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Julie ou Julien (20)

Julie ou Julien (20)



Une nouvelle journée démarre, mais avec les petites habitudes fraichement installées. En effet, j’émerge de mon sommeil en en étant extirpé par le bout de la bite malicieusement pompée par une bouche gourmande. Je reconnais les talents de Julie. En m’étirant je remarque que le lit est vide à mes côtés. En ouvrant les yeux je ne distingue qu’une seule silhouette sous le drap. Je soulève le drap sous lequel apparait le visage de Julie effectivement qui affiche une pleine sérénité. Toute affairée à son œuvre qu’elle s’applique à réaliser avec tout le savoir-faire qu’elle a acquis. On lit sur ses traits la quiétude qui l’habite. Son regard se lève à la rencontre du mien et là aussi on y lit le bien être. Ma main se pose délicatement sur sa joue, dans une caresse pleine de tendresse. Je la positionne légèrement à l’arrière de sa tête afin d’accompagner ses mouvements.
D’une légère traction je l’invite à libérer ma queue de son antre chaude et de venir vers moi. Dans son mouvement de louve en chaleur qu’elle maitrise à merveille, elle se hisse à ma hauteur, conservant son regard enflammé dans le mien. Toujours de ma main sur sa joue, je guide son visage jusqu’au mien, je la bloque à quelques centimètre. Son souffle est court, je devine ses battements de cœurs rapides et forts. Par jeux et envie, ses lèvres cherches les miennes, sans vraiment se forcer à les atteindre. Je les esquives, jouant avec son envie de m’embrasser, avant de l’attirer subitement à moi et de plonger ma langue dans sa bouche. Sa langue aussi se fait louve dans ma bouche, caressant la mienne d’un mélange d’amour et de passion. Son corps se pose sur le mien, se colle contre, ondule. Sa peau claire est chaude, son corps tout entier transpire du désir qui déborde du moindre des pores de sa peau. Ma queue est massée par de délicats mouvements de son bassin, contre son haine, juste à côté de son micro pénis encagé. Me glissant légèrement vers le bas, je dégage ma queue de son entrecuisse pour la faire pointer contre ce petit trou que je ne me lasse pas d’explorer. Elle comprend mon intention et passant un bras derrière elle, elle se saisit de ma queue et vient la plaquer contre sa chatte anale. Par de petits mouvements de bassin elle me fait entre en elle, centimètres après centimètres jusqu’à ce que j’atteigne ses tréfonds. Cette pénétration s’est faite sans que nos langues ne se quittent réellement, son regard bleu n’a que peu quitté le mien. Lentement elle entame un mouvements de haut en bas, comme si elle cherchait à ressentir le contact de chaque centimètre carré de ma queue contre ses muqueuses. Tout l’art qu’elle maîtrise à présent de contraction de son fondement est mis à l’œuvre pour me prodiguer le maximum de sensation. Je quitte sa bouche et la guide à se redresser et se placer à califourchon sur moi. Ainsi positionnée, la pénétration se fait plus profonde. Toujours dans un rythme lent, les mains posées sur mon torse elle ondule son popotin. Son cul mais aussi tout son corps n’est qu’ondulation sensuelle. A la voir ainsi, il émane d’elle une telle grâce, une telle féminité qu’il est difficile de croire quel est son patrimoine génétique réel… C’est enflammée d’une passion dévorante, mais lente, qu’elle me fait l’amour. Bien loin des baises sauvages que nous avons partagées, que je lui ai imposées, c’est là un moment de plaisir et de passion totalement partagé. Ainsi, nue me chevauchant, pour seul détail rappelant sa masculinité son clito encagé de rose elle va et vient sur moi, me fait entrer au plus profond d’elle pour ensuite me faire presque totalement sortir pour ensuite mieux me ré-engloutir. Plaisir, bien être, passion, plénitude, tant de sentiments se lisent sur son visage alors que les yeux fermés ou plongés dans les miens, les mains sur mon torse ou dernière sa tête ou sur mes cuisses, elle va et vient le long de ma hampe raide.
Alors qu’elle est légèrement basculée en arrière, mains posées sur mes cuisses, je la saisit par son vestige de virilité, empoignant le tout d’une main et, la tirant par-là, je lui imprime le rythme. Je n’hésites pas à tirer plus que de raison, non pas brutalement mais fermement, elle-même joue à résister pour accroitre la tension qui se créer sur ses mini testicules. Son sourire malicieux, espiègle et un poil insolent me prouve que non seulement elle aime jouer à ce petit jeux, mais qu’elle veut également me prouver à quel point elle prête à endurer tous les supplices pour me satisfaire. D’elle-même elle repousse les limites.
Elle a appris à sentir venir mon orgasme, soit par mes réactions générale soit par la tension supplémentaire dans ma queue bouillante, car elle intensifie ses mouvements et ses contractions jusqu’à mon inévitable éjaculation. Là, telle une amazone me chevauchant elle aussi décolle dans une jouissance profonde, accueillant mes jets de spermes en elle pour mieux jouir elle-même, jusqu’à finir par s’effondrer contre mon torse. Nos orgasmes mutuels s’étouffent dans un baiser tout aussi passionné. Ma queue termine de débander toujours logée au fond de l’anus de Julie. Elle finit par se décoller de ma bouche pour se glisser à hauteur de ma bite, et me regardant de bas, ma bite à la main, d’une petite voix suave me dit
– Ce qui passe par mon cul, passe ensuite par ma bouche
Sa phrase se termine au moment où sa langue vient se poser sur mon gland mou. Le grand nettoyage débute alors.
Tandis que Julie me nettoie la queue je tourne la tête vers la porte de la chambre et y voit Isabelle et Sophie qui nous observe tendrement. Je remarque sur les joues d’Isabelle que quelques larmes ont coulées
– Que t’arrive-t ‘il ? pourquoi tu pleures ?
– Vous étiez tellement beaux tous les deux…. vous rendez ma fille heureuse et ça m’a rendu heureuse de vous voir ainsi…
– C’est vrai, renchérit Sophie. Il y avait tellement de passion dans votre baise… Aucun homme ne m’a jamais fait l’amour ainsi et je dois avouer que moi non plus je n’ai jamais fait l’amour à un homme de la sorte… C’était aussi beau qu’excitant, je crois que tout le monde rêverais de vivre un moment de fusion charnelle comme ça.
Baissant la tête je vois Julie me regarder toute souriante, les yeux pétillants
– Bien, trêves de sentimentalisme. La journée s’annonce chargée;
– Maître, votre petit déjeuner est prêt. Maman, Julie et moi sommes déjà lavées et prêtes.
– Très bien, dis-je en me levant. Je passe au WC et vais faire ma toilette. Préparation des tenues pour vous pendant ce temps. Vous avez mangé ?
– Rapidement, me réponds Isabelle. Les tenues des filles sont prêtes, pour moi je ne voulais pas vous déranger.
Je passe entre les filles toujours en partie dans le passage de porte, elles se sont juste assez écartées pour que je sois obligé de les frôler en passant. Je m’arrête à leur hauteur, me tourne vers Sophie, la saisie d’une fesse pour la coller à moi et l’embrasser. Je me retourne vers Isabelle pour faire de même. Elle passe ses bras autour de mon cou pour prolonger notre échange salivaire. Quand nos bouches se séparent elle me murmure un énième merci.
Au WC je constate que Pierre est bien à sa place. A mon arrivée il s’est placé à genoux, bouche ouverte. J’y plonge ma queue pour m’y soulager. Il s’applique à ne pas laisser échapper une goutte. Un surcroit d’assiduité semble-t-il.
– Monsieur, heu, Maître, commence-t-il quand j’ai terminé. vous… je… enfin, le programme me concernant a-t-il changer?
– Non, et je tourne les talons et vais en direction de la salle de bain. Sophie m’interpelle avant que j’y rentre
– Maître, pour vos habits, je peux me rendre chez vous ?
