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La croisière maudite — 1

La croisière maudite — 1



La momie du docteur Sparnacus

Suivant le conseil de Pierrette, la tante de ma femme, j’avais décidé d’offrir une croisière à ma belle Bombe rousse comme voyage de noces. Comme on n’est pas du genre à se faire doré au soleil sous les cocotiers je lui avais offert d’aller visiter l’Angleterre puis la France et le nord de l’Europe. Ma belle avait sauté de joie, mais à condition de commencer par aller voir les ruines d’une citée médiéval viking au Groenland m’avait-elle dit.

Ça c’était du Marie Lemieux tout cracher. Tout ce qui était mystérieux, différent, original l’attirait et moi, je ne pensais qu’à lui faire plaisir et puis… ça m’intéressait aussi de toute façon. J’avais lu qu’à l’époque les Vikings avaient offert au pape d’échanger un ours polaire contre un évêque. Pas croyable ! Leur colonie avait prospéré là-bas pendant une centaine d’années avant de disparaître mystérieusement. Famine ou exode, probablement les deux.

Bref on c’était embarqué juste avant Noël, sur un bateau de croisière et de marchandise, le N.M. Mirambeau, un navire offrant une multitude de services a ces passagers, disait le dépliant publicitaire que m’avait remis l’agence de voyages, telle que : cafétéria, salle à manger, cinéma, jardin d’enfants, cabines spacieuses, salle d’entraînement et spectacles.

10 jours de croisière en partance de Montréal pour le pays des ours polaires et des icebergs avec des arrêts dans différentes îles dont Terre-Neuve pour y embarquer de la marchandise puis le Groenland, y fêter la Noël en passant et dans un hôtel de glace cinq étoiles en plus. Pourquoi pas !
Un voyage vers le Groenland qui aurait été impossible 10 ans plutôt a ce temps si de l’année, m’avait expliqué l’agent de voyage, mais avec le réchauffement de la planète vous savez…

Nous voila donc en train de voguer sur l’atlantique nord, mais le beau temps n’était pas au rendez-vous évidemment. Il y avait une forte houle et de la pluie depuis notre départ, alors on restait confiner a l’intérieur, mais heureusement le navire tenait bien la mer et ne tanguait pas trop, ni moi ni marie n’avions le mal de mer.

Mais là, Popa était perdu, tous les couloirs de ce maudit bateau se ressemblaient et en plus ils étaient déserts. Comme nous étions en fin de saison, il n’y avait qu’une centaine de passagers à bords au lieu des 500 qu’il pouvait accommoder, donc les membres d’équipage avaient été réduits au strict minimum. En fait c’était plus un navire de transport de marchandises qu’un bateau de croisière et plus très jeune en plus. Rien à voir avec ces paquebots géants et ultras modernes qui sillonne les mers de nos jours.

Je ne rencontrai personne, un vrai vaisseau fantôme, en plus, les plans pour s’y retrouver avaient tous été enlevés aujourd’hui, Dieu seul sait pourquoi.

30 minutes plus tard, je finis enfin par retrouver notre cabine. Marie était installer confortablement au lit en pyjama de garçon comme d’habitude et lisait, ses petites lunettes de lecture pendant sur le bout de son joli nez un peut busquer. Mais elle faisait partit de ses rares personnes qui pouvait lire aussi bien a l’envers qu’a l’endroit et la, elle tenait son livre a l’envers, ça m’énervait. Et j’avais pris pour habitude de dire dans ces cas la :

— Marie a l’endroit.

Elle tourna le livre sans cesser de lire, comme si de rien était. Pour moi c’était incompressible. Je me laisser tomber dans un confortable fauteuil dans le coin salon de notre petite suite. Une grande fenêtre donnait sur une mer grise et houleuse sur un fond de ciel gris et la nuit s’installait tout doucement.

— Pis le film ? Me demanda-t-elle distraitement ?
— Tu ne le croiras pas !
— Essaye toujours.
— Le Titanic, celui de Cameron.

