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clauques et fouet

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Histoire d’une découverte
Une fille
Entre 15 et 17, comme je l’ai dit, j’étais plutôt amoureuse d’une fille. Après l’épisode des vacances de mes 15 ans, j’ai rencontré Ingrid. Grande blonde, costaude mais très belle.
Nous « étudiions » le mercredi après-midi dans son appartement, ses parents rentrant assez tard.
Nous avions fait l’amour plusieurs fois. Un mercredi, nous avons goûté à une nouveauté. Elle m’a dit de me déshabiller. Elle est restée vêtue. Comme je m’étonnais, elle m’a dit que quand on aurait fini le boulot, il serait encore temps pour elle. Je suis restée devant elle, toute nue. C’est très troublant de se promener nue devant quelqu’un de vêtu. J’attendais le moment où elle se déshabillerait et où nous pourrions faire l’amour. Elle m’a touché la chatte sans prévenir en me disant que j’étais trempée et qu’elle allait me calmer. Elle est restée debout à côté de moi couchée sur le divan et m’a caressée. J’ai joui, honteuse d’être ainsi traitée comme un a****l en chaleur.
Chaque semaine, elle devenait plus autoritaire. Je jeu de nue et habillée est devenu la règle. J’ai été obligée de me caresser devant elle qui travaillait à table.
Un jour, j’étais allongée sur le ventre en train de lire. Elle est arrivée et sans rien dire m’a flanqué une claque violente sur les fesses. J’ai forcément sursauté. Elle m’a dit qu’elle avait envie de me fesser. Elle l’a fait. Claque après claque, elle tapait fort. Elle a arrêté en disant qu’elle avait mal à la main. Je serais morte plutôt que d’avouer que j’aimais. Quand elle est revenue avec une planche à pain, j’ai su que la séance n’était pas finie. Elle a frappé tant et plus. Je me tordais sur le divan en pleurant mais elle continuait. Elle m’a dit de me caresser pendant qu’elle me fessait. J’ai glissé la main sous moi et j’ai pincé le clitoris. Une éternité plus tard, elle a arrêté. Impossible de m’asseoir tellement j’avais les fesses en feu.
Le mercredi suivant, à peine nue, elle m’a dit qu’elle avait envie de me gifler. J’ai du mettre les mains derrière le dos. Je m’attendais à la première gifle mais elle m’a dit que l’on verrait les marques. Sa main est partie et c’est un sein qui a reçu la gifle. La séance a commencé : de droite à gauche, de bas en haut, de haut en bas, du plat, du revers, de la main droite, de la main gauche. Mes seins volaient dans tous les sens. Au début, on sent la gifle, plus tard, la douleur devient générale et lancinante. Quand elle arrêté, je n’en pouvais plus. J’avais des seins rouges écarlates, on voyait les traces de ses doigts, de ses bagues.
Nous sommes vues encore quelque temps mais j’ai pris mes distances devant la montée de sa v******e. Je ne pouvais plus la toucher et me menaçait des pires tourments.
Ciao bella.
Un homme
Comme je l’ai dit, j’ai fait l’amour la première fois avec Luc. Pendant toute notre relation, je venais chez lui le samedi. Il était un peu fâché que je me déshabille en rentrant comme si je ne venais que pour me faire sauter. Ça m’excitait de me balader dans son living, toute nue.
Quand je pouvais faire croire chez moi que j’allais dire bonjour à une copine, j’allais chez lui. Il était choqué de me voir entrer, me diriger vers la table, y poser les poignets après avoir troussé ma jupe d’uniforme et enlevé la culotte. Penchée, je dégageais les seins en relevant le soutif. L’image de la servante culbutée. Il était choqué mais il n’avait pas besoin d’aide pour me pénétrer. Un jour, il a dit que je méritais la fessée. Je lui ai dit de me la donner. Ouille, c’est une main d’homme sportif. Une vraie dégelée mais je suis super excitée. Une idée me vient, au souvenir d’Ingrid, je me redresse, les fesses écarlates, je me retourne, je relève bien le chemisier et je lui demande si là, il oserait. Il est déjà trop loin que pour refuser. Comme Ingrid, il les gifle. Je tiens longtemps avant de me laisser glisser pour le sucer.
Il s’excuse de m’avoir frappée. Je pense qu’il est soufflé de m’entendre dire que j’avais aimé.

