Maia nous rejoignit donc, Virginie et moi, dans nos petits délires sexuels. Comme elle le disait « C’est clair que je préfère les filles mais une bonne petite bite, c’est pas mal aussi ! » J’étais un peu vexé par le « petite » mais plutôt content qu’elle m’ait choisi pour ses expériences.
Honnêtement, elle ne savait pas bien sucer. Je crois surtout que c’était pour me faire plaisir. ça me touchait. De toutes manières, rien que sa petite bouche ronde, le bout de sa langue qui explorait mon gland et ses grands yeux qui me fixaient, m’excitait à fond !
Elle était à peine majeure comme Virginie. Je ne savais pas où ça nous emmènerai mais je goûtais, en attendant, à cet adorable corps de nymphe qui m’était offert.
La bonne surprise était qu’elle adorait mon sperme. J’aimais me branler entre les seins de Virginie. Maia lui roulait des pelles, titillait ses oreilles, léchait son cou en la doigtant. Dès que je me sentais venir, elle se retournait vers moi et la bouche grande ouverte, me laissait lui gicler dessus, allant des fois à me pomper pour tout recueillir.
J’explorai chaque millimètres de son corps, j’étais fasciné par sa finesse. Ses tétons qui pointaient bien durs sur ses petits seins, le creux des ses aisselles, la peau blanche et ferme de ses 17 ans, son cul plat, ses cuisses un peu maigres.
Tout était petit et mignon chez elle. Elle avait un côté « garçon manqué » qui me faisait bander.
Menue comme elle est, je préférais qu’elle me chevauche quand on baisait. Sa petite chatte serrée aspirant ma bite.
J’aimais voir son corps se cambrer, ses mains s’appuyer sur mes cuisses pendant qu’elle bougeait son bassin avec vigueur . Virginie passait de l’un à l’autre, léchait la sueur de Maia, m’embrassait, suçait mes tétons pendant qu’elle se caressait le clito nerveusement.
Maia rougissait facilement dans l’effort et ses petits cris de jouissance me faisaient tourner la tête
Elle avait maintenant assez confiance pour venir seule. Je pouvais quasiment tout faire avec elle sauf la sodomie.
Elle aimait pourtant que je le lui lèche l’anus. J’avais déjà enfoncé ma langue et ça lui plaisait mais pas autre chose.
Frustré par cet interdit, je ne me lassais pas de lui bouffer le cul. Elle se mettait à genoux, le bassin bien cambré, libre de la manger.
Un jour je n’y tiens plus. Je regardais les plis de son petit trou. Ses poils collés par ma salive.
J’en pouvais plus de désir de l’enculer. Secrètement, je tartinais ma bite de beurre de karité. J’en mettais un bon paquet.
Je la glissais d’abord entre ses fesses. Elle ne se méfia pas, sachant que me branler sur son cul me bottait.
J’appuyais une première fois sur son trou. Elle bougea son bassin pour dire « dégage ! ». ça m’a rendu fou.. Empoignant ses hanches, je l’enculais de moitié.
– Eh ! NON NON NON !!!
– Allez ! Laisse toi faire !
Elle se tortillait comme une diable. ça m’excitait ! Je voyais son petit corps se débattre, elle essayait de me frapper, le visage écrasé dans l’oreiller. A vouloir se dégager, elle ne réussit qu’a me faire rentrer complètement.
Je perdis pied. Je la pilonnais, claquais ses fesses. Mes mains sur ses hanches l’emprisonnaient. Je criais « T’ES SUR QUE TU VEUX PAS ? T’ES SUR ??? »
Elle gardait les yeux fermés, la bouche ouverte elle respirait rapidement. Ses mains se crispaient aux draps…
J’étais comme un fou. Je pétrissais sa peau, penché sur elle, je mordais son cou, tirais sur ses tétons. Je la fessais, j’appuyais sur son dos pour bien le cambré. Sa peau blanche rougissait de mes caresses brutales.
– T’es sur que tu aimes pas ? ç’est pas bon ça ?
– Non !… Noooonn… Ooooooh…. Arrêtes !
L’empoignant fermement, j’accélérais le rythme. je sentais mon sexe racler ses parois. passant une main sur son clito, je fus surpris de le voir bien mouillé ! « Eh bien ! T’as petite chatte aime ça au moins ! » J’en profitais pour me lubrifier. Je la défonçait encore et encore. Sa tête tapait sur l’oreiller. Elle mordait le drap à pleine bouche. Je l’entendais pousser des gémissements de douleurs
Je jouis enfin. Je sentis mon foutre gicler en elle. Epuisé, je me retirais. La pression retombée je me sentais perdu.
Elle ne bougea pas. Son cul recrachant un peu de mon sperme, elle restait là les yeux fermés, reprenant sa respiration.
Toujours à quatre pattes elle me fixa d’un regard noir.
– C’était violent….
– Euh… je sais… Excuse moi… je sais pas… je voulais pas… Enfin si ! mais….
Elle éclata de rire ! « mmmm… j’ai adoré ça ! mais bon…Aie !… on va s’arrêter là pour aujourd’hui. Tu m’as explosée ! » 🙂
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