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Show interactif à Amsterdam (de Tanis)

Show interactif à Amsterdam (de Tanis)



Publié dans RêveBébé

Carole et Harold, ainsi que de Laure et Pierre, deux couples dont les histoires sont loin d’être finies vont nous emmener dans les quartiers moins connus d’Amsterdam !

Carole faisait le même rêve depuis plusieurs jours de suite. Elle le revoyait partout quoiqu’elle fasse : son corps nu parcouru par de multiples mains d’hommes… Parfois elle s’imaginait également caressée par une fille… rêvant de voir ses doigts se promener sur son corps, épouser ses courbes, se perdre dans les méandres humides de sa féminité…

Alors elle serrait les jambes… les frottant l’une contre l’autre… pour sentir…cette douce sensation de plaisir l’envahir… Cette image ne la quittait pas.

Son amie Laure lui avait dit :

— Mais pars un week-end avec ton mari à Amsterdam, tu verras, c’est une ville qui résout bien des fantasmes !

Elle avait proposé le voyage à son mari Harold qui avait accepté avec joie… n’osant cependant pas lui avouer la raison principale de son voyage.

— Ça c’est une idée ! Et pourquoi ne demanderions nous pas à Laure et Pierre de nous accompagner ? C’est toujours plus agréable en groupe !

Carole avait accepté… mais pourrait-elle réaliser ses rêves… tant pis si l’autre couple ne voulait pas les suivre… elle entraînerait son mari !

Le voyage se passa sans histoire, et les deux couples s’installèrent à l’hôtel « Bij de Brug », avec vue sur un petit canal très romantique. Ils allèrent souper en ville, puis flânèrent, regardant les vitrines, les broîtes aux enseignes lumineuses criardes de couleurs phosphorescentes. Petit à petit, leur promenade les amena dans les quartiers chauds de la ville. La dominante rouge des néons était comme un feu rouge : stop aux mineurs !

Carole s’arrêta devant la façade d’un club. Celui-ci étalait sur ses vitrines un texte en néerlandais qu’elle ne comprit pas. Pierre lui traduisit :

Devenez acteur pour une soirée

Tentez votre chance

Show interactif

ADULTES SEULEMENT

Carole afficha des yeux brillants en lorgnant son mari. Celui-ci embrassa amoureusement sa femme en lui murmurant :

— Si cela te fait plaisir, je suis d’accord !

Harold se tourna vers Laure et Pierre. Pierre n’était pas opposé, mais Laure hésitait…

— C’est quoi un show interactif, demanda-t-elle ?
— Tu verras ! lui dit Pierre, c’est différent du cinéma ! mais cela doit être fort agréable à regarder !

Laure se laissa entraîner par Pierre, et les deux couples entrèrent. L’atmosphère était feutrée… des tapis à longs poils étouffaient le bruit des pas. Ils furent accueillis par une hôtesse qui les conduisit dans une grande salle au trois quarts pleine. La lumière était tamisée, et les sièges entouraient une scène en demi-cercle baignée d’une couleur bleutée. Des bruits de voix se couvraient mutuellement. L’hôtesse leur désigna des sièges encore vides. En s’asseyant, Carole remarqua qu’il y avait beaucoup de couples, seulement quelques hommes et femmes seuls.

Sur les murs, de grandes affiches vantaient la beauté de sous-vêtements féminins et masculins… Un sponsor sûrement.

Soudain, la lumière sur scène diminua et la voix de l’hôtesse se fit entendre :

— Bienvenue à tous ! Vous allez participer à une soirée interactive. J’espère que comme chaque soir, ce sera une réussite ! Chaque soir le principe change ! Sachez que vous vous trouvez dans un club privé, et rien de ce qui se passera ici ne sera divulgué… vous êtes cependant autorisé à prendre des photos. Ce soir, honneur aux dames !

Un long silence s’installa dans la salle…

— Y a-t-il dans la salle une dame non accompagnée qui se propose d’être la première candidate ?

Des murmures s’élevèrent, quelques rires fusèrent, mais personne ne répondit.

