Les soins à mère-Grand.
Ce matin, c’est mon tour de m’occuper de faire la toilette de mère-grand, mais je suis trop fatiguée pour pouvoir assurer et je vais demander à Julien de le faire à ma place. En effet, mère-grand est pratiquement paralysée dans la partie inférieure de son corps, suite à une chute à cheval.
– Julien, j’ai un service à te demander, aujourd’hui, je suis trop fatiguée pour m’occuper de mère-grand et c’est mon tour, pourrais-tu me remplacer.
– Oui, mère, je ne demande que cela, j’aime bien mère-grand et je m’en occuperai bien.
Voila, la suite du récit de la part de Julien. Il arrive dans la chambre de mère-grand et lui annonce le bonjour et précisant qu’aujourd’hui, c’est lui qui se chargera de lui faire sa toilette.
– Mais mon petit fils, c’est une rude tâche pour toi, tu sais que je suis paralysée des jambes !
– Oui, mais je suis assez fort pour le faire, Je vais déjà te mettre dans ton fauteuil pour t’amener dans ta salle de bain. Mais avant je vais te faire couler un bon bain.
– Mets l’eau assez chaude, j’ai un peu froid ce matin et n’oublie pas la pommade pour le dos.
Après avoir bien rempli la baignoire d’eau, il prend sa mère-grand, l’installe sur son fauteuil roulant et l’amène dans la pièce d’eau. Là, il la déshabille.
– Je suis un peu honteuse de te montrer mon corps, minaude mère-grand, c’est pas un spectacle très agréable à voir.
– Mais mère-grand, le but n’est pas de faire un spectacle, mais de te prodiguer des soins. Viens que je te mette dans la baignoire.
Délicatement, Julien lui prend les bras, les passe autour de son cou et la soulève pour la mettre dans la baignoire. Il remarque que son dos n’est pas très joli-joli. Il y a plein de croûtes pas très belles.
– Mère-Grand, qu’est-ce que tu as dans le dos, tu ne te soignes pas ?
– Moi, je ne peux pas, mais il y a négligence de la part des soignants et le fait de rester toujours couchée, cela a tendance à faire ceci.
– Je vais bien m’occuper de toi ! Mais en premier, on va bien laisser tremper le dos pour ramollir ces croûtes pour pouvoir les enlever, puis je te traiterai ton dos avec en alternance, sucre et bépanthène.
– Pour commencer on va faire le coté face, continue Julien
Il prend une lavette et un morceau de savon de Marseille et il commence à lui laver le visage, puis les épaules, les bras sans oublier les petits écureuils blancs tapis sous ses bras. Il att**** un sein par le téton pour le soulever et bien nettoyer sous le sein, où il lui semble que c’est un peu la même chose que le dos en moins grave. En frottant bien, la croûte part et la peau apparaît comme neuve, il rince bien et traite l’autre de même manière.
– Julien, tu es vraiment un excellent infirmier. Qu’est.ce que tu t’occupes bien de moi, mais quand tu me tritures les seins, cela réveille en moi des souvenirs que je pensais enfouis à jamais. J’ai la minette qui tressaille.
– Attends un peu ! Faisons les choses dans l’ordre. D’abord je vais doucher un peu ce que j’ai nettoyé.
– Oui, j’attends.
– Tu peux un peu te redresser que je voie comment va ton dos ?
Il lui passe la lavette, sans savon sur le dos et un peu des croûtes se détachent.
– On va encore laisser l’eau agir sur ton dos, maintenant, voyons voir ton ventre, il y a aussi quelques replis à nettoyer dit-il en enduisant la lavette de savon et là aussi, le nettoyage précédent a été un peu négligé. Il s’applique à rendre la peau comme neuve.
– Si tu soulèves encore un peu ton bassin, je vais encore nettoyer ton pubis. Oh ! Que vois-je émerger d’entre la forêt de poils blancs ? Quel est ce petit pénis qui ressort ? Il me semble mère-grand que tu es excitée sexuellement ! C’est mon nettoyage qui provoque cela ou le fait que ce soit moi ?
– Cela doit être tout cela et encore le fait que personne depuis longtemps me l’a fait avec tant de douceur. Oui, je suis sexuellement excitée. Si tu continues à descendre ton doigt vers mon intimité, tu verras comme c’est humide et pas de l’eau du bain.
– Alors, je vais bien nettoyer ceci et après on passera du coté pile pour le nettoyage complet et quand ce sera fini, je vais te doigter pour t’offrir un petit plaisir. J’espère que ton coeur est bien accroché !
– Je n’osai pas te le demander, mais je vois que cela t’excite aussi de me triturer et je vois que tu bandes fort, je te ferai aussi une petite gâterie.
Ayant retourné sa mère-grand, il put constater le désastre du manque de soins, Plusieurs replis de la peau sont à chaire vive. Vraiment, il était temps de la soigner comme il faut, ce qu’il va faire pendant 2 à trois jours pour stabiliser, voir guérir tous ces problèmes de peaux.
– Je vais chercher du sucre en poudre pour traiter les parties à nu, j’ai lu récemment que c’était un bon remède, sans effet secondaire.
