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Dépannée par mon ex

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Nous sommes au mois de mars, et depuis quelques jours nous bénéficions de magnifiques journées ensoleillées, et de températures printanières exceptionnelle dans notre région. J’attends Joël mon ex compagnon à qui j’ai demandé de passer pour m’aider à quelque bricolage chez moi. La dernière fois qu’il est venu m’aider en septembre, nous avons refait l’amour et je dois avouer que j’ai particulièrement apprécié nos « retrouvailles » ce jour là.

Joël et moi sommes séparés depuis bientôt cinq ans maintenant, et nous avons refait nos vies chacun de notre côté. Nous avons vécu 20 ans ensemble avant de nous quitter. Je dois reconnaitre que cette séparation a été extrêmement douloureuse pour moi, et que la vie n’est plus tout à fait la même depuis. Même si j’ai retrouvé un copain, celui ci ne parvient pas à me faire oublier totalement les années passées avec Joël et surtout les moments « câlins » que j’ai connu avec lui. Lorsque nous nous étions rencontrés, j’étais en plein divorce, j’avais 33 ans à l’époque, et à part mon mari, j’avais connu peu d’homme, 2 ou 3 tout au plus. Il était plus jeune que moi de 3 ans, sa fougue et sa spontanéité m’ont attirée vers lui immédiatement. Il s’avéra être l’homme à la fois le plus drôle, le plus attentionné que j’ai connu, mais surtout l’amant le plus extraordinaire que j’ai eu. Je me souviens encore de nos nuits « blanches » à faire l’amour comme des adolescents, où je finissais par demander grâce, épuisée et incapable de supporter la moindre pénétration supplémentaire.
Aujourd’hui, âgée de 58 ans, je suis encore assez bien conservée. 1m60, 50kg, brune, cheveux courts, la peau mate, je suis assez fière de mon corps et surtout de ma poitrine et de mon 85C que je porte fièrement. Mes seins sont ronds avec de larges aréoles très brunes, encore suffisamment fermes pour ne pas tomber. Même si je n’ai plus le même appétit sexuel qu’à 30 ou 40 ans, j’aime toujours autant faire l’amour, mais mon copain actuel est bien loin d’être l’amant fougueux avec lequel j’ai partagé une grande partie de ma vie. Il est également beaucoup moins bien doté par la nature que ne l’est Joël et surtout beaucoup moins « imaginatif ».
Joël arrive vers 9h avec une poche de viennoiseries. J’installe les tasses pour prendre le café lorsqu’il se pointe devant mon portail.
Je ne porte qu’une petite nuisette courte arrivant à peine à mi-cuisses, à fines bretelles, au décolleté profond, et dont l’empiècement sur la poitrine en dentelle, laisse apparaitre mes mamelons bien bruns.
Lorsqu’il arrive sur la terrasse et me voit aussi légèrement vêtue, le regard de Joël s’illumine de désir. Je le connais tellement bien … je savais l’effet que je lui ferais lorsqu’il me découvrirait.

Il ne peut se retenir de lancer un sifflement admiratif en me voyant.
– « humm … tu es délicieuse … on te mangerait »
Il s’approche de moi pour m’embrasser, passe un bras autour de ma taille en m’attirant contre lui, et pose l’autre main sur mon épaule en n’oubliant pas de me caresser au passage. Loin de trouver ce contact désagréable, je me laisse faire espérant même reconnaitre le plaisir que j’ai connu lors de sa dernière visite. Il s’installe à table, je sers le café, nous déjeunons en parlant de tout et de rien, et lorsque je me lève pour débarrasser, il me saisit par la taille et m’attire contre lui. Je ne cherche nullement à résister, et me retrouve assise à califourchon sur ses genoux. Il se met à m’embrasser fougueusement dans le cou en me caressant au travers de ma frêle nuisette. Ses baisers langoureux dans mon cou au début, se font bien vite frénétiques, gagnent mon épaule, remontent jusqu’à mon oreille, puis ses lèvres viennent saisir les miennes et son baiser se fait passionné, nos langues se mêlent, et ses mains font glisser les bretelles de ma nuisette, libérant ainsi mes seins qu’il empaume aussitôt en les pétrissant de ses grosses mains et en jouant avec mes mamelons. Sa bouche délaisse très vite la mienne pour jouer à son tour avec mes seins et sucer mes tétons gonflés de désir. Heureusement les voisins n’ont pas une vue directe sur ma terrasse, car je suis assise sur ses genoux face à lui, les seins à l’air en train de me faire peloter copieusement.