— Allons, du courage ! reprit l’hôtesse, sinon le projecteur choisira à votre place la première personne comme chaque soir…

Le silence retomba, les gens retenaient leur souffle. Alors un pinceau de lumière jaillit de sur la scène et fouilla la salle… s’arrêtant sur les couples… cherchant. Finalement le spot s’arrêta sur trois jeunes et jolies filles. Le faisceau de lumière hésita puis s’arrêta sur celle du milieu qui devait avoir 22 ans.

— Mademoiselle a été choisie, reprit l’hôtesse, voulez-vous vous diriger vers la scène ?

Celle-ci se leva sous les rires de ses voisines et le spot la guida jusqu’à la scène, qu’elle rejoignit en montant quelques marches. Gênée, elle se présenta face aux spectateurs, éblouie par la lumière.

— Mademoiselle, retournez-vous, et regardez bien l’écran au fond de la scène, vous allez voir cinq de nos plus beaux modèles masculins… Vous avez le droit d’en choisir un ! L’écran s’illumina et cinq jeunes hommes apparurent.

La jeune fille faisant la moue porta finalement son choix sur un homme plus grand qu’elle et bien musclé.

La voix reprit :

— Votre choix est fait ! que le show commence !

La lumière s’éteignit plongeant la salle à nouveau dans l’obscurité. Un silence oppressant s’installa.

L’éclairage de la scène se ralluma trois minutes plus tard. La jeune fille avait été dépouillée de ses vêtements en coulisses et avait revêtu de splendides sous-vêtements offerts par le club. Elle se tenait droite, les bras le long du corps… tremblante et curieuse.

C’est alors que l’homme qu’elle avait choisi s’avança sur scène, nu. Ses muscles lisses brillaient sous les spots. Son sexe n’était plus tout à fait au repos et une forte impression de virilité se dégageait de sa personne…

L’hôtesse annonça à la salle :

— Voilà votre couple cher public ! Il est à vous le temps d’un soir ! À partir de maintenant, il doit vous obéir ! Que lui demandez-vous pour commencer ?

Carole ne pouvait détacher ses yeux de la scène, elle avait saisi la main de son mari, et la serrait. Elle sentait une drôle de chaleur l’envahir… Jamais elle n’avait vu un show interactif… Jusqu’où le spectacle allait-il aller ?

Des habitués du spectacle et de la salle sans doute, crièrent à l’adresse de la fille :

— Caresse-le, masturbe-le avec tes mains !
— Oui ! Branle-le !

La lumière diminua pour mettre les acteurs à l’aise, seul un spot resta braqué sur eux. La fille saisit le garçon par son sous-vêtement, et le ramena brutalement près d’elle arrachant par là même le slip… Elle s’agenouilla pendant que l’homme lui glissait une fleur dans les cheveux. Son sexe se dressait devant l’assemblée, raide, turgide. La jeune fille approcha ses mains aux longs doigts et saisit la puissante tige qu’elle ne put emprisonner totalement. Elle lui imprima un doux et long mouvement de va-et-vient… Tournant la tête vers la salle, l’air complice, elle chercha le regard de ses amies.

Soudain, s’alluma l’écran géant, qui reproduisait chacun de ses gestes. La salle entière pouvait maintenant voir le spectacle en gros plan. Elle regarda l’écran et se vit également… alors elle força le mouvement, tirant sur le sexe, le sentant grandir. Le souffle de l’acteur s’accéléra.

Des applaudissements fusèrent dans la salle. Celle-ci s’échauffait à la vue du spectacle :

— Vas-y, trais-le, cria une femme !
— Pompe-le avec ta bouche, suce lui la bite ! cria un homme.

Alors lentement, répondant aux désirs qui fusaient, elle avança la bouche, et écartant les lèvres devant la salle toute entière, elle enfourna le gland entre ses lèvres.

Son mouvement était rapide et précis, dénotant une belle habitude pour son âge. D’un geste brusque, elle ramenait sa main vers le pubis de l’homme, étirant la peau du prépuce, et faisant saillir le gland. Sa bouche l’engloutissait alors de toute sa longueur. Puis ses lèvres se retiraient, et sa main d’un brusque mouvement arrière recouvrait le gland humide de salive.

