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Sylviane – Petite Raïssa(1)

Sylviane – Petite Raïssa(1)



Sylviane – Petite Raïssa(1)

Ce Week End notre couple d’amis préférés, Michèle et Philippe nous avaient invités à le passer en leur compagnie. Ceci n’a rien d’exceptionnel car assez fréquent. Mais là ils avaient une petite idée en tête, nous faire rencontrer un petit couple qu’ils avaient commencé récemment à fréquenter. Michèle m’avait assuré que j’allais apprécier ces nouveaux compagnons de jeu. Ce Samedi donc, en fin d’après midi nous voilà chez nos complices et amis. Avec Michèle on évoque une pause de midi plus que coquine qui nous a littéralement vidées par tous les bouts. Nos hommes s’en amusent et nous taquinent. Je suis impatiente de rencontrer nos nouveaux amis, Michèle est muette comme une carpe et ne daigne pas me faire la moindre confidence sauf que je vais adorer et m’éclater.

– Je te connais trop ma chérie, tu va être aux anges tu va voir dit elle en me volant un baiser.

Enfin le couple mystère arrive. Et là je reste coite à mon tour. A peine entrés ce qui me frappe c’est leur jeunesse, des lycéens pas plus que çà si lui a plus de 20 ans je saute par la fenêtre quant à elle je ne lui donne guère plus de 16 ans. Il faut le voir pour le croire. Lui grand black à la mine enjouée, respirant la sympathie et la joie de vivre. Plus de 1m80 des épaules bien larges, une taille fine, un petit cul bien serré dans son jean et j’imagine un caleçon bien garni. Beau garçon les traits plutôt fins peut être un peu métisse. Ça ne s’invente pas son prénom Maurice à l’image de tous ces prénoms disparus que portent souvent les blacks. Mais elle mon dieu…. une poupée vivante. De toute évidence une beurette, entre 16 et 17 ans.. 1m60 pas plus, la peau mate de longs cheveux noir de jais qui cascadent en boucle autour d’un petit visage ovale, des sourcils noirs bien dessinés, des yeux de charbon piquetés d’or qui brillent d’un feu étrange. Parfaitement maquillés ces yeux sont soulignés par de longs cils qui lui donnent un regard de biche. Un petit nez aquilin, une bouche aux lévres pulpeuses brillantes légèrement entrouvertes, une bouche d’une sensualité a****le. Je crois que déjà à cet instant elle me faisait mouiller, j’avais déjà envie d’elle. Vêtue d’une jupe noire assez courte et d’un chemisier fuchsia au large décolleté elle laisse espérer des moments agréables. Cette gamine semble faite au moule, elle m’affole. Ses jambes gainées de soie noire me semblent parfaites. Je suis déjà dans l’attente de la contempler nue. Son décolleté m’attire, pas de sous vêtements c’est certain, je vois les pointes qui marquent le tissu. Raïssa, joli prénom.
Si Maurice m’avait gentiment fait la bise, Raïssa elle me regarde, me sourit et sans crier gare pose ses lèvres sur les miennes et je sens la pointe de sa langue qui caresse mes lèvres.

