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Gangbang à St-Lô avec Sofia

Gangbang à St-Lô avec Sofia



Je suis presque toujours dans un état d’excitation dés que je vois un mec qui me plaît où que je vais sur des sites coquins. Non seulement mes fantasmes sont exacerbés par mes récits et les photos dont je les agrémentes mais aussi par les commentaires que me font un groupe d’amis et les internautes sur les site coquins où je les couches.
Mon mari n’est pas en reste pour développer en moi ces élans orgasmiques car nous jous régulièrement à des jeux de rôles très poussés.
Christian, mon Maître principal me pousse avec Sofia à organiser un gangbang prés de chez-moi à Saint-Lô sous la houlette de Guillaume, instigateur de l’idée. J’ai un peu peur de cette idée et de devoir accepter l’offre dans mon fief.
Je présent les dangers que je risquais en acceptant d’organiser cette festivité. Mais j’ai été dressée pour être obéissante.
C’est donc avec Sofia, souvent ma complice de débauche désormais que je décide d’abandonner mes principes et mes craintes de bourgeoise pour me conformer aux désirs de nos mâles et nous offrir dans un endroit correspondant aux feux qui nous brûle.
Rendez-vous est pris avec Sofia. Nous nous habillons sans équivoque mettant nos appâts en valeurs et montons dans ma voiture.
Sofia me demande :
«  Où veux-tu aller ?  J’ai envie d’un endroit inquiétant et plutôt glauque. »
D’un air mystérieux, masquant mon angoisse, je lui réponds :
« T’en fais pas, vu comment on est habillées et où je t’emmène, on ne va pas s’ennuyer. Nous avons rendez-vous aux fours à chaux désaffectés avec Christian et Guillaume qui ont prévu pour nous certaines réjouissances dont ils ont le secret ! »
En se garant sur le parking, une bande de racailles semblent également se diriger vers le site et ne manque pas de nous remarquer dans les tenues où nous sommes.
Ils ne devaient pas avoir l’habitude de voir deux créatures se perdre dans ces ruines et surtout habillée comme ça.A notre vue, le petit groupe nous siffle et nous lance :
«  Oh, les meufs, c’est vous que Guillaume nous a promis ? »
D’un ton assuré je leurs réponds :
« Qui sait ? Mon amie et moi sommes curieuses de savoir si vous serez à la hauteur des ambitions de nos deux amis ! »
Ils restent sans voix devant mon arrogante provocation. Ne voulant pas perdre la face, l’un d’eux s’approche en se présentant :
«  Ouais, moi c’est hammed, et toi c’est quoi ton blaze ? »
Je suis un peu déstabilisée et Sofia ne fait rien pour m’aider. D’une voix moins affirmée je lui dit :
« Heu.. Moi c’est Michèle et ma copine Sofia. »
Il se retourne vers ses potes et lance :
« Putain ! Elle sont bonnes les deux bourges ! »
Les mecs nous prennent alors le bras pour nous emmener sous les voûte des fours désaffectés. Guillaume et Christian sont déjà là et affichent un large sourire en nous voyant arriver accompagnées d’une telle escorte. Ils sont entourés des blacks qui s’étaient occupés de Sofia en d’autres circonstances. L’un d’eux s’exclame :
« Putain ! Avec autant de mecs à contenter, va falloir qu’elles assument ces salopes ! »
Même si je sais pourquoi nous sommes là, j’ai une boule au ventre qui me fige. Mais Sofia reconnaissant le blacks, lui adresse un clin d’œil et s’approchant de lui provocatrice, elle lui pelote le paquet à travers de son pantalon. Le black pousse un grognement de satisfaction. Puis nous embrassons la petite bande et nos deux amis. Il sont une bonne douzaine.
Pendant que Sofia retourne vers son black et lui caresse ostensiblement la protubérance qui enfle dans son jeans. Hammed me saute quasiment dessus en me plaquant contre le mur de briques en me pressant les seins vigoureusement. Je sens son érection à travers ma robe pousser sur mon pubis. Malgré la surprise, je pousse un gémissement en sentant ma boule au ventre disparaître pour être remplacée par une monter de désir. Hammed m’embrasse fougueusement le coup à m’en faire un suçon tout en faisant sortir mes seins de mon bustier.