La salle criait, les hommes soufflaient reconnaissant les vrais talents d’une jeune fellatrice. Aucun homme n’aurait pu résister plus de trente secondes à ce traitement ! La salle à ce moment eut peur d’en terminer trop vite :

— Non, ne le faites pas juter ! Pas encore ! Qu’il vous caresse également… à genoux… à genoux !

La fille quitta à regret le membre qui arrivait à présent au nombril de l’acteur, et se positionna à genoux comme la salle le lui demandait. L’homme lui enleva délicatement son slip, dévoilant son pubis et son sexe à l’écran.

Les spectateurs ne tenaient plus, s’agitaient sur leur siège :

— Ouvre tes jambes et écarte ton sexe ! Ta chatte ! montre-nous ta chatte !

Levant la tête, elle vit son sexe en gros plan à l’écran, elle vit ses mains s’en approcher, et saisissant les voiles de ses lèvres, elle les étira devant le public en gémissant. Une étrange sensation de viol collectif montait en elle, et en même temps, elle s’excitait de voir tous ces regards posés sur elle, qui la fouillaient.

— Plus fort, écarte-toi !

Elle distendit ses grandes lèvres, les écartant au maximum, dévoilant la douceur rosée de sa vulve au public.

— Qu’on la gode ! Il faut lui enfoncer un gode !

L’hôtesse apporta un merveilleux gode d’ivoire long d’une vingtaine de centimètres, dont les reflets jetaient des lueurs d’argent sous les spots. L’acteur s’en empara, et visant le merveilleux orifice à l’extrémité de la vulve, il l’enfonça puissamment en elle n’en laissant ressortir que deux centimètres.

La salle rugit devant le gros plan.

Saisissant l’une des mains de l’actrice improvisée, l’acteur lui saisit un doigt, et le dirigea vers la rosette brune en dessous du gode. Lentement, il la força à se l’introduire dans l’anus. La fille gémissait sous ses propres caresses… Alors retirant elle-même le gode de son vagin, elle le présenta face à sa rosette plissée, l’y insérant par petites pressions.

Laure comprenait maintenant le sens de « show interactif ». Elle ne savait que penser de cette fille, subissant ces outrages devant un public qui regardait avidement. En elle-même, cela l’excitait, ces yeux d’hommes posés sur les parties les plus intimes de son anatomie. Sa main resserra son emprise sur le bras de son mari.

Des spots bleus et rouges jaillirent autour de la scène. L’acteur se glissa sous la jeune fille, la redressa, et collant ses lèvres à sa vulve, il saisit le gode d’ivoire, et le vrilla en totalité dans son cul. Un long feulement jaillit des lèvres de la fille qui perdura tant que le gode ne fut pas logé complètement entre ses fesses.

L’acteur lapait cette vulve splendide, écartant les lèvres, glissant de bas en haut, titillant la minuscule noisette du clitoris, nichée dans les replis roses de ses lèvres. Il commença alors un long va-et-vient entre les fesses de la fille, retirant le gode à fond, lui repoussant l’entièreté dans le rectum d’un coup. Le bassin de la fille s’agitait, l’anus comblé, le vagin lapé. Elle glissa ses mains sur ses seins et sur son ventre et commença à se caresser. L’acteur bandait, son sexe apparut sur l’écran, énorme, agité de pulsations…

Dans la salle, les sièges couinaient sous l’agitation du public.

— Encule-là, mets-lui ton sexe… elle adore !
— Non, qu’elle s’encule elle-même !

La fille regarda le public et sourit… D’une poussée de l’anus, elle fit jaillir le gode de son cul et l’éjecta dans la salle ! Elle enroula ses doigts autour de la colonne phallique et la pointa sur l’orifice convoité par la salle. Elle pressa, forçant la tête du gland violacé à s’écraser contre le minuscule orifice et contraignit la rosette plissée à s’ouvrir.

— Oui, vas-y, pousse… fais-nous plaisir, entre-le en entier !