Elle se contenta de sourire.

— Mais, rajoutai-je, une chose est certaine, c’est que nous on a assez de canot de sauvetage pour tout le monde je viens de les compter.

Un autre petit sourire toujours plongé dans la lecture du tout dernier roman d’un de ses auteurs préférer, Serge Brusello. Marie était une mordue de film et de livre d’horreur, moi, ça m’ennuyait au possible.

— T’aurais du souper avec nous Paul, me lança-t-elle sans levez le nez de son bouquin, le capitaine est vraiment charment. Il nous a raconté des choses incroyables à propos de ce navire qui datte des années 60 et…
— Ça m’ennuie déjà !
— Tes trop rancunier.
— Quoi, je voulais juste conduire le bateau quelque minutes ce matin. J’ai mon permis de conducteur et puis il n’y a pas trop trop d’embouteillage au large de Terre-Neuve en plein atlantique nord.
— On dit tenir la barre et les passagers n’on pas le droit de le faire et tu le sais très bien, question d’assurance et puis ses un système électronique qui gouverne depuis qu’ils on fait rénover ce navire. Au fait, y parais qu’il y a une momie à bord.
— Une momie ?
— Hum, la momie du docteur Sparnacus.
— Il porte un nom de momie en tout cas.
— J’aimerais bien aller la voir ce soir.
— Encore quelque chose qui est interdit j’imagine ?
— Oui et en plus, personne ne sait où elle est.

La, je plisser les yeux intriguer en ravalant une envie de rire avant de rajouter :

— elle se promène minou ?

Petit sourire de ma belle tandis que j’enlevais mes chaussures avec un plaisir intense pour m’asseoir en indien et me masser les pieds.

— Ben non idiot ! Elle est dans une des cales avec de la marchandise qu’ils ont montée a bord a Terre-Neuve pour l’Angleterre, mais le commandant ne sait pas ou, ces un peut le bordel en bas y parait. Ils ont embarqué beaucoup de choses à la dernière minute. Mais j’aimerais bien aller y jeter un coup d’oeil.
— De un ; on n’a sûrement pas le droit de se promener en bas, de deux ; elle doit être dans une caisse solidement fermer ou un conteneur sceller, de trois ; elle doit être en dessous de plein de choses y compris de la surface de la mer et s’il y a une petite fuite… Je ne sais pas nager mon amour.

Elle daigna enfin me jeter un coup d’oeil en se redressant et calant un gros oreiller contre ses reins. Ses seins libres roulèrent sous le pyjama ce qui me fit saliver aussitôt et elle avait de jolies petites ouates entre les orteils.

— Écoute ça ces fascinants. Dit-elle tout énerver en posant le livre sur ses cuisses : des pirates ont dévalisé plusieurs ports le long de la cote chilienne dans les années 30 et aussi plusieurs navires, dont un qui provenait de St-Bernardo. Là-bas il y avait a l’époque un musée replie d’artefacts datant de la conquête espagnole, mais d’autre aussi provenant d’une grande flotte britannique qui avait coulé dans le port lors d’une violente tempête vers les années 1840. Des navires marchands entre autres et dans la cale de l’un deux ils avaient trouver un mystérieux sarcophage de cuivre que le British Muséum réclama aussitôt. Ils l’on donc embarqué sur un le premier navire en partance pour l’Angleterre, mais les pirates s’en sont emparé. D’après ce qu’a raconté leur capitaine aux autorités chilienne après leur capture, ils auraient embarqué le sarcophage pour vendre le cuivre et ils n’avaient pas encore essayé de l’ouvrir. Enfin bref, on la transborder sur un autre navire en partance pour l’Angleterre, mais il a coulé au large de terre-neuve au dessus du grand banc après une escale dans le Maine. Mais l’an dernier l’épave a été retrouver et…

— Et la, ils viennent de la monter a bord et ont le ramène en Angleterre finalement et les deux navires qui l’on transporter on couler et on joue le Titanic au cinéma. OK ! C’est rassurant.
— Et oui et d’après les recherches de différent historien, ce sarcophage contiendrait la momie du docteur Sparnacus.

