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Eliane 2

Eliane 2



Fred nous a raconté ce week-end qui fut surchargé pour mon pauvre mari. Je lui laisse la parole.
J’étais folle de joie à l’idée de pouvoir diriger selon mon bon gré ton mari. Comme l’avait si bien fait remarquer Jacques, un relookage allait lui faire du bien. Je commençais par les cheveux. Ayant remarqué qu’Eliane avait un petit air d’Eve Angeli, j’allais le lui parfaire. Je l’amenai donc chez le coiffeur qui après un moment d’hésitation devant ma demande, à savoir « faites lui la coupe d’Eve Angeli »attaqua une coupe féminine suivie d’une teinture blonde.
A la sortie du salon, quelques regards se portèrent sur nous, ton mari habillé en homme avec une coupe de fille ne passait pas inaperçu…
L’étape suivante fut chez l’esthéticienne. Claire, une amie à moi, avait été prévenue, et nous fit donc passer directement dans le deuxième salon. Là, à l’abri des regards, elle fit entièrement se déshabiller notre Eliane pour une totale.
Une fois totalement imberbe, elle faisait déjà nettement plus féminine, notre petite esclave. Je sortis d’un sac les vêtements que je lui avais préparés, à savoir un jean moulant taille basse, un string rose, un caraco assorti, un blouson de cuir noir et de charmants escarpins blancs.
Claire compléta l’ensemble par un maquillage faisant ressortir ses yeux verts et dont le rouge à lèvres brillant lui gonflait sensuellement la bouche.
Nous rentrâmes chez moi en traversant la ville, ta petite Eliane habillée en fille. Vu les passants qui se retournaient, elle faisait son petit effet.
Je lui fis savoir que, comme j’attendais des amies, elle allait devoir nous faire le service. Elle dressa ainsi la table, un seau de champagne avec deux bouteilles au milieu de la glace, cinq flûtes et des petits gâteaux.
Tellement fière de posséder « mon » esclave pour le week-end, je voulais le montrer à mes meilleures amies. J’avais donc invité Manuella, Elisabeth et Corinne à passer l’après-midi à la maison. Je leur avais expliqué que j’avais un esclave à ma disposition, et donc à la leur, et le connaissant elles aussi, elles avaient été emballées par cette idée. Le cinquième verre était pour Gilles, mon compagnon de dressage. J’avais estimé qu’une présence masculine était indispensable. Gilles était le seul à part ton amant que je me voyais inviter à ce type de soirée. Ayant pu apprécier le dévouement buccal et anal de ton mari, il avait lui aussi accepté avec joie.
Les trois filles arrivèrent les premières suivies de peu par Gilles. Nous nous installâmes sur les fauteuils et canapé, et Eliane put attaquer son service. C’était un délice de la voir se pencher pour remplir les verres, nous dévoilant son string rose. Gilles ne se privait pas de la tripoter sans vergogne, Eliane se pliant bien volontiers à ces attouchements.
Mes trois copines n’en revenaient pas. L’ayant connu avant sa transformation, elles étaient subjuguées par sa docilité. Elles s’y habituèrent vite, et bientôt les mains féminines se mêlèrent à celle de Gilles sur les fesses d’Eliane.
– Je suis excitée comme une puce, nous révéla Corinne, une noire très bien portant, la doudou du groupe.
– Moi aussi, avoua Manuella, la portugaise.
– Et moi je ne vous en parle même pas, renchérit Elisabeth, ma culotte est toute mouillée.
– Comme les nôtres, lui répondis-je.
– Et bien enlevez-les, rigola Gilles.
C’est dans un fou rire général que nous nous retrouvâmes toutes les quatre cul nul. Nous nous mîmes à quatre pattes, les coudes reposant sur le dossier du canapé, nos fesses bien cambrées, révélant quatre abricots luisants.
– Et maintenant, Eliane va bien nous préparer pour que Gilles nous honore.
Obéissant à mon ordre, Eliane se pencha vers moi et m’écartant doucement les fesses, me lécha la fente.
– N’oublie pas le petit trou non plus !
– Oui, Maîtresse.
Eliane passa plus d’une demi-heure à nous lécher les chattes et les trous du cul, jusqu’à ce que nous fussions inondées toutes les quatre.
– Maintenant, il va s’agir de bien faire bander Gilles !