Sous les encouragements de la salle, elle força le passage déjà dilaté par le gode et s’assit prudemment, introduisant le monstrueux piston en elle. Une légère gêne la fit s’arrêter, mais la salle poursuivait :

— Vas-y, n’arrête pas… essaie… va doucement mais essaie…

Ainsi encouragée, elle s’assit littéralement sur lui, introduisant le long membre au plus profond de ses entrailles. Elle commença de longs mouvements de haut en bas, arrachant à l’acteur des cris de plaisirs… la salle entière la guidait :

— Oui, enfonce-toi, retire-toi, plus haut…! Plonge-le au fond !

Le sexe coulissait maintenant sans difficulté dans son fondement dilaté… L’acteur la saisissant aux épaules la retourna brusquement, toujours chevillé en elle, et présenta en gros plan leur accouplement à la salle. Le dard émergeait de son cul, dilatant complètement l’ampoule rectale. Les bourses reposaient sur l’entrée du vagin dont les lèvres béaient.

Le piston luisant commença à s’agiter entre les magnifiques fesses… La fille accompagnait sa poussée d’un coup sec vers l’arrière pour se l’enfoncer plus profondément. Elle poussait un « Han ! » sauvage à chaque buttée des couilles contre sa vulve.

Laure fixait le couple sur scène, sa main s’attarda sur le pantalon de son mari et elle sentit de suite la bosse proéminente qui déformait celui-ci… leurs yeux se croisèrent, pleins d’envies…

— Tu bandes mon chéri au cas où tu ne le saurais pas !

Sur scène, l’acteur continuait de sodomiser la fille plus puissamment. Soudain la salle se tut… La fille se contorsionnait dans un orgasme fulgurant. L’homme releva la tête en gémissant, sa verge jaillit de l’anus qui resta ouvert, et plusieurs giclées de sperme fusèrent de sa queue, éclaboussant la vulve et les poils pubiens de semence blanche et épaisse…

Les spots s’éteignirent…

Le silence se fit…

Les organisateurs attendirent un long moment avant de se manifester, laissant les spectateurs assimiler ce qu’ils avaient vu et reprendre leur souffle… Certains devaient profiter de l’obscurité… des mains devaient se perdre…

Une lumière tamisée se leva doucement. Laure remarqua le couple étranger à ses côtés dont la femme, les doigts gluants de sperme continuaient à masturber son compagnon. Elles se sourirent.

Quand des murmures commencèrent doucement à pointer, la voix de l’hôtesse toujours aussi sensuelle reprit :

— Maintenant, nous recherchons deux couples ! N’ayez pas peur, la salle est avec vous et vous encourage… Mesdames, Messieurs, dévoiler votre corps devant tous ces yeux, cela ne vous excite-il pas ?

Laure ne disait rien, elle se sentait inondée entre les jambes… Alors Carole surexcitée se leva, et s’emparant du bras de son mari :

— Viens ! J’en ai envie !

Laure cria :

— Non, Carole, pas toi… !

Mais déjà Carole tirait son mari vers la scène, au-devant du spot de lumière.

— Voilà notre premier couple… Applaudissons-les… Bientôt devant vous se dévoileront les charmes de ce charmant couple… Qui d’autres ? Allez ! Un peu de courage ! Quelle dame n’a jamais eu envie de dévoiler ses charmes devant plusieurs hommes ? Quel homme n’a pas rêvé d’exhiber son érection devant plusieurs femmes ?

Pierre excité par la démarche de Carole se leva, cherchant la main de sa femme.

— Non, Pierre, pas devant les autres, pas nous… tu es fou !

Mais son mari la tirant de son siège, l’entraîna sur les traces de Harold et Carole sous les applaudissements de la salle.

Les lumières s’éteignirent à nouveau pendant trois minutes, des cris fusèrent dans la salle échauffée, des gémissements retentirent, indiquant que les spectateurs mettaient à profit ce temps pour se libérer de la tension qui était au plus haut degré !

