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Jeux de mains…

Jeux de mains…



Jeux de mains…

Mercredi 5 Aout 1992
Aux alentours de minuit
Quelque part dans Paris… rue des Lombards.

Nous étions à la « taverne », un pub où la bière coule à flot et où tous les soirs des groupes « rock » donnaient des concerts en reprenant des standards qui allaient des Beatles aux Pink Floyd en passant par Deep Purple ou les Stones.

Elle avait des yeux marrons très clairs, presque dorés, qui m’hypnotisaient littéralement, et de longs cheveux noirs qui ondulaient sur ses épaules dénudées.
En cette nuit d’Aout il faisait une chaleur étouffante et installés au tout au fond de la salle nous commencions à être en nage. Une orgie de fragrances montait à mes narines, ce mélange de phéromones, si subtil, qui balance entre la transpiration et le parfum, éveillant des désirs bestiaux.

Depuis vingt bonnes minutes je déposais des baisers humides ça et là (spéciale dédicace), entre son cou et son oreille qui provoquaient en elle des vagues de frissons sur sa peau de pêche. Je plaquais mes lèvres sur les siennes. Sa langue vint chercher la mienne, restée, pour une fois, sagement dans ma bouche.

Je posais une main sur son genou, elle portait une mini-jupe noire, et commença à remonter le long de sa cuisse en direction de son sexe. Elle posa vivement sa main sur la mienne pour arrêter ma progression, arrêta de m’embrasser et me regarda d’un air interrogateur. Je la regardais puis tournant la tête je regardais la salle. En ce soir d’Aout la salle était presque vide et les quelques clients attablé nous tournaient le dos pour regarder le groupe qui se produisait.
Elle comprit et lâcha ma main, qui reprit immédiatement ses caresses. … Arrivé entre ses jambes je m’arrêtais, interdit et la regarda avec surprise. Elle fit un petit sourire et souleva les épaules.

– Il fait si chaud dit-elle comme pour se justifier.

Elle ne portait rien en dessous, Je glissai mon tout le long de sa fente Ô combien humide.

– Je vois ça tu transpire. Répondis-je.

Elle sourit et secoua la tête comme pour signifier un « N’importe quoi »

De l’index et de l’annulaire j’écartais doucement ses lèvres pour venir titiller son clitoris avec mon majeur. Tantôt le frôlant à peine, tantôt tournant autour, j’abandonnais son petit bouton pour introduire la première phalange de mon doigt dans son vagin… puis revenait à son clitoris qui commençait à gonfler lentement.

Au bout de quelques minutes de ses incessants allers-retours, elle attrapa ma main et enfonça mes doigts tout au fond de sa grotte humide. Elle se raidit. De sa main libre elle attrapa mon autre main et la porta à sa bouche et mordilla mon doigt. Je sentais son souffle saccadé sur ma main et de l’autre les contractions de son vagin autour de mes deux doigts… Au bout de quelques secondes, elle se détendit, soupira et embrassa ma main.
Je retirai délicatement mes doigts de son intimité et les portais à mes lèvres. Je n’eus le temps que de sucer mon majeur, elle attrapa ma main et porta à sa bouche et commença à sucer mon index comme si elle me faisait une pipe. Quelques secondes suffirent à ce que je me retrouve trop à l’étroit dans mon jean. Elle lâcha ma main et commença à défaire les boutons de mon pantalon. Je posai ma main sur la sienne pour l’arrêter. Elle me regarda et afficha un large sourire de provocation… Je retirais ma main et elle fini par faire sortir ma bite. Elle lécha ses doigts et enduit mon gland de sa salive puis commença à me masturber. Son pouce vint exciter mon frein. Elle alternait les allers-retours lents puis rapides. Ses doigts fins glissaient sur la peau de mon sexe. Je me contractais, elle jeta un coup d’œil à la salle, histoire de vérifier que personne ne nous regardaient, puis se pencha rapidement et avala mon gland. Surpris et décontenancé par l’irréalité de la situation mon excitation était à son paroxysme et il ne lui fallut pas plus de trois allers-retours pour me pousser à l’orgasme.

Elle se redressa et tandis que je me rhabillais et essuya le coin de ses lèvres du bout de son majeur puis le lécha.

Elle saisit son verre et bu une gorgé, puis posant son verre elle approcha son visage du mien.

– Au fait, je m’appelle Sandrine. Fit-elle.

– Enchanté, moi c’est JM. Répondis-je.

– Ravie de faire ta connaissance JM.

J’affichais un large sourire.

– Et moi donc…

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