J’éprouve immédiatement du plaisir sous ses baisers et ses caresses, je ferme les yeux et je m’abandonne à lui, uniquement capable de passer mes mains derrière sa nuque et de caresser ses cheveux.
Voyant mon abandon total et ressentant mon désir pour lui, il me relève et me fait assoir sur le bord de la table. Il s’agenouille devant moi et commence à m’embrasser l’intérieur des cuisses tout en continuant à me caresser les seins. Je laisse reposer mes cuisses sur ses épaules
Je suis terriblement excitée et ma vulve ruisselle de cyprine. Il se met à jouer avec sa langue sur mes lèvres intimes et mon clitoris, m’arrachant des gémissements de plaisir. Je me tiens en appui d’une main sur la table au milieu des bols du petit déjeuner et l’autre main dans ses cheveux, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, je profite de ce moment de bonheur intense. Il me gratifie d’un merveilleux cunilingus, doux, long, passionné comme il sait si bien faire. Sa langue lèche ma vulve, s’insinue entre mes lèvres, fouille l’entrée de mon vagin ; il joue avec mon clito, le pince, l’aspire et le suce. Il boit mon nectar. Je suis parcourue de frissons, le plaisir monte en moi depuis mon ventre, gagne mes seins, ma gorge. Ma tête explose. Je ne peux me retenir de crier ma jouissance. Tant pis pour ce que penseront les voisins. Joël vient de m’offrir mon premier orgasme de la journée.
Il se redresse et entre mes cuisses, tenant son sexe d’une main, frotte son gros gland contre ma chatte et l’introduit d’un coup en moi. Cette pénétration soudaine m’arrache un cri de surprise et de plaisir. Je le sens tellement en moi. Son sexe énorme me distend et frotte contre les parois de mon vagin, son gland cogne tout au fond de mon antre, il est en train de m’atomiser. Il va et vient lentement mais s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses. Son plaisir monte, je le sens, son pénis est tellement gonflé, tellement dur. Avant de jouir en moi, il arrête tout mouvement, me prend dans ses bras, me soulève de la table sans se retirer de mon écrin et s’assoit sur une chaise. Je le chevauche à califourchon, empalée sur lui. Il prend mes seins à pleines mains, les pétrit et les déguste avidement, jouant avec mes tétons gonflés et durs. Je me remet à monter et descendre le long de son arbre, je mouille tellement que nos sexes coulissent parfaitement l’un dans l’autre et déjà un deuxième orgasme monte en moi et ne tarde pas à me submerger tel un tsunami de plaisir. Je ne peux encore me retenir de crier, encore plus fort que la 1ère fois. Là c’est sûr, les voisins ne peuvent plus ignorer ce qui se passe de ce côté de la clôture. Je ne suis déjà plus capable de bouger, je m’appuie contre le torse puissant de mon amant, les bras autour de son cou. je suis juste capable de me serrer contre lui et de l’embrasser. j’ai envie de sa bouche, de ses lèvres, de sa langue.
Joël se relève alors en me soulevant, une main sous mes fesses, l’autre dans mon dos et m’emporte à l’intérieur de la maison. Je m’accroche à son cou et croise mes jambes autour de sa taille. Il m’emmène dans le séjour, me dépose sur le canapé et recommence à me faire l’amour. Il a beau aller et venir en moi avec douceur, son sexe écartèle mon vagin et martèle toujours autant le fond de ma grotte d’amour. Divine sensation dont j’ai perdu l’habitude depuis notre séparation. En appui sur les coussins, bras tendus, il me regarde droit dans les yeux tout en continuant ses allées et venues en moi. Il aime voir sur mon visage et dans mes yeux le plaisir qu’il me procure. Et il m’en procure le salaud et il le sait, car je me mord les lèvres, mes jambes autour de sa taille toujours croisées derrière son dos, mes ongles plantés dans ses omoplates, un nouvel orgasme est en train de me gagner. Cette vision l’excite car il accentue ses coups de reins. Ses lents et doux vas et viens se transforment en de véritables coups de boutoirs de plus en plus puissants. Son sexe cogne de plus en plus fort au fond de mon vagin, ses gémissements se sont transformés en râles gutturaux. Je sens que son plaisir monte mais que cette fois il ne pourra pas se retenir. Et là, il jouit en moi en poussant des cris tel un a****l en rut avant de s’effondrer sur moi. Je sens sa semence chaude remplir mon vagin et le trop plein qui commence à s’écouler en dehors . Je me sens tellement bien que je ne peux m’empêcher de le lui dire :
« Humm … c’est tellement bon … tu fais toujours aussi bien l’amour … tu es merveilleux … »
Il se contente de me regarder en souriant.