– Oui
Et je file sous une douche très relaxante. Pendant ma douche j’entends Sophie déposer mes habits, que j’enfile en sortant. Je rejoins la salle à manger où mon petit déjeuner est prêt, Isabelle finissant de verser mon café. Les trois se place à genoux a côté de moi le temps que je mange. Le petit déjeuner avalé
– Aller, aux tenues
Les filles se lèvent et se dirigent chacune dans leurs chambre. J’emboite le pas à Sophie pour commencer. Sur son lit, une seule tenue, disposée de sorte à bien présenter le tout. Un haut rouge à très fines bretelles qui je pense doit laisser voir le ventre nu à en juger la longueur. Dessous une jupe en cuir ou imitation, noire, à volant. Aux pieds du lit est déjà préparée une paire de bottes noires, hautes à très hauts talons.
– habilles toi
Sur son corps nu de tout sous-vêtements comme toujours, Sophie enfile sa tenue. Comme je le supposais le haut ne couvre pas totalement son ventre. La jupe est assez courte, conjugué à l’effet volant et aux talons, il n’en faudra pas beaucoup pour que le dessous soit révélé. Les bottes lui arrive juste sous les genoux. Pendant qu’elle s’habille je remarque qu’elle avait aussi préparé son Rosebud
– ça te manque d’être pleine ?
– oui… Mais surtout je sais que vous aimez hihi
Elle termine sa phrase en me tournant le dos et se penchant en avant, jupe relevée, cul tendu. Je lui présente le rosebud à la bouche qu’elle gode, puis vient le lui mettre en place en titillant un peu son clito humide. direction ensuite la chambre de Julie. Là aussi une seule tenue. Julie m’observe, anxieuse de ma réaction. Il s’agit d’une robe au motif camouflage à côté duquel est disposé un ensemble de lingerie composé d’un shorty string en dentelle noire et du soutiens gorge assortit. Au pieds du lit, elle aussi a préparé ses chaussures à savoir une paire de bottine style boots à talons hauts carré et à la semelle aux crampons un peu épais.
– Intéressant comme choix.
Le visage de Julie s’illumine, rassurée
– Ouff… Merci Maître, c’est Sophie qui a choisi pour moi, pour tout vous dire j’étais pas certaine que ça vous plairait. Elle a dit que ça correspondait bien au côté ado que je dois m’approprier… moi j’aurais choisis plus sexy pour vous mais si ça vous plait…
– Oui, elle a eu raison. Habilles toi
Le shorty enfilé a l’avantage de bien plaquer et dissimuler son clito encagé. Il met son cul de rêve en valeur à merveille. Le soutiens gorge est très joli, elle le meuble avec son habituelle fausse poitrine. La robe, une fois enfilée dévoile une légère transparence. Selon la lumière on pourra aisément distinguer sa lingerie dessous. Ses chaussures enfilées, elle gagne en taille du fait des hauts talons. C’est du plus bel effet et effectivement un côté ado rebelle ressort. Sans que je m’en soit aperçu, elle avait glissé son propre rosebud en bouche et me le tend. Je le saisis et elle aussi, penché, robe retroussée et shorty baissé me tend le cul pour être remplie. Je constate quand elle se penche qu’un petit filer de mon sperme s’est écoulé
– Tu ne t’es pas lavée ?
– Non… Je voulais vous garder en moi toute la journée…
– c’est très bien
Et le bijoux rejoint sa place. Pour finir, direction la chambre d’Isabelle, enfin, je peux dorénavant dire ma chambre. L’audace du jour est commune car là aussi Isabelle n’a préparé qu’une tenue. Une robe au fond bleu agrémenté de fleur multicolores. Je lui fais signe de l’enfiler. Sa peau légèrement bronzée et nue accueille la robe. Le haut est un effet croisé de deux bands couvrant sa plantureuse poitrine. A la façon dont elle met sa poitrine en place je devine qu’il y a un balconnet destiné à la maintenir, ou en l’occurrence à la redresser généreusement. En effet, la galbe intérieur de ses seins offre une vision presque vulgaire sur sa poitrine ferme. Arrivant vraiment tout juste sous les fesses, elle aussi devra surveiller ses mouvements si elle ne veut pas exhiber son intimité à tout le monde. Au pied du lit trône une paire d’escarpin que je lui valide d’un signe de la tête. La base est dans une imitation de peau de serpent, le dessus est constitué de lanières. Cet effet a un côté érotique et met en valeur ses orteils et la finesse de ses chevilles. Les talons atteignent à coup sur les 10 ou 12 cm. Sur le lit étaient également disposé sa culotte à double god ainsi que son rosebud.
– Vu la longueur de ta robe, je préfère donner une chance à qui le pourra d’admirer ta croupe nue. Ce sera le rosebud donc. Isabelle se place face au lit et, le dos droit, les jambes exagérément écartées se penche jusqu’à poser les mains sur le lit. Sa robe suit le mouvement et dégage sans effort son cul. Ainsi cambrée, ce cul splendide dont ont hérité Sophie et Julie est un véritable appel à la baise. Je viens me placer derrière elle et du bout du rosebud je viens chatouiller son étoile intime. Excité par sa croupe bandante, j’ouvre ma braguette et extirpe ma bite tendue pour venir la planter dans sa chatte plus qu’humide qui de par la hauteur des talons est juste à la bonne hauteur.
– Han ouiiii lâche-t-elle
Je la saisit par les hanches et tout en la maintenant dans la position qui finalement doit s’avérer un peu inconfortable, mais je la maintien ainsi et remue ma tige en profondeur en elle. Je lubrifie un peu le rosebud avec sa mouille avant de le lui planter dans l’anus tout en enfonçant ma queue profondément en elle. Je place ma main gauche sur ses reins et tout en la chevauchant démarre une série de fessées sur son cul ferme. Bien que pas fortes elles ont pour effet de faire rougir ses fesses et aussi de la faire se contracter autour de ma bite. je la saute ainsi un moment, prenant mon temps et mon pied avant de finir par me répandre en elle, lui déclenchant son orgasme. Julie et Sophie sont dans l’encadrement de porte à nous regarder
– Sophie, tu n’as pas eu ta dose toi aujourd’hui, vient me nettoyer et nettoyer maman.
Sophie se précipite à genoux devant moi pour me nettoyer la queue sur toute sa longueur. Isabelle essaie de changer de position mais je l’en empêche. Quand ma queue est propre je montre la chatte de sa mère à Sophie qu’elle s’empresse d’aspirer pour y téter mon jus tout chaud. Notre affaire réglée, les filles vont finaliser ou retoucher leur maquillage et coiffure tandis que je vais chercher Pierre aux WC.
Je le détache et lui enfile au cou un collier de cuir avec la laisse assortie. Pierre chouine et sanglote, tremblant, me suppliant de revoir mes projets. Ses jérémiades m’agacent, je le met donc au silence à l’aide d’un gagball.
– Ecoutes moi bien ma petite lopette. Inutile de te rebeller. Plus tu te débattra pire ce sera. Comme tu l’as reconnu toi-même, jusqu’à présent tout ce qui t’es arrivé, même si tu ne l’as pas décidé t’a plu. Je crois pas que tu regrettes quoi que ce soit au fond de toi, je me trompes ?
Faute de pouvoir parler, il confirme d’un signe de tête dépité
– Bon, donc crois moi quand je te dis que ce qui t’attends sera tout aussi plaisant à long terme pour toi. Je ne te veux pas de mal, tu devrais le savoir. Tout comme les femmes de ta famille je vais simplement révéler ta personnalité profonde. Tu m’accordera que pour le moment je ne me suis trompé sur aucun de vous ! Soit coopérant alors.
Je sors Pierre de la pièce au moment où les filles arrivent totalement prêtes
– Ho, regardes les Pierre, tu ne les trouve pas magnifique ?
– humhum dit il en approuvant d’un mouvement de tête
– Tu les as déjà vu aussi resplendissante de beauté et de bonheur ?
– Humhum
– Je suis d’accrod, on les baiserais volontiers hein ? haha, j’oubliais moi je les baiserais, toi par contre…. Aller les filles, ne trainez pas, vous avez une carte bancaire à faire surchauffer !
– Maître, m’interrompt Isabelle. Je… j’ai une demande pour laquelle j’aurais besoin de votre confiance. M’accordez-vous un instant avec Pierre, seul à seul ? pas longtemps, et rassurez-vous, mon corps ne sera pas sollicité.
– Tu m’intrigues… Néanmoins OK, je vais te faire confiance. Ne tarde pas.
