Mon nom est Jawad et je vais vous raconter mon histoire alors que j’ai tout juste 18 ans. Depuis la perte de mes parents, je suis chez ma tante Salma et il faut dire qu’elle me laisse beaucoup de liberté.
Un soir, ma tante Salma devant s’absenter pour la journée, me confia à sa voisine et grande amie, Graziella.
– Tu vas voir, me dit Salma, Graziella est la reine de la cuisine italienne, elle va bien s’occuper de toi, tu vas te régaler pour le déjeuner !
– OK ma tante, à ce soir !
En effet, le repas de midi chez Graziella s’était très bien passé.
– Alors mon petit, que penses-tu de la cuisine italienne préparée par une Italienne ?
– Je me suis régalé… Tes spaghettis bolognaises étaient excellents.
– Va dans le salon, reposes toi dans le canapé… Je te rejoins après la vaisselle !
Je m’écroulai dans le canapé… Mes pensées allaient vers Graziella qui s’affairait dans la pièce voisine… Graziella, d’origine italienne, avait le physique typique de la bonne milf italiennes. Presque 1m70, une silhouette plantureuse : une poitrine énorme, un cul rond et rebondi. Ce jour là elle portait une robe légère boutonnée sur le devant… Son décolleté m’avait troublé pendant le repas, et j’y avais jeté des regards intéressés…
Graziella fit son entrée dans le salon et je vis qu’elle avait déboutonné 3 boutons en haut de la robe. Son regard était comment dirais-je, « troublé ».
– Ah je suis crevée !
– Faut dire que cuisiner toute la matinée, ce doit être fatigant.
– Oui mon petit. Cela fait du bien de se reposer. Et toi, tu n’es pas trop fatigué ?
Elle se pencha vers moi (je pouvais sentir la chaleur d’un gros sein sur mon bras droit), et me chuchota à l’oreille :
– Tu sais, ta tante et moi sommes de grandes amies et nous n’avons pas de secrets l’une pour l’autre. Elle ma confiée l’état de vos relations.
– Oh ! Alors tu sais ? dis-je en rougissant.
– Le petit cachottier qui rougit.
– Ben euh…
– Quoi ? J’ai bien vu que tu reluquais ma poitrine pendant le repas, petit branleur !
– Ils sont énormes tes seins !
– Je vois qu’elle t’a bien excité à voir ce qui se produit dans ton pantalon ! Petit coquin, tu regardes mes seins?… Mes seins t’impressionnent?… Il ne faudra pas en vouloir à tes futures copines si elles n’en ont pas d’aussi grosses que ça… Ce sont celles d’une milf qui a déjà vécu… Je dois dire que je suis assez fière des miennes!
Il y avait de quoi… Ses seins étaient formidablement excitants… Elle pointait des tétons et je comprenais mieux pourquoi je les avais vus si distinctement sous le tissu, tout à l’heure… Fixant ma braguette, Graziella me dit:
– Tu ne peux pas rester comme ça… Ta pauvre queue doit être tout congestionné… Tu dois avoir mal d’être trop longtemps dans cet état… Je vais soulager cette queue…Mets toi debout… Vooooilà je te déshabille complètement. Moi aussi je me déshabille dit-elle en se mettant debout et se mettant à poil. C’est moi qui te fais cet effet? …
– Ou -ou- oui, Graziella… Tu n’arrêtes pas de m’allumer…
– J’ai envie de me faire écarté et baisé comme une chienne… Me faire défoncer par un jeune beur… Et je vois que tu es bien monté d’après ce que je sens dans ma main.
