Je m’appelle Aurélie, j’ai 20 ans, je vis chez mes parents avec mon frère de 18 ans. Nous sommes assez libres, je me suis fait dépuceler par un homme de l’âge de mon père à 15 ans, j’aime baiser avec des vieux mais, comme ils sont rares, je baise souvent avec des jeunes de mon âge. Je fantasme sur mon frère qui, malgré son jeune âge, a une énorme queue, une fois et demie plus grosse que celles que j’ai connues.
J’amène mes copains à la maison pour baiser, mes parents préfèrent que je fasse cela à la maison plutôt que m’importe où, souvent ils sont plusieurs car j’aime bien avoir plusieurs bites en même temps.
Mon frère, quand à lui, n’amène jamais de copines à la maison, je ne sais pas si il en a une.
Un jour d’été, nous étions au bord de la piscine, papa d’un côté, maman au milieu et mon frère de l’autre sur des transats ; moi, j’étais un peu écartée avec mon copain du moment sur le même transat, nous flirtions, il caressait ma poitrine et, très vite, je retire le haut de mon maillot, il passe sa main dans mon maillot et je sens un doigt dans ma chatte, il me branle devant mes parents et ceux-ci s’en amusent.
Je propose à mon copain de me suivre dans ma chambre pour baiser et, quand mes parents nous voient partir, ils ont un large sourire, ils savent que nous partons baiser.
Ma chambre donne sur la piscine et, comme il faut chaud, la fenêtre est grande ouverte, mon copain veut la fermer, mais je l’en empêche, en lui disant que si nous faisons du bruit, cela ne gênera pas ma famille.
Je m’allonge sur le lit, écartant bien mes jambes, pour qu’il puisse mettre sa tête et sa langue dans ma chatte pour bien la mouiller, puis je prends sa queue dans la bouche pour lui faire une bonne pipe ; je lui demande de me prendre en levrette devant la fenêtre, de telle façon que mes parents me voient baiser. Je me mets à la fenêtre et fait un petit signe à mes parents et mon copain vient derrière moi pour mettre sa queue dans ma chatte, ; alors je la prends et la dirige vers mon cul qui ne demande qu’à être sodomisé.
A mes mouvements et mes gémissements, mes parents et mon frère savent ce que nous sommes en train de faire.
La soirée se passe bien, puisque mon copain est parti et nous nous retrouvons en famille ; le dîner terminé, mon frère gagne sa chambre pour se connecter à Internet, et j’aide maman à faire la vaisselle ; puis elle nous quitte prétextant un peu de fatigue pour aller se coucher.
Je reste donc avec papa et, ensemble, nous regardons la télé ; puis, le film terminé, je veux me coucher à mon tour, laissant papa seul au salon.
En passant près de la chambre de mes parents, j’entends des gémissements et, très intriguée, j’écoute plus attentivement, et je n’ai pas de doute ; ma mère se masturbe et se fait jouir, j’ai moi aussi tous les soirs recours à la masturbation pour m’endormir et je fantasme sur la grosse queue de mon frère.
Pour en avoir le cœur net, sans faire de bruit, j’ouvre la porte et dans l’entrebâillement, je vois ma mère faire l’amour avec mon frère ; je les regarde et passe la main dans ma culotte, cela m’excite et je me branle en les voyant.
Je n’ai pas entendu mon père arriver, et celui-ci me caresse les fesses ; je me retourne, il a un doigt sur la bouche pour me dire de ne pas faire de bruit et, tout en me caressant les fesses, il passe sa main sur ma chatte trempée ; je le laisse faire en retirant ma main. Très vite, il met plusieurs doigts dans ma chatte et moi je le branle sur son pantalon.
Je lui demande s’il savait que mon frère baisait sa mère ; il me répondit qu’il le savait depuis le début et même que c’est lui qui a poussé ma mère à connaître son fils.
En faisant l’amour, elle fantasmait sur la grosseur de la queue de son fils, et elle aurait bien aimé que j’en aie, moi aussi, une très grosse pour la satisfaire ; alors je lui ai proposé d’aller le sucer, ce qu’elle fit sur le champ ; elle attendait mon accord, puis de fil en aiguille, ils ont baisé ensemble, et elle a pris ce gros chibre dans son cul et, comme tous les soirs ils le font, ton frère n’amène jamais de copine à la maison, sa mère lui suffit.
Puis mon père ouvrit la porte en grand, et me poussa à l’intérieur de la chambre, ma mère et mon frère continuèrent à faire l’amour, et papa leur dit « vous avez une spectatrice, mais si j’en crois sa culotte, elle va devenir participante ».
Ma mère me tend la main, papa me déshabille puis je me retrouve dans le lit, j’écarte mes jambes pour que papa puisse accéder à ma chatte avec sa langue, maman m’embrasse à pleine bouche à la recherche de ma langue.
Mon frère s’allonge sur moi, et sans aucune préparation m’enfonce sa grosse tige dans mon ventre, maman ne dit qu’elle n’a jamais connu une aussi grosse queue et que, maintenant, elle ne peut plus s’en passer et que, pour moi, ce sera pareil.
Puis je me mets sur mon frère et, par des va-et-vient de plus en plus rapides, j’arrive à la jouissance, mais papa met sa petite bite dans mon cul.
Mon frère quitte ma chatte alors que papa est toujours dans mon cul, et il mate sa grosse queue dans ma bouche ; maman vient lui lécher les couilles, il m’enfonce sa bite au fond de la gorge et m’envoie son foutre chaud dans mon gosier ; j’avale tout et maman vient m’embrasser pour en récolter un peu.
Presque tous les soirs, nous faisons l’amour à quatre, et quand un copain vient me baiser, comme je reste sur ma faim, je demande à mon frère de me baiser ; je suis comme maman, je ne peux plus m’en passer
Souvent, quand le temps le permet, nous baisons tous les quatre au bord de la piscine, heureusement que nous n’avons pas de voisins proches.
J’aime les grosses queues, et maman me propose de faire cela avec un chien. Ils sont bien montés et très endurants, elle a déjà essayé avec papa et elle en a gardé un bon souvenir, surtout de la grosse boule qu’ils ont à la base du sexe, qui permet de rester collés de longues minutes, et la quantité de sperme qu’ils donnent, mais ceci sera une autre histoire.
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