À nouveau de douces lumières roses et bleutées s’allumèrent, révélant les deux couples sur scène, revêtus de magnifiques sous-vêtements. Carole était splendide, blonde à cheveux mi-longs, elle était habillée de soie rouge, toute en dentelle. Ses seins bien en chair étaient remarquablement moulés dans un petit soutien juste à sa taille… Laure était en bleu lilas, mettant son teint de noire en valeur…ses cheveux tirés en chignon mettaient son long cou en relief. Plus mince que Carole, elle avait deux petits seins mignons qui renflaient à peine sa poitrine.

Laure, timide regardait le noir de la salle avec effroi. Elle imaginait ce qui allait se passer, devant des dizaines d’yeux…

La salle se mit à applaudir à tout rompre… Pauvre Laure, elle n’était pas au bout de ses surprises…

La voix de l’hôtesse reprit :

— Comme nous sommes samedi, nous allons modifier les règles du jeu… le public est-il d’accord ?

Celui-ci réagit en hurlant… sachant que la modification des règles ne pouvait que corser la soirée. Les hommes se trémoussaient rien qu’à l’idée de surprendre la nudité de ces deux magnifiques filles.

— Le public a choisi… Mesdames, changez de partenaire !

Carole regarda son mari. Surprise, elle ne s’attendait pas à cela. Elle allait se retrouver dans les bras de Pierre ! Laure de son côté s’accrochait désespérément au bras de son compagnon… Mais l’hôtesse s’approcha… et la rassurant, la mena près de Harold.

Laure ne savait plus que faire, elle croyait juste que elle et son mari… enfin à deux,…. sans personne d’autre… juste ceux qui regardaient…

Harold excité caressait le visage de l’amie de sa femme. Laure redoutait ce moment ! Voilà que non seulement on lui choisissait un homme… mais cet homme était Harold, l’ami de son mari !

Harold entoura Laure de ses bras :

— Allez Laure, n’aie pas peur, on se connaît… Il la prit aux épaules, la rassurant, la serrant contre lui, posant ses lèvres dans son cou.

Carole s’était déjà agenouillée devant Pierre, et lui caressant la poitrine de ses bras levés, embrassait la rude bosse qui saillait dans le boxer. Descendant ses mains, elle tira sur le sous-vêtement. Le sexe de Pierre se dégagea raide et droit du slip.

Un « Ohhhhhh » d’admiration courut dans l’assemblée…

Laure tourna la tête vers son mari, et entrevit sa formidable érection à quelques centimètres de la bouche de son amie… Le gland étranglé dans son prépuce ne demandait qu’à se dégager. Carole admira la colonne de chair qui ondoyait de gauche à droite. Entrouvrant les lèvres, elle posa celles-ci face au méat et serrant la bouche, elle repoussa le prépuce tout en engloutissant la queue enflammée.

Laure entendit gémir son mari. Carole au moins ne perdait pas de temps ! Elle la vit saisir la bite de Pierre à pleine main et entamer une solide fellation.

Le public rugissait à nouveau, excité devant cet échange de couple.

Laure ne bougeait pas, un peu effarouchée. Ce fut l’hôtesse qui lui saisit la main, et l’agenouilla devant Harold… Elle glissa alors une main dans le boxer de celui-ci et en sortit un membre gigantesque… Laure recula, jamais Carole ne lui avait dit que son mari était si bien membré… Elle regardait ahurie le phallus de Harold, les veines s’y dessinaient comme les cours d’eau sur une carte de géographie. Le gland surtout l’impressionnait.

De la taille d’une petite mandarine, il était fendu en son milieu d’une entaille qui s’entrouvrait, gourmande comme la bouche d’un poisson. Sous la brousse de poils d’où surgissait ce pieu, pendaient les bourses, épaisses, gorgées de foutre.

L’hôtesse s’empara de la formidable matraque. Harold frémit sous la main chaude, puis la fille dirigea le gland vers la bouche de la femme de Pierre. Laure curieuse leva les yeux qui se fixèrent dans ceux de Harold. Une formidable excitation s’y lisait en même temps que beaucoup de douceur. Elle était gênée face à l’érection du mari de son amie… Il la désirait ! Et il bandait pour elle ! Et maintenant, elle devait le sucer… puis sans doute elle ressentirait l’entrée de ce sexe inconnu dans ses reins !

