mieux le sosie. Tes bien plus sexy ma grande, tes petits yeux étirer sont superbe et ton sourire wow ! Tes belles dents de lapin me font craquer.
— Ah, merci ! Fit Marie embarrasser comme toujours. Tu es très jolie aussi, tu lui ressembles vraiment.
— Hum, parais que ses des vrais toi aussi ?
En disant cela, elle lui palpa un sein sans gène aucune par-dessus le chandail, Marie sentit aussitôt son mamelon durcir et une vague de chaleur lui monter au visage. Elle ressentit des fourmillements familiers au bas ventre. Elle mouillait déjà dans sa petite culotte.
— Les miens aussi comme tu vois touche, t’en meurs d’envie tu les regardes depuis tantôt.
Marie, le cœur battant, leva la main gauche et palpa un sein chaud, dur et doux par-dessus le filet, la pointe du sein lui chatouillait la paume et France leva la tête vers elle, les yeux mis clos. Marie, plus grande du se penché pour poser les lèvres sur la sienne et le baiser se transforma en french passionner. Lady Ga Ga laissa sa main entrer sous le chandail de Marie, pour caresser sa poitrine par-dessus son soutien-gorge, cette fois Marie comprit quelle se laisserais baiser par cette blonde, en faite, elle en mourait d’envie maintenant. France fit ensuite ce que bien des hommes font, elle retira la main de sous le chandail pour lui peser sur l’épaule pour qu’elle s’agenouille en posant sa bière sur le bureau.
Marie le fit, obéissante en salivant et posa la sienne par terre tandis que France soulevait sa mini jupe.
Elle ne portait pas de slip et ses bas filets étaient maintenus par une large bande élastique décorative. Marie aperçut un long pénis encore moue pendant entre les cuisses au gland cacher sous le prépuce et une belle paire de couilles glabre très basses. Exciter, elle souleva le membre à deux mains le trouvant lourd, décalotta le gland puis avala le pénis de moitié et commença à le sucer en l’agaçant avec la langue le sentant raidir rapidement sous ses doigts lui arrondissant les lèvres. France fixait sa bouche en lui caressant la tête doucement en gémissant déjà.
Marie salivait tellement que cela coulait sur son chandail, elle donnait de la tête lèvres arrondit et bien serré en mouillant terriblement. Elle n’avait pas sucé d’autre homme que Paul depuis un bon moment et ce pénis était bien plus gros, presque trop pour ses lèvres maintenant qu’il était bander dur. Elle agrippa les testicules en donnant de la tête comme elle pouvaient, narine dilater, les souleva les pressa tandis que France se caressait les seins a présent. Marie vit deux petites cicatrices en dessous puis elle se concentra sur la bite, un membre long courber légèrement vers le haut quelle laissa sortir de sa bouche pour reprendre son souffle. Elle l’agaça avec sa langue le léchant de bas en haut, goba les couilles l’une après l’autre et le ravala en aspirant.
— Ouf, tes une sacrée suceuse ma grande. T’avales ?
Marie n’en avait pas envie, elle voulait se faire prendre et la des gouttes de liquide saler lui tombait déjà sur la langue. Si elle continuait, il allait décharger. Elle laissa encore la bite sortir de sa bouche et se leva, détacha ses jeans, tandis que France la regardait les yeux luisants de concupiscence en ce masturbant lentement. Elle baissa ses pantalons et ses slips en se déhanchant un peu.
Lady Ga Ga écarquilla les yeux en apercevant la vulve de Marie et sa toison noire, ovale.
— Shit ! T’es une fille ou t’as eu la grande opération ?
— Une fille, ça te branche ?
— Tu parles ! Répondit-elle en se masturbant toujours les yeux river au sexe de Marie gonfler et ouvert. Mais Mike ne va pas être content.
— Mike ? Demanda Marie en s’assoyant sur le lit pour retirer ses bottes, ses jeans et ses slips.
— Wais Mike, le gars qui nous a engagés pour qu’on fasse notre spectacle sur ce bateau. Dit-elle en se débarrassant de son top en filet et des sa mini-jupe. Tu la pas rencontrer encore ? Y veut que des trans sur son chaud.
— Non, répondit simplement Marie en s’étendant sur le dos, genoux relever, jambes écarter en se passant un doigt sur la fente humide et agaçant un peut son clitoris, mais pas directement. France la dévorait des yeux et Marie aima ça. La voir comme ça avec cette grosse bite qui palpitait et ses formes si féminines c’était vraiment érotique, grisant.
— Et ben y va être surpris quand tu vas faire ton strip.
« Désoler, mais jamais je ne ferais de strip, seigneur non ! » Se dit-elle.