On échange quelques banalités puis on passe à l’apéritif. Maurice et Raïssa vivent en couple malgré leur jeune âge. Lui semble avoir un job intéressant si j’en juge par la grosse Audi toute neuve qu’il a garé sur le gravier de l’allée. Elle est encore lycéenne. On ne parle pas métier pourtant. Raïssa est assise auprès de moi et je ne peux détacher mon regard de cette gamine. Je l’ai déjà dit j’ai un goût prononcé pour les jeunes hommes et femmes. Mais cette fille me rappelle la mienne et ce que j’ai peur de découvrir, ce que je sais au fond de moi sans jamais oser l’admettre et encore moins le dire c’est que depuis quelques temps j’ai des pensées qu’une mère ne doit pas avoir, j’ai beau les repousser les nier elles sont là. En quelques minutes j’ai compris que j’avais un désir terrible pour cette fille, façon pour moi de conjurer les mauvaises pensées que j’ai pour ma fille. Je dois finir par l’admettre l’avoir surprise en train de se donner du plaisir m’a troublée. Je l’ai vue nue plus d’une fois ma fille, je ne nie pas que je la trouve superbement faite même si elle va changer encore un peu. Mais l’avoir vue les cuisses écartées au moment ou elle jouissait.. Cette vision est marquée au fer dans mon esprit et je n’arrive pas à la chasser et je me sens attirée par elle, par sa jeunesse, par sa plastique. J’aime les femmes, je suis sensible à leur charme et je suis sous le charme et le la désire secrètement. Mais cela n’arrivera jamais alors là je reporte ce désir sur cette fille qui pourrait être la mienne. Désir d’i****te ? Désir tout court je pense. Mais avec Raissa je n’ai pas l’impression de briser un tabou vieux comme le monde et d’un autre côté je consommerais une sorte d’i****te par procuration.
Assise près de moi, la gamine m’observe, je pense qu’elle a senti que je craquais pour elle. Si c’est vrai elle joue avec moi. Ces regards lourds de sensualité me font fondre. Michèle nous observe et je sens qu’elle rit intérieurement. Maurice aussi me mate, mais comme le ferait tout homme normalement constitué. Philippe et Christian sont partis dans une discussion dont ils ont le secret ah ces deux là il ne faut pas leur demander de tenir de longs discours en société. Ils sont présent quand on doit agir sinon ils adorent vivre leur monde. Nos maris sont super on les adore Michèle et moi mais on leur dit en plaisantant qu’ils devraient se mettre en couple. Oh il le font pour le plaisir car ils apprécient faire l’amour tous les deux. Et même ils leur arrivent de se retrouver comme Michèle et moi le faisons.
Pour le moment Raïssa occupe mes pensées. Elle se penche légèrement contre moi, posant presque sa joue sur mon épaule et sa main se pose sur ma cuisse. Ça me fait l’effet d’une brûlure je sursaute presque elle retire sa main me regarde inquiéte.

– Oh pardon ca te gêne ? Dit elle ingénument avec un sourire carnassier.
Michèle pouffe de rire, de me voir si surprise alors que je crève d’envie de me jeter sur la gamine.

– Ah non non du tout… au contraire même tu à la main douce il me semble. Dis je niaisement

– Oui… mais tu sais il n’y a pas que ma main qui est douce.. tiens regarde .. ma langue aussi dit Raïssa entrouvrant la bouche et faisant pointer sa langue.

– Bah alors Sylviane… je t’ai connue plus … entreprenante.. dit Michèle

Je lui jette un regard noir, me tourne vers Raissa dont le regard brille. Je passe mon bras autour de ses épaules. Je l’attire à moi et pose ma bouche sur la sienne, sa langue aussitôt glisse dans ma bouche, la mienne investi la sienne. Nos langues mènent un combat sans merci. Nos respirations son courtes haletantes. Le désir monte en moi mais il monte aussi dans cette gamine. Sa bouche est fraîche sucrée, ses lévres sont comme des fruits rouges. Mon dieu quel baiser. Et sa main qui caresse l’intérieur de mes cuisses. Ma main libre à glissé dans l’échancrure de son chemisier et ma main se proméne sur une peau de satin, ses seins sont lourds pour une fille de cet âge, les pointes a priori sensibles car quand je les effleurent elle tressaille.
Nos visages s’écartent. Raissa me contemple et me dit

– J’ai envie de vous… enfin de toi… J’ai très envie il paraît que tu est une sacrée cochonne..
– Moi ? Qui a bien pu te dire çà ma belle ? La blondasse là ? Elle a raison.. je suis pas une cochonne mais une salope… comme toi on dirait bien.
Raissa baisse les yeux avec un sourire, puis elle remonte sa main entre mes cuisses ou elle touche ma chatte humide…
– Oui je suis une petite salope, mais tu aimes çà on dirait tu est tellement humide !!
– Bien fait Michèle, on mangera tard pour le moment .. on est occupés !!

C’est à ce moment que je constate que les hommes loin d’être en reste sont partis dans un trio infernal.. ils ont même pris de l’avance et nos deux maris s’occupent d’une grosse queue de black . Obnubilée par Raïssa je n’avais rien remarqué. Je dégrafe le chemisier de la gamine, elle m’aide ses seins apparaissent enfin. Une magnifique poitrine pour une fille de cet âge, ferme des seins ronds, des tétons comme j’adore granuleux et long. Ils sont déjà dressés, je ne résiste pas au plaisir de prendre une pointe entre mes lèvres et de le sucer tirant un petit soupir à la belle. Les doigts de Raïssa caressent ma chatte. Elle me regarde dans les yeux..

– C’est ton clito que je sens sous mes doigts ? Dit elle
– Oui tu crois que j’ai des frissons a cause du froid ?
– Il est énorme… dis donc
Je hoche la tête et joignant le geste à la parole je fais glisser ma petite robe par dessus la tête avant de la jeter au loin. Je suis nue sauf mes bas et mes chaussures. La gamine me contemple d’un air de chatte gourmande.

