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Lady Alexya – la promenade

Lady Alexya – la promenade



Lady Alexya – la promenade de mon esclave en laisse.

Je suis une femme qui a ses petites habitudes. Parmi ces manies, la promenade de mon familier figure en bonne place. Le rituel débute le samedi soir, un peu avant vingt-trois heures. Mon esclave doit être nu, à l’exception d’un collier de chien autour du cou. Il est entièrement épilé, sexe compris.

Pour ma part, je porte un peignoir de satin rose clair. Nous sommes dans la salle de bain au sol parqueté de teck. Quatre grosses bougies parfumées à la mandarine constituent le seul éclairage de la pièce. Au milieu une grande baignoire îlot blanche que le soumis a pris soin de remplir d’eau chaude. La température doit être parfaite.

Le peignoir tombe à mes pieds. J’entre dans le bain. Mon esclave passe une large éponge enduite de savon d’Alep sur mon corps, avec l’interdiction absolue que sa peau entre en contact avec la mienne. Dans un complet silence, il attend à genoux que je me détende. Quand j’en ai assez et que je sors de l’eau, il m’essuie des pieds à la tête avec une grande serviette-éponge.

Dans le salon, je m’assieds sur un pouf en X à col de cygne. Mon soumis apporte une flûte de champagne rosé. Le vin est très frais. Les bulles chatouillent agréablement mon palais. J’ordonne : « va chercher le corset noir et le string en cuir ! » Je pose le verre vide sur une tablette. Après que j’ai revêtu ma tenue, l’esclave serre les lacets dans mon dos. Il s’agenouille devant moi. Interdiction de porter le regard vers le haut. Les bas nécessitent une attention particulière. L’esclave les déroule de mes pieds jusques en haut des cuisses. Ses mains tremblent quand elles approchent de mon entrejambe. Il accroche les bas au porte-jarretelles. Sa fébrilité, son hésitation, lui occasionnent un regard noir. « Pardon Maîtresse » murmure-t-il.

Il va chercher mes bottes et me chausse. Là encore, il s’attelle au laçage, manipulant les ferrets pour enserrer ces pieds qu’il vénère.

J’accroche un martinet à ma ceinture. Il ne me reste plus qu’à couvrir mes épaules d’une cape et nous sommes prêts à sortir.

J’attache une laisse, poignée souple, chaîne et mousqueton en métal, au collier de l’esclave et je couvre son visage d’une cagoule noire en cuir. Elle comporte cinq orifices pour les yeux, les narines et la bouche. Je verrouille la fermeture-éclair à l’arrière. Pas de bâillon, nous aurons l’usage de sa langue et de ses lèvres. Parfois, il porte une ceinture de chasteté depuis plusieurs jours. Dans ce cas il frétille à l’idée de sortir, comme une bête lubrique. Nous descendons dans le garage de la villa. Je le fais monter dans le coffre de la voiture. « Sois propre et sage » lui dis-je. Nous roulons ensuite, à un rythme lent, en direction du bois des branleurs.

Quand l’esclave sort de la voiture, il doit se tenir à quatre pattes, en évitant de s’écorcher les genoux.

Je saisis la boucle en cuir de la laisse et mène le soumis jusqu’au pied d’un grand chêne. Je lui avais interdit d’uriner à la maison. Cela fait des heures qu’il se retient. J’imagine sa vessie douloureuse et le soulagement qu’il va ressentir. Sur un simple signe de tête, il lève la patte. Un jet long et puissant surgit de son méat et vient arroser le pied de l’arbre.

Un homme s’approche déjà. Il a sans doute vu la lumière des phares de la voiture. La cinquantaine dégarnie, un vieux pardessus sur le dos. Pas très beau, mal rasé. Sa braguette est ouverte. Il sort sa bite. Une belle érection assurément. Doucement il commence à se caresser.