Eliane se mit à genoux et pendant que Gilles baissait son pantalon de cuir elle attendit docilement. Mes trois copines s’étaient retournées devant ce spectacle inhabituel pour elles, tu parles, ton mari attendant sagement la bite d’un homme ! Un silence gêné s’était instauré. C’est quasi cérémonieusement que Gilles approcha sa bite de la bouche d’Eliane. Bien que connaissant déjà ses qualités de suceuse, il faisait durer le plaisir, prenant son temps pour bien savourer le regard ébahi de nos trois apprenties dominatrices. Eliane avait ouvert la bouche et attendait servilement sa sucette. Gilles lui promena d’abord le gland sur ses lèvres, le lui offrant brièvement pour quelques timides coups de langue, la salive commençant à se répandre sur son gland, puis sur sa hampe. Il lui enfourna finalement entièrement son membre dans le gosier. Eliane le suçait avec application, sa bouche allait et venait le long du cylindre de chair, lequel cylindre enflait et se durcissait de plus en plus. Le spectacle était magnifique, nous étions tous entièrement nus sauf Eliane. Malgré cela elle était incroyablement érotique, agenouillée devant Gilles, son string débordant du jean, tendu lui aussi à craquer.
– C’est bon ! Ca suffit maintenant ! Un peu pour ces demoiselles maintenant !
Et Gilles s’enfonça dans ma chatte qui attendait cela depuis un bon moment déjà. Gilles étant particulièrement endurant, il pu me pilonner de longues minutes avant de passer à mes copines. Il les honora les unes après les autres, passant d’une chatte à l’autre, puis d’un anus à l’autre. Il avait été convenu qu’Eliane nettoierait la chatte ou le trou du cul de celle dans laquelle Gilles se soulagerait. Ce fut le trou du cul de Manuella qui eut cette chance. En bonne portugaise qu’elle était, Manuella avait une forte pilosité, et c’est un cul plein de poils qui reçut toute la semence. Le sperme sortait des plis de l’anus et se perdait dans ses poils. Eliane dut tout nettoyer, avalant goulûment tout le liquide, allant jusqu’à aspirer les poils pour ne pas en perdre une seule goutte. On voyait manifestement que tu l’avais bien dompté, et qu’actuellement elle prenait effectivement goût à ça.
Pour reprendre des forces nous nous fîmes resservir à boire ainsi que des gâteaux. Eliane dut retourner à la cave, les deux bouteilles ayant été entièrement bues. Pour le second service, nous fîmes se déshabiller entièrement Eliane qui ne garda que ses escarpins. Son sexe imberbe et tendu comme un piquet impressionna mes copines. Elisabeth prit même le ruban rose du paquet de gâteaux et le lui noua autour de son sexe, coupant ainsi un peu la circulation, ayant pour effet de le tendre encore plus, faisant ressortir ses veines et le rendant rougeâtre. Eliane s’y plia gracieusement.
– Où sont tes WC, me demanda Corinne ?
L’abus de champagne avait eu cet effet que nos vessies s’étaient retrouvées bien pleines.
– Au fond du couloir à droite, lui répondit Manuella qui avait déjà eu l’occasion de venir à la maison.
– Pourquoi donc ce gâchis alors qu’Eliane est là répliqua Gilles. Ce dernier ayant eu l’occasion de me voir me soulager dans la bouche d’Eliane en avait gardé le souvenir et s’était probablement dit qu’après tout pourquoi lui non plus n’y aurait-il pas eu droit ?
– Ah oui, ah oui, s’esclaffa Elisabeth ravie de l’aubaine, profitons de la bouche d’Eliane !
– Il va falloir répartir les rôles, ajouta Manuella toujours pragmatique, nous n’allons pas pouvoir toutes lui pisser dans la bouche.
– C’est vrai, admit Gilles, que proposes-tu Fred ?
– Comme Elisabeth a l’air d’en avoir tant envie on va lui laisser cette joie, pour ma part je lui pisserai sur la queue.
– Et moi sur le ventre, dit Corinne.
– Moi sur la queue aussi, déclara Manuella.
– Comme nous sommes raisonnables, on peut aussi accorder le privilège de la bouche à Gilles, dis-je.
– C’est ok, me répondirent ils tous en chœur.
Le plus marrant de l’histoire c’est qu’à Eliane, la principale intéressée, personne ne demanda son avis !