« C’est vrai ce que je te dis, tu as toujours été un amant merveilleux … »
« Et cela te manque? »
« Oui … quelquefois je rêve de ce que j’ai connu avec toi … »
« Tu as bien quelqu’un pourtant? »
« Oui …. mais … c’est tellement différent …»
« Tu ne m’as quand même fait venir pour te faire l’amour … »
« Non bien sûr … J’ai besoin de ton aide pour réparer la chasse d’eau …. mais j’espérais bien que nous referions l’amour comme la dernière fois que tu es venu en septembre. »
« Si tu dois m’accueillir comme cela à chaque fois, je veux bien venir te dépanner lorsque tu as un problème !!! »
« Méfie toi … je pourrais bien te prendre aux mots … »

Nous nous levons, je suis obligée d’enfiler une culotte car son sperme s’écoule de ma chatte dès que je bouge. Il se rhabille et effectue la réparation de ma chasse d’eau pendant que je file me doucher. Nous déjeunons ensemble le midi, et nous décidons de passer l’après midi à l’océan. Nous nous rendons sur notre plage favorite. Après nous être garé sur un parking en pleine foret, nous nous enfonçons le long d’une piste cyclable et après 700 ou 800 mètres de marche, nous arrivons au pied de la dune qui nous sépare de l’océan. Un dernier effort et nous voila arrivés. Il y a très peu de monde sur la plage, mais Joël préfère que l’on reste dans la dune. Nous trouvons un endroit isolé, légèrement en creux, à l’abri du vent et des regards. Nous étendons nos serviettes et nous déshabillons entièrement avant de nous allonger l’un contre l’autre. Il fait bon, le soleil chauffe ma peau et nos esprits. Allongée tout contre lui, la tête reposant sur son torse, je contemple son sexe et commence à le caresser. Joël est déjà en érection. Je fais courir mes doigts le long de sa hampe longue et épaisse. Les veines de sont pénis sont turgescentes et dessinent des nervures sur son sexe. Son gland est violacé tellement il est gonflé. Je m’approche pour le prendre en bouche. Je commence par de petits coups de langue sur le gland avant de faire courir ma langue le long de son arbre viril. Joël est aux anges, je l’entend qui gémit doucement. Il a toujours aimé que je lui taille une pipe. Je prend ensuite son gland entre mes lèvres, juste le bout et je le suce doucement, du bout des lèvres en aspirant puis j’enfonce petit à petit ce merveilleux sucre d’orge de plus en plus loin dans ma bouche. Ma langue tourne autour du gland et je le pompe en allant et venant le long de cet arbre. Je lui masse en même temps les couilles, et Joël gémit de plus en plus fort, sa respiration se fait de plus en plus haletante. Il a les yeux fermé et me tient la tête à pleine main. Ses doigts s’accrochent à mes cheveux et m’obligent à pousser plus loin son sexe au fond de ma gorge. Je sens l’orgasme monter en lui. Son sexe semble gonflé et durcir davantage encore et il explose dans ma bouche. Le premier jet est directement au fond de ma gorge, les autres me remplissent la bouche. Je fais de mon mieux, mais j’ai du mal à tout avaler tellement il y a de sperme.
Je m’allonge de nouveau à côté de lui et sans que je lui demande, il commence à me passer de l’huile solaire sur le corps. Il commence par mon ventre puis passe sur ma poitrine en me pétrissant bien les seins et en jouant avec mes mamelons, avant de gagner mes jambes, de remonter vers mes cuisses en s’attardant sur l’intérieur de celles ci et pour finir se met à me masser la vulve. Le contact de ses doigts sur mes lèvres me procurent instantanément un regain de plaisir. Un frisson me parcourt le corps. Je ferme les yeux, remonte les bras au dessus de ma tête en signe de total abandon. Ses doigts caressent doucement mes lèvres, les écartent avec délicatesse, avant de passer sur mon petit bouton déjà gonflé de désir. Je dégouline comme une fontaine, je sens ma cyprine qui coule. Il écarte mes lèvres et enfonce un doigt dans mon vagin tout en continuant à caresser mon clitoris de son autre main. Bientôt un 2ème doigt s’insère en moi. Ils fouillent ma chambre d’amour, entrent et sortent, s’enfoncent plus ou moins et se retirent, déclenchant chez moi un nouvel orgasme qui me fait hurler sans retenue.