— Mais pourquoi un sarcophage en cuivre ?

— Les sarcophages de cuivre repoussé étaient courent a une certaine époque pour la noblesse on s’entant et dans toute l’Europe jusqu’au tsar de Russie. Certains étaient de vrai oeuvre d’art fait par des maîtres ferronnier et couvert de d****ries ; feuilles, chardons, flambeaux, sablier ailé, ange ou démon… Mais pour celui du docteur il y aurait plutôt des cartouches gravés dessus, comme les cartouches égyptiens, des genres de symboles, mais que personne n’as encore réussit a traduire. Il aurait inventer son propre langage pour protéger ses travaux comme beaucoup d’autres l’on fait avant lui. C’est fascinant non ? Dit-elle survolter.

Marie était comme ça, une passionnée. Dieu que je l’aimais ma grande rousse. Elle sourit en enlevant ses lunettes pour m’annoncer :

— On vas le voir Paul, ce sarcophage, on doit filmer ça pour notre émission !

Elle avait des étincelles dans les yeux.

— Je viens de marcher un bon 20 kilomètres pour conter les canots de sauvetage et pour retrouver la maudite cabine et mes petits os sont gelés. Et si on nous surprend en bas ?
— Bof ! Le commandant me faisait les yeux doux.
— Pourquoi ça ne m’étonne pas. Pis pourquoi ne lui demandes-tu pas la permission ?
— Je l’ai fait, mais comme je le pensais il a refusé malgré mes beaux sourires et ma robe de soirée très échancrer. Les assurances ne veulent pas que des passagers aillent en bas pour des raisons évidentes ; le vole, les accidents et… Bref, va prendre un bon bain chaud pour réchauffer tes petits os, on prend un bon verre de vin et on y va…
— OK ! OK ! Mais qu’est-ce qui t’attire autant chez ce sarcophage qui doit être clos, on ne va quand même pas l’ouvrir avec une barre à clous. On vie dans un musée ma grande tu sais comme moi que ces objets la sont très précieux, surtout et sûrement quelque chose qui s’en vas au British Muséum et qu’il attende depuis un siècle ou deux. Musée qu’il faut absolument visiter en passant hum !

Elle se contenta de sourire.

— T’as envie qu’on se fasse arrêter par les douaniers anglais pour viol de sépulture, ou plutôt de sarcophage ? Rajoutai-je. « Marie Lemieux pilleuse de tombe, » WAIS, ça ferait sensation dans les journaux et aux nouvelles.
— On verra une fois en bas.

Quand Marie avait quelque chose en tête… Enfin. Mais l’idée me plaisait, je commençais à m’ennuyer ferme de toute façon. Le cinéma ne passait en général que des superproductions américaines ou ça s’entre-tuait joyeusement et il n’y avait plus de réception satellite pour la télé depuis trois jours. Le magicien de 77 ans ratait la plus par de ses tours même ses colombes mouraient de vieillesses dans ses fausses poches, la piscine était en rénovation et les autres passagers m’agaçait pour la plupart et on ne les voyait quasiment plus. Il devait rester dans leur cabine à folâtrer ou à se languir du mal de mer. Le premier jour il y avait eu l’inévitable frénésie pour se faire filmer et poser avec la belle Marie Lemieux, mais maintenant c’était le calme plat.

— Va prendre ton bain mon homme et je vais te parler du fascinant docteur. J’ai fait des recherches sur internet aujourd’hui.
— On n’a plus de télé et t’as l’internet, pas moi ?

La je vis ma belle Marie un peut embarrasser, même prit aux dépourvues et ça.. C’était rare.

— Ben… Petit sourire narquois de Marie.
— Ben ?
— Ben, j’ai fait les recherches avant de partir.

Elle ramena ses longs cheveux derrière ses petites oreilles en me fixant amuser et moi je réfléchissais.

