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Cela faisait deux jours que Katia s’était occupé de moi et j’étais déjà en manque. Mon excitation ne retombait pas. Je devenais accroc à son sexe, son cul mais surtout à elle. Cette façon de m’humilier, quasiment me dresser, me faisait sentir femelle et mon dieu que j’aimais ça !
Heureusement je crois que la satisfaisait puisque je recevais un SMS le soir même :
« Dès que tu sais que tes parents seront barrés mais avec la petit tu me tiens au courant ! ».
C’était à la fois long et la fois court mais je savais que mes parents allait rendre visite à des amis à eux pour tout le week end. Je lui signifiais donc immédiatement et sa réponse fut rapide.
« Bien à la minute où tes parents sont partis, tu me préviens. Quand j’arrive je veux que tu sois rasé entièrement et que m’attendes a poil dans l’entrée à genoux petite pute. Bien compris ? »
Je lui répondis » Oui madame ».
J’ai eu comme réponse : « Si il y a le moindre truc que tu ne respectes pas là-dedans tu vas la regretter pétasse, et ne réponds pas je ne veux pas entendre parler de toi si ce n’est pour me vider les couilles sinon tu ne me sers à rien »
Je me retrouvais seul dans ma chambre en train de bander. C’était pathétique mais tellement véridique sur l’effet qu’elle me procurait.
Plus tard dans la semaine je me rendais vraiment compte de comment elle m’avait transformé. J’avais reçu un sms de ma copine me signifiant la fin de notre relation. Force est de constater que cela ne m’avait absolument pas touché; je répondais d’ailleurs un simple « Ok c’est mieux comme ça ».
En réponse j’ai eu le droit « Je vois que tu tenais vachement à notre relation, quand je pense que j’ai failli avoir des sentiments pour toi, t’es vraiment qu’un gros con ».
Je choisissais de ne pas répondre, au moins j’avais l’esprit tranquille. Les jours suivants me paraissaient interminables, je n’avais qu’une hâte que mes parents s’en aillent.
Le grand jour était enfin arrivé. Le SMS était déjà écrit j’ai simplement cliqué sur le bouton envoyer. Je me précipitais sous la douche pour me passer un dernier coup de rasoir sur tout le corps et pour être parfaitement propre pour Katia.
Je me lavais, me séchait le plus rapidement possible pour attendre derrière la porte à genoux comme elle me l’avait demandé.
Cinq minutes après sans toquer, elle rentrait, refermant très rapidement la porte derrière elle. Sans un mot, elle ouvrait la braguette de son jean, pour fourrer sa queue dans ma bouche. Elle positionnait alors son pied de manière à ce que sont talon écrase ma queue, mettait ses deux mains derrière ma tête et commençait à me baiser la bouche.
Quel soulagement de la retrouver elle, sa queue, ce goût dans ma bouche sans son talon pour écraser ma queue je suis sur que je banderais à cet instant. J’étais frustré de ne pas sentir ses couilles mais je contentais déjà de ça. Au bout de quelques minutes elle finissait par tout lâcher au fond de ma bouche m’obligeant à avaler. Je devais nettoyer sa queue avant qu’elle ne la range.
« Tu m’excuses hein je me déshabille pas mais bon c’était juste pour me vider les couilles, quand tu vas aux chiottes tu te fous à poil non ? Bon bref dans la chambre de tes parents magne toi »
Je me demandais ce qu’elle avait en tête, me baisait dans le lit de mes parents ? le fait est que je m’affairais à quatre pattes jusque dans leur chambre.
« Bien fous-toi debout salope »
Elle m’inspectait alors le corps voir si j’étais bien rasé. Elle terminait son inspection par une grosse gifle pour me féliciter. Je me sentais tellement content de l’avoir satisfaire, c’était honteux je le savais au fond mais j’aimais ça.
« Bon que je t’explique rapidement j’ai organisé une sorte de soirée chez moi, j’ai invité quelques amis , homme et femmes une dizaine. Pour commencer on va pas trop charger non plus. Evidemment je les ai choisis connaissant leurs goûts sexuels et devine quoi ? Le clou de la soirée c’est que je ramène une petite lopette à défoncer, à humilier et maltraiter. Donc ce soir tu vas être une petite pute aux ordres et tu vas te faire défoncer, t’es content ?
– Oh oui madame. Une gifle instantanée
– Maîtresse Katia pour toi sale chienne
– Oui pardon Maîtresse Katia
– Bon on va voir si ta mère a de quoi te transformer en pute aguichante. »
L’avantage c’est que ma mère faisait la même taille que moi a quelques cm près donc ces vêtements avaient de forte chances de m’aller. Et ce fut le cas ce qui permet à Katia de me faire un essayage complet.
Sauf qu’à un moment mon sexe se mit à bander alors que j’essayais une culotte, qui n’était au demeurant pas du tout sexy. Ce qui amusa beaucoup Katia.
« Ben alors t’es tellement une lopette que tu bandes de mettre les vêtements à Maman ? T’es vraiment qu’une merde. Branle toi dedans jusqu’à jouir. »
Je m’exécutais il ne me fallut que quelques secondes pour venir, bien évidemment je devais avaler tout mon sperme en léchant la culotte. Les brimades de Katia pendant ce temps, elles ne s’arrêtaient pas.
Au final elle choisir des collants arrivant en haut de cuisse, un boxer en dentelle rouge. Une jupe volante, soutien gorge et un top débardeur. Mais ce n’était pas fini. Elle avait ramené une perruque blonde et du maquillage.
Elle s’appliquait pour faire en sorte que je ressemble à une pute vulgaire, le rouge à lèvre rouge criant entre autre. Fond de teint, fard à paupière tout y passait.
Je savais, en me regardant dans le miroir à ce moment, que j’avais franchi un point de non retour. Ce que je m’apprêtais à faire allait me transformer pour toujours. J’en avais tellement envie que l’hésitation n’avait pas le temps de s’installer.
Dernière surprise que Katia m’avait réservé, elle avait pris en cachette ma pointure et avait acheté une paire de talon haut qui finissait de compléter son oeuvre. Je ressentais à une sorte de poupée gonflable prête à l’emploi. D’autant qu’elle avait scotché mes couilles et mon sexe de manière à ce que cela soit le plus plat possible. C’était tellement serré que je ne pouvais même si je le voulais bander.
J’avais clairement du mal à marcher mais peu importe, je ne pense pas que j’allais devoir beaucoup le faire ce soir. Je montais à l’avant de sa voiture et nous arrivions assez rapidement chez elle. Monter les deux étages avec les talons, occasionnèrent deux chutes, sans gravité, mais je finissais par arriver en haut. Il était 17 heures 30 environ. Trente minutes avant que les invités n’arrivent.
Katia m’installa tel un trophée. Les mains attachées à une poutre en l’air, les deux pieds attachés et écartés par une barre, le tout avec un bâillon.
« Voila le temps que tous les invités arrivent tu vas rester comme ça histoire qu’il puisse voir la marchandise. Une fois tout le monde installé je te détacherais tu vas te transformer en bonne petite pute et tu vas nous faire un strip-tease et t’as intérêt à être bandante crois-moi ! Tu garderas tes collants, tes chaussures et le boxer et après tu n’auras plus à réfléchir juste à obéir. »
La soirée s’annonçait inoubliable…
Elle fouillait dans les sous-vêtements en ressort plusieurs string, boxer et collant.
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