La fille lui saisit la tête, barbouilla quelques temps ses lèvres du gland visqueux et vrilla dans sa bouche la verge dégoulinante.

Enorme, il pénétra. Laure essayait pourtant de ne pas le toucher avec sa langue, par pudeur sans doute, mais il était si volumineux qu’il la remplissait totalement. Ce pieu chaud s’installa entre ses joues, raclant son palais. Curieuse et excitée, sa langue chercha, vint à la rencontre du membre… et l’enveloppa enfin.

La salle exultait, comprenant qu’enfin, elle acceptait le jeu, et que le spectacle ne faisait que commencer…

Ses lèvres se refermèrent sur l’épaisse colonne pendant que sa langue cherchait à pénétrer dans le méat. Elle fouillait, écartant les bords. Ses mains accrochèrent les testicules, et exerçant une traction vers le bas, elle obligea le prépuce à descendre encore plus bas faisant saillir le gland à présent totalement dénudé. Harold crut défaillir et s’accrocha à l’hôtesse qui regardait Laure avec une envie non dissimulée. La bouche englobait la queue avec un rythme qui commençait à devenir dangereux si l’on voulait que la soirée se prolonge !

Alors l’hôtesse extirpa le phallus de la bouche de Laure. Elle allongea celle-ci délicatement sur le matelas recouvrant la scène. Les seins de Laure pointèrent encore plus fort lorsque Harold se coucha contre elle.

Des cris de femmes montèrent quand il lui enleva ses sous-vêtements. Ses lèvres s’approchèrent sa bouche, et ils s’embrassèrent, excités l’un par l’autre.

Laure ne voulait plus reculer, une chaude humidité sourdait de son sexe, maintenant elle voulait être remplie. Elle avait envie de cette monstruosité entre ses cuisses.

L’hôtesse saisit le sexe de Harold et le palpant le fit coulisser entre les lèvres sexuelles de la jeune femme, le faisant jouer à l’entrée de sa vulve, le mouillant des liqueurs qui déjà en coulaient. Elle le guida vers l’entrée vaginale, et Harold d’un coup de reins s’insinua d’une longue poussée entre les lèvres sexuelles de Laure, les écartant inexorablement.

Laure suivit la rapide pénétration de son sexe sur l’écran géant, regardant les grosses bourses venir s’écraser contre sa vulve.

Parfois la caméra filmait la salle, un visage… Et Laure savait que cette personne la regardait, fixait la jointure des sexes emboîtés, enviait cette bite qui la charruait devant une salle entière.

L’excitation l’envahit, elle le sentait en elle, elle baisait avec le copain de son mari. Peut-être la regardait-il ?

Ses cuisses ouvertes, la peau de ses lèvres se collant à sa queue à chaque mouvement la rendait moite. Un flot de mouille l’inonda, et elle écarta d’avantage les jambes, s’offrant sans pudeur à ce public qui regardait ce phallus turgescent la clouer au sol comme un papillon.

Harold la fouillait, elle sentait son excitation et le plaisir de la baiser devant son mari. Sa queue barattait son vagin, et elle sentait couler sur ses cuisses et dans la fente de ses fesses un liquide lubrifiant, épais et chaud comme du beurre. Harold pilonnait, s’ouvrant une brèche dans la forteresse de son ventre, chaque coup portait, lui arrachant un gémissement, il se battait contre un invisible ennemi, lui assénant des ruades de fou, l’écrasant.

Elle s’entendit hurler puis gémir, haleter et geindre de cet étrange chagrin du bonheur total. Tournant la tête elle regarda l’autre couple… son mari avec son amie : Pierre caressait maintenant Carole, elle vit son visage recouvrir son ventre s’approcher de la jonction de ses cuisses. Elle entrevit sa bouche aux lèvres pleines lui baiser l’ourlet du sexe, et sa langue pointue se glisser dans la fente pour remonter presque timidement vers ce point qui la faisait crier et qui parfois lui arrachait des pleurs. Elle vit encore la langue rose et agile de Pierre entamer un lascif ballet entre les lèvres de cette étrange bouche réfugiée entre ses cuisses. Elle le vit lécher, malmener et torturer la petite perle de chair nacrée d’où partaient tous les tourments amoureux. Elle l’entendit crier encore et encore….

