Lou roule au hasard dans les rues de Paris. Sortant d’une journée très chargée, elle a besoin de se changer les idées. Pour autant, elle n’a pas encore assouvi son envie de sexe. Elle a pourtant essoré les bites de ses trois collègues aujourd’hui. Dans un appartement du quinzième arrondissement, Lou s’est aussi fait sodomiser par deux clients et, sur un chantier, elle en a gratifié un autre d’une gorge profonde vorace.
C’est systématique. À chaque fois qu’elle fait visiter un logement, cette belle salope a envie de baiser, de sucer, d’être prise comme la dernière des putains. Il faut dire que Lou met tous ces atouts de son côté. Aujourd’hui, elle a opté pour un tailleur rouge sang. Très visible mais Lou n’en a que faire si ça lui donne un côté pute, bien au contraire. Dessous, un chemisier blanc qui a connu son lot de taches de sperme. Pas de soutien-gorge, ainsi ses tétons dressés frottent continuellement contre la soie du chemisier. Un porte-jarretelles vermillon qui retient tant bien que mal des bas couture noirs. L’ensemble est assorti à des escarpins de teinte écarlate et au talon aiguille de quatorze centimètres. Au volant de sa voiture, alors que la nuit commence à prendre ses aises, elle parcourt le périphérique à la recherche d’un endroit presque tranquille. Il lui faut des queues, elle veut que tous ses orifices soient profondément investis.
Après quelques kilomètres sur les boulevards, elle trouve enfin où s’arrêter. Un parking souterrain près de la Porte Dauphine, il y a toujours de l’animation. À cette heure bien avancée de la nuit, elle est sûre d’y trouver des mateurs.
Quelques lumière filtrent, on éclaire des habitacles où des couples se caressent, se lèchent, se prennent avec vigueur. Lou gare son coupé puis se contorsionne sur son siège afin de relever sa jupe. D’un geste totalement naturel, elle écarte les cuisses, pose ses pieds divinement chaussés sur le tableau de bord et offre sa chatte aux regards des premiers curieux.
La belle salope, perpétuellement excitée, n’a pas besoin de se toucher. Son abricot est toujours humide. Pourtant, elle y glisse ses doigts aux ongles vernis de rouge et écarte ses grandes lèvres. Ça s’agite autour du coupé. À travers le pare-brise et les vitres, Lou discerne trois voyeurs. Trois grosses queues bien tendues. Trois bites rien que pour elle, prêtes à la défoncer.
Alors qu’à l’extérieur, on se branle avec vigueur, Lou continue de se masturber avec frénésie. Un exercice quotidien et salvateur. L’éclairage au néon ne cache rien de sa chatte complètement imbibée et de ses bas qui plissent. Son jus déborde sur le cuir du siège. La salope ne se retient plus et crie son plaisir. Malgré l’onde dévastatrice qui vient de traverser son corps, elle a encore envie.
Légèrement chancelante sur ses escarpins de garce, Lou s’extrait de l’habitacle, contemple les trois grosses queues. Passant une langue avide de sperme sur les lèvres mutines, elle s’avance vers les hommes. Prenant appui contre la calandre de son bolide, elle s’agenouille. Une première bite s’enfonce dans sa bouche, jusqu’au plus profond de sa gorge. Un lent va-et-vient qu’elle n’hésite pas à accentuer. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle bave et que sa salive épaisse se répande sur son chemisier entrouvert. Puis c’est au tour du second homme de s’immiscer entre ses lèvres. Il s’enfonce d’une seule poussée. Lou suffoque mais en redemande. Son menton se colle avec délice aux couilles pleines de son tourmenteur. L’homme lui maintient la tête puis l’écarte d’un geste brusque, libérant au passage d’énormes filaments de salive qui s’abattent sur le sol. Un tel spectacle ne manque pas d’attirer d’autres hommes. Trois autres s’ajoutent à la sarabande. Tour à tour, Lou se goinfre des six queues jusqu’au fond de sa gorge. Elle manque d’étouffer plusieurs fois mais, totalement insatiable, elle en veut toujours plus, cette pute. Sur le béton brut du parking, son jus qui ne cesse de dégouliner s’est mélangé à sa salive plus qu’abondante.
Puis, estimant qu’il est l’heure de passer à autre chose, l’un des hommes la relève et la fait asseoir sur le capot du coupé afin d’administrer des coup de langue ravageurs à sa chatte enflammée avant de bien la pistonner. Concert de gémissements au dernier sous-sol du parking. Lou ne se retient plus.
Le gars, estimant sa conquête à point, entreprend de la pénétrer d’un coup sec et de la ramoner à un rythme régulier. Autour d’elle, on s’échange les rôles. On joue avec ses tétons, on continue de se branler. Cuisses bien écartées, les bas qui plissent aux genoux, la jupe bien relevée sur sa chatte fiévreuse, Lou prend son pied. Se faire prendre comme la dernière des salopes, elle adore ça. Mais elle n’est pas totalement satisfaite. La belle bourgeoise a encore envie de sucer. Gentiment, elle repousse la bite qui s’était insérée au plus profond d’elle. À nouveau, elle s’agenouille et entreprend de se faire baiser la bouche. Lou multiplie les bruits de succion. La bave épaisse coule, inonde son chemisier, sa poitrine, retombe sur ses bas et jusqu’au sol. Les uns après les autres, ses amants s’enfoncent jusqu’au fond de sa gorge, pour son plaisir décuplé. La gorge profonde est un exercice qu’elle maîtrise à la perfection.
Ayant suffisamment pompé, Lou se relève, rajuste ses bas couture et se penche sur le capot afin de présenter son cul naturellement dilaté. Parmi les hommes présents, il n’y a pas de concurrence, chacun sait que son tour viendra. La queue du premier s’enfonce sans effort dans son anus. Il se tient bien à ses hanches, à son porte-jarretelles puis la fait basculer sur le sol. Lou est à quatre pattes. Elle suce celui qui vient de l’enculer sans ménagement pendant qu’un autre s’agrippe à ses fesses.
La situation est extrêmement excitante pour la belle salope dont la chatte ne cesse de répandre son jus. L’homme qu’elle est en train de pomper avec avidité plaque son bas-ventre contre son visage. Les jets de sperme épais viennent tapisser sa gorge en une salve discontinue. Lou avale tout et nettoie la bite à coups de langue experts.
Puis il récidive avec le second pendant qu’un troisième s’occupe de son cul. Chacun vient ainsi lui donner sa dose de foutre, jusqu’au dernier. Les six hommes se sont vidés dans sa bouche, dans sa gorge et Lou, au comble de l’extase, n’en a pas perdu une goutte.
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