— Tu savais qu’on allait embarquer ce sarcophage à Terre-Neuve ?
— Hum, ils en ont parlé aux nouvelles.

Mon petit cerveau me disait qu’il y avait anguille sous roche.

— Laisse moi deviner, ce n’est pas par hasard que ta choisie ce bateau la et ce n’est pas pour le Groenland qu’on est la ?
— Les deux ! Autant joindre l’utile a l’agréable non ! Et puis ne t’inquiète pas pour notre petite sortie clandestine, j’ai un complice à bord.
— Qui ?
— Ah ! Tu verras. Allez file dans le bain mon homme. J’ai acheté un petit quelque chose à porter d’extrêmement léger qui va te faire oublier le mauvais temps quand on va revenir de notre petite excursion.

L’étrange docteur

— C’est qui ? Criai-je du bain en me rasant les jambes.

Bien malgré moi cette histoire de sarcophage et de docteur machin chouette m’intriguait.

— Qui, qui ? Mon complice ?
— Non, t’ont docteur quelle chose, la momie.
— J’arrive ! Cria-t-elle.

Elle entra dans la salle de bain deux minutes plus tard déjà nue pour me rejoindre avec deux coupes en main et une bouteille de bordeaux.

Comme à chaque fois, ou presque, que je vois ma femme nue, je bande. Marie avait 52 ans et paraissait en avoir 40 ; grande et mince, poitrine généreuse, longs cheveux droits et gonfler teint en roux, visage aux joues creuses, lèvres sensuelles, petits yeux rieurs toujours à demi fermer et longue jambe musclée. Mais pas trop.

Elle aurait pu être mannequin, mais avait préféré faire carrière dans le journalisme. Au film du temps, elle était devenue une des personnalités les plus aimées du public autant pour son intelligence que pour son professionnalisme comme journaliste et animatrice de bulletin de nouvelles a la télé nationale, mais aussi pour sa grande beauté. Encore, à son âge, elle était considérée comme l’une des femmes les plus sexy du Québec. À la retraite, elle avait mise sur pied une émission sur le paranormal et l’étrange a laquelle je participais aussi, alors je comprenais fort bien son intérêt pour cette momie.

Mon Gland jaillit hors de l’eau tandis qu’elle s’installait devant moi glissant ses pieds contre mes fesses. Elle remplit les coupes, m’en donna une, déposa la bouteille sur le sol et commença à raconter son histoire de momie en me branlant tout doucement de la main gauche.
Ayant fini de me raser les jambes je m’installer confortablement pour écouter, mais un peut déconcentrer.

— Le docteur Sparnacus était anglais et vivait à la même époque que Napoléon. C’était un érudit, un lettré brillant, fils de nobles familles a qui l’on prédisait un brillant avenir en médecine, mais trop penché sur l’alcool et les jolies femmes il aurait fini par crée beaucoup de scandale en couchant avec des dames marier ou de très jeunes filles et même des garçons pour finalement être répudier par ses proches, accuser de sodomie et excommunier par l’Église anglicane.
— Un joyeux luron.
— Un libertin, bref. Il aurait fui l’Angleterre et beaucoup voyagé dans toute l’Europe, l’Arabie, l’Inde et l’Afrique. Comme il avait un don pour les langues, il aurait même travaillé pour l’armée napoléonienne au moment ou celle-ci était en Égypte se faisant passer pour un médecin et un archéologue français. Puis de retour en Europe il s’intéressa de plus en plus a la magie, la nécromancie, l’alchimie et surtout la fabrication d’automate. Certains sons célèbres et conserver dans des musées. Mais partout où il passait, les scandales le suivaient toujours. Il aurait participé a des messes sataniques, a des orgies mémorables et on disait de lui qu’il avait deux pénis. Des jumeaux parfaitement fonctionnels.

Je cligner des yeux quelques fois.

— Deux bites !