Joël vient alors s’assoir sur mon ventre, son sexe entre mes seins. Ils se saisit d’eux à pleines mains, entoure son pénis avec et commence à se masturber ainsi. Mes seins sont justes assez gros pour cet exercice et entoure à peine cet arbre, mais il a toujours adoré se branler entre mes seins. Il regagne très vite en vigueur, son pénis est de nouveau énorme, gonflé et tendu, et lorsqu’il se sent prêt à éjaculer, il se redresse, approche son sexe de mon visage et m’envoie son jet de foutre sur la bouche, le nez ; un 2ème jet atterrit dans mon oeil et dans mes cheveux, et le 3ème dans mon cou. Il me saisit les mains avant que je ne puisse m’essuyer le visage et me force à le sucer pour retirer les dernières gouttes de semence de son gland. Pleinement satisfait, il s’allonge sur sa serviette.
Je suis toute excitée et n’ai aucune envie de m’arrêter là. Je me lève et viens sur lui pour un 69. Je m’assois sur son visage en posant bien ma chatte sur sa bouche et je me penche en avant pour saisir son sexe dans mes mains et ma bouche. Il passe délicatement sa langue sur ma vulve et me caresse les fesses. Il lèche mes lèvres intimes avec délectation, sa langue s’insinue entre elles et fouille mon vagin, s’enfonce aussi loin qu’elle peut en moi. Il titille mon clito et l’aspire doucement, le suce, le pince entre ses lèvres. Le plaisir me gagne de nouveau. Il commence à jouer avec ses doigts puis sa langue sur mon anus, le caresse, l’excite, le lèche. Je ruisselle de nouveau, mon jus coule dans sa bouche, il s’en délecte. Il enfonce son pouce dans mon petit trou et joue avec. L’orgasme me gagne, me submerge, me terrasse. Je jouit en gardant son sexe dans ma bouche. Je lui envoie un jet de cyprine sur le visage avant de m’effondrer sur lui incapable du moindre mouvement.
Il me fait rouler sur ma serviette à côté de lui. Allongée sur le ventre, il vient se positionner sur mes cuisses, un genou de chaque côté de mes hanches, ses pieds entre mes jambes. Il me masse le dos en prenant de l’huile solaire, puis ses mains s’attardent sur mes fesses, les pétrissent fermement, ses doigts recommencent à jouer avec mon anus, et son pénis tendu s’insère dans ma raie. Il verse un peu plus d’huile entre mes fesses, et je sens son gros gland qui vient appuyer à l’entrée de mon petit trou. J’essaie de l’en empêcher, mais je ne peux pas me dégager. Il me bloque au niveau du bassin, et une de ses grosses mains me plaque sur ma serviette en me maintenant au niveau des épaules. J’ai beau le supplier, lui dire que son sexe est trop gros pour moi, que cela me fait trop mal lorsqu’il me sodomise, Il se contente de me répondre de me détendre et de bien respirer. Il appuie de plus en plus fort son gland sur mon anus qui finit par céder sous la pression et laisse entrer son pieu dans mon fondement. J’ai l’impression d’être déchirée. Je pousse un cri de douleur cette fois en sentant son dard s’enfoncer dans mes entrailles jusqu’à la garde. Il reste un moment immobile, son sexe planté dans mon cul. Il me contemple ainsi soumise à son bon vouloir. La douleur diminue et je me calme un peu. Je ressens toute la longueur de son arbre en moi. Il commence un lent va et vient sur toute la longueur de sa bite, se retire ne laissant que son gland dans mon anus , et se renfonce lentement. Mes mains se crispent sur la serviette, mais la douleur a maintenant disparue. Lui profite pleinement de ce moment, il a toujours aimé me pénétrer ainsi, aller et venir très lentement dans mon cul. Chaque centimètre de sa queue qui s’enfonce en moi me fait tressaillir mais je m’habitue et finis par même éprouver un certain plaisir à le sentir coulisser en moi. Son sexe est pourtant énorme, gonflé et tendu au maximum, dur comme un chêne. Son mouvement s’accélère, sa respiration redevient haletante, sa pénétration devient plus rude, Il gémit tel un fauve en rut et jouit en moi en crachant quelques jets de sperme avant de s’effondrer totalement épuisé, seulement capable de m’embrasser dans le cou. Nous nous laissons aller ainsi à un câlin tendre qui contraste avec la bestialité dont il a fait preuve il y a à peine quelques minutes. Je suis bien dans ses bras, serrée contre lui, tellement bien que nous finissons par nous endormir, bercés par le bruit des vagues et enveloppés par la douce chaleur du soleil.