Saisissant Pierre par la laisses ils se dirigent vers le salon. Le petit moment que ça dure je discute un peu avec Julie et Sophie. Isabelle ne tarde pas à revenir.
– Bien, je dois finir de le préparer, vous filez.
L’une après l’autre elle me dépose un baiser avant de quitter l’appartement. Pour Pierre, peu de choses à faire au final. Je finalise son équipement en lui insérant un plug qui n’a pas trop de difficultés à rentrer tant son cul a été élargi ces derniers jours. En guise de vêtement, je lui fais enfiler un peignoir à Isabelle. C’est un peignoir kimono en matière satiné de belle qualité. Son regard ne perd pas d’interrogativité.
– Tu vois, tu as droit à de la qualité tout de même. Bien tu es prêt on peut y aller
Pierre résiste un peu sur la laisse, la peur est affichée sur son visage alors que je veux l’entrainer vers la porte.
– Ecoute moi, s’il le faut je te trainerais au sol, mais tu n’auras pas raison. Tu as donc le choix, trainé au sol, ou sur tes pieds et on aura vite fait de rejoindre la voiture… A toi de choisir.
Résigné, il se lève, tête baissée. Nous quittons l’appartement, et chance pour lui ne croisons personne. Sur le parking il se précipite vers la porte passager de la voiture.
– Non, tu vas monter dans le coffre, que je lui ouvre.
Quelle ironie pour lui, il va devoir voyager dans le coffre de sa propre belle voiture luxueuse ! Peur de se faire surprendre, il se précipité dans le coffre que je referme sur lui.
Notre destination n’est pas loin, un petit quart d’heure, mais je décide de faire quelques détours pour le plaisir de le trimbaler dans le coffre. De plus nous sommes un peu en avance. Au bout de quarante-cinq minutes nous arrivons à destination. Il s’agit d’anciens bâtiments militaires qui ont été réaffecté au privé. Le complexe en lui-même est grand mais pas immense non plus. Je suis passé de très nombreuses fois devant, ayant appris sa nouvelle activité, rien n’y parait.
Au portail, un interphone auquel je dois m’identifier et communiquer un numéro qui m’avait été communiqué au préalable. Sécurité et discrétion assurée avec cette entrée en plus des très hauts murs qui entourent le domaine. Celui-ci s’ouvre alors à mes yeux, un grand bâtiment principal et plusieurs petits autres. Un petit parc au loin. devant le bâtiment principal, face à la grande porte d’entrée, le balisage me guide vers une aire d’arrivée. La porte, un peu en hauteur est desservie par un grand escalier en haut duquel attendent 3 femmes, dont une à genoux.
Je me gare au pied de l’escalier, les femmes viennent à ma rencontre, celle à genoux se déplaçant à quatre pattes. Je reconnais alors Tania (pour celles et ceux qui suivent ma série d’histoire, c’est chez elle que nous sommes allés avec Julie), je sors de la voiture.
– Tania, quelle surprise, que fais-tu là ?
– coucou mon chou! Ecoute, tu m’as tellement intrigué avec ta petite perle l’autre soir que je me suis demandé quelle autre petit joujou tu as pour m’avoir demander de t’arranger cette affaire. Laisse-moi te présenter Madame Dominique avec qui tu as du échanger pour le RDV
– Ho oui, bonjour, c’est un plaisir de faire votre connaissance, lui dis-je en lui tendant la main pour la saluer.
– Bonjour Jérôme, plaisir partagé. Vous savez, ce n’est pas dans nos habitudes de répondre aux sollicitations de personnes que nous ne connaissons pas. C’est une chance pour vous que Tania et moi nous connaissions très bien et que je lui doit quelque faveurs
– Merci beaucoup, sincèrement. Tania m’a parlé de votre « institution » il y a un moment, et cette opportunité qui s’est présenté à moi m’a fait penser à vous. Si Tania dit vrai, je ne serais pas déçu, et je crois que vous non plus.
– Nous verrons. Bien, où est-ce ?
– Haha, dans le coffre
– Bonne initiative, vous avez bien fait, ouvrez-donc.
J’ouvre le coffre et dévoile Pierre à la vue de Tania et Madame Dominique.
– Hum, moui, à première vue rien d’emballant. Sortez ça de là, me lance Dominique.
– Aller dehors toi, dis-je en tirant sur la laisse de Pierre.
Il s’extirpe tant bien que du coffre et se plante debout devant nous, tout penaud. Aussitôt la main de Madame Dominique décolle et s’écrase sur la face de Pierre.
– Pour quoi tu te prends ? A genoux chose abjecte !
La v******e du coup fait vaciller Pierre qui se laisse choir au sol.
– Bon. AU PIED KADIJA
Aussitôt rapplique la femelle qui se trainait à quatre pattes.
– Ramasse la laisse
Elle se penche et de la bouche se saisie de la laisse. Qu’elle tend vers Dominique.
– Allons, suivez-moi.
Dominique passe devant et sans se préoccuper de qui ou quoi que ce soit traine Pierre au bout de la laisse et nous montons les escaliers. Nous arrivons dans un grand hall désert et prenons sur la droite pour nous engager dans un long couloir. En remontant, le couloir nous passons devant plusieurs pièces aux portes fermées. A bon rythme Dominique traine Pierre derrière elle, qui lui se débrouille pour tenir la cadence sans trop broncher.
– Bien, laissez-moi vous présenter quelques-uns de nos ateliers.
Elle se plante alors au milieu du couloir et me fait face.
– Vous soyez donc les bienvenus dans l’institut de conditionnement Dominique mon cher Jérôme. Comme a dû vous l’expliquer ma tendre Tania, ici nous aidons certaines personnes à franchir les caps que seuls ils ne sont pas capables. Majoritairement nous avons donc des hommes qui n’est sont pas réellement puisqu’ici ils n’en sont à jamais plus. Tout ici est fait pour les conditionner dans leur rôle futur de femelles dociles et obéissantes. Tout d’abord, le mental. Tel que dans cette pièce, que je vous ouvre, nos sujets se voient diffuser diverses vidéos de conditionnement. Comme vous pouvez le voir, ils sont attachés sur ce fauteuil gynécologique. Le masque sur leurs yeux est en fait un écran sur lequel sont diffusées lesdites vidéos. Venez suivez-moi.
Nous entrons dans la pièce où il y a une dizaine de fauteuil dont 4 sont occupés. Solidement harnachés, leurs occupants sont totalement nus, appendice masculin encagé, anus plein.
– Nous enchainons différentes étapes voyez-vous. L’objectif est de conditionner leur corps et leur mental. Par exemple, tandis que nous diffusons des vidéos de fellations, de bites dressées et juteuses, d’éjaculation, de sodomie, le god inséré dans leur anus va les sodomiser de manière agréable et stimulante. Le jeux d’électrode installé dans le god va délicatement stimuler leurs sensations. Tout a pour but de créer et stimuler le plaisir anal qui finira par être leur seul source de jouissance. A contrario, nous enchainons avec des vidéos de couple normaux hommes femmes copulant. Les messages subliminaux diffusés leurs rappel qu’ils n’ont plus ce rang et de plus, les électrodes placées sur le pénis les torture douloureusement. Ainsi leur cerveau fait l’association de la souffrance avec le plaisir hétéro. Le résultat est garanti a presque 100%, plus aucun ne sort d’ici avec une envie de bander ni même de s’accoupler ainsi.
Pierre observe la pièce tout en écoutant Dominique, un peu blême.
– Bien, poursuivons. dans la salle suivante, vous pouvez voir que nous éduquons nos sujets à se déplacer sur talons hauts aussi bien avec élégance ou en mode provocatrice.
Effectivement, sur une estrade se suivent plusieurs personnes, androgyne je dirais faute de pouvoir les classifier. Elles marchent en rang dans des déhanchés chaloupé. A chaque erreur le fouet tombe sur leur fesses.
– Dans cette pièce, leçon de fellations. Tout ce qu’il y a de classique vous me direz, mais l’entrainement à la qualité est primordiale, de même que le travail de l’endurance de la mâchoire. Ici, les sujets doivent sucer pendant une heure d’affilé sans pause. Je vous rassure on dispose du stock d’homme suffisant pour tenir le rythme. Si la qualité se dégrade avec la durée les sujets sont aussitôt corrigés et punis.