Nous fîmes s’installer Eliane dans la baignoire, et je commençai par l’enfourcher et lui asperger la queue de mon urine ; Corinne prit la suite, mais ce fut plus délicat. A cause de son gabarit (elle frisait quand même les 110 kilos) elle eut quelques difficultés, mais elle put s’acquitter de sa tâche, débordant quand même largement de son territoire désigné, Eliane recevant ainsi quelques gouttes jusque dans les yeux. Manuella aspergea à son tour sa queue, qui grâce au ruban (ou alors Eliane était-elle réellement excitée) restait dure comme du bois.
Vint alors le tour plus délicat d’Elisabeth. Elle allait devoir en effet pisser dans la bouche d’Eliane, mais nous n’avions pas défini si elle devait tout avaler ou pas. Elisabeth écarta ses jambes au dessus du visage d’Eliane qui avait la bouche sagement ouverte. Elisabeth fit attention de bien viser, puis elle commença de lui pisser dans la bouche. Eliane recevait l’urine qui lui remplissait la bouche, mais elle en recrachait la plus grande partie. Ce ne furent que les deux dernières gorgées qu’elle se décida à avaler entièrement, certainement apeurée par un châtiment encore pire, s’apercevant de mon regard désapprobateur.
Etait-ce dû à la peur, ou alors Eliane commençait-elle à préférer les hommes, toujours est-il que Gilles put se soulager entièrement dans la bouche d’Eliane qui ne fit aucune difficulté à tout avaler.
Après une bonne douche réparatrice, Eliane vint nous rejoindre dans le salon où Gilles décidément infatigable limait Elisabeth sous nos yeux. Eliane dut bien sûr leur nettoyer à l’une la chatte, à l’autre la bite.
– J’aimerais bien voir Eliane se faire prendre par Gilles, proposa Manuella.
– Ne t’inquiète pas ma chérie, lui répondis-je, il est même prévu que chacune d’entre nous le sodomise aussi. J’ai fait l’acquisition d’un gode ceinture que je me ferai un plaisir de partager avec vous. Sur ce je me dirigeai vers la commode et en sortis un magnifique gode noir aux veines en relief. Un système de sangles permettait de l’installer comme un homme. Je sortis aussi le gode que tu m’avais prêté, Carole, pour ma première séance de domination. Les deux étaient d’une taille conséquente.
– Ainsi nous allons pouvoir nous relayer toutes les quatre. Gilles n’interviendra qu’à la fin, il faut bien le laisser recharger ses batteries, le pauvre chou.
Gilles argua du fait qu’il était encore en pleine forme, mais ce n’était que forfanterie masculine, il était certainement bien content de prendre un peu de repos. Le seul auquel on n’en accorda pas fut évidemment Eliane.
Nous le fîmes s’installer sur le canapé, dans la même position où Gilles nous avait prises peu de temps auparavant. Je m’étais harnachée du premier gode, étant la seule à avoir déjà pratiqué la sodomie active. Corinne s’était précipitamment emparée du deuxième engin, excitée à l’idée de défoncer la rosette de ton mari.
Eliane attendait sagement sur le canapé le cul bien haut et les reins bien cambrés. Cette attitude soumise me faisait trembler sur mes jambes, mais elle ne suffisait pas. J’exigeai de lui qu’il nous supplie de l’enculer.
– S’il vous plait Maîtresses, enculez-moi.
– Sois plus convaincante !
– S’il vous plait Maîtresses enculez-moi comme une salope soumise.
– Pas suffisant !
– S’il vous plait Maîtresses, enculez-moi comme l’esclave de Jacques que je suis devenue, mon Maître a décidé que mon cul devait être ouvert à toutes et à tous, prenez-moi comme une femelle, dilatez bien mon cul pour que Gilles puisse en profiter à son aise.
Là-dessus, je passai derrière lui et lui enfonçai mon membre artificiel. Son cul, malgré la taille de l’engin, ne fit aucune difficulté à l’accueillir. Six bites et un gode l’avaient bien préparé depuis quelques semaines. J’expliquai bien à Corinne comment s’y prendre. Elle n’en perdait pas une miette, pressée qu’elle était d’en profiter à son tour. Je lui laissais enfin la place. Un peu par inexpérience, un peu à cause de son poids, mais un gémissement d’Eliane nous fit comprendre qu’elle lui faisait mal. Comme il avait l’air de s’en accommoder, nous la laissâmes poursuivre. Ses grosses mamelles noires s’écrasaient sur son dos. Son gros cul montait et descendait à un rythme effréné. Heureusement pour Eliane, elle fut vite fatiguée et céda sa place à Manuella.