Un cour silence ou Marie me regarda malicieuse. Le floc, floc de sa main dans l’eau me rendait presque fou surtout les vaguelettes que cela provoquait et qui revenait chatouiller mon gland. Un vrai supplice chinois. Et voir ses seins magnifiques me faisait saliver, ceux-ci flottaient entre deux eaux et remuaient doucement.

— WAIS, WAIS, fit-elle en me masturbant toujours lentement, je sais a quoi tu penses.
— Et à quoi je pense ? Demandai-je amuser en sentant mes couilles se contracter sous l’eau tout comme mes orteils contre ses hanches.
— Qu’il pouvait prendre une femme par le vagin et le petit trou en même temps ! Ah, les hommes, tous pareils. Bref, d’autre prétendait que son deuxième pénis était en fait un faut, mais articuler. Un genre de gode si tu préfères, mais mécanique.
— Les piles n’étaient pas inventer a ce que je sache, enfin pas comme on les connaît.
— Non, mais vers la fin de sa vie il s’est spécialisé dans la construction de machine étonnante pour les jeux sexuels et très priser par la bourgeoisie. Il y aurait un codex à l’intérieur du sarcophage contenant les plans de tout ça et autres choses de très précieux.
— Ah, je comprends, mon pénis ne te suffit plus petite coquine.

Elle me fit une jolie grimace avant de s’enfiler une bonne gorgée de bordeaux.

Je fis pareil tandis quelle me regardait avec un étrange sourire, les yeux mis clos en lâchant ma bite pour se retourner, se mettre à genoux bras croiser sur le rebord du bain et rester comme ça en dodelinant du derrière au dessus de ma queue tout en buvant et se réservant. J’admirai et caresser son beau cul tout blanc a moitié sous l’eau et couverte de mousse en enfonçant ma bite dans son vagin bien mouiller. Je déposer ma coupe sur le sol et les mains enfoncer dans ses fesses je guidais ses mouvements tandis quelle s’empalait sur mon membre immerger créant de la houle dans le bain. Heureusement que je n’étais pas sujet au mal de mer.
Son petit tatouage sur la fesse droite sursautait joliment. Sa meilleure amie portait le même au même endroit et pas moyen de leur faire dire à quelle occasion elle s’était fait faire ces tatouages, deux jolies cerises un peu effacer.

— Et comment a t’il fini dans un… ouf… en momie dans un cercueil en cuivre ton bonhomme ?
— Hum… ! Lui et un alchimiste allemand se seraient acoquinés pour rechercher le secret de l’immortatilité à partir de document voler ou acheter un peut partout. Ils auraient fui l’Europe pour s’installer dans une ancienne forteresse espagnole au Mexique. Ils auraient fait tous les deux de nombreuses expéditions en Amérique du Sud pour trouver la fameuse fontaine de jouvence tout en continuant leur expérience. Mais on ne sait pas s’ils ont trouvé quoi que ce soit, mais on dit qu’ils avaient en leur possession une carte.
— Banal comme histoire, glissai-je et la fontaine de jouvence n’est qu’un doux rêve.
— Ben oui monsieur zombie, tout le monde n’as pas une vie mouvementée comme la tienne. Bref, le bon docteur atteint de syphilis se serait fait enfermer encore vivant dans ce sarcophage en cuivre doubler de plomb rempli d’un liquide qui aurait pour propriété de conserver son corps intact et en vie jusqu’a ce qu’on est trouver le moyen de guérir sa maladie et ses dans cette forteresses au Mexique que les Britanniques auraient trouvé le fameux sarcophage la première fois.
— WAIS, banal. Et la tu veux qu’on fouille le sous-sol du navire pour…
— Les cales du navire Paul. Ouf. Cé bon…

Marie se démenait plus fort et la houle commençait à déborder du bain sur le carrelage d’un blanc immaculé.