– C’est très complet dites-moi. Tania ne m’a pas mentit
– Oui en effet. Mon institut vise la qualité et non pas la quantité. Les sujets qui quitte mon établissement sont irréprochables, je m’y engage. Je ne les rends à leurs propriétaire seulement si j’ai la certitude qu’ils seront infaillibles. Bien, je ne vais pas vous faire visiter l’intégralité des salle d’exercices nous en aurions pour longtemps, néanmoins nous éduquons nos sujets sur les tous plans, tâches ménagères, cuisines, choix vestimentaire et cosmétique, toutes pratiques sexuelles usuelles ou exotique, domestication, poney girl etc etc. A l’issue de leur passage chez nous, mes sujets sont aptes à répondre à quasi toutes les perversions dont peuvent attendre d’eux leur propriétaires.
Nous prenons la suite de Dominique dans le couloir et la suivons jusqu’à rejoindre son bureau. Je m’installe sur un des fauteuils installés en face, au pied duquel elle a fait se mettre à genoux Pierre. Tania s’assied sur le fauteuil à côté de moi, Dominique à sa place. Sa chienne, Kadija, s’est installée à ses pieds. Dominique caresse sa tête comme on le ferait à un chien.
– Madame Dominique, pardonnez cette question peut être idiote, mais puisque vos services de dressages sont gratuits, comment vous financez-vous ?
– Ho, votre question n’est pas idiote mon cher, bien au contraire, c’est là la clef de mon succès. Mon financement je l’ai grâce aux sujets, non pas en finançant leurs dressages mais ce sont les sujets qui me font gagner de l’argent. J’ai, disons un large carnet de contributeurs réguliers, qui ne demande pas mieux que de pouvoir disposer de corps serviles. Cela a un double avantage puisque cela contribue en plus au dressage en même temps que cela me fait gagner de l’argent. Justement, à ce sujet, je reverse même 25% des gains apportés par le sujet à son propriétaire, c’est vous dire !
– Ho, je vois, à ce point.
– Oui oui. Justement, comme vous l’a dit Tania je pense, aujourd’hui sera la première journée de contribution pour votre heu.. chose. La première journée est la plus profitable, les tarifs sont meilleurs pour plusieurs choses. Le manque d’expérience plait souvent, mes contributeurs ont l’impression d’être les premiers vous voyez… Mais aussi, une partie d’entre eux, ou elles, est en recherche d’une chose que je ne peux accorder qu’un court moment dans la vie à venir des sujets. Et c’est ce par quoi va commencer votre chose ce matin. Bien, trêves de bavardages.
Madame Dominique se saisit de son téléphone
– Sabrina, fais venir Laura
Quelques minutes plus tard on toque à la porte, Dominique autorise la personne à rentrer. La porte s’ouvre sur une femme plantureuse. Grande, bien 1m75, rehaussée par ses talons vertigineux qui doivent dépasser les 15 centimètres, vêtue d’une robe rouge minimaliste. Un entrelacement de deux bandes de tissus couvre sa poitrine pulpeuse qui manque de déborder. De même, ce n’est qu’une mince bande qui lui couvre l’entrecuisse. Ses longues jambes fuselées qui semblent fermes et musclées se déplacent avec grâce. Elle entre dans la pièce suivie par trois femelles au sol. Leurs bras et leurs jambes sont repliées et entravées de sortent à ce qu’elles se déplacent sur leurs coudes et genoux. Entièrement nue, elles ont toutes les trois un collier à clou et sur la tête une imitation d’oreilles de chiens. Leurs anus sont remplis par un plug munit d’une queue. Une cage entrave les clito de deux d’entre elles, la troisième étant une femme bio. Elles suivent de près Laura.
Laura se dirige droit vers Madame Dominique face à laquelle elle se place et fait une révérence de salutation.
– Mon cher Jérôme, permettez-moi de vous présenter Laura. Laura voici Monsieur Jérôme qui nous livre son sujet aujourd’hui comme prévu. Laura compte parmi mes plus belles réussites. Elle va s’occuper de l’accueil de votre chose. A ses pieds vous trouverez ses 3 animaux domestiques qui ne la quittent jamais.
Laura se dirige vers moi et comme à Dominique me salue d’une révérence.
– Monsieur, permettez-moi de vous remercier de la confiance que vous accordez à notre institut. Me permettez-vous de disposer de votre sujet afin d’entamer les démarches d’admission ?
– Oui, tu peux.
Laura se saisie de la laisse que je lui tend et, sans ménagement tire Pierre derrière elle. Elle ouvre la cloison amovible que je n’avais pas vraiment remarqué derrière laquelle se trouve un fauteuil type gynécologique. Tirant toujours sèchement sur la laisse
– Viens là toi. Debout.
Pierre se redresse, le visage décomposé, plein de terreur.
– Mignon ton peignoir. Mais faut le retirer.
Ce qu’il exécute. Laura le fait tourner sur lui-même et l’inspecte.
– Bien, port de cage, chatte pleine. T’es pas une novice totale. Je vais te retirer ton bâillon, saches que Madame déteste les cris, aussi si tu t’avise d’émettre le moindre son sans que je t’y ait invité, tu connaitra ta première punition ici. Bien, installe toi dans le fauteuil, jambes dans les étriers.
Pierre, de mouvements lents se place comme demandé. Ses jambes sont solidement sanglées aux étriers, de même que ses bras aux accoudoirs.
– Nous commençons toutes nos admissions par quelques tests et interrogatoires, intervient Dominique. Laura est devenue experte en la matière. Nous allons commencer par une prise de sang pour dépistage. C’est un prérequis pour tous nos sujets mais également pour leurs propriétaires ainsi que nos contributeurs. Aussi, veuillez m’en excuser d’avance, nous vous feront également ce test mon cher.
– Ho pas de problème. Mais, du coup ça va vous ralentir non ?
– Ho, pas du tout ! Le temps a fait que nous avons vu passer de nombreux corps de métier différents dans notre institut, aussi, nous avons pu constituer notre propre labo. Les tests vont être réalisés immédiatement et nous auront leurs résultats sous peu soyez sans craintes.
Laura pendant ce temps s’était déjà occupée de poser le garrot au bras de Pierre et de lui prélever une petit fiole de sang. J’ai droit au même traitement bien que fait avec une montagne d’attention à mon égard. Laura est sortie du bureau avec les échantillons, sûrement pour les remettre à quelqu’un et est aussitôt revenue pour se rapprocher de Pierre. Dénouant son tour de cou, elle fait descendre le haut de sa robe d’une traite, dévoilant une poitrine généreusement resplendissante. Ferme et rond, du fait du contexte je me doute qu’ils soient faux, mais on n’y voit pas là les prothèse mammaires de base ronde et sans vie. Elle se penche entre les jambes de Pierre, caressant son torse de la pointe de ses seins et, d’une main vient se saisir du plug.
– Alors mon chou, tu vas tout me raconter. De toute évidence tu aimes qu’on joue avec ta petite chatte ?
– Heu, oui un peu, lui répond Pierre
– Un peu ? mais dis-moi ce qui te la remplit là c’est pas un peu pour moi. Elle lui retire alors le plug lui laissant le passage grand ouvert
– Ho mais c’est déjà bien souple tout ça. On doit te la travailler souvent, qui s’en occupe ?
– Ma… ma femme, lui répond-il d’une toute petite voie
– Ho, c’est adorable, et c’est tout ? ta femme de défonce à coup de god, pas de bite ?
Tout en lui parlant, elle promène ses doigts sur le bord de son anus élargit. Sa poitrine elle, enserre la queue encagée de Pierre. La massant en douceur.
– Heu, si..
– Si quoi ?
– Si, une bite aussi
– Une ? de qui ?
– de… de mon… maître
– Ho, et tu aimes quand ton maître te baise ?
– ….
Ne répondant pas, Laura lui serre les couilles brutalement
– réponds moi petite chienne, tu aimes te faire baiser par ton maître ?
– Haaaa, oui…
– Oui quoi ?
– Oui j’aime qu’il me baise
– T’aime recevoir son sperme en toi ?
– Oui
– Et en bouche ?
– aussi
– et sinon ton cul a été travaillé par d’autres ?