Elizabeth, pensant qu’il pouvait aussi servir à autre chose, se plaça devant lui, et tout en écartant largement sa cramouille luisante de cyprine, lui intima l’ordre de la lécher. Ton mari se faisait prendre par Manuella tout en léchant la chatte d’Elisabeth. Trouvant le spectacle trop beau pour être perdu, je m’étais saisie du caméscope et filmai ces ébats afin de vous les montrer plus tard.
Elisabeth préféra continuer à se faire lécher, et céda sa place à Gilles, se réservant pour la fin. Ce dernier revigoré par sa pause et excité de nous avoir vues, bandait à mort. Son gros gland connaissait déjà le passage et s’enfonça d’un coup dans les reins de ton mari. Eliane prit même l’initiative d’écarter ses fesses à fond, gagnant ainsi à Gilles cinq bons centimètres. Elisabeth s’était légèrement surélevée, présentant ainsi son cul à lécher à Eliane, tâche dont elle s’acquitta aussi bien que pour sa chatte. Gilles n’étant pas un surhomme, il finit par éjaculer dans le cul d’Eliane, il sortit même sa queue du cul de ton mari nous laissant voir les derniers jets jaillir de sa grosse bite et aller s’écraser sur les fesses d’Eliane.
Elisabeth prit le gode noir et d’une seule poussée le pénétra, le sperme de Gilles faisant office de vaseline.
– Alors salope, tu aimes te faire enculer hein ?
– Oui maîtresse.
– Maîtresse Elisabeth !
– Oui maîtresse Elisabeth.
– Quatre filles qui t’enculent, ça t’excite, hein ? Et un homme en plus ! Je suis sûre que tu préfères même te faire enculer par un homme ! Hein que tu aimes ça !
– Oui maîtresse j’aime ça.
– On va faire de toi un joli petit travesti qui va réclamer la bite.
– Oui maîtresse Elisabeth.
Elisabeth décula et lui fourra ensuite le gode tout baveux du sperme de Gilles à nettoyer. Elle se débarrassa enfin du gode puis innocemment nous dit :
– J’ai envie de faire pipi.
Comprenant immédiatement, Eliane se mit à genoux, la tête en arrière, la bouche ouverte.
Elisabeth lui aboya dessus :
– Et ne fais pas comme tout à l’heure, ce coup-ci tu avales tout !
– Oui maîtresse Elisabeth.
Ayant encore de bonnes réserves dans la vessie, Elisabeth se soulagea longuement dans la bouche de ton mari. Parfois elle s’écartait de la cible et alors sa pisse ruisselait sur le cou d’Eliane et coulait jusqu’à sa bite. Ayant fini, elle exigea encore qu’Eliane lui nettoie profondément son minou. Enfin repue, elle s’en retourna s’asseoir, tandis qu’Eliane regagnait la salle de bains pour sa deuxième douche.
Elisabeth, décidément la plus perverse, réclama que Gilles sodomise à nouveau Eliane. Mais ce pauvre Gilles était complètement vanné et avoua qu’il ne pourrait pas remettre ça. Alors Elisabeth nous parla d’un marocain qu’elle connaissait. Ce dernier, connaissant les fantasmes de notre société, se faisait payer, et moyennant une grosse poignée de billets s’occupait d’épouses délaissées et même de leurs maris si elles le désiraient.
– On n’aura qu’à faire payer Eliane pour se faire enculer !
L’idée nous plaisant à toutes, Elisabeth s’en parti quérir sa bête de sexe.
– Ca va te rappeler des souvenirs, Eliane.
– Oui maîtresse.
– Evidemment ce ne sera pas Abdul, mais je crois que ton maître Jacques a dans l’idée de le faire venir en France pour s’occuper de toi régulièrement.
En attendant l’ami d’Elisabeth, on a préparé Eliane. Après un bon bain, le troisième de la soirée, parfaitement parfumée et coiffée, nous lui avons prêté une mini robe rose ras la touffe, des spartiates noires, un string rouge vif.
Eliane était prévenue, elle allait devoir satisfaire les moindres caprices du marocain, ceci sans limite. Ceci étant bien clair, nous lui avons bien sûr précisé qu’elle allait devoir le payer pour avoir le droit de subir ses caprices.
Elizabeth arriva enfin accompagnée de Rachid.
Eliane fit le service et nous versa une nouvelle coupe de champagne, sauf à Rachid qui but un jus de fruits. Ce dernier détaillait ton mari sous tous les angles et avait l’air d’apprécier ce qu’il voyait.