Les choses démarrent plus vite que je ne l’aurais voulu, mais tant pis.
Il me retourne et me suce les mamelons maladroitement. Un autre se saisit de ma jupe et la remonte, dévoilant mon mont Venus totalement épilé et à peine dissimulé par un string diaphane. Je suis déjà humide et le beur lance à ses potes :
« La grosse elle mouille déjà ! »
Hammed baisse son pantalon et en exhibant sa bite tendue à l’extrême, il m’ordonne :
« Suce ! Salope ! »
Je me penche pour prendre en bouche son engin et l’autre en profite pour commencer à fouiller ma chatte baveuse offerte en arrachant mon string. Il se saisit ensuite d’une de mes jambes, la soulève et le jeune Arabe me pénètre violemment, m’arrachant un cri de surprise étouffé par la queue que j’ai dans la bouche. Les coups de boutoir qu’il me donne m’électrise. J’adore me faire prendre ainsi avec cette ardeur qui réveille à chaque fois la femelle assoiffée de sexe qui sommeille en moi.
Dans un éclair de lucidité, j’entends les couinements de Sofia qui ne doit pas s’ennuyer non plus de son côté.
La vue de nos corps encore à moitié vêtues, aux prises avec ces zonards en train de nous défoncer contre les murs humides de ces vestiges d’un autre âge est particulièrement excitant pour Guillaume et Christian qui prennent des photos ou de vidéos pour partager sur les réseaux sociaux.
Soudain, Hammed sort de ma bouche en m’enjoignant d’une voix exigeante :
« Met-toi à quatre pattes comme une chienne grosse pute bourgeoise ! »
Docile mais excitée, je me met dans la position alors que le jeune Arabe continue de me bourrer la chatte. Mes seins se balade sous moi de façon très suggestive. Hammed m’enfourche et sans préparation m’encule sans aucun ménagement. J’ouvre grand la bouche sous cette brutale pénétration, mais aucun son ne sort. Un autre en profite pour fourrer son dard dans l’orifice libre pour me l’enfoncer au fond de ma gorge.
Pour ces zonards de banlieue, défoncer une bourge multiplie leur plaisir et ils s’en donnent à cœur joie pour nous faire couiner. Tout à mon plaisir, ravie par l’outrage que me font subir mes violeurs, je ne m’occupe pas des affres de ma copine. Le spectacle qui s’offre à nos deux compères doit être absolument splendide. Deux superbes femmes matures, BCBG, se faisant gangbanguées sous les voûtes ne peut être qu’un spectacle divinement érotique.
Les yeux fermés, je pousse de petits glapissements, étouffés par les verges qui se succèdent dans ma bouche. Les bites qui s’insèrent de force dans ma gorge m’excitent. Je leurs prodigue mes attentions les plus secrètes, enveloppant les glands avec ma langue. Les Arabes éjaculent à tour de rôle. Le trop plein de sperme m’empêche de tout avaler et qu’une partie coule sur ma poitrine. Par des grognements de bêtes, les deux amants qui me bourrent le cul et la chatte éjaculent à leur tour en me laissant allongée à poil sur la terre battue des ruines.
Sofia a bien mangé aussi et nous nous blottissons l’une contre l’autre pour nous cajoler pendant que Christian et Guillaume offrent des bières à nos assaillants leurs laissant ainsi le temps de recharger leurs accus pour que notre fête continue. Au bout d’une petite demie heure, la sarabande infernale recommence. Les black et les Arabes, en nous insultant, se remettent à nous abuser vigoureusement.
« Sales putes, vous les sentez bien nos grosses queue dans vos culs de pouffiasses bourgeoises ? C’est pas vos pédés de mecs qui vous en mettent autant ! »
« On va vous faire gueuler comme des chiennes grosses bouffeuse de sperme ! »
Après une deuxième rasade de bites et de sperme et plusieurs orgasmes qui nous laissent pantelantes, un des leaders de la bande décide de lever le camp pour rejoindre la cité afin de nous exhiber à leurs potes.
