Coucou je suis Nadège, travestie passive et soumise à un homme qui je ne sais comment avait réussi à faire de moi sa chose.
Je venais de me réveiller, toute ankylosée, l’anus me faisant souffrir le martyr, les bras bloqués dans le dos par un carcan et un collier m »enserrant le cou était relié via une chaine à un anneau fixé au mur. Mon maitre me regardait avec un sourire moqueur.
Alors petite chienne, bien dormie ?
Non, j’ai mal détachez moi ! On arrête de jouer là , ça va trop loin !
À peine avais je finis ma phrase, que je reçus un coup de pied entre mes fesses au niveau de mon sexe. Je m’écroulais au sol en hurlant ma douleur. Des coups de cravaches suivirent sur l’ensemble de mon corps. Je me tortillais en vain en essayant d’éviter les coups. Je m’évanouis finalement perclus de souffrance.
À mon second réveil j’étais allongée sur le ventre et j’étais écartelé les bras et les jambes attachés. Je sentais aussi mon anus distendu et un objet long et large profondément enfoncé en moi qui vibrait doucement. Ma bouche était bloquée garnde ouverte par un cylindre creux et je portais toujours le collier autour de mon cou. Je tentais vainement de bouger mais j’étais trop bien attacher.
– Je vois que tu te réveilles enfin, alors écoutes moi bien je ne veux plus t’entendre te plaindre tu m’as bien comprise sinon tu vas recevoir une véritable punition d’accord ?
J’essayais de lui répondre mais je ne réussis qu’à produire des gémissements.
Je considère que tu est d’accord, dit il et il s’éloigna hors de ma vue plutot restreinte vue ma position. J’entendais ses pas dans la pièce, puis une conversation lointaine et je le vis revenir vers moi une seringue à la main. Il m’injecta un produit dans le bras en me disant de me détendre et je m’endormis. Je me réveillais dans une pièce cubique de 2 mètres de largeur éclairé par une ampoule nue au plafond. Je portais toujours mon collier. J’étais vétu d’un corset très serré et d’une culotte fendu derrière, d’une paire de bas noir et d’un porte-jaretelles noire lui aussi et des escarpins avec des talons de 10 cm . Un haut parleur encastré et une caméra, le tout fixé au plafond complétait le décor.
La voix de mon maitre retentit m’ordonnant de me mettre à genoux. Je refusai et alors que j’allais exprimer mon refus je reçu une décharge électrique au cou qui me fit tressaillir et pousser un cri. Je me jettai au sol, obéissante et vaincue.
Je n’ai pas aimé ton attitude rebelle donc tu vas être punie et tu me remerciera à l’issue tu m’as bien compris
J’étais perdue, je ne pouvais me rebeller sans crainte d’être punie et puis il avait aussi de quoi me controler avec les photos et les vidéos en sa possession. Je répondis sur un ton soumis: » Oui maitre »
Là je vis une trappe s’ouvrir au plafond et une echelle de corde se dérouler jusqu’au sol. Je grimpais et j’aboutis dans un coin du donjon que je connaissais déjà. Mon maitre me désigna un tapis de marche sur lequel il m’attacha. Il me fit me pencher et m’enfonça sans préparartion un plug entre les fesses. Je réussis à retenir un gémissemnt de douleur. Je le sentis vibrer aussitot et commencer à grossir dans la foulée. Le tapis se mit en marche et je fis de même pour éviter d’être éjecter.
– Tu vas faire une demi heure de marche et tu recevras des coups de cravaches que tu compteras docilement sans te plaindre et à haute voix.
Le premier coup cuisant s’abbatit alors sur mes fesses et je me mis à compter. Le Plug lui grossissait progressivement rendant la marche plus difficile au fur et à mesure. Les coups se firent moins douloureux et les vibrations commençait à me rendre dingue, je ressentais bien malgré moi du plaisir et je jouis sans même avoir d’érection. Mon maitre s’en rendit compte et arrêta la machine en me traitant de chienne lubrique. Il me détacha du tapis enfin du tapis et me libera du godeenfoncé en moi. Je ressentis un grand vide qu’il combla en m’enfonçant sans préparatif un rosebud de belle taille, cela dit il rentra sans difficultés me procurant au passage une certaine jouissance. Puis voyant ma docilité il me dit de venir chercher ma récompense. Je me précipitais vers lui, me jettant à ses pieds pour ouvrir son pantalon et commencer une fellation d’enfer. Je ne comprenais plus ce qui m’arrivait. Je voulais le faire jouir dans ma bouche, je voulais lui donner du plaisir, qu’il soit fier de moi. Sa main caressait ma tête et il m’encourageait, j’aimais ça. Et finalement il jouit dans ma bouche s’enfonçant bien pour être sur que j’avale tout. Je m’attachai à bien tout avaler, nettoyant sa queue de ma bouche affamée. Il me félicita puis me tendis un manteau court en me disant de l’enfiler. Il me dit de le suivre et il me guida dehors ou m’attendais le taxi, le même que la dernière fois. Je ne comprenais plus rien, pourquoi me mettait il à la porte ?
À l’extérieur la nuit tombait et le taxi me demanda d’un air coquin comment s’était passé mon week-end. Sur la banquette arrière à coté de moi une valise de cabine était posée. Le chauffeur arrivé devant chez moi descendit m’ouvrir la porte et s’empara de la valise au passage. Il verrouilla son véhicule et me suivit jusqu’à mon appartement ou il me poussa à l’intérieur une fois la porte ouverte.
Il posa la valise dans l’entrée et me fit retirer le manteau que je portais, la porte toujours ouverte. J’étais là debout face à lui en tenue de salope, attendant que quelque chose se passe. Il ouvrit son pantalon en me faisant signe de la tête et là encore sans réfléchir, avec envie, je me précipitais sur son sexe pour le prendre en bouche. Mais que m’arrivait il ? Dès que je voyais une queue il fallait que la prenne en bouche. Je m’appliquais et au bout d’un moment je le sentis grossir et et s’agiter de plus en plus en plus. Je reçus son sperme au fond de la gorge l’aspirant avec délice. Je veillais là encore à bien lui nettoyer sa bite avec ma bouche. Il apprécia et me traita de bonne salope en rangeant son engin dans son pantalon, puis il me laissa là toujours à genoux face à la porte d’entrée qu’il venait de refermer derrière lui.
Je me levais au bout d’un petit moment encore abasourdie par mon attitude, j’étais entrain de devenir une vraie chienne lubrique. Je me relevais et trop fatiguée allais me coucher sur mon lit encore en tenue.
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