— Les cales du navire la pointilleuse pour trouver un vieux cercueil dans lequel marine un gars atteint de la syphilis mort noyer la dedans depuis a peut prêt trois siècles.
— WAIS…
— Wow ! Quand je pense qu’il y a des mauvaises langues qui prétendent que je t’ai marié juste pour ton beau cul. Et personne ne la ouvert encore ?
— Apparemment non, le British Muséum a refusé la permission aux chercheurs canadiens. Pis à cause du plomb pas moyen de le radiographier. Même à l’époque dans les années trente le musée refusait qu’on l’ouvre.
— Et pourquoi le British y tient tan a ce sarcophage, ces pas une momie mariner égyptienne ou incas ?

La houle du bain se transformait véritable tempête tropicale, les embruns me faisaient cligner des yeux et pas d’orgasme en vue, ma petite torpille refusait d’exploser.
— C’est. Ah oui. Oui… C’est qu’il contiendra selon des documents découverts en Allemagne pas seulement son corps et un codex, mais aussi… oh oui… oui…

J’avais l’impression d’être sur le Pequod en pleine tempête.

— Et ?

Marie rabaissa son cul soudainement dans un grand splash, la c’est un véritable tsunami qui me submergea. Elle ne bougea plus, mais se tortilla méchamment tandis que je crachais de l’eau.

— Huummmmm…
— Tu jouis ?
— Huummmmm… mmoouuuiiii…
— Elle jouit !

La tempête s’apaisa, Marie laissa s’échapper un long râle toujours immobile puis souleva son beau derrière jusqu’en extirper mon membre et se retourna pour se rassoir face a moi. Les cheveux tout croches, les joues rougies, un drôle de sourire sur ses lèvres un peu pâles et ses seins qui avaient été écrasés contre le bain marquer au rouge. Ils ne flottaient plus, on avait débarqué trop d’eau et celle-ci s’écoulait par un drain au milieu de la pièce en tourbillonnant. On avait un mini maelström de Norvège dans notre salle de bain, sur un bateau.

— Petit Jésus. Souffla-t-elle en ramassant sa coupe pleine d’eau mousseuse, tout comme la mienne.

Elle la laissa tomber dans le bain, moi aussi. Elle prit la bouteille et avala une bonne rasade a même le goulot avant de me la passer, s’essuyant la bouche du revers de la main et dit :

— Tien moussaillon, a la pirate.
— Oui capitaine Marie la rousse l’égorgeuse, terreur des caraïbes.

La j’eus droit a, vraiment, mais vraiment beau sourire a la Marie Lemieux. J’ai le tour pareil avec les filles.
Tandis que je buvais, elle reprit ma bite d’une main et c’était reparti pour le supplice chinois.

— T’a toujours joui aussi vite ma belle ?
— Mais non, ces justes avec toi, voyons. J’ai le tour pareil avec les gars hein ?

Là elle me fit sa petite face de gamine qui vient de faire un mauvais coup.
Ma belle Marie commençait à penser et à parler comme moi et ça me plaisait, mais, surtout, ça m’intriguait.

— Tu parles en dormant Paul, expliqua telle comme si elle lisait dans mes pensées, pas souvent, juste quand tu es très fatigué et tu dis souvent « J’ai le tour hein avec les filles » Prétentieux.
— Oh !
— Hum !
— Bon, pis, il y a quoi d’autre dans le cercueil à marinade ? Ah oui le codex !

Elle rit un moment avant de reprendre la bouteille et une bonne gorgée, ces yeux réduits à deux petites fentes reluisaient de malignité.

— Il y a plus que ça y paraît. Toi qui sais tout Paul je vais te poser une petite question.
— Tu sais que je.. Ou… que je déteste les devinettes.
— Quel est l’objet qui est à tes yeux le plus précieux du monde ?
— Ma bite !
— Réponse de gars niaiseux…
— Je viens minou.
— Hum… oh…

« Cher Passager c’est votre capitaine qui vous parle. Nous passons présentement pratiquement au-dessus de l’endroit où repose l’épave du RMS Titanic. Nous observons toujours une minute de silence à cette occasion en l’honneur des nombreuses victimes de ce triste événement. Merci. »

Je retins mes gémissements en regardant ma petite torpille exploser au dessus de l’atlantique.

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