Durant notre séjour estival, nous avons essaye tous les objets que Véro avait amené.
Nos journées et nos nuits sont rythmées par nos jeux.
Souvent tendres , nos séances peuvent être aussi plus pimentées.
Véro aime dominer mais aussi être soumise.
Elle apprécie quand je l’attache, lui fait sentir la caresse de la cravache sur son postérieur tendu .
Les pinces sur les tétons font parcourir son corps d’ondes de plaisir.
Elle aime aussi les mots crus, veut que je lui dise que c’est une bonne salope quand je la pénètre en levrette alternant les coups de butoirs dans sa chatte et dans son cul.
Une double pénétration n’est pas, non plis, pour lui déplaire, bien au contraire et quand j’ai obtenu sa jouissance , je prend la mienne en déversant mon foutre dans sa bouche et sur son visage.
La réciproque est vraie aussi et, à mon tour, je subis les rigueurs de ma Maîtresse. La coquine a acheté un gode ceinture dont elle se sert pour me pénétrer longuement.
J’aime sentir ses mains sur mes hanches, j’aime le claquement de sa main sur mes fesses, j’aime être sur le dos, la regarder me fouiller.
J’aime prendre mon plaisir de sa main lorsque je suis entrepris de la sorte.
A mon tour, je dois l’honorer comme une déesse massant amoureusement, langoureusement, toutes les parties de son corps, léchant avec passion ses endroits les plus secrets.
Mes seins font aussi l’objet de ses attentions. Elle les pince, les mordille et je ne peux m’y soustraire attaché les bras et jambes en croix.
Elle a profité d’un de ces moments ou je suis à sa merci pour me raser intégralement le corps.
Je suis maintenant totalement lisse.
Je subis avec délectation toutes les tortures qu’elle m’inflige.
Ces relations, plus DS que SM, se pratiquent entre amoureux, respectueux l’un de l’autre.
Ce ne sont que des prétextes à des jeux ou nous trouvons elle et moi notre plaisir.
J’ai enfin pu découvrir ce que contenait le sachet noir.
Un matin, elle l’a ouvert. Sa moue s’est faite rieuse.
Elle me fait signe d’approcher .
– Tiens, mon amour, c’est un cadeau pour toi , me dit elle en brandissant une cage de chasteté, rutilante de son inox immaculé.
– Je vais te l’essayer .
Cette situation m’a excité et je me suis mis à avoir une belle érection.
– Comment veux tu que je t’enfile ça si tu bandes, rit elle, ne bouges pas !
Elle revient avec un sac de glaçons qui a vite fait de me faire débander.
La cage enfin en place, fermée par un joli cadenas ,elle met la clé sur la chaîne autour de son cou.
Elle me demande ce que j’en pense.
– C’est terriblement excitant et frustrant à la fois.
– Pour moi aussi c’est excitant, touches.
Elle est, en effet, toute trempée.
-Si on allait à la plage de l’autre jour ?
– Oui, si tu veux. Tu me libères ?
– Non, pourquoi? t’es tout mimi comme ça !
– S’il te plait ! Et si on voyait Paule et Christian ? Je vais avoir l’air de quoi là bas ?
– Mais mon amour, de ce que tu es, le gentil soumis de sa vilaine Maîtresse ..
– Trés drôle,tu vas me le payer !
– Des promesses, toujours des promesses, me rétorque t elle en riant .
Soit, je décide de jouer le jeu à fond et nous partons sur la plage naturiste.
Je crois n’avoir jamais ressenti un tel mélange d’humiliation et d’ivresse que cet après midi là.
Dans les yeux des gens qui ont pu s’apercevoir de mon état, j’ai vu du mépris, de l’excitation, de l’intérêt, de l’amusement, de la moquerie.
J’ai rougi au départ, Véro s’est moquée de moi, j’ai soutenu les regards au final.
Un macho, dragueur des plages, ayant vu mon sexe encagé, a cru flairer l’aubaine et a demandé à la Miss si elle serait partante pour que sa lope les regarde baiser dans les dunes.
Elle l’a toisé durement et l’a rabroué sans ménagement lui disant » qu’elle ne baisait pas avec des petites bites »
Vexé ,il s’est relevé en la traitant de « salope ».
Je me suis levé , il a décampé sans demander son reste.
En fin d’après midi, la tension sexuelle entre nous était à son paroxysme.
Elle m’a , enfin, libéré et m’a entraîné dans le dunes.
Nous y avons fait l’amour tendrement .
Des voyeurs ayant repéré notre manège se sont approchés et n’ont pas manqué de se masturber en nous regardant, espérant, je le suppose, plus.
Elle s’est penchée vers moi et m’a demandé :
– Tu vois comment ils bandent ? Tu crois que c’est pour moi ou pour toi ? déclenchant son orgasme suivi du mien.
Ajouter un commentaire