Nous sommes le vendredi 24 juillet 2015, il va bientôt être 18h30 ; je me suis préparer pour aller diner avec nos voisins Marie et Jean-Louis. Je regarde la télévision en attendant que maman est fini de se préparer. Après plusieurs minutes d’attentes, maman descend, je me lève pour mettre mes chaussures et j’aperçois enfin ma mère qui est en train de mettre ses chaussures.
_ »Waooo… Maman tu es éblouissante »
_ »ça te plait, j’espère qu’ils seront comme toi »
Maman est splendide, elle porte une jolie robe courte d’été à froufrou avec des imprimés de fleurs mauves ; qui dévoile très bien ses jambes, qui sont mises en valeurs par ses sandales à talons aiguilles.
_ »Alex si tu es prêt on peut y aller »
_ »C’est bon pour moi »
En sortant de la maison j’en profite pour faire glisser ma main sur ses fesses. Je ferme la porte à clé et récupère maman qui a pris un peu d’avance ; On va au centre du village où se situe la maison de nos hôtes, on tape a la porte et on attends que l’on vient nous ouvrir.
_ »Bonsoir, bienvenue chez nous »
_ »Bonsoir merci de nous inviter »
_ »C’est un plaisir de vous accueillir, on se voie si peut. »
Marie et Jean-Louis sont venu nous ouvrir, on se fait tous la bise et c’est à ce moment que Marie se décale par rapport a son mari ; elle est ravissante, très sexy, elle porte une robe de soirée bleue, dos nu, qui dessine magnifiquement bien son cul.
_ »Rentrer, on sera plus à l’aise »
Je suis ma mère qui suit Marie et Jean-Louis, et après la vision du corps de Marie je suis émoustillé, je mets la main aux fesses de maman qui pousse un bruit de désaccord « NuNuNu ».
On arrive dans le salon qui est immense ; ils nous invitent à nous assoir dans leur canapé d’angle qui lui aussi est gigantesque. Maman s’assoie sur la partie du canapé qui donne sur la télé.
_ »Tiens assis toi là Alex, tu seras bien » me dit Marie qui me montre le retour du canapé
_ »Que souhaitez-vous boire ? Patricia ? »
_ »Si tu as une limonade, sinon un Coca »
_ »Et toi Alex ? »
_ »Un coca s’il te plait »
Marie sort des gâteaux d’apéritif puis elle vient s’asseoir a mes cotés ; Jean-Louis nous rapporte nos boissons et va s’asseoir prêt de ma mère. On trinque, on discute, on plaisante ; je remarque que Jean-Louis se rapproche de plus en plus de ma mère et qu’il est plutôt entreprenant malgré la présence de sa femme. Il pose sa main sur le genou de ma mère, qui ne réagi pas ; ne sentant aucune résistante, il fait glisser sa main sur la cuisse de maman, qui cette fois lui saisie et la retire. Mais Jean-Louis semble bien exciter car il recommence immédiatement a lui toucher le genou. Pendant ce temps alors que l’on continue a discuter je sens quelque chose sur ma cuisse, je baisse alors les yeux et je constate que c’est la main de Marie ; Je suis étonné et de plus en plus gêner de cette situation. Le regard de maman et le mien se croissent on se fait signe, et l’on se comprend.
_ »Je suis navrée, mais que faites-vous ? » dit-elle en repoussant la main de Jean-Louis.
_ »Comment expliquer… Nous sommes plutôt libres et on aime bien faire de l’échangisme »
_ »Je comprend mais qu’est ce qui vous fait croire que l’on est partant »
_ »Ben… Hier j’ai immédiatement compris se que vous faisiez «
_ »Je ne vois pas ce que tu veux dire » dit maman d’un air surpris
_ »Tu suçais Alex et ne dit pas le contraire car vu votre position et le short tendu d’Alex »
_ »C’est donc pour ça que tu nous as invités ? »
_ »Oui car si vous avez une relation i****tueuse, l’échangisme ne vous dérangerai pas »
_ »De toute façon on n’a pas trop le choix car si on dit non notre relation va faire le tour de la commune. Si Alex est ok, c’est bon pour moi. »
Tous les regards se tournent, et se retrouve à me fixer.
_ »Euuuhh…si tout le monde est partant… je suis ok »
A peine ai-je fini ma phrase que Jean-Louis pose sa main sur la cuisse de ma mère qui se laisse faire, il glisse vers son entre jambe, la fait décroiser les jambes et continu de la caresser.
