Le soir, après le travail, j’appréciais d’aller faire un saut à la piscine de notre nouvelle résidence. En général, ma mère descendait avec moi pour m’accompagner, mais là, je ne l’avais pas vu dans l’appartement, et elle ne m’avait pas laissé de mot ni de message. En regardant par la terrasse, je vis qu’elle était au bord de la piscine, avec un groupe de gens. Je remarquais aussi qu’elle était seins nus.
J’enfilai rapidement un maillot, et je descendais à mon tour dans le jardin pour les rejoindre. A leur hauteur, ma mère leva la main et fit « je vous présente mon fils » avec un grand sourire.
Les regards se tournèrent vers moi, des quinquas, principalement des femmes, mais aussi quelques hommes, dont un assis relativement près de ma mère à mon gout.
C’est à peine s’ils me dirent bonjour, et je leur retournai le compliment en regardant ailleurs.
Je fis quelques longueurs de piscine, puis vint m’assoir à coté de ma mère, qui plaisantait avec une femme assise à coté d’elle, tandis que l’autre homme tentait, je voyais bien, de s’immiscer dans la conversation.
– Maman, on remonte, j’ai des trucs à te montrer.
Ma mère me sourit et me répondit :
– J’arrive dans 5 minutes mon cheri, tu sais que Marie et moi sommes nées dans la même ville, et on est allées dans les mêmes écoles. On a eu des profs en commun.
Je fis un sourire, et remontait à l’appartement.
Ma mère arriva une demi-heure plus tard. Elle avait remis son haut de maillot et un chemisier rose par dessus, et portait son sac de piscine en osier sur l’épaule. Je vins à sa rencontre dans l’entrée.
Elle me fit un petit sourire, restant au niveau de la porte d’entrée où j’avais posé un panier à linge à son attention. Ma mère avait pour consigne d’être nue le plus souvent possible à la maison. Chose qu’elle acceptait, du moins pendant l’été. Et elle avait accepté le principe de ce panier. A chaque fois qu’elle entrait dans l’appartement, elle devait y déposer ses vêtements.
Elle retira son chemisier, ainsi que son haut de maillot, qu’elle déposa dans le panier à linge, puis elle baissa sa culotte de maillot, et s’approcha en me la tendant.
C’était le second code que nous avions mis en place. Elle ne mettait pas sa culotte dans la corbeille, elle devait me la donner directement, en main propre, si j’étais à la maison. Si je n’étais pas là, elle devait me la poser sur mon lit.
Je pris le maillot qu’elle me tendait, je vis de belles traces à l’intérieur, et je passais ma langue dessus, tout en disant à ma mère de rester dans l’entrée face à moi. Elle me refit un petit sourire, auquel je ne répondis pas.
– J’aimerai qu’on clarifie deux ou trois choses maman.
– Attends, il y a un probleme cheri ?
Le visage de ma mère avait changé d’expression, visiblement elle ne comprenait pas trop où je voulais en venir. Ca me semblait évident pourtant, mais bon, d’où la nécessité de clarifier les choses et d’en parler avec elle.
– Tout d’abord… mmmh j’adore le gout de ta chatte… (je lui fis un sourire en léchant fort l’interieur de son maillot à plusieurs reprises). Et puis j’aime ce que l’on vit ensemble. J’ai envi que l’on vive plein de choses ensemble. Mais là, ton comportement…
– explique moi, fit elle.
– Tu m’as dit que tu rentrais dans 5mn, tu as mis une demi-heure. Je ne supporte pas ça. Surtout que je t’avais demandé de remonter avec moi.
– Je discutais avec une voisine, c’est la deuxieme fois que l’on se voit, elle est très sympa, j’ai besoin de me faire des amies… et puis tu as vu, on a plein de choses en commun.
– Je veux bien que tu la vois, mais quand je te dis de rentrer, tu rentres. Compris ?
– heu… bon et bien d’accord, si ca te pose vraiment un problème.
Je croisais les bras face à elle, en la regardant nue, debout au milieu de l’entrée.
– Répète que tu es désolée en te carressant.
Ma mère passa sa main sur sa toison et y glissa ses doigts. Elle commença à jouer un peu avec son clitoris, en disant doucement : « je suis désolée »
Je pris une chaise dans la cuisine, et je revins dans l’entrée, m’assis, et sortit ma queue. Je commençais à me branler dans la culotte du maillot de ma mère, que je tenais toujours en main.
– Continue de te toucher en disant que tu es désolée, je vais te parler d’autre chose. Je t’interdis de bronzer seins nus. On n’avait pas aborder ce sujet, mais maintenant tu le sais. A part moi, personne ne doit te voir nue. Tes seins sont uniquement à moi. C’est bien clair ?
– Je suis désolée… continuait-elle de dire.
– Jouis, connasse, en me disant que tu es désolée.
Ma mère accelera la cadence de ses doigts, en me regardant avec affection. Elle était visiblement désolée. Bon en même temps, je mettais mes règles en place, et elle n’était pas au courant de tout, je pensais qu’elle se douterait quand même que je n’apprécierai pas le topless en public.
– Et il y avait un mec qui essayait de te parler, je préfère que tu restes loin de ce genre de personnage.
– Je… je ne lui ai pas adressé la parole tu sais… j’ai vu qu’il voulait parler, mais je savais que tu n’apprecirai pas…
– C’est bien, ça maman. Finis toi, excuse toi en jouissant. Dis moi quand tu vas être sur le point de venir.
– Oh et bien là je suis toute près, me dit-elle, en continuant de se carresser le clito.
Je m’approchais d’elle, et l’entraina vers le mur. Je la retournais, et colla mon sexe contre ses fesses.
– Je vais t’enculer à sec maman, pour que tu te rappelles bien. et je ne veux plus que tu te touches la chatte. je t’interdis de jouir. tu vas rester proche de la jouissance, sans l’atteindre.
Je la penchais un peu en avant en lui ecartant les fesses de mes deux mains. Je colla mon gland contre son anus et me mis à pousser et à forcer. Ca rentrait doucement, en forçant un peu. Avec de la vaseline, ca serait rentré tout seul, mais là, il y avait une réelle résistance. Une fois le gland rentré péniblement, je me mis à faire de petits allers retours, j’étais un peu bloqué en elle, mais je donnais des coups de reins, réguliers, courts. Et d’un coup, je poussa fort, d’un coup violent. Ma queue glissa au fond de son cul. Elle poussa un cri. Elle eut des sanglots de suite après. Et moi je l’enculais. Ma queue allait et venait, du gland jusqu’à la garde. Je savais que le plaisir n’était qu’à sens unique, mais il fallait qu’elle comprenne. Et sa longue et douloureuse sodomie dura 30mn, le temps de son affront.
Ca dut lui paraitre interminable.
Elle ne poussa que des sanglots et pleura, en s’excusant par moments.
A un moment elle se retourna vers moi avec de la colère sur le visage, mais je me mis du coup à la culbuter si fort qu’elle perdit ce faciès rapidement, et se remit à s’excuser.
Je plongeais alors ma queue dans sa chatte en lui prenant les seins dans les mains.
– J’ai envi que tu ne sois rien qu’à moi, tu comprends ca, maman ?
– Oui mon cheri, me dit elle, tandis que j’éjaculais au fond de sa chatte.
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