Et puis Pierre s’allongea. Aidant Carole à l’enjamber, et saisissant son sexe le fit coulisser dans la fente vulvaire, appuyant le gland contre son clitoris, lui faisant parcourir de longues allées et venues entre ses lèvres luisantes… Le présentant à l’entrée de son vagin, elle s’assit d’un coup !

— Ohhh…Pierre !!

Le couple gémit, arrêtant tout mouvement, savourant cet instant sublime… être l’un dans l’autre ! Pierre commença à coulisser dans Carole, lui arrachant des soupirs de plaisir, elle oubliait le lieu, les yeux de la salle rivés sur elle, elle ne sentait que ce mouvement lancinant en elle, ces allées et venues rapides et longues…

La verge de Pierre était plus fine que celle de son mari, mais elle était de fer ! Dure comme l’acier ! Il la martelait comme une épée sur une enclume, la retournait, la taillant à sa mesure, l’affinant, fourrageant dans cette fournaise avec la vigueur d’un bon forgeron. Le gland butait au fond ! Chaque poussée la faisait frémir comme une braise. Le souffle de la forge s’introduisait en elle, ravivant à chaque mouvement le feu qui la dévorait.

La salle silencieuse suivait le spectacle, haletante…

Laure de son côté gémissait sous les coups de boutoir de Harold, elle haletait, essayant d’apercevoir les spectateurs dans l’ombre, redressant la tête, ouvrant ses jambes, s’exposant… nue… pénétrée… Elle murmura à l’oreille de Harold :

— Oh, ils nous regardent… ils nous regardent baiser ! Ils voient ton cul qui pousse, ta bite qui m’enfile la chatte ! Oui, pousse, prend-moi devant eux, possède-moi !

Harold était trempé de sueur… Laure, la petite Laure l’excitait ! Petite salope ! Elle en voulait ! Et dire qu’elle avait fait la fine bouche pour monter sur scène. Il savait qu’il allait lui gicler son foutre au fond du vagin… et cela le faisait durcir encore plus… et cette nuit, de retour à l’hôtel, son mari la lècherait peut-être ! Il lècherai son sperme à lui ! Son foutre qui achèverait de lui couler de la fente !

Il glissa sur le côté, sortant de Laure, et la prenant par les épaules la retourna… Laure s’agenouilla et étendit les mains vers le haut. Elle ouvrit les jambes et offrit sont petit coquillage luisant. Harold hésita, puis dirigea son gland épais vers la minuscule rosette dissimulée entre ses fesses. Puis il s’insinua dans la tendre ouverture. Laure se cabra, jamais on ne l’avait prise par là ! Et maintenant Harold ! Devant toute la salle !

On n’entendait pas un bruit, les spectateurs vissés à l’écran géant attendaient.

Alors tel un orfèvre, devant ce petit cul trépidant, il appointa son outil, façonnant l’anus délicatement comme un orfèvre, peaufinant l’angle de sa verge. Laure se sentit investie d’un coup quand le gland pénétra. Un plaisir inconnu déferla dans son corps. Elle se sentait pleine. Levant les yeux, elle aperçut son anus transpercé, son anus vierge pris pour la première fois et… en public.

Harold suivait aussi sur l’écran sa lente progression dans le cul de l’amie de sa femme. Il ouvrageait, oeuvrait à écarteler les chairs vierges, fouillant le rectum à petits mouvements, par petits coups d’outil, s’insinuant toujours plus profondément entre les fesses de Laure. Cette petite gaine chaude le rendait fou, et furetant d’avant en arrière, il parvint à s’enfoncer jusqu’au couilles. Laure émit un rugissement de plaisir en lui murmurant :

— Salaud ! tu m’encules devant tout le monde !

Mais Harold étranglé dans cette gorge profonde, fouissait, il commença à limer, fouillant en entier l’anus de la femme de Pierre… se propulsant tantôt lentement, tantôt brutalement entre ses fesses soyeuses.