Ils nous laissent à peine le temps de récupérer que nous sommes jeté à poils, poissantes de spermes, sur la banquette arrière d’une voiture. Hammed prend le volant et démarre en trombe, suivi par les autres voitures remplies de racailles surexcités. Christian et Guillaume n’en croient pas leurs yeux et le gangbang Saint-Loi va au de-las de leurs espérances. l’orgie continue sur la banquette arrière durant le voyage.
Pour notre plus grand plaisir, nous sommes forcée de pomper un beur et un black qui s’échange nos bouches tout en étant défoncées par deux autres black.
Quand nous déboulons dans la cité, suivie par des deux autres voitures, c’est un concert de klaxonne qui ameute le quartier de la Dolée. Les lascars des deux voitures suiveuses sortent, excités comme des puces et nous guident vers l’escalier d’un bloc. Toutes la cité semble s’être réunis pour l’occasion. A notre passage, se ne sont que rires gras, sifflements et insultes qui fusent. Un caïd de la cité sort du groupe et nous lance :
« Les deux grosse putes, je crois que la nuit va être longue… On va voir ce qu’elles ont dans le ventre ces vieilles bourges ! »
On nous jette dans une sorte de caves commune où trône quelques vieux sofas et deux matelas à terre. Les bières et l’alcool coule à flot.
Puis, tout va très vite. En moins de 20 secondes, les gars surexcités nous sautent dessus. On peut entendre des commentaires salaces.
« Ouahhh les salopes ! Quelles bonnes putes ! »
« J’aurais jamais cru que des bourges soient aussi salopes ! »
Les bites se bousculent à nos bouches. Des dizaines de mains nous tripotent pendant que des queue nous enfilent en double voir parfois en triple pénétrations. Nos culs et nos chattes ne sont qu’une ouverture béante. Cette expérience imaginée par Guillaume et Christian tourne à une orgie qui les dépasse. Entre horreur et plaisir, nous sommes emportées dans un tourbillon délirant de stupre et de dépravation. Nous ne sommes plus Sofia et Michèle, femme bourgeoises et respectées, mais des garages à bites comme ils savent si bien le dire en éjaculant dans nos corps si gracieusement offert par nos deux amis. Les mecs se relayaient et je crois que toute la cité nous passe dessus. Une fois leurs couilles vidées, ils repartent nous laissant seules avec Christian et Guillaume qui s’empresse de se vider dans nos bouches tant ils sont excité de nous avoir vu nous faire défoncer comme jamais.
Nos jambes ne nous soutiennent plus, nous sommes invoyable et couvertes de sperme. Nous avons mal partout. Mais, au moment où ils veulent nous raccompagner, un vigile surgit en s’exclamant :
« Mais c’est quoi ce bordel !? »
Guillaume lui explique calmement que suite à un défi, nous venons de nous faire troncher. Un sourire malsain apparaît sur le visage ingrat du vigile qui nous traite aussitôt de traînées. Il nous fait mettre à quatre pattes et enfonce sa matraque dans le cul de Sofia d’un coup sec en la faisant tourner dedans. Pendant qu’il m’ordonne de lui lécher ses rangers. Puis il me relève par les cheveux et m’ordonne :
« Ouvre ma braguette et suce moi putain ! »
Il m’embroche la bouche violemment et continue à bourrer brutalement le cul de ma copine avec sa grosse matraque. Dans un ultime coup de rein il se répand au fond de ma gorge en tous traitant de pauvre raclures. Pui il se tire en nous disant :
« Barrez-vous avant que j’appelle les flics ! »
Nos deux amis cette fois nos soutiennent pour aller à la voiture, Sofia, le cul endolori, et moi écœurée d’avoir avalé tant de sperme.
De retour, comme si ça ne suffit pas, avant de nous laver, Christian sugére à Guillaume de nous uriné dessus. C’est l’humiliation et la déchéance total avec cette dernière dégradation.
Douchées, ils nous allongent sur le lit et nous nous endormons l’une contre l’autre dans un sommeille profond.

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