– Oui, par ma fille, mes filles…
Laura et Dominique se tournent alors vers moi toutes étonnées.
– Que voulez-vous, je leur dit, cette famille est accroc au sexe sous toute ses formes !
S’enchaînent alors tout une série d’autres questions, portant sur ses envies de baise, ses fantasmes, ses taboos etc, tout y passe, c’est une mise à nue complète qui lui est imposée. On toque alors à la porte, d’où apparait une autre femelle en tenue d’infirmière en latex. elle dépose dans une révérence un dossier devant Madame Dominique avant de se retirer, sans un mot.
– Bien, vos résultats sont arrivés et tout est parfait. Nous pouvons passer à la suite. Voici le dossier d’admission, si vous le souhaitez, vous pouvez tout relire, c’est un peu barbant, mais je vous assure qu’il n’y a aucun piège. Aussi, je vous invite à simplement signer.
Ce que je fais. Le dossier est alors apporté à Pierre par Laura qui, lui libérant une main, le fait signer également. L’infirmière toque à nouveau à la porte et arrive avec des coupes de champagnes sur un plateau en argent. Elle se déplace très lentement sur ses hauts talons pour ne pas en renverser. Dominique, Tania et moi sommes servis et un verre est également apporté à Laura pour Pierre. Nous trinquons tous les trois tandis que Laura fait boire le sien à Pierre d’une traite. Nous échangeons sur divers sujet quand nous entendons Pierre gémir dans son coin.
– Ha, ça y est, lance alors Dominique. Mon cher, voulez-vous nous donner la clef de la cage de votre sujet ?
– Bien sûr, tenez
Laura la prend et s’attèle à désencagager Pierre
– Comme il va devoir se montrer en forme dans les heures qui suivent nous lui avons fait boire un dérivé de la pilule bleue magique.
En effet, avant que la cage soit retirée je remarque que la queue de Pierre avait commencé à gonfler. La cage retirée, il est en pleine érection, douloureuse à en juger ses réactions.
– Ce composé va entretenir son érection plusieurs heures tout en ayant pour effet de gonfler légèrement sa taille habituelle tout en la rendant plus sensible aussi. Ce sera douloureux pour le sujet d’être sollicité.
Je vois alors Laura commencer à le masturber du bout des doigts faisant gémir Pierre de douleur.
– Bien, passons à côté voulez-vous ?
Dominique et Tania se lève tandis que Laura s’occupe de détacher Pierre. J’emboite le pas des dames qui quitte le bureau, suivi de Laura et la lopette ainsi que des 3 chiennes au sol, puis nous pénétrons dans un pièce au centre de laquelle est installé un lit équipé de nombreux liens. Des liens pendent également du plafond. Sur le côté des fauteuils sont placés où Dominique nous invite à nous installer.
– Commençons nous allons prendre du retard et je déteste ça, lance Dominique.
Laura va alors ouvrir une porte aussitôt franchie par une dame. Pardon des mots qui vont suivre, mais cette femme, entièrement nue est d’une laideur absolue. Grasse, aux bourrelets qui pendent de partout, une poitrine qui atteint son nombril. Une touffe excessive dépassant de son entre cuisse. Le visage sans charme.
Laura, qui a attaché les poignets de Pierre à un lien pendant du plafond est à présent à genoux devant lui, un tube de crème à la main. Elle a enfilé des gants en latex et verse dans sa main de la pommade qu’elle s’applique alors à étaler sur le sexe dressé de Pierre. Elle enfile alors par-dessus une capote.
– c’est une pommade insensibilisante. Il n’aura ainsi aucun plaisir. Par contre, il va continuer de ressentir l’effet désagréable du traitement qui lui fait gonfler la queue. Double bénéfice en l’occurrence, il va être raide sur demande et donc va pouvoir satisfaire mes contributrices et contributeurs, mais ne gardera que de mauvais souvenir des heures où il va se servir de sa queue. Merveilleux moyen d’ancrer en lui le dégout de cet usage n’est-ce pas ?
La grosse dame vient alors vers Pierre
– salut mon mignon, t’es à croquer toi ! ho c’est pour moi que tu bande dis-moi ? miam ! tu vois je sais que je suis laide, aucun homme ne veut de moi, même pour de l’argent ! mais toi, tu vas me faire jouir mon mignon.
Elle lui att**** alors la queue et commence à le branler puis s’agenouille et se met à le sucer. Sa grosse bouche gobe toute la bite de Pierre. La dame fait alors signe à Laura qui relâche le lien et installe Pierre sur le lit, couché sur le dos, bras et pieds liés aux coins du lit. La dame vient alors le chevaucher et pose sa grosse chatte sur son visage.
– Aller mon mignon, mange-moi la chatte
Du peu qu’on voit le visage de Pierre, c’est le dégout qui l’envahit et il ne semble pas vouloir coopérer. Laura, d’une cravache que je ne l’ai pas vu sortir lui fouette alors les cuisses brutalement. Pierre comprend rapidement et se met alors à bouffer la chatte de la dame. Les gémissements de celle-ci laisse penser qu’il y met enfin du cœur. Au bout d’un moment, elle quitte son visage et vient se placer au-dessus de sa queue, qu’elle se fait pénétrer d’une traite en se laissant tomber de tout son poids pour lui
– Hou que c’est bon… t’es pas bien gros, mais c’est si bon d’avoir une bite dans ma chatte !!
Elle commence alors à le chevaucher, faisant balloter sa graisse dans tous les sens. En se penchant un peu, elle fouette le visage de Pierre avec sa poitrine flasque. Pierre de son côté ne semble prendre aucun plaisir, grimaçant, écœuré. La cavalcade de la grosse dame dure un moment jusqu’à ce qu’elle se retire et demande à Laura de détacher Pierre. Elle s’allonge alors sur le dos
– Viens par-là mon mignon, viens me baiser.
Pierre me lance un regard suppliant auquel je n’apporte aucun intérêt. Laura le remet dans le droit chemin par sa cravache sur le cul. Pierre vient alors planter sa bite dans la chatte poilue et dégoulinante, vraiment la plus horrible qu’il m’est été donné de voir. Ne prenant aucun plaisir il n’y met que peu d’entrain. Encore un fois, Laura le rappel à l’ordre
– Mets-y du cœur ! T’es là pour donner du plaisir, ou pour souffrir ??
Pierre s’active un peu plus, allant et venant dans la chatte de la dame. Elle le plaque contre lui et lui mange la bouche dans un baiser sans passion. Elle le force à lui bouffer les seins. Un long moment plus tard elle finit par partir dans son orgasme criant comme un cochon qu’on égorge son plaisir. Repue, elle repousse la lopette et guide sa tête vers sa chatte
– Nettoies moi bien maintenant.
Avec écœurement Pierre passe sa langue dans cette chatte immonde, dans les poils dans les bourrelets pour nettoyer la dame. Quand c’est terminé, Laura le tire en arrière, permettant à la dame de quitter la pièce.
– Vous voyez mon cher, c’est ainsi que je finance mon institut. Cette dame, à la fortune aussi épaisse que sa couche de graisse est une fidèle utilisatrice de mes sujets. Elle se montre très généreuse, tout comme les prochaines personnes qui vont suivre.
Sur ces mots la porte s’ouvre et apparait une très vielle dame, sans grand charme. Un scénario plus ou moins identique se met en marche.
– Mon cher, que diriez-vous de vous mettre à l’aise pour la suite du spectacle . Riri fifi et loulou vont un peu s’occuper de vous.
J’en déduis qu’il s’agit des noms des trois femelles car à leurs noms elle se mettent à tirer la langue de joie et à remuer le derrière. Alors que je me lève pour me déshabiller, Tania elle aussi se lève et m’aide à quitter mes vêtements.
– Dis-moi, me dit-elle, cette lopette là, ça serait pas le père de la petite poule que tu m’a amené l’autre soir des fois ?
– Si tout à fait
– Ben mon cochon, tu t’amuses bien on dirait. Donc le père les filles
– Et la mère !
– ha ben la boucle est bouclée.
Tout en discutant elle me massait la queue, finissant de me faire bander complètement
– Aller, installe toi, et profites. Tu verras, les sessions d’accueil sont faites pour fidéliser les propriétaires !