Marie se contenta de relever chandail et soutien-gorge sous son menton, car il faisait un peut froid, sa peau se couvrait de chair de poule et elle frissonnait, elle garda aussi ses bas de laine tandis que Lady Ga Ga s’installait à genoux entre ses cuisses. Elle s’étendit sur elle en cherchant l’entrée du vagin, Marie souleva ses pieds pour l’aider et le membre glissa en elle tout doucement, s’enfonçant bien à fond, la comblant. Elle plissa les yeux de plaisir en l’enlaçant autant pour sentir son corps contre elle que pour ce réchauffé. C’était si étrange de sentir des seins écrasant les siens et une bite en elle, une vraie. C’était enivrant, excitant ; ses longs cheveux blonds, l’odeur délicate de son parfum, sa peau lisse et colorer par les lumières de Noël, sa taille mince et son cul bomber et ferme. Marie palpa les fesses si douces tandis que France commençait a la besogner en soupirant et c’était si bon que Marie se mit aussitôt a gémir faiblement.
— Hum, fit-elle tout bas, ses bons… !
— Tes vraiment bandantes Émilie.
— Toi aussi ma belle. Fit Marie, ta un sacré beau cul !
— Ta la même voix un peut cassé que Marie Lemieux. Tes surs que tes pas elle par hasard ?
Marie sentit son cœur accélérer.
— Hum ! Tu banderais plus si je te disais oui ?
— Ça non, je te trouve bien plus bandante ma grande.
Marie sentit un petit pincement au cœur à lui mentir, mais d’un autre côté se faire passer pour une autre l’excitait encore plus.
— J’aime tes seins. Fit France en lui empoignant durement et penchant la tête pour lui sucer les mamelons avidement.
Marie se contenta de gémir un peut plus ne pouvant s’en empêcher, sentant la bite aller et venir en elle de plus en plus rapidement avec les couilles qui lui frappait l’anus rajoutant de délicieuses petites sensations. Leur pubis se frappait durement maintenant Marie sentait leurs seins sursauter tandis quelle croisait ses longues jambes sur les reins de France qui lui lécha la gorge avant de plaquer sa bouche sur la sienne langue sortit.
En se laissant besogner, Marie se demanda si Paul aimerait baiser avec cette Lady Ga Ga ou mieux, ensemble tous les trois. Elle s’imagina un instant se faire prendre par les deux en même temps, l’anus et le vagin. Elle n’avait pas connue cela depuis des années et elle avait adoré, pourvu que ce soit fait en douceur. Un mini orgasme lui traversa le bas ventre lui arrachant une petite plaine, puis un autre plus puissant.
— Hum, oui, ah oui…
Le lit se mit à geindre de plus en plus fort et France aussi bien agripper a ses épaules. Marie devina qu’elle allait jouir, trop exciter sans doute, et soudain celle-ci se crispa en stoppant et serrant les fesses. Déçut Marie sentit du sperme jaillir en elle, Lady Ga Ga déchargea toute ce quelle avait en grimaçant dents serré et s’écroula sur marie qui se contenta de caresser son dos et sa chute de reins en laissant ses pieds retomber sur le lit. Elle se sentait si bien avec ce corps de fille sur elle qu’elle songea un moment à rester plus longtemps, mais elle regarda sa montre en disant :
— Hum ! C’était le fun, mais la faut que j’y aille ma belle.
— Désoler, il y a longtemps que je n’ai pas baisé une aussi belle fille que toi.
— Ça vas, ça ma plus.
Elles s’embrassèrent et France se retira et lui donna une serviette pour qu’elle s’essuie le sexe et Marie se rhabilla.
Lady Ga Ga resta nue et embrassa encore Marie avant de dire :
— Tu reviens quand tu veux ma belle.
— OK, mais que ça reste entre nous d’accord ?
— WAIS… Promis. Tu t’arrangeras avec Mike pour ça. Dis elle en lui plaquant une main sur l’entrejambe.
Marie avait encore des bouffé de chaleur en appelant l’ascenseur.
De retour à la cabine de son contact, elle tomba à nouveau sur le squelette.
— Non, toujours pas là.
Marie songea à tenter de redescendre seule, mais ce bateau était immense. Et puis l’autre gars était peut-être toujours là et sans doute pas très content.
— Tu sais par où on descend aux cales, je voudrais vérifier quelque chose ?
— J’y travaille ma belle, c’est pour ça que tu voulais voir Suzie. Je n’en parlerai pas t’inquiet, Suzi est cool.
— WAIS, et ?
— OK, je t’y emmène, mais tu me fais une pipe OK ?
— 20 $, ça irais ?
— Non.
— 40 $
— J’ai toujours fantasmé sur Marie Lemieux, une pipe ma belle, allez !
Marie regarda sa face de crâne nullement surprise par sa demande, il la dévorait des yeux encore une fois et elle en avait l’habitude. En tant que Marie Lemieux elle aurait refusé net, une personnalité connue doit faire attention a ce genre de chose, ça sort vite dans les journaux, mais en tant que sosie… Pourquoi pas ? Et puis, curieuse de nature elle se demandait si son pénis était tatoué et elle n’était pas du genre a rechigner pour sucer un gars. Mais la petite escapade avec Lady Ga Ga l’avait laissé sur sa faim.
— OK.
— Cool, mais pas ici, attend moi devant l’ascenseur.
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