Debout tous les deux, nous nous regardions et enfin nos mains parcouraient le corps de l’autre… Je l’enlaçais et mes mains caressèrent son cul. Elle de son coté avait saisi ma queue et la branlait. Nos bouches se sont rejointes pour un bon gros patin, la salive passait d’une bouche à l’autre… Nous nous sommes, à nouveau, installés sur le canapé… Enlacés… Pour peu de temps, car Graziella se met à genoux devant moi… Elle commence à me caresser, serrant vigoureusement ma bite entre son pouce et son index… Graziella semble aimer ce qu’elle fait… Je décide de m’abandonner au plaisir et de la laisser faire… Elle continue à me caresser puis à me sucer, toujours agenouillée devant moi, léchant doucement dans le sens de la longueur ma bite de la pointe de sa langue, alternant sa langue et ses doigts… Je suis bien dur… Elle se réinstalle dans le canapé et mes mains caressent le corps pulpeux.
– Il mio tesoro.
-Ooui Graziella?
– Oh! Le vilain garçon qui touche les nichons de sa voisine Graziella!… Tu veux jouer avec mes tétons? …Bon, je te laisse faire si ça te fait du bien! Mais rappelle-toi, c’est très délicat et fragile…
C’est surtout à elle que ça fait du bien… Elle ne peut pas le cacher… De petits soupirs s’échappent de ses lèvres à chaque fois que mon doigt vient tourner autour de ses belles tétines… Celles-ci semblent devenir un peu plus longues et raides à chaque fois que je les effleure… Les tétons font presque 2 cm de long, tellement ils pointent…
-Vas-y petit, je suis sûre que ça fait longtemps que tu as envie de mes seins.
– Oh oui Graziella tu m’excites trop !
– Vas-y suce moi les tétons branleur, j’adore ça, ça m’excite !
– Hummm j’adore tes seins, j’ai tellement fantasmé en y pensant.
– Ah oui, tu te masturbes souvent en pensant à mes seins sale branleur ?
– Oh oui j’adore me branler en pensant à tes gros seins de milf !
Nous continuons à nous embrasser, avec de plus en plus de fougue. Elle me caresse le torse et me masse le sexe. Moi je ne sais même plus où la caresser. Je passe alternativement de ses magnifiques seins aux pointes érigées à ses hanches, puis à ses fesses que je masse abondamment pour accompagner ses mouvements.
– Hummm tu es bien dur mon chéri … J’ai très envie de sentir ce zob en moi. C’est si bon de sentir ta queue dans ma main. Elle se redresse et vient se coucher sur moi. Putain elle est lourde, mais cela ne m’empêche pas de triquer…
Je suis tellement excité que mes doigts se font de plus en plus coquins. Je passe mes mains sur ses fesses et je commence à glisser un doigt dans sa raie. J’accentue alors ma caresse, et elle se jette à nouveau sur mes lèvres, en continuant à me branler de sa main experte. Alors elle s’accroche à mon cou, viens m’embrasser dans le cou tout en me branlant. Elle se cambre bien pour me faciliter l’accès à sa chatte, pour que mon doigt s’enfonce plus profondément. Elle branle ma queue au même rythme que moi je lui doigte la chatte, et me murmure à l’oreille en continu :
– Oh oui, comme ça, oui… humm je sens ton doigt, vas y, à fond, humm… Oh oui là, comme ça, bouge-le à l’intérieur… oh OUII voilà, c’est là, vas y mon bébé, titille-moi l’intérieur comme ça… Hummmm c’est trop bon je sens la chaleur dans mon ventre… oh je t’en supplie ne t’arrête pas… encore, oui… encore !!! Siiii sono la tua puttana…
Elle s’écarte… Alors elle me regarde, me sourit avec un air de vicieuse, et se laisse tomber sur mon sexe. Elle s’empale littéralement dessus, et elle se surprend presque elle même car elle repousse un petit cri. Puis elle commence à imprimer la cadence. Elle se dandine et contrôle le rythme de la pénétration. Je vois devant moi ses beaux gros seins qui bougent eux aussi, je les prends à pleine main. Ma bite rentre et sort de sa chatte, elle accélère le rythme : c’est délicieux. Elle se laisse aller, penche la tête en arrière pendant que je lui masse les seins, elle ferme les yeux et accélère le rythme. Moi j’accompagne en donnant des coups de bassin vers le haut pour que ma bite la pénètre plus brutalement, car elle semble adorer ça.