A peine assis dans le fauteuil, jambes écartées et queue tendues, une des femelles s’approche de moi. Je remarque qu’à son collier pend une médaille avec marqué Riri. Faute de pouvoir se servir de ses membres entravés, elle plonge de sa bouche sur ma queue et me l’engouffre, en gorge profonde directement. Mon gland vient directement buter au fond de sa gorge. A mes côté, je constate que Tania a relevé sa robe et déballé sa queue qu’une autre femelle, Fifi d’après le collier, s’empresse de venir lui gober.
Cette pipe, sauvage, profonde est particulière. Dans cette bouche, dans cette gorge je pourrais croire être au fond d’une chatte ou d’un anus tant elle est douée pour me masser de sa bouche. Alors que ma queue est cajolée, la troisième, la femelle bio, Loulou, vient vers nous et en jappant, grognant, passe de l’un à l’autre pour quémander sa part de bites. Elle finit par mordre Riri pour l’écarter de moi et venir me dévorer la queue.
Pendant ce temps la vielle a terminé son affaire et une autre femme, pas plus attirante entre et ça redémarre.
Sur ma queue, les bouches changes, Tania et moi profitons pleinement de leur talent. Elle sont également douée dans le fait de ne pas nous faire venir, entretenant avec talent nos érections mutuelles. Je remarque alors que Madame Dominique observe nos queues avec un soupçon de gourmandise dans le regard. Elle me lance alors
– Vous pouvez les baiser si vous voulez. Soyez sans crainte mon cher, tout comme vous, elles sont dépistées régulièrement, vous pouvez y aller sans capote et vous déverser en elles sans problèmes. Et ne vous donner pas la peine d’avoir des manières, ce sont des animaux de baise rien d’autre.
Je prends au mot Dominique et, prenant Riri par les cheveux, je lui plaque le visage par terre, la forçant ainsi à tendre sa croupe. D’instinct sans doute, elle se retourne aussitôt et me tends clairement sa croupe pour être saillie. Sans ménagement je plonge ma bite dans son cul qui, sûrement à force de longs entrainements ne présente pas la moindre résistance. Sans ménagements je lui laboure les entrailles et constate que Tania en fait à présent de même à Fifi. Loulou est venue derrière moi et me mange entre les fesses ainsi que les couilles, un délice. Je décide donc de gouter à ses trous à elle. Je déculle Riri et tirant brutalement Loulou à moi je plonge dans sa chatte béante et trempée. Ces femelles sont sans tabous et totalement chaudasses, elles mouilles autant du cul que de la chatte. Je bourre donc Loulou un moment alors que Tania elle est en train de jouir au fond du cul de Fifi. Riri aussitôt se précipite et va cueillir le sperme dans le cul de Fifi. De mon côté, j’alterne entre le cul et la chatte de Loulou tout en constatant qu’une nouvelle femme est en train de se faire baiser par Pierre. Toujours sans plaisir, il agit telle une machine et pistonne sans passion ni plaisir sa partenaire imposée qui n’est toujours pas très attirante…
Je finis à mon tour par arriver à bout et c’est dans la chatte de Loulou que je lâche ma purée épaisse. A ma surprise, Tania empêche les deux autres femelles de se jeter sur la chatte et c’est elle qui va bouffer la chatte de Loulou pour y cueillir mon sperme qu’elle m’exhibe avant de se lever et de le partager dans un baiser passionné avec Dominique. Leurs baiser terminé
– j’ai moi aussi droit à une petite sucrerie de temps en temps non ?
– ho mais grand bien vous fasse
Bon, je crois que c’est la dernière femme de ce matin.
En effet, au passage de porte celle qui sort croise un homme. La cinquantaine, grassouillet, presque plus de cheveux et de grosses lunettes qui pendent sur son nez, une petite bite tendue qui pendouille.
– Vous voyez, je dois gérer les calibres aussi. Sinon, si ce généreux contributeurs passait après d’autres, le pauvre n’aurait pas la chance de trouver son plaisir !
Pierre a été place à quatre patte et le p’tit bonhomme vient lui présenter la bite en bouche. Pierre, qui ne cherche plus trop à comprendre je crois la prends en bouche et mécaniquement suce le bonhomme. Il se retire et vient se placer derrière la lopette qu’il encule d’une traite. Sa petite bite doit tout de même être un peu perdue dans le cul de Pierre qui a déjà bien été élargi. En quelques courtes minutes, le bonhomme gicle dans le cul de Pierre. Laura fait alors coucher Pierre sur le dos et le bonhomme vient s’empaler sur la queue de Pierre.
– Ha tiens, ça c’est sa première, je crois pas qu’il ait déjà enculé un homme
– Ho, il aura d’autre premières !
Le bonhomme s’encule gaiement sur la queue de Pierre jusqu’à gicler quelques gouttes sur le torse de la lopette. Le p’tit rondouillard se barre assez rapidement, un peu honteux, sans un mot. Tandis qu’une autre coupe m’est servie, un autre type arrive et sans plus de préliminaires retourne la lopette et lui met la queue au fond. Il le pistonne comme une locomotive, décharge et part. Nous bavardons avec Tania et Dominique tandis que les hommes défilent et se vident tous dans ou sur la lopette. Pierre affiche un air dépité et épuisé mais résigné. Le calibre des types augmentent au fur et à mesure, jusqu’à ce que ce soit un grand black baraqué qui arrive. Sa queue encore au repos fait déjà peur à voir tellement elle est grosse.
– Voilà, c’est le dernier de la matinée, dit Dominique. Vous comprendrez que des messieurs comme lui ne trouve pas aisément des partenaires car ils effraient, comme cette chose semble à présent terrorisée ! et de même je n’aurais pas pu le faire passer en premier auquel cas les autres auraient eu l’impression de circuler sur une autoroute.
Le type présente sa queue à la lopette qui au fur et à mesure qu’elle grossit a du mal à en faire le tour avec la main. Alors sa bouche, vous pensez, arrive à peine a acceuillir le gland rouge vif. Lorsque le gars vient se placer derrière Pierre qu’il a retourné à quatre pattes, Laura se précipite pour tout de même mieux lui lubrifier le conduit
– On veut pas abîmer la marchandise, lance Dominique dans un éclat de rire
Une fois le conduit graissé, le black pointe son gland contre le cul de Pierre et pousse en douceur. Lui aussi semble ne pas vouloir casser son joujou. Petit à petit, et au prix de grosses grimaces de la lopette, la queue s’engouffre dans le cul de Pierre. Le type lui laisse le temps de s’habituer avant de commencer à bouger, lentement et progressivement augmente la cadence. Il y va franchement à partir du moment où la lopette commence à gémir de plaisir, la bouche grande ouverte d’exaltation. Le ramonage démarre alors sérieusement et c’est au son des couilles du black tapant le cul de Pierre et des gémissements de Pierre que la baise s’enflamme. Il le bourre ainsi un bon quart d’heure avant de se lâcher tout au fond, faisant jouir Pierre par la même occasion.
Les couilles vidées le gars sort comme les autres. Laura s’approche alors de Pierre et, à l’aide d’une seringue qu’elle lui insère va récupérer toutes les semences au fond de son cul. La seringue de bonne capacité en ressort pleine d’un liquide épais et opaque. Saisissant Pierre par la mâchoire, elle lui fait ouvrir la bouche et lui fait ingérer le tout. La lopette me surprend car il semble déguster. Laura s’occupe ensuite de lui retirer sa capote qui s’avère pleine
– Ben dis donc, on dirait que tu as pris ton pied
D’une petite voie, le regard vers le sol, Pierre me réponds
– Je… oui… j’ai beaucoup aimé… Le dernier était… énorme, mais c’était vraiment bon…
Aussitôt, une gifle de Laura s’écrase sur sa joue
– Tu oublis de remercier ton maitre pauvre merde !
– Pardonnez-moi, merci mon Maître, vous êtes bon avec moi… Et vous aviez raison, je dois vous faire confiance car vous ne faites que chercher mon bien, et vous savez mieux que moi ce qui est bon pour moi…
– Laura, emmenez-moi ça au toilettage. Mon cher Jérôme, Tania, allons déjeuner voulez-vous ?
Je réalise alors qu’il est midi passé, cela fait plus de deux heures que nous sommes là dont la plus grande partie que Pierre est baisé.