– Tu est belle j’adore.. Oh la la mais j’ai jamais vu de clito comme çà s’exclame t-elle avec candeur

Je la prend par les épaules et je l’attire vers mon sexe. Elle ne se fait pas prier. Sa bouche me pose de petit baisers sur le ventre, sur les cuisses puis de ses doigts elle écarte les lèvres de ma chatte. Toujours me regardant elle approche ses lèvres de mon clito dur et saillant , elle le gobe. Je tressaille quand les lèvres me touchent puis sa langue lèche ma perle durcie. Je frissonne et gémis de plaisir. Elle cesse me regarde, je vois ses lèvres, son menton qui sont trempés un long fil de mouille épaisse est même pendu entre mon sexe et sa joue.
– C’est fou comme tu est mouillée… tu coules de partout tu est toujours comme çà ?
– Oui chérie mais arrête de parler bouffe ma chatte..
Elle ne se le fait pas dire et je sens sa langue qui parcours tout les replis de mon sexe, elle lappe comme si elle voulais assécher mon sexe. Mais elle ne fait que me faire mouiller plus encore.. Oh putain que j’aime cette langue et ses yeux qui me scrutent.
Michèle commence à lui caresser le dos, puis les fesses et rapidement je vois le visage de mon amie disparaître derrière le cul rebondi de Raïssa. Qui est parcourue d’un petit frisson . Me tournant légèrement, j’aperçois les hommes qui se sucent mutuellement la queue. Je m’occuperais de Maurice après car il à un pieu d’au moins 25 cm que ira très bien dans mon cul. Une pensée me traverse.. la gamine doit le sentir passer avec lui.

En attendant c’est moi qui la sent bien, elle m’aspire le clito comme une perdue, elle suce, elle le pince entre ses lèvres même le mordille de temps en temps. Moi je suis cramponnée au canapé pour ne pas exploser à son visage tout de suite. Elle me mange si bien !!

– Oui chérie mange moi !! oh oui putain ta langue c’est bon !criais-je
– Oh tu est bonne .. tu mouilles partout tu aimes que je te léche ? Dit Raissa
– Regarde là ma jolie elle va t’inonder dans pas longtemps ajouter Michèle.
– Elle gicle comme toi ? J’adore !! ajoute Raïssa

Je sais que je n’aurais pas à me retenir dans quelques minutes. Car la gamine me mange si bien que je ne tarderais pas à jouir. Michèle doit lui faire du bien car de temps en temps elle stoppe se redresse le visage tendu les yeux mis clos. Avant de replonger sa bouche dans ma chatte.
Sa langue me donne des frissons de plus en plus violents. Mon ventre se creuse, se relâche. Ma chatte s’ouvre et se ferme. Je sens ses doigts qui taquinent mon trou du cul avant de se glisser dedans. Elle tourne, fouille mon anus. Je suis de plus en plus au bord de l’explosion. Michèle le sait. Je crie, je respire comme une vieille forge ma poitrine se soulève à une cadence infernale. Mon bassin se soulève, mes muscles se raidissent.. Michèle soudain maintien la tête de Raïssa contre mon con ruisselant. Je hurle tandis que palpitent tous mes organes je sens mon anus et ma chatte devenir béants. Le déferlement dans mon ventre est sans pareil, je sens couler ma mouille a flot et soudain j’explose sur le visage de la gamine, un jet puissant lui remplis la bouche suivit après une autre contraction d’un autre peut être plus fort, maintenue contre mon sexe par Michèle la petite est totalement inondée des cheveux sont plaqués collés à son front.. Je gicle encore plus jets sur sa langue. Elle me lape encore, je coule le canapé est maculé de ma mouille, de mes giclées . En fait quand je finis par reprendre mes esprits Raïssa est toute dégoulinante de la tête au pied , en fait placée comme elle l’était elle a été aspergée sur tous le corps. Agenouillée entre mes cuisses, ma mouille lui macule le visage son menton dégoutte d’un liquide laiteux et épais qu’elle lèche sur ses babines.. De longues rigoles laiteuses tombent le long de sa poitrine qui est gonflée ses tétons durs comme du bois. Elle se masse le corps avec les fluides que j’ai lâché sur elle. Je vois pour la première fois sa motte rebondie caractéristique des filles arabes une motte bombée un abricot qui doit avoir un goût sublime.