Mon mari
Après quelques mois de mariage, un soir, Pierre m’a fait l’aveu qu’il voudrait me fouetter. Il connaissait mes antécédents mais je ne pensais pas qu’il voudrait y goûter. Il m’a expliqué son envie. Je suppose qu’il avait lu Histoire d’O avant de me dire que ce qu’il voulait c’est me marquer, m’abîmer. Il fallait que je ne puisse supporter, les larmes étaient nécessaires. Si j’y prenais plaisir c’est que c’était raté. Il m’a dit qu’il rêvait de voir sa femme, par amour, tout donner et pas seulement partager une jouissance.
J’ai dit oui. Il m’a proposé de profiter des vacances de ses parents pour aller dans leur grenier. C’est vrai qu’un appartement, vu son programme, c’était pas le top.
Il est rentré du boulot avec un paquet qu’il m’a donné. Dedans un fouet : 2 m de long, tressé jusqu’à 50 cm du bout, se terminant par une lanière fine. C’était la première fois que je tenais ce truc en main et j’ai senti un froid dans le ventre. Ce n’était pas un jouet. Il m’a dit que nous pourrions y aller le WE, il avait préparé l’endroit. Nous étions jeudi.
Le samedi, c’est le grand jour. On arrive chez les parents de Pierre. La maison est forcément vide et silencieuse. On traverse tout en silence et on monte au grenier. Au centre, une grosse corde qui pend du faîte, une psyché d’un côté à 3 mètres, un grand miroir de cheminée en vis-à-vis. Je comprends qu’il veut que je me voie pendant qu’il me fouette. Il m’attache les poignets à la corde, il tend un maximum. J’ai les talons soulevés. Il m’attache les chevilles l’une à l’autre. Je ne pourrai donc pas me défiler. Il m’explique le programme. Il va commencer à me fouetter en prenant beaucoup de temps entra chaque coup. Tout mon corps sera visé. Il va me bâillonner pour la première partie mais me laissera voir. Ensuite, il me demandera si je veux bien continuer et là, ce sera sans bâillon mais les yeux bandés, partout, fort et vite.
Je suis en position. Ce fouet dans ses mains est vraiment inquiétant. Le premier coup siffle. Mes fesses que je vois sont zébrées d’une ligne rouge. Je me sens coupée en deux. Ça fait très mal. Il me laisse un moment (1 minute m’a-t-il dit après). Deuxième, juste un peu plus haut, même résultat. Troisième, sur les cuisses, en frappant plus près, donc en laissant le fouet s’enrouler jusqu’entre les cuisses, à la limite de la vulve. Il change de place. Mon ventre sous le nombril est touché, mon ventre au dessus du nombril est touché. Je me vois dans le miroir et je suis fière de moi, fière d’aller au bout.
Le premier coup sur la poitrine a failli me faire changer d’avis. C’est atroce. Il a encore visé mes seins que j’aime tant. Curieusement, je les trouvais beaux ainsi marqués.
Le supplice a duré une heure. 60 minutes, 60 coups.
Il m’a enlevé le bâillon. Il m’a fait boire un grand verre d’eau bien fraîche et m’a laissé respirer.
La question est arrivée : stop ou encore ? Je ne voulais pas céder à l’envie d’arrêter. Encore.
Il m’a bandé les yeux et m’a dit qu’il continuerait jusqu’à la limite de mes forces. Je pouvais crier, pleurer, supplier. En français, tant que je garderais conscience. C’est facile à vérifier, je ne me plaindrais plus…
Il a commencé, en tournant autour de moi, du droit, du revers. Arquée d’un coup sur les omoplates, j’offrais mes seins au suivant. Pliée par le coup, j’offrais mes fesses. Belote, rebelote,… .
Les flancs, les cuisses, le dos, tout y passait. J’avais la chance d’avoir les jambes serrées. Le pubis prenait des coups mais le sexe restait intact.
Tout à coup, j’ai senti qu’il libérait mes chevilles. Avant d’avoir compris, il a relevé ma jambe sur le côté quasi en grand écart. Il l’a ainsi attachée. J’ai frémis à l’idée ce qui allait arriver. Il a commencé à viser l’intérieur des cuisses, depuis les genoux, remontant lentement vers mon sexe maintenant exposé. Il avait du prendre son fouet plus court pour arriver à la précision. Debout derrière moi, il a frappé une première fois de bas en haut, entre mes jambes. La mèche a terminé sa course sur mon ventre. Le coup suivant, la mèche est arrivée en plein sur la fente. Il a recommencé, je ne sais pas combien de fois, je n’étais plus là pour sentir.
J’ai émergé du brouillard, les yeux dégagés du bandeau. Tout mon corps brulait. Il m’a embrassée. Il m’a dit qu’il m’aimait. Je lui ai répondu que moi aussi.
J’ai regardé mon corps vraiment martyrisé et j’étais heureuse et fière de moi. Il avait l’air un peu gêné du résultat. Je n’ai jamais vu ses yeux aussi beaux que quand je lui ai demandé s’il voulait bien recommencer.

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