_ »Rrrrrrr Patricia tu ne porte rien «
De notre coté Marie s’est levée et me déshabille ; je suis tout nu, le seul de la pièce. Marie me regarde de bas en haut et me pousse sur le canapé.
_ »Hummm… un petit jeune… je te comprend Patricia, ton fils semble délicieux «
Marie se tourne, se penche vers l’avant me dévoilant sa lingerie. Je mets mes mains sous sa jupe, malaxe ses fesses et caresse son sexe par dessus son string. Elle ôte sa robe, j’en profite pour lui baisser son string ; je découvre son sexe imberbe.
_ »Oooooh… il est pressé le petit monsieur »
_ »Je veux juste admirer se magnifique corps »
_ »Charmeur » elle dégrafe son soutien gorge « Alors… Tu aimes ? »
_ »OUI »
Elle se met à genoux devant le canapé et commence me pomper, c’est bon mais maman est largement plus douée
_ »MARIE … Tu fais quoi là ? On doit tout faire en même temps »
_ »Désoler mon chérie, il m’a charmée et sa bite m’a hypnotisée »
_ »Patricia à poil »
Jean-Louis est énervé, ma mère ne voulant pas le contrarier d’avantage s’exécute. Ma mère est nue ; jean également.
_ »Je croyais que les grosses cochonnes comme toi s’épilais »
Jean-Louis vient s’asseoir a coté de moi ; ma mère se met à genoux à coté de Marie. Elles commencent à nous sucer, Marie ne fait que de me prendre en bouche, elle ne me stimule sans plus ; j’en profite pour regarder ma mer, elle semble faire comme marie pas de jeu de langue comme elle adore me faire. Jean-Louis pose ses mains sur la tête de ma mère et appui dessus
Empêchant ma mère de bouger ; au bout de quelques secondes elle commence à tousser, il la libère pour la reprendre dans la foulé. On continue de se faire sucer pendant quelques minutes
_ »Mesdames, a genoux sur le canapé, le cul bien ouvert pour la sodomie »
Je n’en reviens pas Jean-Louis est un bon gros porc ne s’occupant que de son plaisir en humiliant les femmes ; je comprends mieux pourquoi ils n’ont pas d’autre couple pour leur échange. Ne voulant pas avoir de soucis n’y faire indirectement souffrir maman je ne dis rien, je fais tout comme lui, me lève, me place derrière Marie. Il s’insère violemment et d’un coup dans le cul de ma mère la faisant hurler de douleur ; il encule rapidement en soupirant beaucoup et se vide en elle. Je suis heureux pour elle car il est aller assez vite.
_ »Grrrr…Tu as bon cul Patricia «
Fidèle a moi même je prends donc le cul de Marie en la pénétrant tout doucement le temps de rentrer en elle ; une fois inséré je débute les coups de rien d’abord lent puis rapide. Elle gémit, elle doit apprécier ma façon de faire comparer a celle de son mari. Elle mord le coussin pour éviter de crier, me tape sur la cuisse et me fait signe de la tête ; je comprends que sa la gêne et qu’elle se retient à cause de Jean-Louis. Pour ne pas la mettre dans une mauvaise situation je décide d’abrégé la pénétration et me repend en elle.
_ »C’était un super apéro, si vous voulez bien on passe à table » Dit Jean-Louis.
On se rhabille et nous nous dirigeons vers la salle à manger. On mange, le diner est très silencieux ; une fois fini on reste quelques minutes par simple politesse pour les remercier de nous avoir invité. On leur dit au revoir, ils nous raccompagnent jusqu’à la porte d’entrée.
Sur le chemin de la maison on parle de ce qui vient de se passer.
_ »Putain… Jean-Louis est une grosse merde de pervers »
_ »Il ne t’as pas fait trop mal ? »
_ »Non heureusement, mais pour lui les femmes sont justes des trous, il ne s’occupe que de son plaisir en plus il baisse très mal »
_ »Moi je plains Marie de l’avoir comme homme »
On arrive devant la maison, j’ouvre la porte, je me retourne et vois maman nue, elle a seulement ses chaussures.
_ »Peux-tu me satisfaire ? »
_ »Je vais faire de mon mieux comme a chaque fois. »
_ »ça me vas »
A Suivre….
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