Mon soumis joue les timides, il n’ose pas regarder. Je tire un coup sec sur la laisse pour amener sa tête à portée de la queue. Le type se branle plus fort. Il décalotte son gland. Je vois une goutte briller au bout.

L’esclave s’agite. L’homme lui fait peur.

Deux autres se joignent à nous, formant déjà un petit groupe. Il y a un gros rougeaud qui souffle bruyamment et un grand gars plus sec, le visage taillé à la serpe. Les trois hommes se tiennent à distance respectueuse de moi. De toutes manières, c’est le soumis qui les intéresse.

Le maigrichon visiblement plus hardi que les autres finit par prendre la parole :

– Assurément une belle salope que vous avez là, Madame. On peut toucher ?
– Mais oui, bien sûr. Elle est là pour ça.

L’homme ne se fait pas prier. Il saisit un téton de mon esclave entre deux doigts et le pince méchamment. Le soumis glapit et cherche à se dérober. Je lui rappelle les bonnes manières d’un grand coup de martinet sur les fesses.

Les types se branlent. L’échalas se tient devant, le gros et le vieux chacun d’un côté, mon esclave est bloqué. Il sait qu’il ne doit pas bouger, rester à quatre pattes comme un chien.

Je décroche la laisse pour permettre au petit groupe de profiter à son aise de la situation.

La bite de l’homme maigre est rouge vif, le gland violet. Une belle pièce, sans être d’une taille phénoménale. Il la frotte sur le masque du soumis, insistant sur les lèvres.

J’ordonne : « sors la langue esclave ! »

Il ouvre la bouche et le bout de chair rose émerge. Le grand type sec guide son sexe de la main vers cette langue offerte. Son gland se couvre bientôt de salive.

Mon esclave ne semble pas réagir mais je vois sa petite queue se tendre sous son ventre et battre au rythme de son excitation.

L’homme maigre dit :

– Puis-je utiliser la bouche de cette salope, Maîtresse ?
– Je vous en prie.

Il saisit le masque en cuir pour rapprocher la tête du soumis. D’un coup brusque, il enfonce son pénis bien tendu jusqu’aux amygdales de l’esclave qui s’étouffe, manque de régurgiter.

Il n’en fallait pas plus au gros rougeaud. En grognant comme un porc il décharge. Son sperme s’écoule en pluie sur le sol. Quelques gouttes tombent sur le dos du soumis. Le bonhomme s’éloigne ensuite, honteux.

Deux autres branleurs nous rejoignent, un jeune et un gars plus âgé, plutôt râblé. Le jeune se propose aussitôt de lécher le cul du soumis. Je n’y vois pas d’inconvénient. Comme je l’ai dit, mon esclave est entièrement épilé. Il est propre également, son dernier lavement remonte à deux heures.

Le jeune s’accroupit et distribue des baisers sur les fesses de mon familier dont le grand type maigre continue d’occuper la bouche. Le soumis est incapable de protester, il ne peut qu’émettre des gargouillis et des gémissements étouffés.

J’ai envie de me caresser mais je ne leur laisserai pas penser que le spectacle qu’ils donnent m’excite.

Le jeune homme lèche le cul de mon esclave. Il tourne autour de l’anus avec la langue, crache dedans.

L’homme râblé dit : « oui, bien, vas-y mon gars, prépare le cul de cette salope ».

Je regarde sa verge tendue. Il est vraiment bien membré, exceptionnel. Mon esclave n’a pas été enculé depuis des semaines, j’imagine déjà son anus dilaté par cette énorme queue. Dommage qu’il porte un masque, j’aimerais voir ses grimaces de souffrance.

L’homme râblé a pris la direction des opérations. Je laisse faire, la situation m’amuse. Il ordonne à mon esclave de sucer tous les hommes présents. L’échalas proteste, dit qu’il était là le premier. Le vieux n’est pas intéressé, il est juste venu là pour se branler.

Je finis par trancher : mon esclave sucera les volontaires à tour de rôle.