Carole de son côté regardait sur l’écran son mari enculer Laure. Harold pulsait toujours dans son merveilleux cul, il coulissait en elle de manière régulière, comme une machine bien réglée qui l’écarquillait, se retirait, l’embouchait à nouveau. Elle était bien ouverte, et la première douleur s’était transformée en plaisir intense.

Laure n’en pouvait plus. Cette première lui brûlait les fesses, le cercle de l’anus. Il fallait qu’il l’éteigne par des giclées de sperme, et elle eut soudain envie de sentir le foutre chaud de Harold dans son cul, de le sentir fondre en elle, de goûter ses giclées de mâle lui barbouiller les parois du rectum.

Tous se retournèrent en entendant les cris de Carole… Pierre éjaculait ! De ses hanches, Carole secouait ce muscle puissant qui dégorgeait maintenant dans sa profonde cicatrice… son ventre brûlait, chaque poussée faisait jaillir la blanche laitance de sa fente enfiévrée. Elle poussait, vidant Pierre en elle. Une chaleur intense envahit son vagin… Carole exultait ! Elle avait fait l’amour avec Pierre ! Et il s’était vidé en elle ! Tout un public avait assisté à sa jouissance, et suivait sur l’écran l’écoulement de foutre qui sortait de sa fente par petites saccades.

— Bravo… bravo… superbe !

Des couples dans la salle étaient maintenant debout sur les sièges, applaudissant… Puis les regards retournèrent vers l’autre couple.

Harold et Laure étaient toujours chevillés ensemble, Harold d’un long mouvement lui entrait maintenant sa bite presque totalement dans l’anus, la ressortant complètement, puis forçant à nouveau la rosette se replongeait avec délice dans la voie interdite…

Carole et Pierre reprenaient leur souffle, l’un regardant sa femme enculée, l’autre son mari enculer son amie…

Harold essayait à présent d’enfoncer la totalité de son membre en Laure… Quelques centimètres encore… mais sa queue ne progressait pas plus… Sa verge gonflait, cherchant encore les derniers centimètres inexplorés de Laure.

— Harolddddddd ! Tu es au fond de mon cul… gicle maintenant !!

Mais Harold en bon ouvrier examinait son sexe figé dans l’anus de Laure…

Sur l’écran géant, les spectateurs virent alors l’énorme bite commencer à progresser sous l’infernale poussée… forçant les derniers centimètres.

— Ohhhhh ! quel délice… sodomisée… gémit Laure.

Elle ouvrit la bouche pour gémir, mais aucun son n’en sortit, terrassée par la terrible sensation qu’elle éprouvait. Pierre à côté de Carole regardait la terrible expérience de sa femme… Elle lui murmura :

— Je vais lui faire lâcher son foutre ! C’est la première fois pour ta femme, et même si elle aime, ça ne peut pas trop durer la première fois.

Elle s’approcha du couple et rapidement, elle glissa son index entre les fesses de son mari, l’enfonçant d’une poussée puissante dans son anus.

Harold releva la tête et comme dans un film au ralenti le premier jet de semence suivit l’enfournement du doigt. Carole agita celui-ci par saccades dans le rectum de son mari, l’enfonçant à petits coups rapides, sentant à chacune de ses pénétrations la crispation des muscles de son mari… et les pressions correspondant à chaque giclée de sa queue.

En quelques secondes, elle vida son mari. Glissant alors une main entre les corps du couple uni, elle saisit l’incroyable bite, et lentement déchevilla Laure du mandrin dégoulinant qui giclait encore. Un flot de sperme blanc jaillit de l’anus dilaté de Laure, s’écoulant sur ses fesses en sillons d’argent.

Les lumières s’éteignirent… 30 secondes plus tard, les spots se rallumèrent… les couples nus, se serraient l’un contre l’autre, heureux de l’expérience, ovationné par le public…

Mais ce que celui-ci ne pouvait voir, c’est le regard amoureux que se lançaient Carole et Pierre, Laure et Harold, et qui semblait dire… tout cela ne faisait que commencer…

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