– Alors c’est toi qui veux passer à la casserole ? Madame Elisabeth m’a dit que je pourrais faire tout ce que je voulais.
– Oui monsieur.
– Alors commence par me montrer ton cul !
Eliane, bien dressée, souleva alors sa robe et se retourna dévoilant ses fesses bien cambrées. Rachid les contempla longuement, l’eau à la bouche, voyant déjà dans sa tête sa grosse queue pénétrer ce si joli cul. Il fit s’approcher Eliane et lui caressa les fesses, puis, brusquement il descendit le string, libérant du même coup le sexe tendu d’Eliane.
– Et bien, tu as l’air d’aimer ça, salope !
– Oui monsieur.
– Alors tu vas encore mieux aimer quand je vais t’enculer !
– Oh oui, je veux que vous m’enculiez bien fort.
– Ne t’en fais pas, pour t’enculer fort, je vais t’enculer fort !
Il lui tripotait les fesses de plus en plus fort, les malaxait, les triturait. Il lui mit un doigt dans le cul sèchement, puis le ressortit aussitôt pour le réintroduire immédiatement, ceci à de nombreuses reprises. Rachid lui donna ensuite son doigt à nettoyer, Eliane le prit dans sa bouche comme une petite bite et le rendit parfaitement net.
– Enlève ta robe !
Eliane s’exécuta immédiatement. Elle avait l’air aussi excitée que Rachid. Décidément, ton mari aimait de plus en plus la bite, et plus spécialement celle des arabes. Rachid se déshabilla à son tour, nous révélant une fois de plus une queue énorme. Il allait falloir m’expliquer un jour pourquoi ils en avaient tous de si grosses !
– Viens goûter un peu maintenant !
Eliane sagement s’approcha, s’agenouilla et prit cette grosse queue dans ses mains. Sa tête se pencha et elle posa délicatement un baiser sur l’énorme gland. Un baiser presque amoureux. On sentait son envie de cette bite immense. Comment avais-tu pu le changer aussi radicalement, lui jadis si hétéro ?
Elle léchait doucement ce membre, enroulant sa langue tout autour, le lapant presque. Elle partait du haut et redescendait doucement tout en tournant autour. Puis elle s’attaqua aux couilles, les prenant l’une après l’autre dans sa bouche, les aspirant, les gobant. Enfin elle prit le membre entièrement en bouche et lui tailla une merveilleuse pipe.
Rachid avait la tête renversée en arrière et savourait le moment, lâchant parfois quelques interjections en arabe, que personne ne comprenait, mais dont on se doutait quand même un peu de la signification. Il prit la tête de ton mari à deux mains et lui inculqua un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, l’étouffant presque. Eliane bandait comme un taureau et appréciait cette pipe à sa juste valeur. Nous étions tous cois, n’osant rien dire pour ne pas rompre le charme du moment. Seule Elisabeth ne se retenant plus avait quitté sa culotte et se caressait sans vergogne, offrant sa cramouille ouverte aux regards lubriques de Rachid qui semblait aimer autant la gent féminine que masculine. Estimant sans doute que la pipe avait assez duré et voulant passer à quelque chose de plus fort, Rachid se dégagea de la bouche d’Eliane et le coucha sur le canapé. Allongée sur le ventre, Eliane attendait. Elle n’attendit pas longtemps, Rachid se plaçant au dessus de son cul, présenta sa bite à l’entrée de ses reins et s’enfonça jusqu’à la garde. Eliane étouffa un gémissement, bien qu’habituée dorénavant à la bite, le calibre de Rachid était quand même bien au-dessus de la norme, et il fallait remonter aux vacances marocaines pour en retrouver d’aussi grosses.
Rachid s’échinait sur le cul de ton mari, sa grosse queue entrait et sortait à une telle cadence que j’avais l’impression qu’il allait le traverser entièrement. Eliane gémissait, les fesses bien ouvertes, heureuse d’être empalée.
– Oui, prenez-moi bien fort, défoncez-moi le cul, je suis votre petite salope.
Eliane y prenait un tel goût, y mettait une telle ferveur, que Rachid ne tarda pas à décharger tout son foutre dans son cul. Il y en avait tellement que ça débordait et faisait des bulles.
– Léche-moi bien la queue maintenant !
– Oui monsieur.
Et Eliane d’avaler ce membre encore dur…

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