– Elle peut toujours jouer les pucelles effarouchées, se moque le gars musclé, regardez comme elle agite son croupion, cette fiotte apprécie le traitement ! Allez viens me lécher les couilles !

Il se masturbe au-dessus du visage de mon esclave qui avidement lui nettoie les testicules à grands coups de langue. Le plus impressionnant, dans cette verge, est moins sa longueur, hors-norme je l’ai déjà dit, que son épaisseur. Je ne sais même pas si je serais capable d’en faire le tour avec deux doigts. Malgré l’obscurité, j’aperçois l’énorme veine qui irrigue le corps caverneux. Le prépuce est gros également et couvre presque le bout de la bite.

– Ouvre grand la bouche que je la baise !

Le soumis s’exécute tout tremblant et voici que le mastard introduit son énorme bite si profondément que le gland vient buter contre le palais, provoquant un haut le cœur.

– Tu ne sais pas ce que tu rates, dit le costaud au vieux, c’est chaud et humide, tout ce que j’aime ! Allez salope,
chatouille-moi le trou de l’urètre avec la langue, pompe-moi bien… Qu’est-ce que tu attends ? Crache dessus ! T’as intérêt à ce qu’elle soit bien mouillée, ma bite, vu que je vais te la mettre dans le cul.

Il joint bientôt le geste à la parole. Le soumis est toujours à quatre pattes, le cul offert. Le costaud dit au jeune d’écarter les fesses de mon esclave. La pastille brune de l’anus est bien visible. Dans l’instant, je me dis qu’il est tout à fait impossible que l’énorme queue pénètre un si petit orifice. L’homme n’en a cure. Il crache dans sa main et dépose la salive sur le sphincter qu’il va perforer, saisit le soumis par les hanches, ne tenant aucun compte de ses gémissement de protestation et, sans plus de préparation, enfonce sa bite entière d’un coup. Mon esclave pousse un grand cri tant de douleur que de surprise d’être possédé aussi vite. L’échalas profite de la bouche ouverte pour y loger sa queue.

Ainsi mon soumis est-il pris par deux hommes, un dans son cul, l’autre entre ses lèvres, pendant que deux autres se branlent frénétiquement en les regardant.

Le gars costaud encule mon esclave sans ménagement, lui donnant de grandes claques sur les fesses. Il se tourne vers moi :

– Elle est bonne, ta salope, j’apprécie son cul, serré comme je les aime. Si tu veux perfectionner son éducation, tu peux me la confier sans souci, je veillerai à ce qu’elle soit bien obéissante et que son anus ne se referme jamais.

Un mince filet de liquide séminal, brillant sous la lumière des phares, s’écoule de la queue de mon familier. Il ne ressent plus la douleur, juste un sentiment de soumission totale, l’idée au plus haut point excitante d’être livré comme un vulgaire objet aux plus bas instincts d’hommes virils et sauvages, sous les yeux de sa Maîtresse qui, il en est certain, rit de sa déchéance et de son humiliation.

– Les gars, je vais cracher la purée ! hurle le mastodonte.

Aussitôt il se retire et expulse de puissants traits de sperme sur les reins de mon esclave. Les voyeurs ne se retiennent plus et ils éjaculent également, répandant leurs semences sur le dos du soumis. Reste l’échalas qui arrose, en émettant d’étranges cris de souris, la bouche qu’il vient de baiser. Des gouttes giclent sur le masque. Il les éponge d’un doigt qu’il fait ensuite sucer à mon familier.

Les hommes sont partis. Ils se sont fondus dans l’obscurité, aussi vite qu’ils étaient venus. Reste mon esclave, toujours à quatre pattes, tremblant, couvert de sperme.

Je me penche vers lui, rattache la chaîne à son collier.

– Debout, lui dis-je. Nous rentrons à la maison. Toi tu rentres dans le coffre, je n’ai pas envie de salir la banquette arrière !

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