– Oh oui vas y plus fort comme ça Jawad, oui ! Donne moi ta queue, oui ! Il mio piccolo piccione !
– Quoi
– Mon petit pigeon! « Grande cazzo”… Ma grosse bite! Bourres moi… Ta queue est bien raide! C’est vrai qu’à 18 ans!…
– Tiens tiens! Grosse salope! Empale toi bien sur ma queue !
– Bouffes moi les tétines fils de pute!
– Quels gros nibards!
– Continue à les téter amore, j’adoooore! Vas-y, plus vite maintenant… Aaaah! Je suis ouverte, tu sens comme je suis ouverte?… Allez! vas-y à fond!… Déchires-moi la chatte, fais-moi mal, écartes-moi plus avec cette putaine de queue ! Ah, ah,ah si, scopami, ahhhh!
Je triture ses gros seins qui pendent sur son ventre. Ils sont énormes et ballottent au rythme de la baise. Ses gros nibards me plaisent vraiment…
– « – Ouiiii …. Continue mon chéri… Tu aimes les italiennes, hein ? …
– Oui, j’adore les italiennes… continues à me parler italien quand je te défonce salope !
Oh, tu aimes que je te parles italiens salop, ça t’excites ? Hein ? Daiiii ! Daiiii ! Dimmelo che sono la tua puttana…dimmelo per favore !
Elle imprime le rythme et moi j’essaie de suivre… Elle s’agite de plus en plus… Mes couilles venaient taper les fesses de cette milf à chaque coup de boutoir.
– Oh Salope, je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, lui dis-je.
– Attend, attend branleur !
Je continue à limer cette pute assoiffée de queues et continue à me parler italien, je la vois, toute entière qui prend un immense plaisir à s’empaler sur ma grosse queue, sentant mon gland venir au fond d’elle. Je sens l’orgasme monter, je ne peux plus tenir. Je vais tout lui donner à cette pute! Elle comprend alors que je ne suis plus très loin de l’orgasme car ma respiration se fait beaucoup plus bruyante.
– Humm oui chéri vient, jouis vas y. J’ai envie de goûter ton sperme, envois tout sur ma gueule de pute !
– Humm, aaaaah !
– Vas y Jawad prends-moi par les cheveux comme une salope, traites-moi comme ta puttana, donne tout à ta pute, oui chéri vas y balance moi ce putain de foutre dans ma chatte !
– Putaine de salope !! Oh oui Graziella je vais jouir, oh putain, OUIIII !!! Et je lui balance tout dans sa chatte.
– Oh c’est trop bon, stop salope, arrête, arrête, j’explose, je jouis ! Ahhhh, Ah… Ah, ça vient !!! Ahhhhhhhh je jouiiiiiiiis ouiiiiiiiiiiiii c’est bon !
Nous sommes restés plusieurs secondes immobiles. Graziella semblait épuisée… Elle se dégagea de ma bite et s’assit à mes cotés. Elle me posa de petits baisers dans le cou. J’en fis de même. Calée contre moi, je lui caresse l’épaule doucement et elle passe sa main sur mon torse. Elle semble satisfaite et radieuse.
– Qu’est-ce que tu m’as mis avec ta grosse queue d’arabe! Je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux…
– Mais comment résister à une milf italienne si bandante qui s’habille comme une pute ?
Elle me regarde, toute souriante…
– Une milf italienne qui sait cuisiner et qui sait comment pomper une queue.. les italiennes savent s’y faire… Tu sais mon petit, si nous avons baisé ensemble, c’est grâce à ta tante Salma qui a tout organisé… Elle m’a parlé de tes « exploits », et je peux dire que j’espère que nous recommencerons! La prochaine fois, je veux que tu me traites comme une vulgaire pute!
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