– Avec plaisir.
Je commence à me pencher pour prendre mes habits.
– Ne vous ennuyez pas avec cela, vous pouvez rester à l’aise ainsi ici. Il ne m’est jamais désagréable de pouvoir voir un homme réel nu à ma table. Je vois tant de pseudo mâle sans personnalité que lorsqu’un homme avec votre charisme est à ma portée…. N’y voyez pas de mépris de ma part, vous n’êtes certes pas le plus bel homme sur terre, mais le magnétisme qui se dégage de vous a quelque chose d’attirant. Je suppose que c’est en partie cela qui vous a permis de prendre le dessus de cette chose entre autre, et je suis persuadé que c’est ce à quoi a succombé Tania, je la connais trop bien.
– Allons Dominique, tu sais bien que je ne refuse que rarement un mâle mignon à croquer hahaha
– Aller mes amis, allons déjeuner.
A la suite de Dominique nous arpentons de nouveau les couloirs, où nous croisons plusieurs femelles dans des tenues des plus aguichantes. Certaines sont clairement des novices à en juger le manque d’aisance sur leurs talons. La plupart sont tenues en laisse, par des hommes, souvent plusieurs au bout de la même laisse. Lorsque nous les croisons, elles sont nombreuses à reluquer ma queue avec gourmandise. Le conditionnement mental a du bon haha !
Nous arrivons dans une salle à manger d’assez grande taille, aménagée avec gout et style. Trois couverts sont disposés et 4 femelles, en tenues de soubrettes patientent. Elles tirent nos chaises pour nous aider à nous assoir et, une fois installés, deux d’entre elle disparaissent sous la table et ma queue est directement gobée. Juste une bouche, baveuse et pompeuse, une langue joueuse mais pas de mains, me stimulent la bite. Le sourire qui s’affiche sur le visage de Tania me laisse deviner qu’elle aussi a droit au même traitement. Les deux autres servantes s’occupent du service, c’est un repas de qualité, accompagné de bons vins qui nous est servi. La discussion durant le repas est des plus agréable, les sujets tellement divers mais très intéressants et pas forcément en lien avec l’institut. La bouche qui s’occupe de ma queue est d’une expertise redoutable. Le plaisir continu qui m’est subtilement prodigué est d’une incroyable précision. A aucun moment je n’ai eu à retenir ma jouissance, tout étant piloté par la femelle sous la table. Elle ajuste d’elle-même son traitement en étant attentive à mes réactions, sans me mener à la frustration de l’éjaculation ruinée mais non plus sans me laisser débander une seule seconde. Le repas touchant à sa fin, Dominique nous invite à rejoindre son bureau à nouveau.
Nous repassons par les couloirs où circulent toujours de jolies femelles. Je ne me dissimule pas à les regarder avec gourmandise, ce que Dominique ne manque pas de remarquer.
– Monsieur est gourmand de toute évidence hihi.
Arrivés dans le bureau, la pièce annexe notamment a été rangée, le lit refait au propre. Dominique se plante devant Tania et moi qui nous tenons côte à côte et sans plus de palabres nous saisit la bite.
– Je suis également gourmande voyez-vous, ce n’est pas pour rien que j’ai créé cette institut. Il est rare que je m’offre ainsi, mais ça fait un moment que je n’ai pas vu Tania, et vous me stimulez de par votre charisme et votre intellect.
Nous menant par la baguette, elle nous approche du lit. Là, délicatement, elle ouvre la veste de tailleur qu’elle porte et dévoile un sublime corsage en cuir. Noué de plusieurs ficelles rouges s’entrecroisant, cela lui donne une taille fine et ferme, tout en redressant, par le biais d’un décolleté généreux, une poitrine qui ne manque de rien. Passant ses mains dans le dos, elle ouvre le zip de sa jupe de cuir également qu’elle laisse glisser le long de ses jambes et vient recouvrir ses hauts escarpins noirs. La jupe disparue révèle 8 jarretières retenant des bas noirs de grande qualité. Son entre cuisse n’est couvert que d’un C-String. Pièce de lingerie qu’on a rarement l’occasion de voir qui ne sert au final qu’à dissimuler les parties les plus intimes, maintenu uniquement par le passage d’une bande entre les fesses. Depuis le début de notre rencontre je m’interrogeais sur le fait qu’elle soit femme ou trans, là plus de doute, c’est une femme bio.
Avec des gestes très délicats et raffinés elle plis ses habits qu’elle dispose à l’écart puis revient s’assoir sur le lit face à nous, se saisissant de chaque de nos bites dressées. Par de doux et minutieux mouvements elle nous masturbe faisant re-duricir nos chairs respectives. En jetant un coup d’œil à Tania, je vois sur son visage le plaisir s’exprimer par un large sourire; nos regards ses croisent et elle me lance un petit clin d’œil tandis que je sens la bouche de Dominique me gober la queue. Sa bouche aussi est experte, loin des pipes d’affamées ou de novices, précise et efficace. Sa langue agile sait ou passer pour faire dresser à son maximum ma bite. Vient le tour de Tania qui subit le même traitement et à en juger ses gémissements avec le même plaisir. Nous faisant nous rapprocher, c’est nos deux bites qu’elle gobe ensuite, pas longtemps mais avec délices. Toujours nos bites à la main, elle nous dit
– Mes amis, vous pardonnerez mon côté autoritaire j’en doute pas mais, honorez moi voulez-vous ?
Aussitôt, Tania se jette sur sa bouche, basculant toutes les deux sur le lit. Toujours au bord du lit, Dominique écarte largement les cuisses. Je lui retire le C-String et, la voie étant dégager me jette sur cette chatte vierge de toute pilosité, déjà humide. Ma langue parcours d’abord en surface ses grandes lèvres, lui décrochant un petit frisson avant de délicatement venir les écarter pour en déloger son bouton d’amour. De la pointe de ma langue je viens le stimuler. Frustrée je pense de ne pas être plus contentée Dominique pousse son bassin à la rencontre de ma langue. Joueur moi aussi, j’esquive ses avancée jusqu’à ce que d’une voix suave
– Mais mange-moi bon sang, j’en peux plus !
Ma langue vient alors se planter au fond de son puit d’amour, la faisant se cabrer de plaisir. Je parcours ainsi, de façon appuyée ou plus légère tous les recoins de sa moule juteuse. Je passe mes mains sous ses cuisses afin de lui relever un peu les jambes et ainsi me donner accès a sa petite étoile que je découvre palpitante. Ma langue vient là aussi la cajoler, l’humidifier et l’ouvrir. Leurs bouches ne se sont pas quittées, mais une main de Dominique s’est saisit de la queue raide de Tania. Dominique finit par s’écarter délicatement
– Jérôme mon cher, et si vous bourriez un peu le petit cul de ma douce Tania ?
– C’est toujours un plaisir !
Tania se place alors à quatre pattes, tandis que Dominique se place à côté, lui écartant le cul de ses deux mains. Elle libère un long filet de salive sur l’étoile anale de Tania qu’elle étale et fait pénétrer du bout de son index manucuré. De son autre main elle me saisit le bite et tout en me branlant elle m’attire vers le cul de Tania. Je ne saurais dire si c’est moi qui ait poussé ou si c’est uniquement la main de Dominique qui m’a introduit mais en quelques instant je me suis retrouvé planté au fond de l’anus bouillant d’une Tania gémissant son plaisir. Tout en me massant les couilles Dominique masse la bite tendue de Tania. Elle finit par passer derrière nous et, sa tête entre nos cuisses vient pomper la queue de Tania par dessous. De temps en temps je sens sa langue venir me lécher les couilles ou la bite entre deux allers-retours. Sa langue s’égard et vient même me caresser l’œillet. Se faufilant entre nos jambes, Dominique se retrouve la croupe sous la queue de Tania qui d’une main la guide pour aller investir la chatte gluante de Dominique. Ce sont mes coups de bassins qui font baiser Dominique par Tania. Ou ceux de Tania que me font l’enculer plus profondément alors qu’elle cherche à investir Dominique. Cette chenille à deux queues se fait dans une symphonie de gémissements à laquelle je prends bien sûr part.