– Fais mon chéri, vraiment tu es un amour de t’occuper si bien de ta grand-mère. Mais je me représente bien que cela ne sera pas éternel, tu as tes études à mener. Ce qui serait bien, c’est d’avoir une aide soignante.
– Je vais essayer d’organiser cela avec mes parents. Voila, maintenant ton dos est bien traité et tu as le rectum tout propre. Viens que je te sèche et mette dans un peignoir, je vais t’asseoir sur le fauteuil en attendant que je change tes draps de lit.
Une fois ceci fait, Julien la prend dans ses bras, l’habille pour le lit en lui mettant une très belle chemise de nuit. Il en profite pour lui mettre la main entre les jambes pour la doigter comme il lui avait promis. Elle prend un bon orgasme et déclare qu’elle ne pourra pas tenir sa promesse aujourd’hui, elle est un peu trop fatiguée.
– c’est pas grave, repose-toi bien, demain, je vais encore m’occuper de toi, ou autrement si tu as besoin, tu m’appelles.
Le soir venu, Julien pose la question d’avoir une aide soignante, mais ses parents sont un peu opposés, cela coûte de l’argent et on ne roule pas sur l’or.
– Bon pendant les vacances et les week-ends je veux bien le faire, mais on ne peut la laisser sans soin, c’est presque criminel. Je vais vois alors avec le curé si il ne connaît pas une bonne âme.
– Tu es sûr que c’est une bonne solution, murmure sa mère un peu alarmée.
– Il faut bien qu’il serve à quelque chose d’utile, pour le moment, c’est pas trop le cas.
– Je suis d’accord avec toi, ricane son père.
Une visite chez le Curé
Julien prend rendez-vous avec le curé pour exposer une problème familial. Il est reçu dans la cure avec un service de thé et monsieur le curé qui l’attend en se demandant comment cela va se terminer. Il ne se sent pas très à l’aise après la petite passade avec Rita. Il n’a pas osé la relancer et elle-même n’est pas revenue pour faire son ménage.
– Bonjour Monsieur le Curé, veuillez m’excuser, mais j’ai de la peine à vous appeler mon père.
– Il n’y a pas de problème. Qu’est-ce qui me vaut votre visite ?
– C’est pas pour vous parler de ma mère, mais pour obtenir votre aide éventuelle pour ma grand-mère. Elle est relativement paralysée et ni mon père, ni ma mère lui font les soins qu’elle mérite. Je m’en suis occupé ces trois derniers jours, cela va mieux, mais j’ai été un peu surpris dans quel état elle était.
– C’est très bien, j’allais dire mon fils par habitude, mais je pense que vous y êtes aussi rétif, je vous comprends. Je vais voir dans mes ouailles, si il n’y en a pas une qui aurait une petite formation d’infirmières, je crois que la madame Dupont-Durand était au moins aide infirmière à l’hôpital et elle est forte pour pouvoir éventuellement la déplacer.
– Merci, c’est bien là le problème pour ma mère, elle n’a pas la force pour la manipuler, mais il me semble bien que Jacqueline Dupont a le gabarit pour. J’espère que son tarif n’est pas trop élevé, mes parents ne roulent pas sur l’or.
– Je lui parlerai de ne pas exagérer avec les tarifs et de faire preuve de piété chrétienne.
– Parfait, merci de votre soutien et je ne m’attendais pas à accord si bon pour nous.
– Comme je vois que tu as fait le premier pas dans la bonne direction, il est normal que le soutien de la religion soit aussi pas un vain mot.
– Au revoir et faites moi savoir quand elle peut commencer.
– J’y manquerai pas. Mes salutations à votre madame votre mère.
– Humm, sans commentaire.
De retour à la maison, Julien annonce à ses parents qu’il y a possibilité que les soins de mère-grand soient assurés par Madame Durand, moyennant un petit pécule.
– De nouveaux des frais grommelle le père.
– C’est pas plus cher que la chasse à la bécasse avec Madame la Baronne.
– Cela ne me coûte rien, juste un peu de ma personne.
– J’aimerai bien voir cela.
– Tu veux participer la prochaine fois ?
– Je ne suis pas trop chasseur, mais pourquoi pas, cela pourrait être intéressant.
Juste avant de partir à la chasse, ils reçoivent un téléphone de Madame Dupont, pour les soins.
– Bonjour, j’ai reçu une information de notre curé que je devrai me mettre à votre disposition pour les soins de votre grand-mère.
– Oui, je lui ai demandé de l’aide pour quand je ne suis pas là, mes parents n’arrivent pas à assurer ces soins, mais quand je ne suis pas aux études, je peux l’assurer. Après demain, je parts avec mon père pour 2 jours de chasse dans l’ouest. Si vous pouviez passer demain, je vous monterai ce qu’il faut faire.
– C’est en ordre. Pour les frais, ce sera 10 francs. Cela vous va. Je serai là à 8h du matin.
– C’est parfait.
Le lendemain, se présente une créature de rêve pour certains, Madame Dupont-Durand, Médaille de bronze en body bulding
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