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Je suis un époux lopette

Je suis un époux lopette



Je suis marié depuis plus de 10 ans. On s’excite très souvent en se racontant des histoires quand on fait l’amour.
Cela m’excite que ma femme me donne des détails sur la façon dont elle était baisée par ses amants précédents. Quand je n’en ai pas assez, je la questionne et elle répond.
Je suis jaloux de savoir que celui qui m’a précédé baisait bien et avait un beau zob. Elle me dit qu’il lui défonçait la chatte plusieurs fois dans la nuit et qu’il la tenait par les cheveux pour lui tirer la tête quand il voulait se faire sucer.
Elle me décrit son corps musclé et qu’elle aimait caresser. Je ne suis pas très musclé et je ne la baise pas plusieurs fois par nuit. Je ne sais pas si ce qu’elle me raconte est vrai ou imaginé mais, quand les scènes décrites montrent la performance de ce mâle, je lui lèche la chatte.
Il m’est arrivé de jouir en la léchant quand elle me disait prendre son pied avec l’énorme zob de ce playboy. Je l’imaginais en levrette se faire enfiler longuement comme elle me le décrivait. Elle le suçait après s’être fait prendre, ce qu’elle ne veut pas faire avec moi.

Il y a quelques temps, elle a découvert le chat sur Internet et s’est mise à discuter avec des hommes. Dans un premier temps, je lui ai interdit mais elle a su me convaincre au lit en me racontant de nouvelles histoires cochonnes.
Elle me proposait de me raconter ce qu’elle faisait avec son amant actuel jusqu’au jour où elle me dit :
– Tu aimes que je jouisse, peu importe comment ou avec qui ?
Mon amour est tel que je lui réponds :
– Oui, mon bonheur est que ta chatte soit toujours dans le bonheur !

Je lui léchais la moule quand elle racontait des histoires. Elle aimait ça. C’est dans cette situation qu’elle me propose d’accueillir son amant à la maison plutôt que d’aller à l’hôtel. Je ne savais pas si c’était du lard ou du cochon…
Dans une conversation plus sérieuse, elle m’indique donc que, mardi après midi, son amant venait et que j’aurais plaisir à le rencontrer!
En effet, le jour indiqué, Omar (c’est son nom) sonne au portillon. Il entre dans le salon, ils s’embrassent langoureusement devant moi. L’homme parle un peu avec moi, boit un café puis ma femme propose de monter en chambre. Je reste au rez-de-chaussée comme un con !
Au bout d’un moment, je ne tiens plus et vais écouter derrière la porte. J’entends quelques gémissements, Omar lui dit : « T’arrête pas, encore salope ! ».
Je m’aperçois que cela me fait bander.

Deux heures plus tard, Omar s’en va après m’avoir salué et ma femme me dit : « Tu veux que je te raconte ? ».
Excité comme je l’étais, je lui dis oui mais au lit, après une douche. Ma femme sort de la douche, commence par me sucer goulûment, puis m’embrasse et me dit « je vais te raconter… ».
Dès le début de l’histoire qui me place en situation de mari lopette, je descends ma bouche sur ses seins puis je lèche sa chatte. D’abord, j’aspire son énorme clitoris, puis je fouille son vagin avec ma langue. Cela m’excite comme un fou quand elle me dit : « Allez cocu, lèche-moi la chatte ! Une grosse bite vient d’en sortir, tu aimes ça parce que ma chatte doit avoir le goût de la bite de Omar ! ».
Je sens l’excitation monter en moi et je jouis sans la faire profiter, ce qu’elle me reproche d’ailleurs.

La semaine suivante, après l’arrivée de Omar, elle me propose de leur monter une coupe de champagne pendant leurs ébats. Je souhaite tellement voir la scène que je ne refuse pas.
Au bout de trois quarts d’heure, je frappe à la porte, j’attends qu’on me dise d’entrer. J’entre au moment où ma femme taille une belle pipe à Omar. A moi, elle n’aime pas trop en faire !
Je patiente puis leur offre la coupe. Omar renverse un peu de champagne sur la chatte de mon épouse puis essaie de récupérer le champagne en la léchant. J’assiste à la scène et, une fois de plus, je constate que je bande.
Le fait que je ne baise plus comme avant avec ma femme, depuis qu’elle a un amant, fait que j’accepte cette situation de lope.
Pour la fois suivante, elle me demande de leur servir le champagne en string léopard (qu’elle m’a acheté) et sans rien d’autre. Je m’exécute mais cette fois, je ne peux cacher mon érection. Omar m’invite donc à participer, il me demande de placer moi-même son gros zob à l’entrée du trou de ma femme.
Excité, je prends donc en main cette belle queue, bien raide et la place à l’entrée de la chatte de ma chérie qui transpire. Omar défonce donc mon épouse devant moi, à quelques centimètres de mon nez. C’est vrai qu’il baise mieux que moi !

Il dure longtemps, sa bite est plus épaisse que la mienne. Quand ils jouissent en gémissant au même moment, je bande comme un taureau. Ma femme m’invite à lui lécher la chatte, elle me dit : « Pour me faire tirer, je préfère la queue de Omar, mais c’est ta langue que j’aime ! ».
Je m’approche rapidement de sa chatte, prends son clitoris à pleine bouche, l’aspire et le titille avec ma langue. Omar nous observe. Ma femme me dit : « Comme d’habitude, la langue au fond du trou ! ».
Je m’exécute mais le jus de son amant est là et je m’en prends plein la bouche. J’avale son sperme. Quand elle jouit et me prie de m’arrêter, c’est lui qui me demande de le nettoyer avec ma langue.
Au point où j’en suis, je lèche le contour du gland de l’amant ainsi que sa tige, humide de la moule de mon épouse et de son sperme encore chaud.
Après cette après midi active, nous avons bu un café ensemble.

Depuis, j’ai l’impression d’être un peu lope, mais on fait l’amour plus souvent à 2, même si c’est moi qui lèche beaucoup et, de temps en temps à 3, mais c’est moi encore qui lèche, suce mais je jouis.
Le pire est la fois où Omar est venu quand ma femme n’était pas là. Il m’a dit de rester en string car il ne voulait pas voir mon petit zizi, mais il souhaitait amortir son voyage.
Conclusion : il me demande de lui tailler une bonne pipe. Chose faite.

Ce jour là, Omar n’a pas eu de scrupule, il ne m’a pas averti quand il a eu sa montée de jus, je me suis tout pris dans la bouche et j’en ai avalé. Il faut avouer que je comprends ma femme : il a une belle queue, très bonne à sucer même quand j’ai avalé. Son jus crémeux et chaud est délicieux. Sa bite reste dure longtemps, elle est résistance malgré mon engouement et ma ferveur quand je suce.
J’accepte la situation car je ne peux pas offrir de telles parties de baise à ma femme. Puis sucer correspond bien à moi, je baise moins bien que Omar, j’ai moins de résistance, ma queue est plus fine et ne tient pas longtemps.

Si vous êtes comme ça, n’hésitez pas, sucez, c’est bon aussi !

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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