Dominique, en tant que chef d’orchestre de cette partie de jambes en l’air finit par se dégager de dessous et se placer derrière moi. Elle me tire hors de l’anus torride de Tania et me pousse, sur le dos, sur le lit. Sans me laisser le temps de m’installer, elle vient me chevaucher et d’une main habille guide ma queue dans sa grotte bouillante.
– Laissez-moi faire mon cher.
Alors, de toute son expertise, part de petits mouvements de bassins et par de précises contractions vaginales elle me baise. Sa chatte est aussi habille que pourrait l’être une bouche et une main. Je ressens la moindre de ses contractions autour de ma queue, de la base au gland. Les mains posées sur mon torse, les yeux mi-clos, Dominique nous fait l’amour d’une façon unique et très sensorielle. Elle indique à Tania qui entretien son érection avec ses mains de s’allonger sur le dos à nos côtés. Elle quitte alors ma queue et passe sur Tania, s’introduisant la sienne. En se cabrant généreusement, ce qui plaque sa poitrine sur le visage de Tania, elle me tend son cul. D’un regard en arrière, elle me fait comprendre son attente. Ni une ni deux, je viens me placer derrière elle et pointe mon gland sur son anus que je trouve étonnamment bien ouvert. Sans avoir à forcer je m’insère en elle, lentement, sentant l’étroitesse causée par la présence de la bite de Tania juste de l’autre côté de cette fine paroi.
– A présent, vous pouvez nous faire jouir toutes les deux
Au son de son dernier mot, elle finit de s’empaler au plus profond sur la queue de Tania, la bloquant par la même de tout mouvements, et faisant accroitre la pression sur ma propre queue. Lorsque je démarre mes mouvements, je sens bien la présence de Tania et elle sent bien la mienne à en juger au sourire que cela lui déclenche. Effectivement, de mes mouvement je vais pouvoir stimuler les deux. Je me lance alors dans un lent va et vient, explorant d’abord avec douceur le moindre espace de cet anus accueillant. Mon rythme s’accélère, ralentit, selon les réactions de chacune. Je veux faire durer ce plaisir commun, mais aussi essayer de nous faire venir tous les trois ensemble. Lorsque les deux semblent aussi proche que moi de la fin, je me lance dans une chevauchée plus vive jusqu’à les entendre gémir puissamment leurs orgasmes, ce qui, en plus des contractions du fondement de Dominique déclenche le mien aussi. Dominique se fait alors arroser les deux conduits simultanément. Je ressens le palpitation de la queue de Tania lorsqu’elle lâche sa sauce. Nous nous effondrons les uns sur les autres, essoufflés. Lorsque je me dégage, Dominique quitte avec une pointe de regret dans le regard la bite de Tania et crie
– LAURAAA !
Laura déboule alors dans la pièce et regarde le doigt pointé de Dominique sur son entrecuisse. Aussitôt, elle se précipite à genoux
– Ho merci Madame ! vous êtes bien trop généreuse avec moi.
Elle plonge alors sa bouche sur la chatte de Dominique pompant le sperme de Tania, nettoyant la chatte de Madame, avant d’en faire autant avec son anus et mon sperme. Le nettoyage de Madame terminé, elle s’occupe avec précision de ma bite puis de celle de Tania.
– Merci Monsieur Jérôme, Merci Madame Tania, être autorisée à boire vos spermes est un véritable honneur pour moi. Madame Dominique, merci à vous de m’accorder l’immense privilège d’entretenir votre vulve.
– Mais dites-moi Dominique, elle est d’une politesse extrême celle-là !
– Oui, je tiens beaucoup à cet aspect disciplinaire dans ma relation avec les sujets. Bien, que diriez-vous d’aller voir où en est la session d’intégration de votre sujet ?
– Avec plaisir, je suis curieux !
Dominique remets sa jupe et sa veste tandis que Tania et moi nous rhabillons également. Comme de coutume, nous prenons la suite de Dominique dans les couloirs. Je n’avais pas remarqué jusqu’alors, mais lorsque des femelles nous croisent, elles baissent le regard face à Dominique.
Notre hôte nous fait rentrer dans une salle que nous n’avions pas vue jusqu’à présent. Dans cette grande pièce sont disposés une vingtaine de lit, dont une bonne douzaine sont occupés, dont celui trônant au centre sur lequel je remarque ma petite lopette.
– Voyez-vous, intervient Dominique, nous cultivons le pluralisme sexuel. De même il est important que nos sujets aient une entente parfaite, cela facilite le quotidien. Aussi, pour toute intégration nous sollicitons nos sujets les plus récents et le faisons copuler. Le sérum que vous avez découvert plus tôt leur est administré et nous les insensibilisons. Voyez votre sujet.
En effet, je remarque que le petit Pierre est chevauché par une femelle qui a la queue de Pierre logée dans son fondement. Une seconde femelle est en train de ramoner l’anus de Pierre. Difficile de savoir d’où, mais la lopette gémit d’un plaisir puissant. Je doute que ce soit de son appendice puisque Dominique dit qu’ils sont insensibilisés. Une troisième femelle s’approche de Pierre et vient coller sa bouche à la sienne et l’embrasse goulument. Pierre lui rend ce baiser passionné, les yeux dans le vague. Cette nouvelle femelle s’écarte et vient loger sa queue dans la bouche de Pierre. Trois femelles sont à présent en train de s’occuper de Pierre qui ne cache plus son plaisir. Sur les autres lits le même scénario ou presque se reproduit, accouplements compulsifs partagés multiples.
– C’est une scène surréaliste Dominique, je suis époustouflé. Vous pouvez être fière de votre institut. Et je suis persuadé que vos sujets autant que leurs propriétaires vous sont reconnaissant
– Merci Jérôme. Oui je ne suis pas peu fière des résultats et de la satisfaction de chacun. Les femelles qui sortent d’ici nous remercient à chaque fois. De plus, d’après le suivit d’après sortit que nous tenons, 99% d’entre elles demeurent femelles au quotidien, et près de 75% entament des démarchent de transition officielle.
– Impressionnantes statistiques !
Sur ces derniers mots, nous sommes coupés par un rugissement bestial de jouissance. C’est Pierre qui sous l’assaut de ses partenaires est submergé par un orgasme puissant. Ses partenaires s’étant écartées, on le voit prit de spasmes, gémissant de tout son cœur le puissant plaisir qui vient de l’envahir.
– Merveilleux, dit Dominique. On a une candidate parfaite ici. Regardez la jouir, c’est splendide. Bien, je pense que nous avons fait le tour, je vous propose de retourner une dernière fois à mon bureau pour les dernières formalités.
– très bien, nous vous suivons
Retour au bureau où Dominique s’installe à sa place.
– Bien, quelques derniers détails. Pour le programme général, je pense que vous en validez le contenu ?
– Oui, tout à fait, j’ai pleine confiance
– Bien. Sujet plus sensible, la transformation physique. Vous l’avez constaté, certains de nos sujets sont plus avancés, notamment du fait de transformations apportées à leur physique. En particulier nous sommes ici équipé pour procéder aux implants mammaires et à certaines opérations de chirurgie esthétique
– Vraiment ?
– Oui, encore une fois, l’avantage de brasser un réseau fidèle de sujets. Et de propriétaires. Bien sûr nous assurerons une hygiène de vie parfaite à votre sujet, activités physiques diverses viendront parfaire sa plastique. Il sera soumis à un traitement hormonal adapté et aura un suivi psychologique avancé. Mais nous pouvons améliorer tout ça. Des retouches au visage par exemple, une modification de la voix, pour de rares cas nous réalisons une castration, mais nous n’allons pas jusqu’au changement de sexe, bien trop lourd. A vous de me dire si vous souhaitez élargir le champs des options.
– Et bien, c’est une bonne question. Il y a le côté financement à aborder bien sûr.
– Comme le reste le tout est auto financé par la mise à disposition de votre sujet. Simplement nous étendons la durée du stage en fonction des options afin d’arriver à un équilibre financier.
– Ho je vois. Et bien, je ne vous cache pas que je lui verrais bien des prothèses mammaires en effet, pour aller au bout du voyage. La voix aussi je suis preneur. Et je pense que des retouche faciales sont envisageables aussi. Pour l’extrême, la castration pour le moment je vous dit non, je préfère entretenir sa frustration haha
– Bien, sur quel

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