– Oh la vache qu’est ce que tu m’a envoyé !! Trop bon j’adore !! Oh viens me manger le cul s’il te plaît.
– Tu est belle ma petite salope.. très belle tu sais.. j’ai envie de te faire crier .. comme une chienne.

Raissa se laisse tomber sur le dos, et avec ses mains dans la pliure des genoux écarte les cuisses m’offrant un spectacle divin. Son petit con est entrouvert d’un rose si vif, ses lévres écartées montrent de petits lèvres épaisses et gonflées d’un noir soutenu . Son clito est joli bien exposé par le capuchon gonflé. Mais le plus excitant c’est la palpitation qui n’anime. Elle est en rut la petite. Elle mouille grave mais c’est tout claire transparent comme de l’eau. Je me jette sur elle pour lui bouffer la chatte. J’ai à peine touché son con qu’elle gémis et frissonne. Quel goût quel odeur.. c’est du piment brut, du poivre des épices. Le plonge moins nez réellement dans sa chatte je l’en ressort mouillé. Elle a un goût diabolique, une odeur exotique.

Sa peau est douce comme un pétale de fleur, son petit con ouvert est enivrant. Je lèche sa conque qui très vite se remplit de mouille mêlée à ma salive. Mes lévres mon menton sont vites dégoulinants. Elle se cambre, s’agite gémis. Sa peau est trempée des ablutions que je lui ai imposées.. Légèrement glissante. Je cramponne ses cuisses elle pousse son sexe dans ma bouche. Je bois directement dans sa chatte son petit nectar.

Michèle lui caresse les seins, la main de la gamine est dans la chatte de mon amis, du moins ses doigts elle n’est pas encore assez rodée pour jouer à ces jeux. Je vois que Michéle apprècie la caresse. On se regarde, on se sourit.

– Allez petite salope, laisse toi aller lui dit Michèle, ne te retiens pas surtout..

Je suis bien d’accord avec elle.. Si seulement elle pouvait exploser sur ma langue je serais aux anges. Mais je la sens encore contactée, elle prend du plaisir mais son jeune âge fait qu’elle est concentrée sur le plaisir que lui donne son clitoris que je ne cesse de titiller . Elle est moins sensible aux caresses profondes de ma langue dans son sexe qui s’ouvre comme une fleur tout de même. Je me met à lécher son trou du cul, il est mignon et palpitant. Il s’ouvre facilement, oh cette petite aime se faire prendre par derrière.. je me vois déjà entrain de la goder .. plus tard.. plus tard je suis trop impatiente là j’ai envie de la faire jouir sur ma langue.

Je fouille son sexe avec mes doigts et j’en tire une petite crème légère et blanche Elle crie.. elle se tortille ma belle gamine.. En cet instant je ne peux réprimer la vision de Lily ma fille, un fugace instant je rêve que c’est elle qui est là haletante sous mes coups de langues.. je m’en veux a mort aussitôt. C’est trop dérangeant.  Mais j’ai envie de la faire jouir cette petite.. Et elle va y venir.. Ses cris sont perçants.. elle s’agite tellement que Michèle la retiens pour éviter qu’elle ne tombe du canapé. Ses jambes croisées sur ma nuque m’oblique a la manger profondément.. Et en l’espace que quelques secondes.. j’ai sous les mains une petite furie qui hurle se déméne..

– Ouiiii Ouiiii bouffe moi je vais jouir !!! Oui laaa encore !!!!! putain bouffe moi a fond !!

Je la broute plus fort, son con décharge abondement une mouille grasse qui me coule sur les lévres sur les joues.. mon menton goutte sur mes seins. Elle se tend comme un arc en hurlant

– Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssssssssssssssssssssssssssss !!!

Oh je le vois bien pas besoin de le dire… je sens une giclée sur ma langue, son méat palpite lâche plusieurs petits jets sur mon visage. C’est chaud, transparent ca me coule sur le cou les seins en une longue marque brillante. Raïssa se jette à mon cou et m’embrasse à bouche que veux tu..
Elle me regarde de ses yeux de biche.. me sourit.. comme une enfant.. pervertie..

– Trop bon…. trop bon.. tu m’a fait jouir comme une folle et j’ai adoré que tu m’en balance plein comme çà .. Michèle aussi mouille fort mais toi c’est dingue !!

Elle me câline un instant.. puis ajoute en me désignant la pièce derrière moi

– Oh regarde les gros salauds avec Maurice..

Je tourne la tête .. et je vois son copain.. encadré par nos hommes qui se fait sucer tout en branlant nos époux….

Et dire que ce n’est que le début de la soirée !!

A suivre

Sylviane

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