Il est 17H lorsque nous émergeons de notre torpeur. Après un câlin, nous décidons de rentrer. Je m’entoure simplement dans un paréo quasi transparent que je noue autour de mon cou sans rien d’autre en dessous. Arrivés devant chez moi en descendant de voiture, mon voisin est à son portail. Il nous regarde avec un sourire en coin. Il a très bien reconnu Joël, et me toise de haut en bas. A contre jour dans le soleil couchant, le fin tissu de mon paréo ne cache rien de mon anatomie et ce vicieux se régale de la vision que je lui offre. Son regard en dit long. Il doit me prendre pour une belle salope qui fait venir son ex pour baiser avec lui dès que son mec à le dos tourné, et comme il m’a entendu crier au moins 2 fois ce matin, j’imagine aisément ce qu’il doit penser de moi. Il doit fantasmer. Et pourtant loin de me déranger, cette idée que je le fais bander me plait voire même m’excite, au point que je me jette sur Joël et l’embrasse passionnément tout en l’entrainant vers la maison. A peine franchi le seuil de ma porte d’entrée, Joël se jette sur moi, m’embrasse fougueusement, me soulève du sol, me plaque contre le mur et me pénètre sans ménagement. Me voila empalée sur son pieu. Son pénis frotte contre les parois et tape contre le fond de son vagin. Je monte et je descend le long de son arbre, soulevée par ses bras puissants, collée à son torse viril. Je ferme les yeux et rejette ma tête en arrière en gémissant, profitant pleinement de ce moment. Puis il cherche ma bouche et m’embrasse passionnément, sa langue ne veut plus quitter la mienne … je jouis de nouveau en plantant mes ongles dans son dos.
Joël continue à me limer en me faisant coulisser le long de sa tige jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour.
Nous filons nous doucher, Joël se colle à moi et me caresse les seins et le ventre tout en m’embrassant dans le cou. Son sexe est entre mes fesses, et je le sens qui reprend de la vigueur petit à petit. Je ne sais pas comment il fait, mais il bande de nouveau. Il m’entraine dans la chambre, me couche sur le lit un coussin sous les épaules, et vient me chevaucher en 69. Il m’enfonce son pénis dans la bouche et se couche sur moi pour me lécher la chatte. Je suis instantanément excitée. Son sexe est tellement gonflé et tendu, qu’il me déforme la bouche et s’enfonce jusque dans ma gorge. Je parviens néanmoins à le gober entièrement. Lui me lèche et joue avec mon clito, le pince, le suce, l’aspire et me procure un nouvel orgasme d’une puissance incroyable. Je me tord de plaisir sur le lit, mes cris sont atténués par son pieu au fond de ma gorge, mais je jouis encore. Son sexe dans ma gorge, il ressent mon orgasme sur sa queue par mes râles, par mon souffle. Son plaisir atteint son paroxysme, son pénis s’enfonce encore plus profondément. Il continue à me lécher. Le plaisir devient torture pour moi. Mon corps est parcouru de spasmes. J’essaie de me dégager mais rien n’y fait. Son pieu enfoncé dans ma gorge et son étreinte m’empêche de me dégager. Alors, en dernier recours, je lui mord légèrement le sexe à la base. Sa réaction est immédiate, il se retire de ma bouche et je peux enfin me dégager, mais c’est pour me mettre à 4 pattes sur le lit. Je lui offre une vue sur ma chatte et mon cul. J’ai envie qu’il me prenne en levrette. Il est tellement excité, qu’il vient se coller à moi, sa bite est raide, et il me l’enfonce sans ménagement jusqu’à la garde. Il m’att**** par les hanches et me défonce la chatte brutalement. J’ai réveillé le fauve en rut. Il me pilonne le vagin à grands coups de reins en poussant seulement des cris bestiaux. Son gland explose le fond de mon vagin. Je m’accroche au draps et je plonge la tête entre les coussins, les mordant même pour atténuer mes cris de chienne défoncées. J’ai beau lui demander de faire plus doucement, il continue sans se soucier de mes supplications. Je finis même par lâcher des injures, le traiter de salaud, crier des « oh putain », mais cela semble exacerber sa bestialité. Loin de le faire ralentir, le pilonnage s’intensifie encore. Je n’en peux plus, mes jambes ne me soutiennent plus, je m’effondre à plat le ventre, mais lui reste ancré dans grotte d’amour et continue ses vas et vient encore plusieurs minutes avant de jouir en moi et de s’effondrer à son tour.
Epuisés l’un et l’autre, nous nous endormons, repus de sexe.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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